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    La Chronique Bourse

    Retrouvez tous les jours la chronique quotidienne d'Anthony Bondain sur Zonebourse, pour prendre la température des marchés financiers chaque matin avant l'ouverture de la bourse.

    frAnthony Bondain826 Episodes

    Episodes (826)

    En juin, ce sera bien

    En juin, ce sera bien

    Le temps des records n'est manifestement pas encore terminé pour les marchés actions. Dans un environnement qui reste porteur, dans le sens où les vents contraires manquent de souffle, les investisseurs continuent à miser sur ce qui a fonctionné récemment : la technologie avec l'intelligence artificielle en fer de lance, les cryptomonnaies et les entreprises qui continuent à faire progresser leurs résultats. Le marché attend l'annonce des statistiques d'emploi de février aux Etats-Unis pour clore sa semaine. 

    Le retour de Boucle d'or

    Le retour de Boucle d'or

    Après une courte hésitation hier, les marchés actions se sont rapidement remis la tête à l'endroit après avoir reçu des signaux qui étayent le scénario dit "Boucle d'or", dont je vais reparler un peu après. En Asie, le renforcement du yen stresse les investisseurs japonais pendant que le réveil de l'import-export chinois illustre à merveille le syndrome des "jamais-contents". 

    Powell revient dans le jeu

    Powell revient dans le jeu

    Wall Street a subi un petit retour de manivelle hier, après quatre mois de hausse. Les valeurs technologiques ont fini par flancher, soulevant l'habituelle question dont personne n'a la réponse : est-ce que les actions vont connaître un trou d'air ou bien vont-elles continuer à batifoler à la hausse ? Le patron de la Fed apportera peut-être quelques éléments de réponse à l'heure du goûter, puisqu'il doit être auditionné à Washington dans le cadre de son point semestriels devant les parlementaires. 

    La Chine se rate encore

    La Chine se rate encore

    Les investisseurs seraient probablement rassurés de voir la Chine redevenir un moteur du marché, histoire d'épauler l'intelligence artificielle, les médicaments pour maigrir, les vendeurs d'armes et la spéculation sur la baisse des taux directeurs. Mais les nouveaux objectifs de Pékin n'ont pas l'air de faire vibrer grand monde ce matin. C'est le gros sujet du jour, saupoudré de résultats chocolatés, de bitcoin et de phase de respiration. 

    L'IA, si t'en as pas, t'as raté ta vie (boursière)

    L'IA, si t'en as pas, t'as raté ta vie (boursière)

    La force de traction boursière de l'intelligence artificielle ne se dément pas. Elle fait penser à la folie internet d'il y a 25 ans, mais avec des sociétés (très) rentables. Du coup, les investisseurs ont moins de scrupules à s'y jeter à corps perdu. Quant à ceux qui parlent de bulle, le marché a choisi de les ranger dans la catégorie losers plutôt que visionnaires pour l'instant.

    Les marchés ne s'arrêtent plus

    Les marchés ne s'arrêtent plus

    Les valeurs technologiques et le Japon montent. La Chine hésite. La Fed est sur la touche. Bienvenue en 2023. Plus sérieusement, le début d'année 2024 est toujours très favorable pour les actions, alors que les ultimes publications de résultats 2023 des grandes entreprises sont en train de tomber. La dernière séance de la semaine, qui est aussi la première du mois de mars, verra s'accumuler quelques statistiques importantes. 

    Quatre mois de hausse

    Quatre mois de hausse

    Le moment-clef du jour est prévu à 14h30 avec l'annonce d'un chiffre d'inflation important pour la suite de la politique monétaire aux Etats-Unis. Les investisseurs ont donné l'impression récemment qu'ils n'avaient plus grand-chose à faire de la Fed, mais penser qu'elle est hors-jeu serait une grossière erreur. En bonus et pour changer des sept magnifiques, je vous propose ce matin de découvrir les sept merveilles. 

    Le mercredi, c'est Kiwi

    Le mercredi, c'est Kiwi

    Je crois que je suis parvenu à écrire une chronique boursière en 2024 sans utiliser une seule fois le nom de cette entreprise américaine qui fabrique des processeurs graphiques. C'est déjà une prouesse en soi, qui va dégager la route pour parler de Kiwi, de politique chinoise, de banque centrale américaine et d'une nouvelle série de résultats d'entreprises. 

    La hausse est déjà finie ?

    La hausse est déjà finie ?

    Les marchés financiers ont atterri hier, après un long vol haussier. D'où le titre un peu provoc. Les principaux indices n'ont toutefois perdu qu'un peu de terrain, car les investisseurs ont du mal à se retenir d'acheter. On va examiner ce matin quelques éléments de contrariété, histoire d'éviter de citer à tout bout de champ cette entreprise technologique américaine dirigée par un gars qui ne quitte jamais sa veste en cuir et qui fait la pluie et le beau temps en ce moment sur les marchés. 

    Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel (sauf Nvidia)

    Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel (sauf Nvidia)

    Quelle séance à Wall Street hier ! Les investisseurs ont mis le curseur de la complaisance à fond, ont gobé toutes les pilules de FOMO qu'ils ont trouvées et se sont perdus dans les délices des résultats stratosphériques de Nvidia, qui ont permis de faire sauter pas mal de records. La séance de vendredi risque d'être un peu terne après ça. 

    Nvidia décoiffe à nouveau

    Nvidia décoiffe à nouveau

    Saint-Nvidia, priez pour nous ! L'annonce de résultats supérieurs aux attentes par la nouvelle star de la technologie américaine a conforté la fièvre des investisseurs pour tout ce qui touche à l'intelligence artificielle. Avec une hausse de 9% hors séance pour l'action Nvidia, l'examen de passage pour le stop ou encore du marché boursier semble réussi. 

    Quand Nvidia tousse…

    Quand Nvidia tousse…

    Si tout se passe comme prévu, les cotations européennes du jour ne serviront pas à grand-chose, dans la mesure où les deux principaux événements de la journée auront lieu en soirée. La séance boursière de la veille a encore donné lieu à des divergences importantes entre la fiesta espagnole et le blues des semiconducteurs, comme nous allons le voir pas plus tard que tout de suite.

    Les prix américains plombent un peu l'ambiance

    Les prix américains plombent un peu l'ambiance

    Il va falloir se débrouiller en autonomie pour faire la tendance en Europe aujourd'hui, puisque les marchés américains sont clos pour un jour férié. Vendredi, Wall Street a plié après la remontée des prix à la production, qui met à mal le scénario d'un assouplissement monétaire conséquent et rapide de la Fed. Les investisseurs attendent du beau monde cette semaine : Nvidia, Walmart, Nestlé, des indicateurs PMI et le compte rendu de la dernière sauterie de la banque centrale américaine. 

    Ça baisse plus

    Ça baisse plus

    Les marchés boursiers sont tellement inarrêtables que même les gens de mon équipe qui font partie du camp des haussiers éternels trouvent que ça fait beaucoup. Quant à notre champion local du short d'indices, il a préféré partir 15 jours en vacances, c'est dire. Je crois que j'ai déjà utilisé ce titre à quelques reprises ces dernières années, mais il me semble à nouveau approprié. 

    FOMOOOOOO

    FOMOOOOOO

    Les marchés actions sont toujours emmitouflés dans leur cape d'invincibilité. Déstabilisés mardi par une inflation qui fait de la résistance aux Etats-Unis, les investisseurs se sont vite remis la tête à l'endroit en s'enivrant de valeurs technologiques et d'intelligence artificielle. On va parler de la puissance de ce mouvement ce matin, mais aussi d'Austan Goolsbee, de Japon, de Vladimir Poutine, de Warren Buffett, de statistiques et de résultats. Je sais pas comment je vais pouvoir caser tout ça. 

    Est-ce que la donne boursière est en train de changer ?

    Est-ce que la donne boursière est en train de changer ?

    Il paraît qu'il ne faut pas tenter d'aller à contre-courant de la banque centrale américaine. Les derniers chiffres de l'inflation américaine remettent au goût du jour l'adage "Don't fight the Fed". Mais est-on en face d'un simple coup de semonce ou d'un changement de paradigme ? C'est la question à quelques milliers de milliards de dollars, à laquelle je vais humblement tenter d'apporter un éclairage pas trop idiot.