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    Moi aussi - NEON

    Un vécu hors du commun ou un message fort à délivrer : il fallait qu'on en parle, on en a parlé. Des témoignages recueillis par la rédaction de Néon.

    Ce nouveau rendez-vous succède au Répondeur et à Moi aussi, deux podcasts de Néon que vous pouvez retrouver en remontant dans les archives.

    N'hésitez pas à vous rendre sur notre fil Instagram (@neon_mediafr) et composez le numéro suivant : 01.73.05.57.57 si vous avez des témoignages à partager. On a hâte de vous écouter.

    fr35 Episodes

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    Episodes (35)

    "J'ai pu devenir mère grâce au don d'utérus de ma maman"

    "J'ai pu devenir mère grâce au don d'utérus de ma maman"

    Déborah est atteinte du syndrome MRKH, ce qui signifie qu'elle est née sans utérus. Elle a longtemps cru qu'elle ne pourrait jamais être mère, jusqu'à ce que la médecine lui permette de vivre un miracle : une grossesse grâce à une greffe de l'utérus de sa propre maman. Une première en France, et qui a permis la naissance de la petite Misha, qui a aujourd'hui 8 mois

    Moi aussi - NEON
    frNovember 15, 2023

    Faut qu'on parle #14 : Mathieu raconte les origines de la violence masculine

    Faut qu'on parle #14 : Mathieu raconte les origines de la violence masculine

    Avertissement : violences conjugales

    Plus de 200 000 femmes au moins sont victimes de violences conjugales chaque année, de la part de leur conjoint ou ex, selon les chiffres du gouvernement. Pour tenter de comprendre les racines ces violences masculines et surtout, défaire le tenace mythe du "monstre", le journaliste Mathieu Palain a intégré plusieurs groupes de parole pendant quatre ans. Témoignage.

    Faut qu'on parle #10 : Jean-Michel Blais se confie sur le syndrome Gilles de la Tourette

    Faut qu'on parle #10 : Jean-Michel Blais se confie sur le syndrome Gilles de la Tourette

    Billie Eilish, Lewis Capaldi... De nombreux artistes ont récemment confié souffrir du syndrome Gilles de la Tourette. Maladie encore peu connue, difficilement diagnostiquable et traitable, celle-ci se manifeste essentiellement par des tics physiques ou verbaux.


    Pour Jean-Michel Blais, pianiste de profession, seule la pratique de la musique permet de calmer ces tics qui peuvent rapidement devenir gênant. Mais qui font de lui le musicien qu'il est aujourd'hui.

    Faut qu'on parle #9 : Kathy dénonce le racisme dans le milieu de la danse classique

    Faut qu'on parle #9 : Kathy dénonce le racisme dans le milieu de la danse classique

    Aujourd'hui, c'est la Journée internationale de la danse. À cette occasion, Kathy Laurent Pourcel nous confie son expérience du racisme dans le milieu du ballet. Elle souhaite aujourd'hui briser ce tabou pour faire de la danse un milieu plus inclusif : pour elle, cette ouverture ne peut se faire qu’en visibilisant les danseurs‧euses et chorégraphes noir‧e‧s au même titre que les autres.

    Faut qu'on parle #8 : Kenza nous parle de discrimination capillaire

    Faut qu'on parle #8 : Kenza nous parle de discrimination capillaire

    lus jeune, Kenza Bel Kenadil ne connaissait pas sa propre nature de cheveux : elle avait toujours été habituée à les défriser, les lisser ou les attacher. Il lui aura fallu 7 ans pour avoir le déclic et tenter la grande aventure, celle de partir à la découverte d’elle-même et de ses cheveux naturels. Sur ses réseaux, @kenzablkn partage ses routines capillaires pour aider d’autres personnes à apprivoiser leurs cheveux texturés, mais prend aussi position de manière engagée : convaincue que le cheveu est avant tout politique, elle milite avec une ferveur joyeuse contre la discrimination capillaire, en entreprise, dans l’espace public, et dans la société en général.

    Faut qu'on parle #7 : Samuel Buisseret, rescapé du complotisme

    Faut qu'on parle #7 : Samuel Buisseret, rescapé du complotisme

    Adepte des théories du complot, il a fallu un événement tragique pour pousser Samuel Buisseret à se questionner et « ne plus croire n’importe quoi ».


    Connu sous le pseudo de MrSam, le Belge consacre désormais sa vie à débunker les théories fumeuses qui circulent sur les réseaux sociaux et aide ses abonné·es à développer leur esprit critique, arme selon lui indispensable pour remettre en question ses croyances et ne plus se laisser berner par de fausses informations.


    Dans son livre “Arrêtez de croire n’importe quoi !” (éditions Boeck Supérieur) et devant notre caméra, il revient sur sa sortie brutale du complotisme et nous donne toutes les clés nécessaires pour nous en protéger.

    Sa chaîne YouTube : @MrSamZet

    Faut qu'on parle #6 : Bettina Zourli, childfree et fière de l'être

    Faut qu'on parle #6 : Bettina Zourli, childfree et fière de l'être

    Depuis toujours, Bettina Zourli sait qu’elle ne veut pas d’enfant. “Je suis née pour être non-mère”, affirme cette créatrice de contenu. Grâce à son compte instagram @jeneveuxpasdenfant, Bettina a pu créer une communauté de childfree, mais aussi de femmes et d’hommes qui s’interrogent sur la parentalité.


    La trentenaire témoigne aujourd’hui pour faire changer les mentalités et, surtout, pour que les femmes reprennent possession de leurs désirs et de leur corps. Avoir un enfant doit rester un choix, et non une obligation.


    Si Bettina confie que sa famille et ses amis ont toujours été bienveillants face à ses choix, la pression sociale reste forte lorsque l’on parle de procréation. D’après les derniers chiffres de l’Ined datant de 2016, 4,5% des Françaises majeures ont fait le choix de ne pas avoir d’enfants.

    Faut qu'on parle #5 : Charlotte, alcoolique depuis l'âge de 13 ans

    Faut qu'on parle #5 : Charlotte, alcoolique depuis l'âge de 13 ans

    Alcoolique. Ce mot bourré de clichés et encore très tabou en France, Charlotte (@charlypeyronnet) a dû y faire face il y a deux ans, lorsqu'elle a entamé son parcours de sobriété. Se dire alcoolique, c'était aussi revenir sur toute une vie d'excès, de soirées, de bon vin, de repas de famille, de solitude, aussi.


    Charlotte a commencé à boire à l'âge de 13 ans, et a dû s'arrêter aux prémisces de la trentaine. "C'était soit ça, soit la mort", dit-elle. Cette ingénieure agricole, puis journaliste, puis restauratrice, a construit son alcoolisme, et le raconte à NEON.


    Un alcoolisme au féminin, honteux, caché, si difficile à assumer. Auourd'hui, Charlotte écrit son histoire, dans un roman à paraître en janvier 2024 aux éditions Denoël (@editionsdenoel), pour que nous puissions toustes remarquer ces femmes – nos mères, nos sœurs, nos amies, nos collègues.

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