Le reflet, la texture... Les subtilités se regardent et s'admirent. Cartels touche du regard les surfaces. Aujourd'hui on se perd dans la pénombre et les motifs.
Néophytes happés par les images scientifiques, notre ignorance apporte cette savoureuse interprétation poétique des univers. La saison 3 de Cartels touche à sa fin, il est temps de songer à tout ce dont nous venons de traverser.
Cartels s'illumine pour cet avant-dernier épisode. Des explosions viennent fendre l'obscurité totale. Nuit troublée... Songes agités...
On prend le large avec Cartels, on vogue au gré des songes... Et on s'offre des instants de contemplation de détails infimes et précieux. Dans cet épisode, un simple constat : la représentation du réel s'avère parfois plus observée que la réalité elle-même.
Cartels continue de nous troubler dans cette balade au sein de la collection du Frac Auvergne. Nous avons déjà abordé la place des sciences dans les arts et leurs impacts dans la construction de nos imaginaires. L' oeuvre dont il s'agit aujourd'hui s'inscrit dans la poursuite de nos songes.
Cartels se trouble... Ou plutôt nous trouble. L'oeuvre que nous évoquons aujourd'hui nous échappe. Simple reflet de nous même, impossible à fixer... Il faut se rendre à l'évidence, il est nécessaire de savoir regarder autrement.
Les arts et la science se suivent, se complètent et s'entrecroisent. L'histoire de ce court film se lie aux découvertes scientifiques. Dans cet épisode, nous sommes le spectateur de la destruction permanente d'une forêt luxuriante.
Aujourd'hui on dresse le tableau du souvenir. Ces instants de vie figés qui jaunissent avec le temps... Parfois il manque des détails, c'est aussi ça le souvenir : faire avec l'absence... Ne pas combler les blancs.
Dire beaucoup avec peu, c'est tout l'art de la peinture de Raoul De Keyser. La simplicité sidérante amène cette poésie tant appréciée par Jean-Charles Vergnes. Dans cet épisode on part à la recherche de notre "carte postale personnelle de la mer".
Chaos, crépuscule déstructuré, paysage fragmenté... L'impossibilité de voir et pourtant notre regard se pose... Et l'esprit s'égare.
Cartels s'enfonce dans un tunnel... Celui du regard. On poursuit dans cet épisode notre découverte des mondes sensibles.
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