Luc de Brabandere philosophie d’entreprise, Cartoonbase et Boston Consulting Group

Dans cet épisode, je reçois Adrien Meirlaen, le responsable de l'ébénisterie RespecTable. 

Adrien Meirlaen a très tôt dans sa vie, effectué une bifurcation. En tant que bon élève en mathématiques et en sciences, il s'est tout naturellement orienté vers des études d'ingénieur civil. 

C'est lors de ses premières années à l'université qu'il s'est rendu compte que, même si les cours l'intéressaient, il ne se voyait pas devenir ingénieur. Il envisageait quelque chose de plus manuel. 

C'est alors qu'il s'est tourné vers le travail du bois. Il n'a pas mis 48h pour savoir que c'était ça qu'il voulait faire. Bref, un coup de foudre qui lui ouvrira les portes de l'entrepreneuriat un peu plus tard, mais avec une spécificité supplémentaire. 

En effet, Adrien Meirlaen a une forte sensibilité environnementale. Il s'est donc renseigné pour voir ce qui existait au niveau durable et respectueux de la planète dans son secteur. Comme il n'a rien trouvé, il a décidé de créer ça lui-même et 10 années plus tard, le résultat est plutôt surprenant. 

Avec Adrien Meirlaen, on a trouvé un influacteur qui améliore les choses au fur et à mesure du temps... toujours à la recherche de ce qu'il peut faire de mieux pour réduire son empreinte et celle de son activité professionnelle. Il a été certifié "Artisan" en 2017 et en 2018 à obtenu le label "Bois durable". Bref, un parcours qui peut nous inspirer tous. Un bel exemple à suivre. Loin de donner des leçons, il agit et c'est ça qu'on aime chez RSPCT !

On a parlé de : 

Olivier Wenin et OpenFlow 

Zafi Cycles 

Dans cet épisode, je reçois Marc Vossen, le CEO de NGroup. Pourquoi interviewer Marc Vossen ? Tout simplement parce qu'il est la preuve vivante avec ses équipes que l'on peut cartonner en balançant des ondes positives !

Depuis toujours, Marc Vossen veut bosser à la radio, mais plus spécifiquement aider à balancer des ondes positives. C'est d'ailleurs le titre de son bouquin écrit avec Valérie Malisse. La preuve que l'on peut réussir en faisant ça ? 1,4 million de personnes qui écoutent une des radios du groupe qu'il dirige. Pour en savoir plus, écoutez cet épisode. Qu'est-ce que c'est rafraîchissant ! Un épisode pour bien commencer l'année ! Alors,du fond du coeur, je vous souhaite le meilleur pour 2022 et puisse cet épisode vous apporter joie et bonheur !

On a parlé de :

Influacteur

Veronica Rocha

Guibert del Marmol

Ronan O'Rahilly - Radio Caroline

Dans ce hors-série, je m'adresse à vous toutes et tous... 

Pour vous remercier de votre fidélité, de votre soutien et pour certains de vos messages et commentaires. Ça fait plaisir !

Merci aussi à toutes les influactrices et à tous les influacteurs qui ont joué le jeu de l'interview. Merci de vous être livrés et de nous transmettre toute cette énergie positive. 

Je vous demande à toutes et à tous de partager un maximum les épisodes qui vous ont touché. Pourquoi ? Tout simplement pour faire chauffer l'algorithme des réseaux sociaux. 

Comme l'être humain est conditionné à réagir 4 x plus à ce qui le choque ou à ce avec quoi il est en désaccord total, c'est difficile pour nous de percer davantage face aux contenus polémiques et/ou clivants. Étant donné que nous partageons du positif, c'est donc primordial de commenter et partager plus que de raison, et ce, afin de propulser ce contenu sincère et sans clivage aucun auprès d'un maximum d'auditeurs. 

Merci dès lors de jouer le jeu ! Vous êtes déjà plusieurs milliers, alors changeons les choses ensemble !

Ce podcast est le vôtre et c'est pour cette raison aussi que je vous encourage à m'envoyer un message (par email) pour me dire ce que vous voudriez voir poser comme questions à nos invités l'année prochaine et/ou ce que vous voudriez voir changer dans la façon de conduire les interviews. 

Merci aussi d'avance pour ces critiques constructives ! Aidez-moi à vous délivrer un contenu encore plus qualitatif. 

Je vous souhaite à toutes et à tous de fabuleuses fêtes de fin d'année ! 

On a parlé de : 

La genèse de ce podcast  

Qu'est-ce qu'un influacteur ? 

Pour ce 34e épisode, je reçois Julien Jacquet, le CEO de Permafungi. Permafungi est une coopérative à finalité sociale basée à Bruxelles et qui vise à recycler le déchet urbain qu'est le marc de café. Dans cet épisode, Julien Jacquet nous explique comment Martin Germeau un bio-ingénieur de formation à découvert ce concept lors d'un voyage en Thaïlande. Ça l'a beaucoup inspiré et il a décidé de tenter le projet en créant une coopérative avec 5 autres personnes. Aujourd'hui, 8 années plus tard, Julien Jacquet nous explique comment ça fonctionne ; de quelle manière, en allant d'itération en itération, ils sont parvenus à faire mûrir cette coopérative basée sur de beaux partenariats et sur l'inspiration constante que leur donne la nature. À un moment, au-delà des champignons qu'ils produisent et du "champost" qu'ils récupèrent, ils ont même cultivé des chicons. Aujourd'hui, grâce au mycélium, non seulement ils arrivent à cultiver des pleurotes, mais ils arrivent même, en ajoutant un autre mycélium au champost produit grâce à l'incubation du marc de café à produire un mycomatériau qui remplace le plastique. Une sorte de chimie douce qui peut potentiellement accéder aux marchés du packaging et de la construction. Quand on sait que ces deux secteurs utilisent 78% du plastique produit dans le monde, comme nous l'explique bien, Julien Jacquet, on voit tout l'intérêt que ces recherches et cette production peuvent susciter. Comment s'y prennent-ils pour produire tout ça et comment avancent-ils ? Pour le savoir, il vous suffit d'écouter l'épisode fascinant d'un monde qu'on ne connaît pas assez et qui a un bel avenir devant lui. En tout cas, c'est tout ce que l'on souhaite à Julien Jacquet et Permafungi. 

On a parlé de : 

Permafungi  

Jean Seyll et LucidClothing 

Ma voix t'accompagnera de Charline Cauchie 

Janine Benyus, Biomimétisme  

En attendant Bojangles, Bourdeaut Olivier  

Des hommes justes, Ivan Jablonka 

Pour ce 33e épisode, je reçois Simon Malvaux et Loïc Houtart pour leur projet Zafi Cycles. 

Ces deux ingénieurs avec leur associé et ami Johan Triquet (ingénieur également) sont fans de vélo. 

Pendant son mémoire, Simon a vu la photo d'un vélo en bois. C'était pendant le premier confinement. Vous vous rappelez ? Pendant ce confinement, on a été confronté à pas mal de pénuries. Il y en a eu aussi dans l'industrie du vélo... C'est pour ça que Simon et ses amis se sont lancé le défi de réaliser un vélo en bois de nos régions. Tous les matériaux viennent soit d'Europe, soit des États-Unis où la main-d'oeuvre est plus respectée qu'ailleurs. Pourquoi le nom Zafi ? Vous le découvrirez en allant écouter l'épisode. ;-)

Pourquoi le bois ? Là, ce sont les ingénieurs qui parlent en expliquant que la structure moléculaire du bois est parfaite pour l'absorption des chocs et les essences de bois qu'ils choisissent ont la qualité de rester rigides malgré tout. Bref, un super compromis. En pus, je l'ai vu, il est tout bonnement magnifique. Je ne sais pas pour vous, mais moi, des personnes qui arrivent à créer un objet aussi fonctionnel qu'un vélo tout en respectant un sens de l'esthétique et l'environnent, j'adore ! Du durable sexy ! 

Simon Malvaux et Loïc Houtart nous expliquent tout le procédé de fabrication et c'est terriblement intéressant. Pour la blague, il pourrait même y avoir une édition spéciale avec des essences de bois du parc royal de Belgique, une « King Édition ». Pour pouvoir lancer les choses en grand, Simon Malvaux et Loïc Houtart ont lancé un crowdfunding et je vous encourage vraiment à aller voir ça. Le lien est ci-dessous et c'est jusqu'au 17 décembre 2021. Le 12 mars 2022, il y aura un événement pour tester les vélos. 

C'est un concept surprenant et finalement tout à fait logique pour la Belgique. Bravo les gars on vous souhaite beaucoup de succès !

On a parlé de : 

Zafi Cycles 

Leur crowdfunding  

Qu'est-ce qu'un influacteur 

Stella Diamant - MWSP

Guirec Soudée - Naviguer avec sa poule  

Walter Bonatti - Alpiniste Italien 

Amandine Englebert 

Guibert del Marmol 

Sylvian Tesson - L'Energie Vagabonde 

Pour ce 32e épisode, je reçois Stella Diamant pour la création de sa fondation "Madagascar Whale Shark Project". Cette jeune biologiste diplômée de l'université de Warwick et de L'imperial College of London, après plusieurs aventures au sein de diverses associations, a eu le coup de foudre pour un animal marin lors d'un séjour à Madagascar. 

En effet, c'est sur l'île de Nosy Be, que Stella Diamant, lors d'une plongée s'est retrouvée face à face avec un requin-baleine. Impressionnée et admirative, la jeune scientifique s'est renseignée sur les études qui étaient conduites dans la région. Elle s'est vite rendu compte qu'il n'y en avait pas. Pour les locaux, il devait y avoir environ une dizaine de spécimens arpentant la zone. Stella Diamant a vraiment envie de travailler sur cet animal. Elle qui au départ voulait s'engager dans des études de vétérinaire, a sollicité pas mal de rendez-vous dans diverses organisations, mais rien de bien concluant. C'est alors qu'en tant qu'influactrice qu'elle est, Stella Diamant s'est retroussée les manches et a créé sa propre fondation. Son nom : le MWSP. Le Madagascar Whale Shark Project. Qu'est-ce qu'elle y fait ? À quoi ça sert ? Stella avec l'aide de bénévoles et des locaux fait des recherches sur le requin-baleine dans les eaux de Nosy Be. Ces recherches ont d'ailleurs pu mettre en évidence que la population des requins-baleines était à ce jour composée de 413 individus. On est déjà bien plus loin que les 10 estimés au début. De plus, il s'agit d'adolescents. Ce qui est une donnée importante quand on sait que cet animal ne peut se reproduire qu'à partir de l'âge de 30 ans. C'est ce qui amène au deuxième volet de sa fondation. Grâce aux faits et aux données compilées, Stella Diamant peut entreprendre des plaidoyers pour la préservation de cet animal dont le rôle filtrant est extrêmement important pour la balance et la préservation des océans. Le troisième point qu'elle travaille avec sa fondation, c'est l'éducation des populations locales au travers de formations dans les classes d'écoles et de jeux sur la plage. Rendre conscient les locaux que la présence de cet animal est une bénédiction pour eux et que leur intérêt est de le préserver. En effet, sur l'île de Madagascar, les populations locales sont sujettes à une cause autrement plus importante que celle de l'environnement : leur propre survie. Elle en est consciente et étude à l'appui (488 interviews de touristes) elle a pu mettre en évidence la valeur économique exacte de la présence de ces requins-baleines dans la baie et donc l'intérêt pour la population de le préserver. Cet épisode est tout bonnement impressionnant et je vous recommande chaudement de l'écouter pour comprendre l'importance de préserver ses animaux. Merci aussi de voir comment vous pouvez aider Stella Diamant dans son action parce que vous verrez que c'est un engagement réel. Je suis impatient de lire vos retours. Bonne écoute !

On a parlé de : 

Madagascar Whale Shark Project 

Julie Deleval de Uningo  

Maxime Van der Meerschen de GiveActions 

Lean Startup 

Pour ce 31e épisode, je reçois Guibert del Marmol. Après une ascension professionnelle fulgurante, Guibert del Marmol est frappé de plein fouet par la maladie. En effet, on lui annonce à 29 ans qu'il a une tumeur au cerveau. La médecine conventionnelle lui sauve la vie, mais lui annonce aussi une panoplie de mauvaises nouvelles. N'acceptant pas le diagnostic qui lui est posé, Guibert del Marmol va initier une quête qui le mènera aux quatre coins du monde. Il se plongera aussi dans tous les textes sacrés, loin des dogmes. Il rencontrera des "maîtres" spirituels, mais s'en retournera toujours vers le seul maître qui lui permettra de se rétablir : la nature. 

Fort de ces expériences, tant sur le plan spirituel que professionnel - en effet, il sera dirigent d'entreprises pendant plus de 15 années - il se penche sur l'importance de donner du sens. C'est lors de ses nombreuses balades dans la nature et ses rencontres enrichissantes que lui viendra l'idée de construire et partager un nouveau récit commun de société. Aujourd'hui, dans cet épisode, il le partage avec nous. On pourrait se dire que c'est une utopie, mais Guibert del Marmol se définit comme un utopiste pragmatique. Et c'est au sein de la fondation Lunt qu'il a co-créé qu'il s'attache à voir comment aider les personnes et les entreprises qui répondent au critère de ce nouveau récit commun qu'est la "Société intégrale". Accrochez-vous, on décolle pour un épisode plein de SENS !

On a parlé de : 

Amandine Englebert 

Véronica Rocha - V'ro TV 

Alain Boribon - CitizenFund 

Tomber plus haut - Guibert del Marmol 

Sans plus attendre - Guibert del Marmol 

Petit traité de vie intérieure - Frédéric Lenoir 

Dans ce 30e épisode (déjà ! eh oui, ça file...) je reçois Alain Boribon pour ses différentes initiatives. Celle dont on parlera le plus est CitizenFund. C'est en laissant son métier de glacier pour aller dans le service aux entreprises qu'Alain Boribon est entré au contact de nombreux entrepreneurs qui voulaient changer le monde. Ça l'a amené à penser CitizenFun qui est un fonds d'investissement disruptif. C'est-à-dire que ce fond est totalement coopératif. Le principe, c'est que les coopérateurs qui ont investi dedans peuvent eux-mêmes choisir les projets dans lesquels le fond va investir. 

Évidemment, les projets doivent au préalable répondre à certains critères. Sociaux, environnementaux, responsables... Mais ce qui est tout bonnement génial comme le dit Alain Boribon, c'est que les coopérateurs ont chacun une voix (quel que soit le montant investi) et se soumettent donc au bien commun et à une vision découlant d'une prise de décision commune prise à l'unanimité. C'est une action d'intelligence collective puisque le projet est également "challengé" par les coopérateurs lors de la présentation. Ce qui est une véritable mine d'or pour les porteurs de projet, qui sont portés par des valeurs supérieures que juste celle de l'appât du gain. (Les coopérateurs de CitizenFund ont investi dans plusieurs projets, dont Urbike et la banque New B par exemple)

Le must ? C'est que CitizenFund grandit en réseau qui fonctionne comme un grand réseau neuronal. Ce qui permet d'aider des initiatives locales de manière plus efficientes tout en permettant de soutenir de manière optimale des initiatives qui pourraient émerger au niveau national. Bref, une belle aventure ! On a aussi parlé de Recyclo avec Alain Boribon. Mais bon, comme c'est un projet interdit, je ne peux vous en dire plus... si vous voulez savoir de quoi il en retourne, foncez écouter l'épisode ! Vous en aurez pour votre argent, car écouter Alain, c'est prendre de l'enthousiasme à haute fréquence plein les oreilles. Pour simplifier, ça fait du bien et vous ferez le plein d'énergie positive pour un bon moment !

On a parlé aussi de : 

Happy Hours Market avec Aurélien Marino 

Solifin avec Sevan Holemans 

Shak and Kai avec Mogan Dawance 

New B 

Urbike  

Dans cet épisode, je reçois Julie Deleval pour la création avec son frère Frédéric Deleval de la plateforme Uningo. Cette initiative est impressionnante de par la vision globale qu'elle a sur son secteur. On comprend vite que les deux pilotes que sont Julie Deleval et Frédéric Delaval aux commandes de cette jeune entreprise peuvent aller très loin. 

Uningo permet d'aider un maximum d'associations dans la gestion de leur quotidien et plus spécifiquement dans la gestion de leurs donateurs et bénévoles, mais pas que... 

De plus, pour que ça ne grève pas le budget de ces associations, des entreprises parrainantes rentrent en lisse et, encore plus fort, ils ont créé une fondation indépendante qui détient 50% de Uningo et dont les dividendes viendront soulager les associations dans leur ordre de fidélité. Bref, un "business" hyper vertueux qui donne envie d'aller s'inscrire en tant que bénévole aussi, puisque vous pouvez y créer votre profile philanthropique. Ça vous paraît compliqué ? C'est normal, Julie Deleval l'explique bien mieux que moi. 

Comment est-ce que cette idée est arrivée ? Tout simplement parce que ce sont de purs influacteurs. Ils en avaient assez de voir le nombre de publications qui parlaient des problèmes, y compris, de grands reportages, sans jamais parler de ce qui pouvait être concrètement fait pour y remédier. Il leur manquait un "call to action". 

C'est donc pour aller de l'avant et se bouger davantage qu'ils se sont lancés dans cette aventure. Julie qui a étudié à Solvay en plus de son master en anthropologie s'occupe de la partie plus business et Frédéric, qui lui est ingénieur civil s'occupe de toute la partie informatique. Décidément un duo familial très complémentaire. Dans cet épisode vous découvrirez une personne (puisque c'est Julie qui s'est collée à l'exercice du podcast) qui a mûrement réfléchi à son projet et qui a la tête bien sur les épaules. Elle n'aime pas la routine et ne voulait pas se limiter à aider une seule cause. Eh bien on peut dire que c'est réussi, car avec un projet comme celui-là, la routine n'existera pas et Uningo permet de soutenir un nombre d'associations incalculable. Bref, écoutez cet épisode parce que c'est très inspirant et allez aussi sur Uningo parce que vous créer un profil philanthropique vous permettra de faire du bien et par la même occasion de vous sentir bien. Et si vous êtes dans une entreprise ou à la tête d'une entreprise, penchez-vous sur la question de parrainer une association  ! 

On a parlé de : 

Uningo 

Amandine Englebert 

Sevan Holemans 

Sapiens de Yuval Noah Hariri 

Melinda Gates "The moment of lift"  

Dans ce 28e épisode, j'ai le plaisir d'interviewer Jean-Marc Zeil. Il est le président des « Thés de la Pagode » et c'est pour le travail considérable qu'il fournit afin de faire de l'ensemble des ses thés des produits bio, fair-trade et ayant un impact significatif sur la santé des consommateurs que je le reçois. 

En effet, dans cet épisode, Jean-Marc Zeil nous explique ce que c'est que le bio. Comment arrive-t-on à transformer une culture classique en culture exempte de tout intrant chimique ? Ce que ça demande comme travail et comme temps pour "lessiver" tous ces intrants. 

Jean-Marc revient aussi sur le fair-trade et ce que ça représente comme "plus juste" répartition de la valeur. 

Il nous explique aussi, en tant que scientifique, comment, grâce à des études et de la recherche ils arrivent à réconcilier médecine traditionnelle chinoise et médecine occidentale. 

En effet, des études montrent maintenant clairement les résultats positifs que la consommation de certains thés a sur le mauvais cholestérol et sur les triglycérides. Il démontre donc qu'une boisson saine est réellement bonne pour la santé, et ce, très loin des arguments bidon que l'on peut parfois entendre. Réconcilier sciences et consommation responsable, c'est aussi une démarche que l'on apprécie chez RSPCT. Pour en apprendre plus, je ne puis que vous recommander d'écouter cet épisode. Merci pour votre écoute et votre fidélité. 

On a parlé de : 

Olivier Wenin et Oplenflow 

Antoine de Saint-Exupéry vol de nuit  

Les Thés de la Pagode