Fable de la Fontaine : L'aigle et le hibou

Pour finir en beauté cette série de podcasts en hommage à La fontaine à l'occasion de ses 400 ans, Claire-Lise, jeune comédienne fraîchement dîplomée de l'école d'art dramatique de Lyon a choisi l'indémodable fable "Le corbeau et le renard". Elle l'a choisi car selon elle "il n'y a rien de mieux que de revenir au basique" !

Cette fable est un souvenir d'enfance pour la jeune comédienne, tout juste sortie de l'école de théâtre de Lyon, l'Ensatt. Une éloge de la ruralité qui résonne particulièrement actuellement depuis que le confinement et les envies d'évasions au vert sont passées par là.

François est un jeune comédien de l'école d'art dramatique de Lyon, l'Ensatt. Il a choisi cette fable qui résonne particulièrement en ces temps post-covid où nous reprenons vie après avoir eu le droit ...de ne rien faire ! 

Agathe, jeune comédienne tout juste sortie de l'école d'art dramatique, l'Ensatt a choisi la plus connue des fables de La Fontaine qui lui rappelle ses années de primaire. Bien plus qu'une Fable ce fut pour elle le "début du théâtre". 

Josua, jeune comédien tout juste sortie de l'Ensatt, la grande école d'art dramatique lyonnaise a choisi cette fable "criante de simplicité" qu'il ne connaissait pas. Le texte nous fait réfléchir à l'image que l'on se donne qui manque parfois de réalité.

Kainana a choisi de nous parler et de nous réciter "Le Paon se plaignant à Junon". La jeune comédienne apprécie cette jolie fable qui laisse entendre que nous avons tous notre place dans la société mais aussi nos particularités comme les oiseaux qui peuplent le texte.

Vianney a choisi une fable sans morale : le chêne et le roseau. Le jeune comédien de l'ENSAAT, la grande école d'art dramatique, aime l'idée que chacun se fasse sa propre opinion de cette fable qui nous parle de la vanité. Un texte qui nous rappelle que la loi du plus fort n'est pas toujours la meilleure.

Lise a choisi de nous lire la fable intitulée "L'aigle et le hibou". Une fable qu'elle apprécie pour son côté cynique et ironique mais surtout drôle. Un texte rigolo qui lui rappelle des situations de famille un peu cocasse.

C'est au tour d'Antoine, tout juste diplomé de l'ENSATT, la grande école d'art dramatique lyonnaise de choisir et d'interpréter une fable de La Fontaine.

 Il a choisi "Le juge arbitre, l'hospitalier et le solitaire" parce que dans les nombreuses Fables de la Fontaine, il préfère celles qui tirent "là ou ça fait mal".

 Un texte qui nous rappelle à l'ordre et nous ramène à l'essentiel : la connaissance de l'être humain, de soi, de la nature et des choses.

Ariane, jeune diplomée de l'ENSATT, la grande école d'art dramatique, a choisi "La chatte métamorphosée en femme". Une fable qui lui fait penser au mythe de Pygmalion et qui parle de l'importance du "naturel". Une notion importante pour la comédienne, notamment dans notre société actuelle qui aime bien mettre les gens dans des cases.