#25 - Franz-Olivier Giesbert - "Marseille est revenue régulièrement dans ma vie."

Aujourd’hui je reçois Dominique Tapie et celles et ceux qui me suivent depuis un petit moment, savent ce que cela signifie ! J’ai rêvé avoir Bernard Tapie à mon micro, j’ai tout fait pour et mon émotion en fin d’épisode à la lecture des mots écrits pour lui trahie mon admiration pour le personnage et ma joie d’avoir en face de moi celle qui le connaissait le mieux. Sa vérité, Dominique Tapie l’a livrée dans un livre paru aux éditions de l’Observatoire « Bernard la fureur de vivre » et à l’occasion du deuxième anniversaire de sa mort j’ai eu envie de lui demander comme une supplique : parlez-moi encore de lui ! 

Aujourd’hui je reçois Amelie Challeat, fondatrice de la marque Allez l’amour  ! Si son nom ne vous dit rien rendez-vous sur son compte instagram @ameliechalleat : vous y découvrirez le quotidien d’une femme mère de deux enfants, le quotidien d’une magnifique famille recomposée et multiculturelle, le quotidien d’une femme entrepreneuse. Avec son compagnon Hamza, ils relèvent le défi de lancer une marque responsable et solidaire et prouvent que l’amour fait vivre et qu’il triomphe de tout : des épreuves telles que l’extrême prématurité de leur fille Shéérazade, des préjugés ou des différences culturelles. Venez prendre un shoot d’optimisme et de bonne humeur ! Bonne écoute !  

Aujourd’hui je reçois l’auteure marseillaise Emmanuelle Bayamack-Tam que vous connaissez peut-être sous le nom de Rebecca Lighieri, son pseudo. Cet été j’ai découvert son roman noir « Il est des hommes qui se perdront toujours », dont l’intrigue se déroule dans les quartiers nord de Marseille. Une histoire dure entre pauvreté, violence et drogue, des personnages inoubliables et une connaissance intime de la ville. Il était donc évident de l’avoir au micro de Cité Radieuse. Rendez-vous a été pris alors qu’elle était de passage pour une lecture de son nouveau roman « La treizième heure » aux éditions P.O.L et cela donne un très bel épisode. Bonne écoute!  

Aujourd’hui pour lancer la 4ème saison de Cité Radieuse, mon invité est le réalisateur marseillais Emmanuel Mouret. Si je vous dis Les choses qu’on dit les choses qu’on fait, Mademoiselle de Joncquières, Caprice ou Chronique d’une liaison passagère, ça vous parle forcément et ça dit beaucoup de lui. Emmanuel Mouret aime filmer l’amour, cette chose mystérieuse, énigmatique, sacrée et flamboyante ! Ses personnages sont tendres, fleur bleue, manient les mots avec délice. Son cinéma est à son image : romantique. Je suis très heureuse de vous proposer cet épisode. Bonne écoute !  

Aujourd’hui mon invité est le Père Spinosa, recteur de la basilique Notre Dame de la Garde. Impossible d’évoquer Marseille sans s’arrêter dans ce lieu cultuel et culturel si emblématique de la ville. Quelle réalité englobe cette fonction de recteur ? Comment accueillir les touristes autant que les pèlerins ? Et le foot dans tout ça ?! Merci au Père Spinosa de m’avoir reçue au pied de Notre Dame de la Garde dans le tout nouveau food truck « Le bon air ». Vous y entendrez le bruit du vent, des conversations au loin, les cloches, la vie quoi ! Je vous souhaite une bonne écoute !  

Aujourd’hui mon invitée est Emma Clair Dumont, aventurière, maman, cheffe d’entreprise installée tout près de Marseille et qui vient de réaliser l’exploit d’avoir gravi l’Everest, ce qui fait d’elle la 13ème femme française à s’être hissée sur le toit du monde et la 1ère femme du département. Je suis ravie de vous proposer cet épisode un peu particulier, plus long que d’habitude déjà mais impossible de passer à côté du récit des nombreux exploits d’Emma. A chacune et chacun son Everest. Merci à Emma de nous aider à y croire.  

#UPDATE : Adam Bessa a reçu le prix du meilleur acteur dans la catégorie "Un certain regard" de la 75ème édition du Festival de Cannes pour le film "Harka" de Lofty Nathan sur fond de printemps arabe tunisien. L'occasion de vous proposer une rediff de l'épisode qui lui est consacré  ;) Bonne écoute ! 

C'était en septembre 2020 et avec Adam nous étions revenus sur son parcours, son actualité du moment, la capacité de travail qui est la sienne, sa volonté sans faille et sa vision de Marseille qu’il a totalement adoptée. Vous l’avez peut-être découvert dans la websérie Amours Solitaires ou dans le film les Bienheureux de Sofia Djama. Vous l'avez suivi dans « Haute Couture » de Sylvie Ohayon entre autres.. Rien ne semble l’arrêter et son enthousiasme est réellement contagieux ! 

Aujourd’hui mon invité est Grand Corps Malade, slameur, poète, compositeur, réalisateur et … parrain de l’association marseillaise Sourire à la vie. Et c’est à ce titre qu’il a accepté de répondre à mes questions et d’évoquer sa relation à Marseille. Parce que parler de lui ce n’est pas son truc, parce que son histoire il la raconte dans ses films et ses chansons et parce que son engagement pour ces enfants atteints de cancer est à ses yeux ce qu’il a de plus essentiel à mettre en avant. Rencontre rapide, à la volée, avec un mec bien ! 

Pour soutenir l'association Sourire à la vie   :

www.sourirealavie.fr, @sourire_a_la_vie_asso sur instagram et @S_a_l_V sur Twitter ;)

Aujourd’hui mon invitée est l’écrivain Amanda Sthers. Le lien avec Marseille n’était pas évident avant que je ne découvre que c’est là qu’elle avait choisi de poser ses valises lorsqu’elle vit en France. Le reste du temps elle le passe à Los Angeles avec ses enfants et Paris, un peu, mais juste pour le travail. Dans son nouveau roman « Café suspendu » aux éditions Grasset, Amanda Sthers s’est glissée dans la peau d’un homme de 72 ans vivant à Naples, une ville cousine de Marseille, si semblable. « Naples, ville schizophrène, sale et sublime, vieille, défigurée et majestueuse … », « un tout, fait d’opposés qui se mêlent, Naples pleine de contradictions qui donne à être adorée et détestée tour à tour. » Ces mots sont ceux d’Amanda Sthers et avouez-le il y a de toute évidence beaucoup de Marseille dans ce roman, dans ce Naples là. Rencontre avec une auteure prolifique, une scénariste à succès, une réalisatrice comblée, une femme solaire. Bonne écoute !

A mon micro ce jour, la photographe Yohanne Lamoulère, marseillaise d'adoption, qui n'a cessé de photographier la ville et surtout celles et ceux qui y vivent. Des gens et des endroits qui évoquent souvent des vies cassées que la société rend invisibles. La périphérie, qu'elle affectionne tout particulièrement, le coeur vibrant de la cité Phocéenne ! Elle sait mieux que quiconque que Marseille fascine autant qu'elle dérange. Son expo BRAVO compile toutes ses obessions : la périphérie donc, l'insularité, la forme cercle, la fiction et le documentaire. Grâce à son objectif elle capture les délabrements autant que la beauté .. les mondes intranquilles. Rencontre.