Opentowork et mise à jour de profil Linkedin : quels risques vis-à-vis de mon employeur ?

À l'ère numérique, où votre présence en ligne est aussi cruciale que votre présence physique, la question se pose : faut-il craindre une réaction de votre employeur lorsque vous mettez à jour votre profil LinkedIn ? La réponse simple : absolument pas et je vous explique pourquoi dans cet épisode.

Votre profil Linkedin vous appartient. C'est un outil de marque personnelle conçu pour mettre en avant vos compétences, réalisations et aspirations. Pourtant, de nombreux professionnels hésitent, craignant des réactions négatives de leur employeur.

Mais allons plus loin. Votre profil LinkedIn est le récit de votre parcours professionnel, une histoire que vous avez le droit de raconter et de peaufiner. Il s'agit de prendre en main votre carrière, et non de rechercher un emploi en secret. Même dans les environnements de travail les plus vigilants, la mise à jour de votre LinkedIn ne devrait pas être source d'inquiétude, mais un pas vers de futures opportunités.

Considérez ceci : un profil dynamique et à jour peut même signaler à votre employeur actuel votre valeur et votre potentiel, ouvrant potentiellement des portes au sein de votre organisation. Dans un marché du travail compétitif tel que celui en Suisse, où le taux de chômage est bas, les entreprises sont désireuses de retenir les meilleurs talents. Ainsi, mettre à jour votre profil pourrait entraîner des résultats positifs inattendus plutôt que les répercussions négatives redoutées.

Et qu'en est-il de la fonction "#Opentowork" ? C'est un outil, certes, à utiliser avec discernement. Rendre publique votre recherche d'emploi exige une réflexion stratégique. Ma préférence va à la forme discrète, mais
LinkedIn ne garantit en tous les cas pas que les HR de votre société puisse le voir si vous êtes en poste.

Le vrai risque n'est pas dans la mise à jour de votre profil ou l'indication de votre ouverture à de nouvelles opportunités ; c'est dans la stagnation. La nature dynamique du marché du travail et l'évolution continue des compétences professionnelles exigent que nous restions proactifs dans la gestion de nos carrières.

Alors, discutons : Avez-vous hésité à mettre à jour votre profil LinkedIn par peur de la perception de votre employeur ? Comment naviguez-vous entre être ouvert à de nouvelles opportunités et maintenir une relation positive avec votre employeur actuel ? 🤔

Votre avis est le bienvenu !

Cet épisode partage une expérience édifiante de David Talerman, qui illustre un échec remarquable lors d'une candidature dans une entreprise suisse 🇨🇭 due à un manquement apparemment mineur mais crucial : la gestion inadéquate des emails et une négligence de l'activité sur LinkedIn.

À travers l'anecdote d'un candidat ayant manqué une opportunité d'emploi en or à cause d'un email important noyé parmi des messages non professionnels, David Talerman souligne l'importance de maintenir une adresse email dédiée à la recherche d'emploi. Cette pratique simple mais efficace permet de s'assurer que les communications importantes ne soient pas ignorées ou perdues.

En outre, il met en lumière le rôle critique de LinkedIn dans la recherche d'emploi moderne. Un profil actif et à jour peut attirer l'attention des recruteurs, mais négliger de vérifier régulièrement ses messages sur cette plateforme peut entraîner la perte d'opportunités précieuses. L'histoire partagée par Talerman révèle qu'une absence prolongée de réponse à une proposition d'entretien via LinkedIn a conduit à l'échec de la candidature, soulignant que l'activité et la réactivité sur les réseaux sociaux professionnels sont essentielles.

Ces conseils, bien que simples en apparence, sont fondamentaux pour naviguer avec succès dans le marché de l'emploi compétitif.

David Talerman propose une réflexion sur la manière dont des détails apparemment mineurs peuvent avoir un impact significatif sur le succès d'une recherche d'emploi, incitant ainsi les candidats à adopter une approche plus méticuleuse et organisée dans leur démarche.

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Pour le 1er épisode de la Saison 2 du podcast de David Talerman, changez de style !

Dans l'épisode de podcast intitulé "CES PETITES PHRASES ET ATTITUDES QU’ON N’AIME PAS EN SUISSE", David Talerman, spécialiste de l'emploi et de l'expatriation en Suisse, partage des conseils pratiques sur la communication en contexte professionnel suisse. 🇨🇭

Simplicité et Directivité: David Talerman souligne l'importance d'être direct dans la communication, un trait apprécié en Suisse. Il note que les Français et latins ont parfois tendance à utiliser des explications longues et complexes, ce qui peut agacer dans un contexte professionnel suisse pragmatique. 🗣️

Conseils Pratiques:

• Évitez les Tournures Passives: Ces tournures sont perçues comme peu dynamiques et lourdes. Par exemple, transformer "Je me permets de vous écrire pour le poste de CFO" en "Je vous écris pour le poste de CFO". 💼
• Évitez la Condescendance et la Fausse Modestie: Comme dire "J’ai eu la chance d’occuper le poste de…" qui peut sembler comme si le poste était obtenu par chance et non par mérite.
• Prises de Contact Efficaces: Sur LinkedIn, soyez directs et concis. Un simple "Bonjour" sans contexte est insuffisant. Précisez pourquoi vous prenez contact, en moins de trois lignes. 
• Utilisation de l'Intelligence Artificielle: David Talerman encourage l'utilisation d'outils comme ChatGPT pour améliorer la communication, notamment pour éviter la voix passive et rendre le discours plus dynamique. Il insiste sur l'importance de donner des instructions claires sur le ton et le but du document. 🤖
• Contexte Culturel Suisse: Cet épisode illustre les nuances culturelles de la communication en Suisse. En étant conscients de ces différences, les expatriés et les professionnels peuvent mieux s'adapter à l'environnement de travail suisse.

David Talerman conclut l'épisode en rappelant l'importance de l'adaptabilité et de la clarté dans la communication, des compétences essentielles pour réussir dans le milieu professionnel suisse.

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"Monsieur, en Suisse les entreprises ne licencient pas, vous devez démissionner"
C'est en substance ce que certaines entreprises disent à certains collaborateurs selon les échos que nous avons eus de la part de cabinets de recrutement avec qui nous travaillons.

Le contexte est ici important car on ne connait pas la réalité des échanges qu'il y a eu avec entre l'entreprise suisse et les collaborateurs.

Mais il nous semble important de rappeler ce qu'il est possible de faire - ou pas - dans ce contexte de fin de mission. Et pour ceux qui travaillent en Suisse, frontaliers ou résident, il est toujours important et intéressant de bien connaître ces éléments de droit qui, le moment venu, peuvent faire toute la différence et vous aider à mieux vous protéger.

Les conséquences d'une démission sont aussi potentiellement très importante et chaque collaborateur doit comprendre les enjeux d'une telle décision.

J'ai donc demandàé à Marc Häsler, avocat à Morges dans l'étude H&B law , de nous donner des précisions juridiques sur ce que pourrait qualifier de démission forcée.

L'assurance maladie en Suisse est à la charge intégrale  des résidents et représente une part importante du budget des ménages. 

Les montants des primes d'assurance maladie sont revus chaque année et annoncé à l'automne pour l'année suivante.

Pour 2023, les augmentations sont corsées : 6% en moyenne sur tout le pays, avec des augmentations jusqu'à 10% pour certains cantons.

Il existe toutefois quelques techniques pour limiter la casse et réduire la facture finale. Anne Abhamon d'AXA Suisse, spécialiste santé et prévoyance, nous explique tout ça dans ce podcast.

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La retraite des frontaliers  en Suisse a pris un coup de cutter : les nouvelles règles imposées par la CNAV française pénalisent fortement les frontaliers qui ont une expérience préalable en France. 

La réduction de la pension de retraite peut aller jusqu'à plus de 50% par rapport à la situation précédente.

Pour savoir si vous êtes concerné(e) par cette nouvelle règle, écoutez cet épisode qui retrace le webinar organisé avec Planifique, la société genevoise spécialisée dans la retraite des frontaliers en Suisse.

Les experts de Planifique répondent notamment aux questions suivantes :

👉 votre retraite sera-t-elle impactée par les nouvelles dispositions ? 

👉 devrez-vous renoncer à votre retraite française ? 

👉 à quelle date cette nouvelle circulaire est-elle effective ? 

👉 existe-t-il un recours possible pour contrer cette nouvelle règlementation ?

En 2025, plus de 40% de la population active de certains cantons partira à la retraite. Il y aura donc de plus en plus d'inactifs en proportion des actifs en Suisse.
Et cela aura forcément un impact sur les prestations retraite en Suisse , notamment l'AVS et le 2ème pilier.
Anne Abhamon , spécialiste Prévoyance pour Axa Suisse à Genève, va partager avec nous les impacts potentiels qu'elle prévoit sur l'AVS et le 2ème pilier.
Elle partagera également avec nous ses conseils pour contourner ses impacts.

Quand, en 2001, j’ai décroché mon premier job en Suisse, j’avais le choix d’être frontalier  ou résident.

Et vous savez pourquoi j’ai choix d’habiter en Suisse ? Principalement pour des raisons d’intégration. 

Quitte à changer de pays, je me suis dis autant vivre sur place pour m’intégrer au mieux et bien comprendre ce que c’est de vivre en Suisse.

Et comme j’aime bien le dire assez souvent, si j’ai écrit mon livre « Travailler et vivre en Suisse  », c’est aussi parce que je considérais que j’avais commis pas mal d’erreurs et que c’était dommage de ne pas en faire profiter les autres.

Alors voici un petit condensé de ce qu’il faut bien comprendre pour vivre a minima en harmonie avec son entourage en Suisse.

Abordés dans cet épisode de podcast :

1 – La Suisse est un pays à part entière, et pas un département Français

2 – En Suisse, l’étranger, c’est vous  
3 – Votre culture française est « bruyante » pour un Suisse 

4 – Vous êtes l’ambassadeur de votre pays en Suisse

5 – Partez sans a priori sur les Suisses et la Suisse

6 – Ne comparez pas sans arrêt les différences culturelles entre les deux pays

7 – La Suisse, c’est mieux que la France ? 

8 – Intéressez-vous aux Suisses et à leur culture

9 – Parlez la langue 

10 – Les Suisses n’ont pas d’accent. C’est vous qui en avez un !

Le digital a changé beaucoup de choses dans notre vie de tous les jours et dans notre vie professionnelle.
Le recrutement n'a pas échappé à ces mutations, et il est évident que les professionnels RH ne recrutent plus aujourd'hui comme ils le faisaient il y a 20 ans.

Les candidats qui recherchent un emploi en Suisse  et ailleurs, de plus en plus fréquemment confrontés à de nouvelles techniques, doivent s'adapter et tirer leur épingle du jeu.

Nous allons donc parler des grandes tendances du recrutement, des nouvelles techniques, et pour cela nous avons la chance d'avoir un grand témoin, Jean Ghislain de Sayve.

Après avoir travaillé durant 20 ans en Espagne, au Mexique, en France et en Suisse, pour le compte de Michael Page, Hays, Adecco et Randstad, Jean-Ghislain rejoint Hunteed en tant que Partner en 2016 et s’occupe de développer le marché Suisse depuis 2020

Hunteed est la plateforme digitale de recrutement,

1. Qui met en relation La communauté de consultants en recrutement la plus pertinente en fonction des besoins des entreprises qui recrutent, 
2. Qui facilite et optimise les processus de recrutement externalisé.

Simplification de la feuille de salaire, impôt à la source, réforme des retraites, réforme du droit du travail, apprentissage...
La France met en oeuvre (ou essaye de mettre en oeuvre) depuis quelques années des réformes qui existent et fonctionnent depuis longtemps en Suisse.

Alors voici un petit tour d'horizon de ces fameuses réformes qui, pour certaines, font couler beaucoup d'encre en France... et qui sont de véritables réussites en Suisse.

Bonne écoute !

Article original visible sur mon blog .