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    Lettres d'Automne, le podcast

    Nouveau rendez-vous du festival littéraire de Montauban : le podcast de Lettres d’automne  Il s’inscrit dans la lignée de ce que nous avons toujours souhaité : faire entendre la langue singulière des auteurs, questionner avec passion leurs textes, arpenter leurs univers artistiques, réfléchir et s’émouvoir ensemble.  Le podcast de Lettres d’automne se veut tout à la fois mise en bouche et prolongement de notre festival qui a lieu chaque année fin novembre à Montauban et en Tarn-et-Garonne. Un festival littéraire créé en 1991 par Maurice Petit, conçu et organisé depuis lors par l’association Confluences. Ouvert à tous les publics, il décline un concept singulier : donner à voir, à entendre, à partager, durant quinze jours, l’œuvre littéraire et l’univers artistique d’un écrivain invité d’honneur.  La première saison se fera l’écho de l’édition 2020 de notre manifestation. Une édition exceptionnelle où Lettres d’automne aurait dû célébrer ses 30 ans en recevant trois invités d’honneur autour du thème : « À la croisée des langues, littératures françaises d’ici et d’ailleurs. »  Léonora Miano, Patrick Chamoiseau, Mathias Énard nous ouvriront leur monde au fil de quatre épisodes enregistrés à Montauban mais aussi à Lomé, Fort de France et dans le Poitou Angevin.  Entretiens sur les thèmes qui irriguent leurs œuvres, interventions de leurs invités, lecture de leurs textes par des comédiens…  Un podcast à découvrir à partir du 27 mai sur toutes les plateformes habituelles et sur le site de Confluences : www.confluences.org  Bonne écoute !  ------  Production : Confluences  Réalisation : Qude Entretiens :  Brice Torrecillas Musique du générique : Alexis Kowalczewski Identité visuelle : Ingrid Larroque
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    Saison 2 -Episode 2 - Lire Mathias Énard

    Saison 2 -Episode 2 - Lire Mathias Énard

    EP2 - Lire Mathias Énard

    Entretiens avec Myriam Anderson (éditrice), Élodie Karaki (journaliste), Emmanuel Noblet (comédien et metteur en scène) et Caroline Berthelot (libraire)

    Lecture du texte La dernière charge des cosaques du don de Mathias Énard, par Myriam Anderson


    La 31e édition du festival Lettres d'automne (15>28 novembre Montauban) accueille, durant deux semaines, près de 80 écrivains et artistes réunis autour de Mathias Énard pour explorer le thème « Mélodies et variations ». 

    Mais comment aborder la lecture de l’œuvre de notre invité d’honneur, à qui l’on doit les romans Zone (prix du Livre Inter 2009), Boussole (prix Goncourt 2015), ou encore Le Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, mais aussi des romans graphiques et un recueil de poèmes ?  Quel chemin dessiner entre des livres si différents dans leurs formes et leurs sujets ? 

    Dans cet épisode, nous avons voulu interroger quelques-unes des personnes qui connaissent bien et l’auteur, et son œuvre : la journaliste littéraire Elodie Karaki qui animera le grand entretien avec lui à Montauban, le comédien et metteur en scène Emmanuel Noblet qui a adapté Boussole en 2016, Caroline Berthelot, libraire à la Femme-Renard, ainsi que son éditrice chez Actes Sud, Myriam Anderson. 


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    Livres cités dans cet épisode : 

    Boussole, Mathias Énard, Actes Sud, 2015 

    Zone, Mathias Énard, Actes Sud, 2008 

    L’Alcool et la Nostalgie, Mathias Énard, Inculte, 2011 

    La Perfection du tir, Mathias Énard, Actes Sud, 2003, réed. 2008 

    Tout sera oublié, Mathias Énard, ill. Pierre Marquès, Actes Sud BD, 2013 

    Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants, Mathias Énard, Actes Sud, 2010 

    Texte lu : La dernière charge des cosaques du Don, Mathias Énard, Télérama, 2011 


    Production : Confluences / Réalisation : Qude / Entretiens :  Brice Torrecillas / Lecture : La dernière charge des cosaques du Don (Télérama) lu par Myriam Anderson  / Musique du générique : Alexis Kowalczewski

    Saison 2 - Episode 1 - Mélodies & variations

    Saison 2 - Episode 1 - Mélodies & variations

    « Lettres d’Automne, le podcast » , nouveau rendez-vous du festival littéraire de Montauban

    Confluences vous inviter à écouter, chez vous ou en balade, la deuxième saison du podcast de Lettres d’automne.

    En écho à la 31e édition du festival qui accueille Mathias Énard en invité d'honneur autour du thème "Mélodies et variations", cette 2e saison vous propose d'entendre des entretiens avec des auteurs, artistes, éditeurs, libraires... mais aussi des lectures par des comédiens. Une nouvelle saison pour partager le plaisir de la lecture, réfléchir et s’émouvoir ensemble  !

    À découvrir sur confluences.org et sur les applications de podcast habituelles (Apple podcast, Spotify, etc. )

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    EP1 - Mélodies et variations

    Entretiens avec Mathias Énard (auteur), Zeina Abirached (autrice de BD), François Dumont (pianiste), Léonor de Récondo (autrice et violoniste), par Brice Torrecillas

    Lecture d’un extrait de Boussole de Mathias Énard, par Emmanuel Noblet


    Mathias Énard a étudié l’arabe et le persan, a séjourné longuement au Moyen-Orient, a vécu à Berlin et en Espagne. Il est l’auteur, entre autres, des romans Zone (prix du Livre Inter 2009), Boussole (prix Goncourt 2015), Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, mais aussi de romans graphiques et d’un recueil de poèmes. 

    Pour  la 31e édition du festival Lettres d'automne  dont il est l'invité d'honneur (15>28 novembre 2021 à Montauban), Mathias Énard a choisi pour fil rouge du programme le thème « Mélodies et variations ». 

    Dans cet épisode,  il évoquera ce choix et son rapport à la musique, puis nous entendrons quelques-uns de ses complices :  Zeina Abirached, autrice de bd, le pianiste François Dumont, la romancière et violoniste Léonor de Recondo, et le comédien Emmanuel Noblet. 

    Le dialogue des arts, et tout particulièrement les liens entre musique et littérature, sont au cœur de cet épisode.  


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    Livres cités dans cet épisode : 

    Prendre Refuge, texte Mathias Énard, illustration Zeina Abirached Casterman, 2018
    Le Piano oriental, Zeina Abirached, Casterman, 2015
    Boussole, Mathias Énard, Actes Sud, 2015

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    Production : Confluences / Réalisation : Qude / Entretiens :  Brice Torrecillas / Lecture : Boussole, de Mathias Énard (Actes Sud) lu par Emmanuel Noblet / Musique dans l'épisode : extraits de "Romance sans paroles" et "La chanson du rouet" de Mel Bonis, interprétés par François Dumont /

    Musique du générique : Alexis Kowalczewski


    Saison 1 - Episode 4 - Mathias Énard

    Saison 1 - Episode 4 - Mathias Énard

    Entretiens avec Mathias Énard et Anne Weber, par Brice Torrecillas
    Lecture d’extraits de Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs (Actes Sud) et Dernière communication à la société proustienne de Barcelone : Pamirs (Inculte) par Maurice Petit et Nathalie Vidal


    Pour ce quatrième et dernier épisode de la première saison du podcast e Lettres d’Automne, Mathias Énard sera notre convive. « Convive » n’étant pas un mot choisi par hasard pour l’auteur du Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, son dernier roman paru chez Actes Sud. Prix du Livre Inter 2009 pour Zone, prix Goncourt des Lycéens 2010 pour Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants, prix Goncourt 2015 pour Boussole (liste non exhaustive) Mathias Énard ne se borne pas à ce travail de romancier : il est ou a été scénariste de BD, d’un roman graphique, poète, contributeur de revues culturelles, animateur radio sur France Culture, à quoi on pourrait ajouter sa passion pour l’art contemporain et pour la gastronomie – il dirige son restaurant libanais, le Karakala,  situé sur les hauteurs de Barcelone. N’oublions surtout pas sa passion des langues qui irrigue toute son œuvre et l’a conduit à traduire deux ouvrages, l’un du persan, l’autre de l’arabe.

    Dans cet épisode, nous avons souhaité inviter aussi à notre table Anne Weber, écrivaine et traductrice qui a la particularité de traduire elle-même ses propres ouvrages de l’allemand au français.

    Les mises en bouche sont assurées par Maurice Petit et de Nathalie Vidal avec leur lecture d’un extrait de ce livre sur lequel plane l’ombre de Rabelais, Le Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, notamment.


    Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs
    Texte de Mathias Énard (éditions Actes Sud, 2020)
    Pour les besoins d’une thèse sur « la vie à la campagne au XXIe  siècle », l’apprenti ethnologue David Mazon a quitté Paris et pris ses quartiers dans un modeste village fictif au bord du Marais poitevin. Logé à la ferme, bientôt pourvu d’une mob propice à ses investigations, s’alimentant au Café-Épicerie-Pêche et puisant le savoir local auprès de
    l’aimable Maire – également fossoyeur –, le nouveau venu entame un journal de terrain, consigne petits faits vrais et mœurs autochtones, bien décidé à circonscrire et quintessencier la ruralité.

    Mais déjà le Maire s’active à préparer le Banquet annuel de sa confrérie – gargantuesque ripaille de trois jours durant lesquels la Mort fait trêve pour que se régalent sans scrupule les fossoyeurs – et les lecteurs – dans une fabuleuse opulence de nourriture, de libations et de langage. Car les saveurs de la langue, sa rémanence et sa métamorphose, sont l’épicentre de ce remuement des siècles et de ce roman hors normes, aussi empli de truculence qu’il est épris de culture  populaire,  riche de mémoire, fertile en fraternité.


    Production de l’épisode : Confluences / Réalisation : Qude / Entretiens :  Brice Torrecillas / Lecture : Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs (Actes Sud) et Dernière communication à la société proustienne de Barcelone : Pamirs (Inculte) lus par Maurice Petit et Nathalie Vidal/ Musique du générique : Alexis Kowalczewski

     

    Livres cités dans cet épisode :
    Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, Mathias Enard, Actes Sud, 2020
    Dernière communication à la société proustienne de Barcelone, Mathias Enard, Inculte, 2016
    Le grand dictionnaire de la cuisine, Alexandre Dumas
    Annette, une épopée, Anne Weber, Seuil, 2020

    Saison 1 - Episode 3 - Patrick Chamoiseau

    Saison 1 - Episode 3 - Patrick Chamoiseau

    Entretiens avec Patrick Chamoiseau et Mario Canonge, par Brice Torrecillas
    Lecture d’extraits de Frères Migrants (éditions du Seuil) par Maurice Petit

    « À la croisée des langues, littératures françaises d’ici et  d’ailleurs » , sur un tel sujet, comment ignorer l’apport essentiel de  Patrick Chamoiseau ? Prix Carbet de la Caraïbe et du Tout-Monde, prix  Goncourt pour Texaco, le co-auteur de L’Éloge de la créolité définit le langage comme « le désir-imaginant de toutes les langues du monde ».
    Dans cet épisode, nous l’entendrons notamment évoquer les mystères de la  création, et nous franchirons en sa compagnie les frontières poreuses  de la littérature pour rejoindre son ami martiniquais, le pianiste de  jazz, Mario Canonge.

    En ouverture, nous entendrons la lecture par Maurice Petit d’un  extrait du discours qu’a prononcé Patrick Chamoiseau en janvier 2020  alors qu’il inaugurait sa Chaire d’écrivain en résidence de Sciences Po.  Un texte qui fait part, selon ses propres mots, « d’une formidable  énigme » qu’il continue d’explorer dans son tout dernier livre paru au  Seuil, Le Conteur, la nuit et le panier.
    Et enfin, des extraits de son essai poétique Frères Migrants, toujours lus par Maurice Petit, viendront conclure l’épisode.

    Frères migrants
    Texte de Patrick Chamoiseau (éditions du Seuil, 2018)
    “ La poésie n’est au service de rien, rien n’est à son service.  Elle ne donne pas d’ordre et elle n’en reçoit pas. Elle ne résiste pas,  elle existe — c’est ainsi qu’elle s’oppose, ou mieux : qu’elle s’appose  et signale tout ce qui est contraire à la dignité, à la décence. À tout ce qui est contraire aux beautés relationnelles du vivant. Quand un  inacceptable surgissait quelque part, Edouard Glissant m’appelait pour  me dire : « On ne peut pas laisser passer cela ! » Il appuyait sur le «  on ne peut pas ». C’était pour moi toujours étrange. Nous ne disposions  d’aucun pouvoir. Nous n’étions reliés à aucune puissance. Nous n’avions  que la ferveur de nos indignations. C’est pourtant sur cette fragilité,  pour le moins tremblante, qu’il fondait son droit et son devoir  d’intervention. Il se réclamait de cette instance où se tiennent les poètes et les beaux êtres humains. Je ne suis pas poète, mais, face à la  situation faite aux migrants sur toutes les rives du monde, j’ai  imaginé qu’Edouard Glissant m’avait appelé, comme m’ont appelé quelques  amies très vigilantes. Cette déclaration ne saurait agir sur la barbarie  des frontières et sur les crimes qui s’y commettent. Elle ne sert qu’à  esquisser en nous la voie d’un autre imaginaire du monde. Ce n’est pas  grand-chose. C’est juste une lueur destinée aux hygiènes de l’esprit.  Peut-être, une de ces lucioles pour la moindre desquelles Pier Paolo  Pasolini aurait donné sa vie.”  Patrick CHAMOISEAU  


    Production de l’épisode : Confluences / Réalisation : Qude /  Entretiens :  Brice Torrecillas / Musiques : Mario Canonge / Lecture :  « Le conteur, la nuit et le panier : extraits du discours inaugural de  la Chaire d’écrivain en résidence à Sciences Po » et de « Frères  Migrants » de Patrick Chamoiseau (éditions du Seuil)  lus par Maurice  Petit / Musique du générique : Alexis Kowalczewski     

    Livres cités dans cet épisode : 

    La matière de l’absence, Patrick Chamoiseau Seuil, 2016
    Frères Migrants, Patrick Chamoiseau, Seuil, 2018
    Le Conteur, la nuit et le panier, Patrick Chamoiseau Seuil, 2021
    Eloge de la Créolité, Jean Bernabé, Patrick Chamoiseau, Raphaël Confiant, Gallimard, 1989
    Eloges, Saint-John Perse, Gallimard, 1967
    Cahier d’un retour au pays natal, Aimé Césaire, éditions Présence Africaine, 2000
    La Lézarde, Edouard Glissant, Seuil, 1995

    Saison 1 - Episode 2 - Léonora Miano

    Saison 1 - Episode 2 - Léonora Miano

    Entretiens avec Léonora Miano, Aminata Aïdara, Sofia Aouine, Salomé Berlemont-Gilles et Gaël Octavia, par Brice Torrecillas

    Dans cet épisode, nous aurons le plaisir d’accueillir Léonora Miano  dont l’œuvre prolifique explore inlassablement des thématiques liées  aux expériences subsahariennes et afrodescendantes. C’est le cas dans  son dernier roman, Rouge impératrice, comme dans son dernier essai, Afropea. Utopie post-occidentale et post-raciste, tous deux parus chez Grasset. Prix Goncourt des lycéens en 2006 pour Contours du jour qui vient, Prix Seligmann 2012 pour Écrits pour la parole, Prix Femina 2013 pour son roman La Saison de l’ombre, Léonora Miano a également reçu en 2011 le grand prix littéraire de l’Afrique noire pour l’ensemble de son œuvre.
    Nous la retrouvons ici entourée de quatre autrices – Aminata Aïdara,  Sofia Aouine, Salomé Berlemont-Gilles et Gaël Octavia – qu’elle avait  souhaité convier à Lettres d’Automne. Un dialogue à cinq voix où il sera  tout à la fois question de Faulkner, de Shakespeare, de Simone de  Beauvoir, de jazz, d’une nouvelle maison d’éditions, de la liberté  d’écrire là où l’on ne vous attend pas…

    Et pour terminer nous recevons un très beau cadeau : Léonora Miano nous offre la lecture d’extraits de Passages,  une série inédite d’instantanés de la vie togolaise qu’elle a saisis au  printemps 2020, durant la période de confinement planétaire.

    Passages, Le récit de la ville 1
    de et par  Léonora Miano
    Au printemps 2020, alors que la pandémie due au covid-19  paralyse la planète, Le Temps, quotidien suisse, sollicite la parole  des écrivains. Invitée à écrire au sujet de cet événement dont on ne  peut encore mesurer la portée, Léonora Miano compose Passages, une série  de portraits, de tranches de vie témoignant de l’impact de la pandémie  sur les habitants de Lomé, capitale du Togo où elle réside.
    La question de la circulation s’impose très tôt, dans cette région ouest  africaine connue pour son dynamisme commercial, lequel dépend  évidemment de la possibilité d’aller et venir. Passages, c’est donc  d’abord cela, une présentation de la manière dont la mobilité des uns et  des autres est soudain contrariée.
    Puis, la ville elle-même se met à parler. Il se pourrait d’ailleurs  qu’elle soit la narratrice de l’ensemble. La suite de portraits  s’interrompt par moments pour faire entendre les réflexions de Lomé, une  description plus immédiate de cette étrange situation. Le récit de la  ville se compose de trois parties. La première, qui s’intéresse au début  de la pandémie, est l’objet de cette lecture.
    Chacun des mouvements est introduit par des ambiances locales, bruits de la ville, appel des taxis motos, conversations, chants…

    Passages, Le récit de la ville (1), a été enregistré au studio Colibri à Lomé.
    Ingénieur du son : Rodrigue Bellow / Bruitages : Rodrigue  Bellow / Dialogue zemidjan (conducteur de moto taxi) et dealer de  Tramadol : Michael Olufade (zem), Gracia Zanklassou (dealer) /  Musiques  : Akpe (chant religieux entendu après un prêche de rue) Paroles et  musiques par Isaac Dogbo, Chanté par Rodi Ade ; Edo egne ame (chanson  que le zem entend dans un bar de plage)  Paroles, musique et chant par  Rodi Ade, Arrangements par Rodrigue Bellow et Michael Olufade /  Sossignalé (conclusion) Par Elom 20ce, album Indigo /
    Écriture, lecture et autres voix : Léonora Miano

    Production de l’épisode : Confluences / Réalisation : Qude /  Entretiens :  Brice Torrecillas / Musique du générique : Alexis  Kowalczewski
     

    Livres cités dans cet épisode :
    Afropea, Léonora Miano, Grasset, 2020
    Rouge Impératrice, Léonora Miano, Grasset, 2019
    La Saison de l’ombre, Léonora Miano, Grasset, 2013
    Contours du jour qui vient, Léonora Miano, Plon, 2006
    Je suis quelqu’un, Aminata Aïdara, Gallimard, 2018
    Rhapsodie des oubliés, Sofia Aouine, La Martinière, 2019
    Le Premier qui tombera, Salomé Berlemont-Gilles, Grasset, 2020
    La bonne histoire de Madeleine Démétrius, Gaël Octavia, Gallimard, 2020
    Le deuxième sexe, Simone de Beauvoir, Gallimard, 1949

    Saison 1 - Episode 1 : A la croisée des langues

    Saison 1 - Episode 1 : A la croisée des langues

    Entretiens avec Léonora Miano, Patrick Chamoiseau et Mathias Enard, par Brice Torrecillas Lecture d’extraits de Les langues et les chants d’Hubert Haddad, par Maurice Petit 

    Dans ce premier épisode autour du thème « À la croisée des langues, littératures françaises d’ici et d’ailleurs » , les auteurs Léonora Miano, Patrick Chamoiseau et Mathias Énard dialoguent avec nous, la première depuis Lomé, au Togo, le deuxième depuis Fort-de-France, et le troisième depuis son Poitou natal. Issus de continents différents mais réunis par le goût d’abolir les frontières, ils inventent tous trois des langages nouveaux et témoignent de la façon dont la littérature accueille les diversités du monde. Cet épisode est également ponctué de lectures d’extraits, par Maurice Petit, d’un texte inédit d’Hubert Haddad, «  Les langues et les chants » , écrit spécialement à l’occasion du festival 2020.

    Épisode à découvrir ici à partir du 27 mai 2021 L’ensemble de la saison 1 est à écouter sur notre page podcast et sur les applications de podcast habituelles (Apple podcast, Spotify, etc.)

    Production de l’épisode : Confluences / Réalisation : Qude / Entretiens :  Brice Torrecillas /Lecture : texte d’Hubert Haddad (inédit) lu par Maurice Petit / Musique du générique : Alexis Kowalczewski

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    Nouveau rendez-vous du festival littéraire de Montauban : le podcast de Lettres d’automne 

    Il s’inscrit dans la lignée de ce que nous avons toujours souhaité : faire entendre la langue singulière des auteurs, questionner avec passion leurs textes, arpenter leurs univers artistiques, réfléchir et s’émouvoir ensemble. 

    Le podcast de Lettres d’automne se veut tout à la fois mise en bouche et prolongement de notre festival qui a lieu chaque année fin novembre à Montauban et en Tarn-et-Garonne. Un festival littéraire créé en 1991 par Maurice Petit, conçu et organisé depuis lors par l’association Confluences. Ouvert à tous les publics, il décline un concept singulier : donner à voir, à entendre, à partager, durant quinze jours, l’œuvre littéraire et l’univers artistique d’un écrivain invité d’honneur. 

    La première saison se fera l’écho de l’édition 2020 de notre manifestation. Une édition exceptionnelle où Lettres d’automne aurait dû célébrer ses 30 ans en recevant trois invités d’honneur autour du thème : « À la croisée des langues, littératures françaises d’ici et d’ailleurs. » 

    Léonora Miano, Patrick Chamoiseau, Mathias Énard nous ouvriront leur monde au fil de quatre épisodes enregistrés à Montauban mais aussi à Lomé, Fort de France et dans le Poitou Angevin. 

    Entretiens sur les thèmes qui irriguent leurs œuvres, interventions de leurs invités, lecture de leurs textes par des comédiens… 

    Un podcast à découvrir à partir du 27 mai sur toutes les plateformes habituelles et sur le site de Confluences : www.confluences.org 

    Bonne écoute ! 

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    Production : Confluences 

    Réalisation : Qude

    Entretiens :  Brice Torrecillas

    Musique du générique : Alexis Kowalczewski