L’autosolisme : un « fléau »?

Il avait 16 ans quand il fit la connaissance au lycée Fresnel à Bernay, d’un certain Vincent Delerm qui cherchait un bassiste pour le groupe qu’il souhaitait fonder. Les « Tristes sires ».

En outre, il aura fallu attendre près de 20 ans pour que Thomas Breinart, ayant perdu son père et son emploi se lance dans le grand bain de la musique.

En résulte un premier album « Lupanar Chic » sorti en 2019.

Il nous revient cette année, avec « l’intriguant braquage de la Place Vendôme et autres histoires fascinantes » où chaque chanson est une histoire, des tranches de vies avec quelques références dont ce passionné de cinéma a le secret.

Bonne écoute.

Au lieu de subir, il a decidé de sourire en décidant de vivre par et pour le rire et surtout pour transmettre.

Quentin, 21 ans est atteint des syndromes de Marfan  et de Loeys-Dietz, ces maladies rares qui fragilisent le tissu conjonctif soutenant tous les organes.

Il nous raconte dans cet épisode comment la scène est devenu sa pulsion de vie dont le public est le cœur battant et pour lequel il est toujours debout.

Bonne écoute !

Au podcast normand, vous l’avez peut-être remarqué, nous aimons tirer le fil pour apprendre à connaître nos invités. Cela, parfois nous apprend à tisser des liens en partant de rien et cela dans la bienveillance.

Mon invitée du jour représente la quintessence de cet état d’esprit. En effet Clémentine Hasson, nous raconte une histoire, dans laquelle je vous propose avec moi, de nous plonger. Tantôt créatrice, tantôt styliste mais surtout une artiste de sa propre vie.

Cette jeune trentenaire Rouennaise, a créé sa propre marque de vêtements « Mayyah Créations »qu’elle tisse à son image, bienveillante et consciente.

Vous pouvez retrouver Clémentine et ses activités sur Instagram : @mayyahcreations

🚶‍♂️🚶‍♀️Marcher. Encore Et toujours, marcher  pour aller à la rencontre des autres, mais surtout marcher afin d’arriver  à la plus grande des rencontres, celle de soi ! 

Pour Sophie Champaux, fondatrice de l’association normande : « Sur les  pas de So », être acteur de sa santé, C’est surtout être bien avec soi-même, afin de mieux aider autrui. 

Cette rencontre avec elle-même,Sophie l’a expérimentée sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle, alors qu’elle est à un tournant de sa vie.

Comment a-t-elle décidé par la suite de s’investir pour aider les autres  et en particulier ceux qui souffrent ? C’est ce qu’elle me raconte avec Ingrid Prempain, chargée de communication au sein de l’association.

Bonne écoute 🎧 et le lien est dans ma bio !

Une fois n’est pas coutume, je me dois de vous faire une confidence. 

Quand on est un média ou l’inclusion est au cœur de la  ligne éditoriale, j’ai rapidement compris que je ne pourrai pas échapper au sujet de l’hygiène féminine. La question qui me taraudait alors était la suivante. 

Suis-je bien la bonne personne pour parler de ce sujet? 

En France en 2023, près de 4 millions de françaises sont impactées par la précarité menstruelle, un chiffre qui a doublé par rapport à 2021 et qui risque de s’aggraver à cause de l’inflation. Une femme depense en moyenne 9500€ au cours de sa vie en matière d’hygiène périodique. 

En tant qu’homme, un constat s’imposa alors à moi. 

Comment en est t-on venu pendant trop longtemps à abandonner 50% de l’humanité à son sort en l’enfermant dans un tabou?  

J’en suis venu à la conclusion que réduire les inégalités mais également l’impact sur l’environnement de ces produits, était bénéfique pour toutes et tous. 

Ainsi quand j’ai appris que Shonnead Dégrémont, 29 ans, a lancé une gamme via sa marque homonyme, de lingerie menstruelle en lin normand, ce qui est une première en Europe ! Et que de  surcroix cette dernière est également une amoureuse de sa région et de son patrimoine. Je me devais de la rencontrer et je suis ravi vraiment que vous puissiez entendre cet entretien ! 

Bonne écoute !

👀Il suffit d’ouvrir l’œil même si il est encore quelque peu en sommeil le matin quand vous prenez votre voiture pour aller au travail, le phénomène est assez perceptible.

Vous n’êtes pas seul dans votre solitude matinale dans votre véhicule, près de 9 français sur 10 font comme vous et pratiquent l’autosolisme. 🚘

Pourtant on estime qu’en France, si nous étions quasiment tous et toutes au moins 2 dans nos véhicules, ça représenterait environ l’équivalent de 38 millions de véhicules électriques, sans compter le temps passé en moins dans les bouchons. 

Une voiture ça roule, comme un bus. 

Ça peut transporter plusieurs personnes, comme un bus. 

Alors pourquoi ne pas considérer la voiture comme un transport public? 

C’est le Pari de la société Ecov qui opère 55 lignes de covoiturages en milieu urbain et rural dans toute la France.

Comment est bâti ce modèle, comment cela fonctionne t-il et arrive t-il à trouver son public? 

Pour le savoir, nous avons rencontré Justine Granjon et Loïs Homo, respectivement développeuse de communauté et Cheffe de projet chez Ecov. 

Allez ! En voiture ! Mais pas en solo s’il vous plaît ! 🎙️🚗

🎙️🎤Ne dites surtout pas à Frédéric que le « care » n’est qu’une affaire de femmes ! 

La parentalité c’est à deux que ça se construit et c’est son quotidien de papa qu’il partage à l’envie à ses près de 18 000 abonnés sur Insta !

De l’allaitement à la place du conjoint, en passant par le post-partum ! Avec Fred on aborde tout et on casse les tabous !

Être Édile, ce n’est pas toujours une divine idylle. 

Mais au juste, comment vit-on la fonction de maire aujourd’hui ? Trois mois après les émeutes qui ont suivi la mort du jeune Nahël et qui ont secoué tout  le pays, ce cadre ayant conduit à l’attaque de la maison du Maire de L'Häy les Roses, Vincent Jeanbrun, tout cela nous rappelle qu’être le premier magistrat et un officier de police judiciaire dans sa commune c’est un engagement de tous les instants. 

As t-on peur quand on est maire? 

Cette question, parmi beaucoup d’autres, sur l’écologie, l’accessibilité et l’inclusion, je les posées à Laurent Bonnaterre. Maire de Caudebec lès Elbeuf, conseiller métropolitain à la métropole Rouen, Normandie et conseiller régional !

Aujourd’hui, je te propose de tracer ensemble notre chemin au fil « des encres » au pluriel. 

En effet, j’ai le plaisir de rencontrer Nicolas, plus connu sous le pseudonyme d’Inkoj qui signifie donc « encres » 

Cet artiste plasticien et scénographe, tombé dans le seau de peinture depuis qu’il est petit, redessine avec talent et un petit brin d’insolence, faut le dire, le bitume de notre ville aux cents clochers. 

Il nous permet de revisiter l’espace public, quitte parfois à ce que ses travaux divisent, notamment, rue Jeanne d’arc. 

Diviser ? , n’est-ce pas le comble  pour un homme dont le pseudo vient de l’espéranto, la langue universelle ? 

Viens avec moi on va le rencontrer dans son atelier, rue Beauvoisine ! 

Bonne écoute 

🎤🎙️Deuxième partie de notre entretien avec Monsieur, le président du département de la Seine-Maritime. Nous abordons les questions relatives à l’Armada et aux personnes en situation de handicap.🦽