L'Avenue Jean Jaurès
Les allées Jaurès sont une formidable entrée de la ville avec les Jardins de la Fontaine et la Tour Magne en point de mire.
Cette rue, à la pente raide, rejoint le Chemin du Mas-de-Balan à la place de la Révolution. Au fil du temps et malgré sa proximité avec le centre-ville, elle a conservé son allure de chemin de garrigue. Le quartier, dit des Bénédictins, a été sujet à de nombreuses
fouilles archéologiques.
La rue correspond à l’un des anciens passages menant vers Alès et Anduze. Aux XVIIIème et XIXème siècles, les fabricants et artisans du textile cévenol arrivaient à Nîmes par ce chemin. Dans sa partie supérieure, la rue Rouget de l'Isle est restée largement agricole au XIXe siècle, mais on voit alors s'y développer des mazets au sein de jardins. Cependant, il faut attendre les années 1920-1930 pour qu'on puisse parler d'une véritable urbanisation de la partie supérieure de la rue, une urbanisation qui continue de faire la part belle aux jardins. La rue allie le charme de la garrigue à la proximité du centre-ville, elle a gardé son tracé légèrement tortueux, la roche affleure toujours à la base des clôtures et on y retrouve une végétation d’amandiers et de cyprès.
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Les allées Jaurès sont une formidable entrée de la ville avec les Jardins de la Fontaine et la Tour Magne en point de mire.
Ce passage obligé pour les touristes et les Nîmois, entre la Maison Carré et les Arènes en passant par la place du Marché, compte bon nombre de restaurants, comptoirs et bars musicaux où chacun peut trouver son bonheur.
Cette rue populaire du quartier Gambetta est devenue en l’espace de 10 ans incontournable dans l'animation de la ville. On y retrouve un espace culturel avec le tiers-lieu le Spot, initiateur du festival l’Expo de Ouf !, une résidence autonomie de la Ville et une école élémentaire. Ces lieux favorisent la mixité sociale et générationnelle dans le quartier.
Ici, 6000 habitants profitent d’un cadre privilégié au cœur de la nature et proche d’une zone commerciale dynamique. Castanet commence à partir des Trois Piliers, à l’est, et s’étend jusqu’à la sortie de Nîmes. Comme de nombreux quartiers de Nîmes dans les années 1950, il est constitué de garrigue à perte de vue. Les Nîmois y ont leurs mazets et viennent y chercher de la tranquillité le dimanche. En 1960, le quartier commence à se transformer et c’est la fin des mazetiers et le début de l’urbanisation.
Cette voie fait la jonction entre le Boulevard Victor Hugo et l’Eglise Saint-Paul jusqu’à l’Avenue Jean Jaurès.
Eliot de son vrai nom, 18 ans à peine, est l’étoile montante du rap à la nîmoise. Il a remporté le tremplin musical de la Ville de Nîmes, la Bourse des Jeunes Talents en 2023. Rencontre.
Figure incontournable de la chanson française drôle et engagée, Sanseverino revient avec un nouvel album « Les doigts dans la prise » où il explore d’autres univers musicaux comme le funk et l’afrobeat. Il est à retrouver sur la scène du Théâtre Christian Liger le 11 mars à 19h30. Rencontre.
Cette rue étroite longe sur sa partie sud la Cathédrale du même nom et permet de rejoindre la place Belle-Croix depuis la place aux Herbes. Elle est restée très commerçante du Moyen-Age à aujourd’hui et d’illustres personnages y ont vécu.
La Nîmoise s’est construit un univers autour du hip-hop. Que ce soit comme DJ, animatrice radio ou rappeuse, elle n’en finit pas de surprendre et decumuler les projets.
Celle que le public a découvert avec son humour, se consacre aujourd’hui à son tout premier amour : la chanson. Elle présente son premier album sur la scène de Paloma à Nîmes le mercredi 25 janvier à 20h.
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