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    Hondelatte raconte - L'année 1996 - L'intégrale

    frJuly 08, 2023
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    Christophe Hondelatte raconte l'année 1996 en puisant dans les archives d'Europe 1.

    Recent Episodes from Hondelatte Raconte une année

    La piste rouge

    La piste rouge

    Le jeudi 17 décembre 1931, une Citroën C6 est retrouvée au beau milieu d’un carrefour du bois de Vincennes, encastrée dans un arbre. Le pare-choc est en piteux état. Sur les tapis, les portières et la banquette luisent d’énormes flaques de sang provoquant une odeur funèbre. Mais où sont passées les victimes ? Aucune trace aux abords du véhicule ne laisse penser qu’elles se sont enfuies ou ont été déplacées... Selon les premiers éléments de l’enquête, le véhicule a été dérobé la veille. Puis, on découvre que des vêtements tâchés de sang brûlent sur la route de Poissy, que le strapontin du véhicule accidenté est retrouvé à Magny-en-Vexin et qu’un témoin a vu un automobiliste jeter quelque chose par-dessus le pont de Triel… La scène de crime s’étend donc aux quatre coins de l’Île-de-France. L’enquête se révèle alors être un véritable puzzle : c’est le début de la piste rouge. L’indice qui va pourtant changer la donne est un petit bouton de culotte. Il permet aux enquêteurs de remonter la piste jusqu'à un Américain domicilié boulevard des Capucines à Paris et nommé Richard Wall. Reste à savoir si ce gangster, actuellement introuvable, est victime ou coupable… Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio. 

    Crédits :

     Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

     Production : Sébastien Guyot

     Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

     Rédaction et diffusion : Lisa Soster

     Promotion et distribution : Marie Corpet

     Création du visuel : Sidonie Mangin 

     Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

    La machination policière

    La machination policière

    En 1932 dans le sud de la France, une bande de gangsters dont le chef se nomme Maucuer, a pour accoutumance de piller des trains. Mais cette routine commence à ne plus amuser cet homme chétif qui ne sourit jamais. D’autant plus qu’une nouvelle opportunité bien plus alléchante se présente. Chaque jeudi, une banque dépose de l’argent au bureau de poste du quartier de Saint-Barnabé à Marseille. L’occasion parfaite pour ces bandits qui planifient alors d’aller y dérober les billets. 

    De l’autre côté de la cité phocéenne, dans son commissariat, le chef de Sûreté reçoit une lettre anonyme l’informant qu’un gang prépare un coup au bureau de poste du "quartier maudit". Depuis quelque temps, la police de la ville a mauvaise réputation : elle est jugée incompétente dans cette partie de la commune où les malfaiteurs ont pignon sur rue. Cette information est donc l’occasion parfaite pour la police d’enfin redorer son image. Leur plan est digne d’une véritable pièce de théâtre dont le dénouement de l'histoire sera de coincer, sur le fait, les brigands. Comment ces policiers, quelque peu crédules, vont-ils faire face à des brigands armés ? Et Maucuer, le chef de bande, pourra-t-il réellement compter sur ses hommes ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio. 

     

    Crédits :

     

    Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

     

    Production : Sébastien Guyot

     

    Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

     

    Rédaction et diffusion : Lisa Soster

     

    Promotion et distribution : Marie Corpet

     

    Création du visuel : Sidonie Mangin 

     

    Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

    Il est énervant Émile

    Il est énervant Émile

    Émile Python est un homme sage, consciencieux voire un peu trop zélé selon son entourage... Enfant, c’est lui qui révèle les bêtises de ses camarades à l’instituteur. Lorsqu’il est au régiment, c’est encore lui qui dénonce les incidents à l’adjudant. Qu’il est énervant Émile... À 25 ans, cet homme à la silhouette impeccable et au teint rouge, se marie. Une femme, des enfants, un emploi : en théorie, tout va pour le mieux pour Emile Python. Mais au quotidien, il ne peut s’empêcher d’éplucher les comptes, vérifier les quittances de gaz et l’honnêteté de chacun… Qu’il est énervant Émile ! 

    En 1926, alors qu’il a 40 ans, Émile Python réside avec sa famille au rez-de-chaussée d’un petit appartement parisien dont il paie scrupuleusement le loyer le premier de chaque mois. Mais il souhaite déménager au quatrième, pour cette fois-ci, disposer d’une habitation non meublée. À sa grande surprise, le propriétaire de l’immeuble en décide autrement : cet appartement, au quatrième, sera loué meublé, et avec les meubles de celui du rez-de-chaussée ! Une combine qui déplaît, évidemment, à Émile Python. Il se plaint auprès du Procureur qui mandate un expert pour savoir si le contrat a été falsifié. Non, affirme l’expert, ce qui provoque alors la colère du père de famille. Emile Python se met à l’espionner et compte bien se venger. Pour la première fois, il va commettre l’irréparable… pour se faire justice lui-même. Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.

     

    Crédits :

     

    Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

     

    Production : Sébastien Guyot

     

    Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

     

    Rédaction et diffusion : Lisa Soster

     

    Promotion et distribution : Marie Corpet

     

    Création du visuel : Sidonie Mangin 

     

    Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

    Bertillon, l’homme qui a révolutionné la police scientifique

    Bertillon, l’homme qui a révolutionné la police scientifique

    Le 16 octobre 1902, au 157 rue du Faubourg Saint-Honoré à Paris, a lieu le crime le plus important de toute l’histoire policière. Pourquoi ? Tout simplement parce que l’assassinat de Joseph R. le domestique d’un dentiste, va permettre de révolutionner, à jamais, les méthodes policières du monde entier. Pourtant, rien n’était joué d’avance ! 

    Alphonse Bertillon, l’officier de l’époque, est un homme triste, froid et sarcastique. Renvoyé plusieurs fois des meilleures écoles françaises et après quelques échecs professionnels, c’est finalement grâce à son père qu’il obtient le poste d’auxiliaire de la préfecture. À cette époque, la police n’a d’autre moyen que d’identifier les individus par leurs noms. Alphonse Bertillon décide alors de mettre un place un "classement anthropométrique", qu’il nomme "le bertillonnage". Une méthode qui permet de relever les mensurations des individus interpellés.  Depuis quelques années pourtant, un nouveau système d’identification semble faire de l’ombre au "bertillonnage", celle des empreintes digitales. Lorsque Alphonse Bertillon se rend sur les lieux du crime, un détail lui saute aux yeux : des traces de doigts très apparentes sont présentes sur la vitre du battant du meuble de la pièce. Peut-être pourrait-il reproduire ces empreintes, les comparer avec celle qui figure sur ses fiches et retrouver le coupable parmi les récidivistes ? Mais parvenir à réaliser ce miracle, serait pour Alphonse Bertillon, reconnaître la supériorité de cette méthode à la sienne… Comment cet homme, décrit comme terriblement rancunier, va-t-il dénouer cette affaire ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.

    Crédits :

    Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

    Production : Sébastien Guyot

    Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

    Rédaction et diffusion : Lisa Soster

    Promotion et distribution : Marie Corpet

    Création du visuel : Sidonie Mangin

    Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

    Le Puits d’Enfer

    Le Puits d’Enfer

    [ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Le 8 février 1949, une tempête se lève sur la plage des Sables d’Olonne. L’eau bouillonne au milieu des deux failles rocheuses qui forment "le Puits d’Enfer". Dans cet immense entonnoir naturel, les vagues se jettent violemment contre la pierre, puis se retirent. C’est exactement à cet instant que les enfants d’une colonie de vacances qui passaient par là, aperçoivent une malle en osier puis, avec stupeur, un corps sans vie, au fond de l’ardent précipice. La victime est Robert Thelier, un Parisien d’une soixantaine d’années. Ses pieds et ses mains sont liés et sa bouche est bâillonnée : à l’évidence, c’est un crime. Les enquêteurs relèvent alors des traces de pneus d’une voiture au bout du chemin ainsi que les traces d’une malle. Le corps a sans doute été traîné à l’intérieur de la malle, avant d’être jeté dans ce "Puits d’Enfer". Quelques jours plus tard, un chauffeur se rend au commissariat. C’est lui, qui a transporté la malle jusqu’au Sables d’Olonne et qui l’a abandonnée dans l’eau. Pourtant, il n’a commis aucun crime. Transporter des cargaisons, c’est son métier ! Il se trouve que sa cliente n’est autre que la gouvernante de la victime… Elle se prénomme Simone. Au service de Monsieur Thelier depuis quelques mois, elle arrive d’Espagne. Récemment, elle a publié une annonce mystérieuse dans un journal, afin d’embaucher quelqu'un pour effectuer des "missions dangereuses"... De quelles missions s’agit-il ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.

     Crédits :

    Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

    Production : Sébastien Guyot

    Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

    Rédaction et diffusion : Lisa Soster

    Promotion et distribution : Marie Corpet

    Création du visuel : Sidonie Mangin

    Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

    Une vendetta familiale

    Une vendetta familiale

    [ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Une nuit, Vicenza et Pino déambulent dans les rues de la commune de Poisat, près de Grenoble. Ce 19 mars 1958, l’un d’entre eux va mourir. Pourtant, il y a encore quelques mois, le couple s’aimait passionnément... Leur histoire commence dans leur village de Sicile à la fin des années 1930. Enfants, les deux amis issus de villages voisins, se connaissent bien. Puis, Pino rejoint sa sœur en France, à Grenoble, pour y travailler. C’est l’occasion pour lui d’échapper à la pauvreté. Mais lorsqu’il retourne au village, il recroise la belle Vicenza. La jeune fille a bien changé et très vite, les deux Siciliens tombent amoureux. Le père de Vicenza promet alors une dot à la belle-famille pour sceller cette union. En réalité, il est criblé de dettes et ne peut honorer sa promesse. Le mariage est alors rompu. Vincenza est désespérée. D'autant que Pino, entre-temps, est reparti travailler en France. Elle décide alors de le rejoindre mais son amoureux a bien changé : il est devenu sensible au charme des Françaises... Très vite, la jeune femme tombe enceinte et Pino qui s’était mis à rêver d’une autre vie, est coincé. Quand Vicenza comprend qu’il ne l’épousera pas et qu’elle est déshonorée, elle ne voit d’autre solution que de l’éliminer. De son côté, Pino ne peut plus supporter les conflits avec Vicenza. Cette nuit du 19 mars 1958, la rage monte en lui, il veut en finir avec elle. Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.

     

     Crédits :

    Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

    Production : Sébastien Guyot

    Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

    Rédaction et diffusion : Lisa Soster

    Promotion et distribution : Marie Corpet

    Création du visuel : Sidonie Mangin

    Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

    La machine qui rend fou

    La machine qui rend fou

    [ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Au pied de l’immeuble d’une capitale européenne, un corps, écrasé par le choc de la chute des dix étages. C’est le cadavre de Paul, un père de famille endetté. Près de lui, le rideau de son salon, arraché dans sa chute. Les enquêteurs s’empressent de monter à l’appartement. Dans le séjour, sa femme, Jocelyne, et leur fils sont également décédés tous les deux. Le responsable de ce carnage est un papier, retrouvé dans le placard d'entrée. Quelques années plus tôt, le couple s'était rencontré à Paris. Faute de moyens, ils s'installent dans une petite chambre de bonne d'à peine huit mètres carrés.. La famille s'agrandit. Avec leur bébé, Paul et Jocelyne obtiennent un petit appartement dans un HLM mais Jocelyne tombe souvent malade en raison de l'humidité. Son emploi ne lui permet guère de payer le loyer et son mari se met à jouer aux jeux d'argent. Mais un jour, Paul décroche le gros lot ! Jocelyne n’est pourtant pas plus heureuse, son mari se met à voyager énormément jusqu’au jour où la police l’arrête : l’homme a escroqué la société dans laquelle il travaille. Tout cet argent pendant que Jocelyne, de son côté, mène un train de vie modeste. Mais où est passée cette somme astronomique ? A cet instant, la "machine qui rend fou" est lancée. Jocelyne, croulant sous les dettes, doit rembourser le vol de son mari, chaque jour un peu plus encore ! Et le même matin du drame, la "machine qui rend fou" et qui ne s’arrête jamais, frappe encore avec ce papier que reçoit Jocelyne. Quelle est cette machine qui finit par broyer toute une famille ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.


    Crédits :

    Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

    Production : Sébastien Guyot

    Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

    Rédaction et diffusion : Lisa Soster

    Promotion et distribution : Marie Corpet

    Création du visuel : Sidonie Mangin

    Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

    Le poison de l’amour

    Le poison de l’amour

    [ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Au milieu des années 1950, la femme de Kenneth Barlow, un brillant infirmier, est retrouvée morte dans leur appartement du quartier de Bradford, en Angleterre. Selon les déclarations de Monsieur Barlow, sa femme, malade, se serait levée en pleine nuit pour prendre un bain avant de décéder d’un malaise dans la baignoire. Pourtant, cette mort ne paraît pas accidentelle aux yeux des enquêteurs. Sur la table de nuit, des seringues. Kenneth Barlow ne le cache pas, il s'injecte régulièrement de la pénicilline et ses dires sont confirmés par les analyses. Qui a alors tué Madame Barlow ? Son mari le proclame haut et fort : il n’a pas d’alibi ! Le comportement de cet homme tout juste veuf interpelle. D’autant plus que sa précédente femme est également décédée sans raison apparente l’année précédente… Mais alors pourquoi les analyses sur le corps de la défunte sont négatives ? À l'hôpital, les collègues infirmiers de Kenneth Barlow sont formels : l’homme détient la recette du crime parfait. Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.

    Crédits :

    Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

    Production : Sébastien Guyot

    Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

    Rédaction et diffusion : Lisa Soster

    Promotion et distribution : Marie Corpet

    Création du visuel : Sidonie Mangin

    Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

    Un crime dans l’ombre d’Oedipe

    Un crime dans l’ombre d’Oedipe

    [ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Dans une chambre d'hôtel d’une petite ville de Provence, deux corps gisent sur le sol. Adèle est gravement blessée à la tête et près d’elle, son petit ami, Frédéric, sain et sauf, le revolver à la main. Frédéric est un jeune homme au profil complexe. Sa mère meurt alors qu’il n’est qu’un enfant. Jamais il ne connaîtra l’amour et la tendresse maternelle. C’est lorsqu’il a vingt ans que son père se marie à nouveau, avec une très jeune femme cette fois, Anne. Anne a le même âge que Frédéric et très vite, le jeune homme ressent l’amour dont il a toujours rêvé. A travers elle, c’est sa mère que le jeune homme aime. Durant un an, Frédéric passe toutes ses journées au chevet d’Anne, malade de la tuberculose. Cette présence douce et féminine l’envoûte tellement que son père ne tarde pas à freiner cette relation, bien qu’elle soit entièrement platonique. Trois mois plus tard, la jeune belle-mère décède. Frédéric sombre dans le désespoir jusqu’au jour où il rencontre Adèle. C’est le coup de foudre. Leur liaison dure trois ans. Mais leur relation ne tarde pas à prendre un tournant tragique. Pourquoi Frédéric se sent-il si coupable d’avoir une relation avec cette femme ? Comment le couple s’est-il retrouvé en sang dans cet hôtel ? Il est vrai qu’Adèle ressemble étrangement trait pour trait à sa belle-mère disparue, Anne… Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.

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    Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

    Production : Sébastien Guyot

    Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

    Rédaction et diffusion : Lisa Soster

    Promotion et distribution : Marie Corpet

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    Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

    Femme martyre

    Femme martyre

    [ARCHIVE EUROPE 1 - Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare] Dans la nuit du 1er au 2 mai 1885, les quatre enfants de Jeanne Lombardi sont retrouvés égorgés dans leur chambre de leur appartement de Genève. Un seul est encore en vie… Sur les petits lits, des bouquets de lilas, disposés soigneusement. 

    Jeanne est une femme qui n’a que très rarement connu l’amour. Enfant, sa mère meurt et son père, alcoolique, s’occupe très peu d’elle. En 1876, elle fait la rencontre de Joseph Lombardi. C’est le coup de foudre immédiat ! Pour la première fois de sa vie, Jeanne Lombardi est heureuse. Ensemble, ils vivent une magique lune de miel, ils ont des projets communs et rachètent même le magasin des parents Lombardi. Mais très vite, les conflits éclatent et l’homme devient violent. Enceinte, Jeanne Lombardi subit les coups réguliers de son mari et l’humiliation constante de sa belle-mère. De cette union naît quatre enfants, qui n’échappent pas aux frappes incessantes de leur père. Plus le temps passe et plus les excès de violence se font réguliers. Jeanne Lombardi va de plus en plus mal, elle souffre d'atroces migraines, d’angoisse, et tombe alors dans un profond chagrin. Pour Joseph Lombardi, sa femme est folle, elle doit se faire interner !  Un soir, elle songe à en finir avec ce cauchemar mais elle ne peut pas laisser ses quatre enfants à ce tortionnaire… Alors, la mère de famille élabore un plan : éliminer ses enfants avant de se suicider. Pourtant, Jeanne Lombardi n’est pas morte lorsqu’elle est transportée à l'hôpital. La mère de famille a-t-elle commis ces crimes en pleine possession de ses moyens ? Était-elle réellement folle, comme le prétendait son mari ? Pierre Bellemare raconte cette incroyable histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1 et produit par Europe 1 Studio.

     

     Crédits :

    Réalisation et composition musicale : Julien Tharaud

    Production : Sébastien Guyot

    Patrimoine sonore : Sylvaine Denis, Laetitia Casanova, Antoine Reclus

    Rédaction et diffusion : Lisa Soster

    Promotion et distribution : Marie Corpet

    Création du visuel : Sidonie Mangin

    Remerciements à Roselyne Bellemare et Mariapia Bracchi-Bellemare

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