Mdzadzemoina podcast

 Né aux Comores, Rabbah a toujours abrité de grands rêves au fond de son cœur, même s'il n'osait pas encore les exprimer. Son parcours l'a emmené en France après l'obtention de son baccalauréat, pour poursuivre des études universitaires que son entourage avait choisies pour lui. 

Pourtant, tout a changé à l'aube de sa troisième année en biologie. Une révélation l'a éclairé : ces études, qui avaient été choisies par d'autres, ne le passionnaient plus, ne le représentaient plus. En partageant ses réflexions et doutes avec son frère, une question cruciale est surgie :
"Où te vois-tu dans 10 ans ?" 

C'est à partir de ce moment que Rabbah a pris en main les rênes de son destin. Il a radicalement changé de cap et s'est découvert une passion pour l'économie et les affaires. Malgré les réactions négatives de son entourage, qui ne comprenait pas son choix, Rabbah a poursuivi son rêve. Il a décidé de se lancer dans des études en économie, ce qui l'a finalement conduit à son objectif ultime : devenir expert-comptable. 

La vie de Rabbah est un mélange fascinant de paradoxes, de passions multiples - le football, la photographie - et de choix qui l'ont façonné en l'homme inspirant qu'il est aujourd'hui. 

C’est aussi le récit de travail acharné, de défis presque insurmontables, et de persévérance, de revention. Le parcours de Rabbah est une réponse retentissante à tous ceux qui doutent de la possibilité de réussir en partant d'absolument rien. 

Pour contacter Rabbah, rends toi sur Intagram @rabbah.mohamed ou LinkedIn @Rabbahmohamed 

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 L'univers d'Amine est une aventure gustative unique, où le bonheur se déguste en portions glacées, et où les sourires sont la véritable monnaie d'échange. Mais cette histoire ne se limite pas à la gourmandise et aux plaisirs glacés. C'est le récit captivant d'un jeune homme dont la vie a longtemps été façonnée par des règles strictes et un environnement contraignant.

 Les rêves personnels semblaient lointains, l'autonomie hors de portée. Pourtant, Amine, élevé dans un cocon où chaque geste était scruté, a trouvé le courage de briser ces chaînes et de forger sa propre voie vers la réussite. 

Son désir de réussir l'a poussé à poursuivre des études supérieures au Sénégal, mais il a rapidement compris que pour se démarquer, il lui fallait plus que des diplômes. Alors qu'il jonglait entre ses études et son
premier emploi, un incident inattendu a enflammé la flamme de l'entrepreneuriat en lui. Lors de cette discussion, nous allons plonger au cœur de l'histoire d'Amine. Comment a-t-il surmonté les défis qui se sont dressés sur son chemin ? Comment a-t-il jonglé entre les attentes familiales et ses aspirations personnelles ? Et surtout, comment a-t-il embrassé la passion et l'entrepreneuriat pour transformer sa vie et réaliser ses rêves ? 

Nous explorerons également les moments où Amine a dû faire face à des tempêtes intérieures, notamment la déchirante perte de ses proches, aux doutes et aux remises en question. Vous découvrirez comment il a non seulement survécu à ces épreuves, mais aussi comment il en est sorti plus fort, plus déterminé que jamais. Son histoire résonne comme un vibrant hymne à la puissance de la passion, de la persévérance et de la volonté de ne pas attendre que demain soit certain pour poursuivre ses rêves.  

 Dans la mosaïque des vies qui nous entourent, certaines histoires brillent d’une lumière particulière. Aujourd'hui, je vous invite à plonger dansl'histoire de Faida, une histoire qui transcende les frontières, les cultureset les expériences. 

Quand la vie nous met au défi, comment trouve-t-on la force de continuer lorsque la tempête fait rage ? Comment puise-t-on au plus profond de soi pour surmonter les obstacles qui se dressent sur notre chemin ? Comment façonne-t-on son identité lorsque l'on jongle entre deux mondes et deux cultures ? Comment découvre-t-on sa propre voix au milieu des attentes de la
société et de sa quête personnelle de sens ? 

Faida nous rappelle que chaque parcours de vie est unique, mais aussi universel. Elle nous emmène dans un voyage à travers les méandres de son existence, de la France aux Comores en passant par la Guadeloupe, de la jeunesse à la maternité, de la découverte de soi à la résilience. 

À travers les mots de Faida, nous explorerons les thèmes de l'identité, de la maternité, de la lutte pour l'épanouissement personnel, et de la découverte de sa propre voix. Son histoire est un témoignage vibrant de la puissance des femmes, de la capacité à s'élever au-dessus des circonstances, et
de la recherche perpétuelle de sens. 

Ce podcast n'est pas seulement un récit, c'est un dialogue entre les mondes, un pont entre les cultures, une invitation à la réflexion. 

Alors, installez-vous confortablement et préparez-vous à être transporté(e) dans un voyage à travers le temps, l'espace, et bien sûr l'âme de Faida. 

Retrouvez Faida sur instagram nyandzo_za_kikomori  ou sur Youtube @nyandzo271 pour suivre de ses actualités

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 On a tous ces petites blagues que l'on fait entre amis pour égayer nos conversations. Celles qui font rire et qui, en même temps, révèlent peut-être un bout de vérité caché derrière. Une de mes préférées est celle où je dis, en souriant, que si j'ai un jour un enfant, je le remettrai entre les mains de ma sœur pour qu'elle s'en occupe. Et chaque fois, c'est la même réaction en retour : "Mais pourquoi avoir un enfant si tu n'as pas envie de t'en occuper ?" 

Ce que je ne dis pas, c'est l'admiration secrète que j'ai pour ma sœur quand je la vois interagir avec sa propre fille. La patience infinie, la bienveillance sans faille avec lesquelles elle accompagne chaque petit pas de ma nièce dans ce monde tout neuf qui s'ouvre à elle. 

Mais ce qui m'interpelle encore plus, c'est cette détermination à toujours vouloir faire mieux, à transmettre différemment, à façonner l'avenir d'une manière qui compte vraiment. Et c'est là que l'histoire
de mes deux invités entre en jeu. Laissez-moi vous parler de Djawad et Haoudhoi. 

Djawad, c'est cet architecte inspiré, celui qui a débuté dans le monde de l'événementiel pour finalement se découvrir une passion pour l'éducation. Et puis il y a Haoudhoi, l'ingénieure, qui a toujours su que
l'éducation était le pivot du progrès, une conviction qu'elle a renforcée en travaillant aux côtés de son père. 

Ils ont uni leurs forces pour créer "Hope", un nom qui incarne l'espoir, le potentiel et l'opportunité. Et derrière ce nom se cache une mission puissante, celle de remodeler l'éducation, de façonner des
esprits curieux et ouverts, de donner aux générations futures les clés pour un
avenir meilleur. 

Tout au long de cet épisode, nous allons explorer leurs histoires inspirantes, leurs motivations profondes et les défis auxquels ils sont confrontés. Nous allons plonger dans les cinq piliers qui soutiennent leur
projet et qui, je l'espère, feront écho en chacun de nous.  

Je vous invite à rejoindre ma conversation avec Haoudhoi et Djawad. Bonne écoute. 

Retrouvez Djawad et Haoudhoi sur leur page Intagram @hopeschooloflife

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La première fois que j’ai vu Nawiya se produire sur scène, c’était chez Mvuli devant un parterre de gens venue d’ici et d’ailleurs. Je me rappelle avoir ressenti une espèce de vibration traversée l’assistance. Le genre de vibration qui captive, mobilise tous nos sens.  D’abord, j’ai tenté de mettre cette expérience collective sur le compte de son charisme, son énergie.  Et puis, en y réfléchissant, je pense que ce jour-là Nawiya m’avait profondément marqué car elle avait touché mon cœur de fille, de sœur, de femme. 

Plusieurs mois sont passés sans que je me résolve à lui envoyer un message pour qu’elle me raconte, se raconte. Je pense que j’appréhendais mon échange avec Nawiya car je savais qu’elle me mettrait face à moi-même, à mes certitudes et mes contradictions.  Faisant fi de mes peurs, je me décide de la contacter pour en savoir davantage sur elle, découvrir les détails de ce qui fait la femme inspirante qu’elle est. Et c’est comme ça que j'en suis venue à lui demander pourquoi ? Pourquoi elle fait ce qu’elle fait?  

A cet instant, j’ai su qu’une heure de conversation ne suffirait pas. Pas si je souhaitais saisir la portée de son message, de ses combats, ses doutes, ses succès. Alors on a pris le temps. Notre conversation a duré près de 2 heures. J’étais tellement captivée par son message que je n’ai pas remarqué que l’enregistrement s'était arrêté. On avait perdu près de 30 minutes d’échange. Cela ne nous avait pas découragé pour autant. A la fin de notre échange on s’est même promis de se recontacter pour enregistrer un autre épisode dans lequel on aborderait d’autres thématiques qu’on n’a pas pu aborder ce jour-là. 

Nawiya m’a parlé de son enfance, de comment est née sa passion pour le slam.  Elle m’a parlé de ce que c’est que d’etre une femme qui slam et des craintes qu’elle peut avoir par rapport à la pratique de son art. Elle m’a parlé de date de péremption, de peur, de ces regards qu’on pose sur soi et ceux que les autres posent sur nous.
Elle m’a confié pourquoi elle a décidé d’etre la porte-voix des sans voix, pourquoi elle parle de sujets invisibles, invisibilisés. Elle m’a aussi parlé des femmes et des hommes de sa vie, de Dakar et beaucoup d’autres choses. 

C’est avec joie que je t’invite à rejoindre ma conversation avec Nawiya. Bonne écoute. 

Retrouves Nawiya sur Instagram @nawiya_  , @les_pépites_de_nawy, @i_s_s_a_r pour suivre ses actualités. 

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J’adore rigoler. J’adore aussi faire des blagues. J’avoue, le plus souvent, je suis la seule à les comprendre et en rire.

J’ai pour principe de ne jamais répéter mes blagues quand elles ne sont pas entendues et où comprises. Parce que oui, quand cela arrive, je suis comme prise de panique, gênée et angoissée à l’idée de devoir me répéter et que mes blagues ne trouvent finalement pas leur public.  

Et forcément, je ne peux pas m’empêcher de m’interroger sur comment font les autres pour qui faire rire semble etre une évidence ? 

Car c’est une chose d’amuser la galerie entre proche et c’est autre chose de sortir du cadre privé et de décider de se produire en public. Quelle folie doit bien les habiter pour vouloir se présenter aux gens dans le seul but à priori insensé de les faire rire ? 

Fouad est de ceux qui aiment rire, faire rire. Je dirais même que l’humour fait partie de son ADN (audio). Grace à son style unique, sa personnalité atypique il a su conquérir le cœur de son public qui ne jure que par lui.

L’histoire de Fouad pourrait tenir sur ces quelques phrases et c’est déjà une histoire incroyable. Mais c’est sans prendre en compte une donnée capitale : le handicap dont souffre Fouad depuis l’enfance.

Mais alors, à quel moment on décide de prendre le micro, se raconter, raconter ses vulnérabilités alors même qu’on traine en soi l’insupportable épée de Damoclès entre la langue ? Comment réussit-on à s’affranchir des limites qu’on s’impose et celles imposées par la société pour oser prendre sa place, donner sa voix ? Quelle béquille Fouad a-t-il mis en place pour l’aider à gérer son bégaiement, son stress afin de vivre des moments scènes magiques ? 

Dans cet épisode, Fouad vous racontera un récit sans concession sur son parcours. 

De comment il a découvert l’humour à comment il a appris à accepter son bégaiement et à le transformer en atout, il vous décortiquera son parcours, ses succès et ses échecs ainsi que les leçons apprises en cours de route. 

Avec Faoud, nous avons parlé de son papa, de ses mentors et de ces personnes qu’on rencontre qui changent notre perception du monde. 

 Alors assis toi donc confortablement et prépare toi à etre émue, à rire aux éclats et surtout à etre inspiré par l’incroyable histoire de Fouad. 

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Suis les aventures de Salim: 

Facebook: @comorescomedieclub / @cmm

Instagram: @fouad.salim.391

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L’autre jour, on parlait de ces personnes qu’on voit souvent sur Instagram et à qui on prête une vie d’amour et d’eau fraiche: la dolce Vita, bref. On admire leur vie autant qu’on les envie. Parfois, on se laisse séduire par leur dernière recommandation : un restaurant, un concert, un film.

Avec les copains, on s’est prêté au jeu de lister les comoriens qui nous influencent positivement sur les réseaux. Plusieurs noms sont sortis mais un seul nom revenait presque automatiquement. Benour hahaha

Vous avez sûrement vu une de ses poste instagram qui donnes toujours envie de lâcher son boulot, sécher ses cours pour partir en vacances : flâner à la plage ou nager avec les dauphins.  

Au-delà de cette vie en paillette, au délà des 11 k d’abonnés, au déla des yeux en cœur qu’on pose sur cette vie irréelle, j’ai voulu connaitre l’homme derrière Discovermores. 

Qui est Benour ? comment est né Discovermores ? Quelles ont été les difficultés rencontrées ? Comment a-t-il réussi à tirer son épingle du jeu en l’espace de 4 ans alors que personne n’aurait parié 1 fc sur lui ? 

Autant de question que Benour a eu l'amabilité de répondre avec humilité et transparence. Il vous dira comment il est passé d’un étudiant en échec à l’école de médecine à CEO de l’agence d’écotourisme la plus en vue des Comores. Vous apprendrez que son parcours n’a pas été linéaire, si tant est qu’il doit l’etre d’ailleurs, il a souvent questionné ses choix, pris des folles décisions mais la seule certitude de faire ce qui le passionnait suffisait à se jeter corps perdu dans l’aventure de sa vie. 

Retrouve Benour sur son compte Instagram @discovermores  pour suivre ses actualités 

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 A 20 ans, on est dans la fleur de l’âge et on est prêt à conquérir le monde.  La conquête du monde de William a des airs de France, de fac, de philo bref de liberté. Oui mais c’est sans compter la petite voix intérieure qui lui répète sans discontinuer « qui es-tu », « d’où tu viens » ? 

Impossible pour William de faire abstraction de cette voix qu’il a que trop longtemps essayé de faire taire. Comme une urgence, il doit compléter le chainon manquant du tableau de sa vie.  

Alors, il décide d’abandonner sa vie toute tracée et de faire le trajet inverse de ses compatriotes, avalé 242 km pour rejoindre Moroni depuis Mamoudzou.  Son retour au pays n’a pas été aisé. Il a été teinté de haut et de beaucoup de bas mais dans ce tumulte de questionnement, de toute doute, une seule certitude effaçait tout le reste, celui d’avoir fait le bon choix.  

En préparant cet épisode, je me suis très souvent demandé si elle l’avait su ? Ou dois-je dire comment elle a su ? Elle, Qu’en choisissant William comme prénom, elle scellerait aussi l’avenir de son fils ?  

Quelle est la place de l’instinct maternel dans l’avenir d’un enfant ? Pourquoi est-il important de savoir s’écouter ? En quoi l’écoute de son enfant intérieur peut elle nous ouvrir d’autres perspectives
insoupçonnées ?  

Le récit que tu t’apprêtes à écouter est une histoire d’amour entre une mère et fils pour le cinéma.  

C’est une histoire quête de sens, de reconnexion à soi et à ce à quoi nous sommes faits.  

Retrouve William sur son compte Instagram @willstonfyt - @catmoonfilm pour découvrir et rédecouvrir son univers. 

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Moinamkou aurait eu mille et une raison de de se décourager; de tout abandonner et se terrer chez elle pour ne plus jamais en ressortir.  

Comment continuer sa route quand, à peine 18 ans, on se retrouve déchue de ses rêves d’ailleurs, de liberté, d’apprentissage. 

Où Moinamku a t-elle été puisé la force pour continuer, se battre, se lever chaque matin.  

Jusqu’où le devoir d’aînesse peut il être une source d’inspiration, de motivation pour permettre de maintenir le cap? 

Lorsque j’ai intégré les équipes Com’Work,  on m’avait présenté à Moinamkou comme étant la Benjamine du groupe.Moinamkou c'est 21 ans d'âge, et 2 ans d’expériences à son actif dans la boîte. Impressionnée, évidement, j’ai voulu comprendre son histoire. Comment en est elle arrivée à intégrer une boîte comme Comwork a seulement 19 ans pour se hisser parmi les éléments indispensables de la structure. 

Dans cet épisode, vous l’entendrez , Moinamkou nous embarque avec elle à Kampala dans sa quête d’elle-même, puis on la rejoint à Moroni ou elle nous fait vivre en premières loges,  les coulisses de ces premiers pas dans le monde  professionnel. 

Avec Moinamkou nous avons parlé du japon, du syndrome de l’imposteur et de pouvoir. 

J’ai particulièrement apprecié cet épisode parce que le parcours de Moinamkou vient nous rappeler qu’il n’existe pas qu’une seule voie royale pour intégrer le monde professionnel; c’est à dire passer obligatoirement par la case Bac + BTS, Licence, master. Mais que d’autres possibilités, d’autres raccourcis existent et c’est en cela que le témoignage de Moinamkou renverse tous les codes. 

Retrouvez Moinamkou sur Instagram @moinamkousoundi pour découvrir son univers. 

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Et pour finir, je tiens à te souhaiter une année 2023. On se retrouve a l’année prochaine avec de nouvelles histoires inspirante. N’oublie pas de prendre soin de toi d’ici là. 

J’ai découvert Katia en 2017 dans une émission culinaire sur le compte Snapshat de Massiwa_269. 

Kathia y partageait sa passion de la cuisine avec des personnalités publiques. Ce qui m’avait tout de suite marqué chez Kathia c’est sa joie de vivre contagieuse et surtout, la façon qu’elle avait de se présenter à nous avec assurance et confiance. J’admirais, de loin, son charisme et sa spontanéité sans me dire qu’un jour je la recevrai pour qu’elle me raconte son histoire.

Par le plus beau des hasards, je rencontrais Kathia dans les locaux de Comwork. Je dois dire que j’ai été d’emblée frappée par la personnalité de Kathia : énergique, souriante, bref un petit rayon de soleil. Mais ce qui m’avait le plus agréablement marqué c’est de constater qu’elle était aussi vrai en vrai que sur les réseaux sociaux. 

Cet épisode est pour toutes les personnes multi passionnées, qui ont envie ou besoin d’être sur tous les fronts. Et qui, peut-être, ne savent pas comment composer, jongler avec leurs différentes passions. Vous découvrirez avec moi le long de cet épisode, que le secret, comme le dis si bien Kathia est de « ne pas se mettre la pression ».

Avec Kathia, nous avons parlé de l’univers de l’influence, de partage et de Youmna.

Si tu souhaites en savoir davantage sur le parcours de Kathia, tu peux la contacter directement sur ses réseaux sociaux Intagram @kath_womaan https://instagram.com/kath_womaan?igshid=YmMyMTA2M2Y= 

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A très vite avec de nouvelles histoires inspirantes.  

Hilma fait partie de celles qui ne se contentent pas de peu. Lorsque la vie décide de distribuer une carte à chaque personne, Hilma se débrouille pour démultiplier la sienne à 30 voire 50.  

Mais comment fait-elle ?  

Hilma est un bourreau de travail et pas n’importe lequel, celui qui challenge son quotidien.  

Partie à Shangaï pour effectuer des études d’ingénieur, Hilma ne peut pas se résoudre à vivre une vie estudiantine comme une autre c’est-à-dire attendre chaque mois, l’allocation financière de ses parents et vivre sa vie étudiante comme n’importe quel étudiant en Afrique ou
en Asie.   

Comme la vie fait parfois bien les choses, elle tombe un peu par hasard sur un entrepreneur italien qui lui propose d’intégrer son entreprise d’événementiel pour l’aider à grossir son portefeuille clients ens’appuyant sur ses 10 k d’abonnées sur WeChat.  

De là, elle rencontre des entrepreneurs de tout bord et de tout horizon qui vont nourrir son esprit, elle décide de se jeter dans l’aventure entrepreneuriale et crée GSO (groupe de vente ligne), une structure de vente en ligne, en parallèle de ses études.  

A l’obtention de son diplôme, on lui propose un poste de chargée de service international qu’elle occupe pendant 1 ans.  Et puis, au détour d’un séjour de vacances chez ses parents, elle observe ce père qui lui a tant appris, travailler seul dans la pâtisserie familiale et l’idée de revenir définitivement au pays fait une place dans son cœur. 

Mais comment apprendre à revivre dans un pays qu’on a quitté tant d’années ? Comment réussir à être soi, à rester soi dans un espace ou tout n’est que conformisme ?  

La réponse n’est souvent pas évidente surtout pour Hilma qui ne compte pas s’excuser d’être qui elle est ou qui elle aspire à être. Et c’est avec cette hargne et cette confiance qu’elle pousse les portes des espaces ou on l’attend le moins.  Et puis un jour, installée sur sa terrasse avec son smartphone, Hilma scrolle les fils d’actu des réseaux sociaux avec cette idée qui ne la quitte plus, comment vendre ses anciens vêtements devenus trop petits pour la
jeune femme qui vient d’accomplir ce truc magique qui est de donner la vie ?  

 Alors que le soleil s’apprête à tirer révérence, une idée s’insinue : Disrupter le marché de la seconde main ? C’est possible ?  hahaha  

Dans cet épisode, vous allez l’entendre, Hilma nous partage avec authenticité son histoire de jeune étudiante comorienne en Chine. Elle nous confie avec vulnérabilité et courage ses moments de doute, ses victoires surtout. 

 Avec Hilma nous avons parlé de moments formateurs, de son papa, de retour au pays, d’entreprenariat, de travail d’équipe, de confiance en soi, d’opportunités, de mentoring, d’inspiration, de rôle en tant que génération dans l’air du numérique, de vêtements de seconde main. Nous avons aussi parlé de maternité, de femmes, de mission, de vision et des Comores et beaucoup d’autres choses.     

Si tu souhaites en savoir davantage sur le parcours de Hilma, tu peux la contacter directement sur ses réseaux sociaux Intagram @better_life269 (https://urlz.fr/jDfS) / Youtube better life (https://urlz.fr/jDfM) et pour trier, vendre et gagner sur Instagram @gso_269. 

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A très vite avec de nouvelles histoires inspirantes. Et n’oublie pas, porte-toi bien. 

Comment se construire dans un système ou rien n’a été pensé pour nous. Ou les cartes ont été battues et rebattues sans prendre en compte notre présence, notre existence? Comment envisager un autre avenir lorsqu’on a toujours les mêmes modèle de “réussite”: Rappeur, dealeur de drogue, Footballeur etc.  

Comment réussir à se défaire de ces schémas, se sortir de la boucle et déjouer tous les pronostics de ceux qui voudraient nous assigner à ce seul type de rôle ?  

Rien ne prédestinait Alwarid a une vie d’écrivain encore moins celle de scénariste. En intégrant l’atelier d’écriture organisé par ses animateurs (Redoine et Lamine), Alwarid est loin d’imaginer qu’il pénètre comme Alice dans le nouveau monde des merveilles.  

Dans ce monde, il y fait la rencontre de Harry Potter, évidement ; Mais c’est surtout de lui-même qu’il rencontre. Il se découvre lui-même ; son don pour l’imagination qui l’incite à se lancer le pari fou de s’attaquer à un gros chantier ; celui de l’écriture. Pari
gagné puisqu’il publie le premier tome de la série du trilogie le livre d’or en
2021 aux éditions les Ilions. 

Dans cet épisode, Alwarid nous embarque avec lui dans son enfance au bois l'abbé, à Champigny. De la découverte de l’écriture à la publication de son tout premier roman, Alwarid
nous confie en toute honnêteté et transparence son cheminement, d’un jeune homme de quartier à écrivain/scénariste.  Avec Elwarid, nous avons parlé de religion, de vision du monde, de paternité et des Comores et beaucoup d’autres choses. 

Tu peux contacter Alwarid sur son Instagram @danpourdevrai. 

Te procurer son livre le livre d'or directemetement sur le compte officiel du livre @lelivredorunivers ou sur Amazon. 

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Porte toi bien et à très vite.

Lorsque Nizam m’a raconté l’histoire d’avec son père, je me suis amusée à l’imaginer dans le salon familial en train d’essayer de convaincre son paternel de le laisser entrer dans le monde des adultes.  Nizam ne rêve que de cela, créer sa propre entreprise, comme son père et son grand-père avant lui. Il faut attendre l’obtention de ton bac
s’entend -il répondre.  Il patientera, non sans mal, jusqu’à l’obtention de son sésame
de Bac et fera des études de gestion et administration d’entreprise pour couronner le tout.  Il fera ses dents en entreprise aux côtés de sa famille après le décès du patriarche pour prêter main forte à ses oncles et tantes.  

En parallèle, il s’associe avec des amis d’enfance pour monter un projet autour de la production agricole. Fort des leçons apprises de ses deux expériences, il crée B-évent, une entreprise dans l’évènementiel, avec son petit frère. 

Mais c’est lorsque l’amour l’emmène en France pour accueillir sa petite fille que l’idée de renouer avec ses premiers émois s’est insinué. Et si, il se convertissait dans la vente de produits agricole.  C’est ainsi que CODENAGRI et son point de vente Shindo Cha
Baraka voient le jour.  

Dans cet épisode, Nizam nous partage sa vision de l’entreprenariat, de l’importance de bien s’entourer pour créer son entreprise. Il nous confie sa vision de l’échec ; de ce qu’il aurait aimé savoir, avoir avant de lancer ces différentes entreprises. Il nous partage aussi l’après, comment on rebondit après…  

Parlant de rebondissement, j’ai particulièrement apprécié mon échange avec Nizam parce qu’il me fait penser à une balle de pingpong.
Qu’importe la profondeur dans laquelle la balle se retrouve, on peut toujours être sûr qu’elle rebondit toujours à l’image de Nizam.   

Si cet épisode t’a plus, partages le à une personne. N’hésite pas à aller suivre Nizam @mr_bourhani  sur instagram pour être informé de ses nouvelles aventures entrepreneuriales.  

On se retrouve très vite avec de nouvelles histoires inspirantes. Porte-toi bien d’ici-là.  

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Parfois, il ne suffit que d’une parole, une rencontre, un geste pour changer à tout jamais la trajectoire de vie d’une personne.  

La rencontre de Salim avec la danse ne fait que confirmer ce phénomène. Qui aurait parié que le simple geste du cousin de Salim de lui montrer une cassette vidéo de battle de danse alors âgé de 10 ans, suffirait à faire naitre en lui, une passion presque enivrante, électrisante qui va l’emmener à faire le tour du monde ?  

A écouter Salim, on croirait que son histoire sort dans un de ces films émouvants et inspirants dont seul Hollywood a le secret.  

Son histoire ne commence pas avec la découverte de la danse, mais c’est à partir de là qu’elle prend sens. Avec la danse, Salim entrevoit le monde des possibles, celui de la liberté tout d’abord par ce qu’il lui permet de toucher du bout du doigt les rêves qu’il formule dans sa tête. Mais c’est surtout l’esprit de compétition, la discipline, la rigueur qu’il retrouve dans la danse qu’il lui fait apprécier cette discipline. Dès lors, Salim ne pense qu’à la danse, il mange la danse, vit pour la danse. L’ironie voudra que ce mode vie influence ses résultats scolaires.
Lui qui ne se rendait à l’école que par obligation, voit ses notes s’envoler
pour l’emmener au Sénégal, un Bac scientifique en poche.  Il y fera la rencontre d’une femme, Germaine Acogny qui va changer radicalement sa vision de la danse. Il décide de mettre entre parenthèse ses études d’ingénieur pour intégrer l’école des Sables.  

Pendant plus 5 ans, il se produira dans les plus grandes scènes d’Afrique et du monde jusqu’au jour ou il décide de tout quitter pour revenir à la source, la ou tout à commencer avec pour seul bagage, une idée en tête.   

Dans cet épisode Salim nous racontera l’importance de croire en soi et en ses rêves/objectifs, des difficultés qu’il a rencontrées notamment
pour faire accepter sa vision à sa famille, de ce que la paternité a relevé en
lui, de processus de création et beaucoup d’autres choses.  

Pour contacter Salim, rendez-vous sur son instagram @bigseush.

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 Comment acquiert-on une passion ? une vocation ? c’est la question qui m’a presque tourmenté suite à mon échange avec Fania.  

Contrairement aux parents des sœurs William’s ou des sœurs des Polgar, les parents de Fania n’ont jamais voulu faire de leur fille une cheffe étoilé du guide Michelin, loin de la... Quand ils ont décidé à l’aube de
ses 12, 13 ans de la faire rentrer en cuisine c’était plutôt par volonté de répondre à des pressions/injonctions sociales qui voudraient que les petites filles
sachent tenir une maison avant de savoir tresser des poupées.  Fania n’est évidemment pas enchantée de la situation, surtout quand elle observe les traitements de faveur réservés à ses frères ainés. Encouragée par son papa qui ne tarit pas d’éloge sur ses talents culinaires, Fania prend gout et se voit poussé des ailes. Elle part faire ses armes aux côtés d’une cousine dont la passion est la cuisine. Et c’est comme ça que naisse sa vocation.  

Celle de cuisiner pour les autres, pour le plaisir de leur
faire plaisir tout simplement. Cette passion, ne la quittera jamais même quand elle était loin de la cuisine qui l’a vue naitre pour poursuivre son autre
vocation de juriste fiscaliste.  

Plus tard, quand son oncle lui insuffle l’idée de financer l’ouverture de son restaurant, Fania saisit l’occasion de faire naitre Aurestau.  

Auresteau n’est pas qu’un simple restaurant, mais cela elle nous l’explique au fil de notre échange. Elle partage aussi les challenges qu’elle a pu rencontrer dans la gestion de son restaurant et du rôle qu’a pu
jouer sa famille et son entourage dans la gestion de son entreprise.   

Vous pouvez contacter fania sur son instagram @mme_said_abasse. 

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Tu aimeras ton prénom ma fille, tu le porteras comme étendard pour montrer d’où tu viens et qui tu es. Ma propre maman aurait pu prononcer cette phrase comme beaucoup d’autre maman d’ailleurs.  

Mais, doit-on sincèrement, forcement embrasser nos prénoms ?
Doit-on continuer à le porter fièrement lorsque dans la cour d’école, on subit à longueur de journée des moqueries des camarades de classes ? Ton prénom est un peu trop long, un peu trop court, il fait vieillot, il semble exotique, ethnique, pourquoi tu t’appelles comme ça ? Comment fait-on face à ce genre d’harcèlement ?  

Chaque enfant apporte sa propre réponse : des stratégies d’évitement, des pleurs, des têtes baissées, de la honte ... Comment faire face ?  

Nasfa nous confie son histoire. Née NASSUIFATA, elle n’a jamais su réellement aimer ce prénom. Et puis ces petits/petites camarades la dans la cour d’école ne font que se moquer d’elle. Il a du attendre 24 longues années pour pouvoir prononcer son prénom, dire à haute voix comment elle s’appelle, NASFA.  

Nasfa a ce don de rendre léger des sujet graves comme le harcèlement scolaire.  Son histoire fait écho à celle de la mienne par bien des aspects. Mais ce que je
trouve formidable chez Nasfa c’est qu’elle a su prendre des initiatives pour pouvoir enfin être qui elle est réellement. Merci à elle pour cette leçon decourage et de détermination.  

Retrouvez Nasfa sur son compte IG @forever_nass

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Comment vous parlez d’elle… 

Non, je ne peux pas parler de maturité, d’âge et j’en passe. Non ça fait trop cliché. 

Nasma est plus que cela, plus que ces étiquètes. Elle symbolise pour moi le courage. D’ailleurs la prochaine fois que penserez au mot courage pensez Nasma. 

Courage parce qu’un beau jour elle a décidé qu’elle devait vaincre sa timidité et cela sans compter sur le soutien de son corps qui lui rappelait sans cesse qu’elle n’y arriverait pas. 

 A travers ma conversation avec Nasma, vous apprendrez sa recette du courage d’être soi. C’est un cocktail de … petit spoiler les ingrédients, vous les avez en vous. 

Mais comme on dit chez moi MADJI YANAZI YODJIVA HONAZINI …

Pour suivre les actualités de Nasma, retrouvez la sur Instagram: 

@wasaandi_nvst_ 

@_sudjaanland_ 

@allo.rh  

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Quand j’ai demandé à Cynthia si elle était prête à venir nous partager son histoire, elle a répondu oui en ces mots « je suis née prête ». 

Waw! je dois dire que j’ai été hapée par sa réponse: « Je suis née prete »...

C’est ainsi qu’elle est venue se raconter à mon micro. Cynthia revient sur son enfance à la Seine-Saint-Dénis, elle me parle de son rapport au corps et de la difficulté qu’elle a eue à s’accepter, elle évoque son mal-être qui a failli la conduire à commettre l’irréparable. 

Elle partage également son processus de réparation. Grâce à la thérapie, Cynthia a pu briser ses chaines et a réussi à faire de son hypersensibilité une force...

Pour suivre les actualités de Cynthia Mapenzi, retrouvez la sur :

Instagram: @cynthiamapendzi

Facebook : @mapenzicoaching/ @afrothentika 

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 Les fibromes utérins font partis des nombreuses maladies qui font souffrir les femmes à travers le monde et dont on ne parle que très peu.

Zoulaykha nous invite avec bienveillance à revivre avec elle, son cheminement de femme maitresse de son corps même dans l’adversité. Elle nous parle avec candeur de son déni de la maladie et de son parcours vers l’acceptation et comment elle compose désormais avec ses fibromes utérins.

A travers cet épisode, elle souhaite éviter que d’autres femmes aient à passer par ce à quoi elle a dû traverser pour survivre. 

Si vous souhaitez la contacter pour prolonger la discussion ou simplement pour manifester votre soutien, vous pouvez la retrouver sur Instagram à @zouleeykha.

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Aujourd'hui je reçois Amna, 

Femme et Coach en mission de vie. A travers cet épisode, elle nous raconte son parcours, ses expériences qui l'ont ménées à découvrir sa mission de vie qui est celle d'accompagner les autres à mettre en lumière la leur. 

N'hesitez pas à suivre Amna sur: 

Facebook: @coachmissiondevie ou @amnachaharane

Instagram : @amnachaharane

Twitter : @amnachaharane

Son site internet : amnachaharane.com 

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