Logo

    Off we go ! - Le changement positif

    Bienvenue sur Off we go !, le podcast du changement positif. Chaque épisode est l’occasion de partager des discussions inspirantes autour des Objectifs de Développement Durable développés par l’ONU avec celles et ceux qui s’y consacrent aujourd’hui. Nous nous attacherons à comprendre comment nous pouvons les mettre concrètement en action au sein de nos entreprises, collectivités, foyers, … C’est ensemble que nous ferons de cette décennie, la décennie du changement positif, celle de l’action. Les opportunités sont multiples et passionnantes. Alors agissons !
    fr61 Episodes

    People also ask

    What is the main theme of the podcast?
    Who are some of the popular guests the podcast?
    Were there any controversial topics discussed in the podcast?
    Were any current trending topics addressed in the podcast?
    What popular books were mentioned in the podcast?

    Episodes (61)

    [REDIFF] - Du Greenwashing à la communication éco-résponsable - Mathieu Jahnich

    [REDIFF] - Du Greenwashing à la communication éco-résponsable - Mathieu Jahnich

    Les sujets autour de la crise écologique occupent une place de plus en plus importante dans les stratégies de communication des marques. Si nous pouvons nous en réjouir, toutes les entreprises ne le font pas avec les meilleures intentions ou si les intentions ne sont pas focemment mauvaises au départ, le degré de transparence et de sincérité n’est pas toujours au rendez-vous et beaucoup d’entreprises basculent dans ce que l’on appelle le greenwashing. On ne compte plus les publicités de produits qui se disent « verts » que ce soient des voitures, des vêtements ou des produits ménagers. Même les banques s’y mettent. Certaines marques jouent avec les limites et brouillent les messages. Mais le consommateur est de plus en plus averti et s’y trompe de moins en moins notamment grâce aux réseaux sociaux.


    Tout cela démontre bien qu’il y a désormais un vrai enjeu pour les entreprises à s’emparer des sujets liés à la transition écologique. Leur rôle est fondamental dans la création d’un nouvel imaginaire afin de véhiculer un nouveau modèle de société. Les marques doivent prendre leurs responsabilités afin de refléter une réalité et non plus seulement la sur-valorisation d’un produit ou d’un service. 


    Aujourd’hui je reçois Mathieu Jahnich enseignant à Sciences Po en Marketing et communication responsables. Spécialiste des sujets de communication et de transition écologique. Mathieu nous explique les rouages du greenwhashing et comment les entreprises peuvent éviter de tomber dans ce piège et ainsi prendre leurs responsabilités. 


    Liens et références :


    • Site Internet : https://mathieu-jahnich.fr/
    • Loi climat : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043956924
    • Guide de la communication responssable (Ademe) : https://librairie.ademe.fr/consommer-autrement/1757-guide-de-la-communication-responsable-9791029709661.html
    • Jury de déontologie publicitaire : https://www.jdp-pub.org/
    • LABEL BIO 
    • Eco label européen : https://www.ademe.fr/expertises/consommer-autrement/passer-a-laction/reconnaitre-produit-plus-respectueux-lenvironnement/dossier/lecolabel-europeen-logos-publics/lecolabel-europeen-ecolabel-connu-reconnu-france
    • Label commerce équitable : https://www.commercequitable.org/le-commerce-equitable/les-labels/
    • La vie Low tech en 2040 : https://www.institutparisregion.fr/economie/commerce-et-consommation/la-vie-low-tech-en-2040/

    [REDIFF] - En finir avec les stéréotypes - Inès Dauvergne (Meandyoutoo)

    [REDIFF] - En finir avec les stéréotypes - Inès Dauvergne (Meandyoutoo)

    Au cœur de l’Agenda 2030 développés par les Nations Unies, 17 objectifs de développement durable ont été fixés. Ils couvrent l’intégralité des enjeux de développement dans tous les pays tels que le climat, la biodiversité, l’énergie, l’eau, la pauvreté, la prospérité économique mais également la réduction des inégalités, l’égalité entre les genres et les sexes. Ils sont tous interconnectés et les aspects sociétaux y sont tout aussi importants que les aspects environnementaux.

    Pour aborder les questions de diversité et de lutte contre les discriminations qui sont au cœur des ODD, j’ai la chance aujourd’hui de recevoir Inès Dauvergne. 

    Inès est depuis 15 ans une spécialiste de ces sujets. A ce titre, elle a été pendant 11 ans la responsable Diversité du réseau des entreprises pour la cité, elle est également intervenue en tant qu’experte auprès de différentes institutions dont des ministères, le Medef ou la cnil. Elle a été chroniqueuses Diversité sur BFM Business dans l’émission « A but non lucratif » et a été membre du groupe de travail interministériel sur la prévention des discriminations entre 2015 et 2017. 

    Inès accompagne désormais les entreprises dans la construction et la structuration de leurs politiques Diversité et Inclusion. Elle a cofondé en 2018 la startup Meandyoutoo qui propose des autodiagnostics digitaux sur les comportements inclusifs et collaboratifs en entreprise.

    Des stéréotypes et comment les enrayer à l’engagement individuel en passant par la mise en place de politique Diversité et Inclusion efficace et pérenne en entreprise, je pense que cette conversation invite à la réflexion. J’espère que vous allez aimer cet épidose autaut que j’ai aimé l’enregistrer, je ne vous en dis pas plus, je laisse place à notre conversation avec Inès Dauvergne.


     

    Ressources mentionnées : 

    Site internet et autodiagnostics :  

    https://www.meandyoutoo.fr/


    Dessin animé - Zootopie 

    https://www.youtube.com/watch?v=eOJKgmAZAo8

    [REDIFF] - Luttons contre le gaspillage alimentaire - Jean Moreau (Phenix)

    [REDIFF] - Luttons contre le gaspillage alimentaire - Jean Moreau (Phenix)

    Chaque année, 1,3 milliards de tonnes de nourriture sont jetées dans le monde. Le gaspillage alimentaire est une absurdité non seulement écologique puisque la production de nourriture est aujourd’hui le principal émetteur de gaz à effet de serre dans l’atmosphère sans parler des tonnes de ressources gaspillés mais c’est aussi une absurdité sociale car la nourriture jetée en France pourrait nourrir 10 millions de personnes. C’est plus que le nombre de personnes dans le besoin. Et tout ça a évidemment des conséquences économiques : le gaspillage alimentaire coûte, chaque année, plus cher que le trou de la Sécurité sociale.


    C’est en regardant tous ces chiffres que Jean Moreau a décidé de créer Phénix avec Baptiste Corval en proposant aux industriels de commercialiser leurs invendus à moindre coût via une application ou d’en faire don à des associations. Phénix est désormais la startup leader de l’anti-gaspillage alimentaire en Europe et un acteur majeur de l’économie sociale et solidaire. Phénix a déjà réussi à engager 1 million de citoyens sur son application mobile et sauve chaque jour 120 000 repas. Phenix est  présents dans 25 villes françaises et 4 pays en Europe.


    Avec Jean nous parlerons du rôle de l’entreprise pour changer la société, de la nécessité de changer de paradigme et comment les entreprises pourraient s’inspirer de celles de l’Économie sociale et solidaire pour opérer leur transformation. 


    Bonne écoute à toutes et à tous !


    Ressources mentionnées


    Site internet Phénix : https://wearephenix.com/


    Application Phénix : https://phenixapp.page.link/open


     


    Labels


    B-Corp : https://www.bcorporation.fr/


    ESUS : https://www.economie.gouv.fr/entreprises/agrement-entreprise-solidaire-utilite-sociale-ess


    Mouvement Impact France / Tech for Good France : https://impactfrance.eco/thematiques/tech-for-good/

    [REDIFF] - Éco-anxiété: gérer ses émotions face à la crise écologique - Charline Schmerber

    [REDIFF] - Éco-anxiété: gérer ses émotions face à la crise écologique - Charline Schmerber

    Nous évoluons dans un monde de plus en plus incertain avec des tas d’enjeux notamment environnementaux tellement complexes qu’ils nous dépassent souvent. Cette prise de conscience, même si on l’estime nécessaire, peut générer beaucoup de différentes émotions qui peuvent être parfois très difficiles à appréhender même pour les plus engagés d’entre nous. Eco-anxiété, solastalgie, nous pouvons désormais mettre des mots sur ces émotions qui nous traversent et avec lesquelles nous devons désormais composer. 


    Heureusement, il existe des professionnels comme Charline Schmerber. 


    Charline est praticienne en psychothérapie et est spécialisée dans l’éco-anxiété, la solastalgie et toutes ces nouvelles souffrances avec lesquelles nous allons devoir apprendre à vivre pour réussir à construire la suite du monde. 


    Cet épisode était très important pour moi car pour avancer, trouver des solutions, nous devons prendre soin de nous, comprendre et composer avec ces nouveaux maux. J’espère sincèrement que cet échange avec Charline vous donnera des clés pour vivre plus sereinement et vous fera du bien. Comme ça a été le cas pour moi.  



    Ressources mentionnées: 



    Site de Charline Schmerber : http://www.solastalgie. fr/


    Lise van Susteren


    Glenn Albrecht – Les émotions de la Terre 


    Baptiste Morizot 


    Susan Clayton – Echelle pour  mesurer le degré d’anxiété 


    Courbe du deuil d'Elisabeth Kübl er-Ross 


    Laure Noualhat  - Comment rester écolo sans finir dépressif 


    Paul Chefurka – Pour gravir les échelles de la conscience  


    Nicolas Gluzman - Association Futurs proches 


    Nos voix de résiliences de Flora Clodic-Tanguy  


    L’ampleur de toutes choses – Jennifer Abbott  

    [REDIFF] - Lutter contre la pollution plastique - Muriel Papin (No Plastique in My Sea)

    [REDIFF] -  Lutter contre la pollution plastique  - Muriel Papin (No Plastique in My Sea)

    Le plastique a envahi les moindres recoins de nos vies, il est partout ! La production plastique a été multipliée par 20 en 50 ans selon le World Economic Forum. Au cours de cette dernière décennie, le monde a produit plus de plastiques que durant les 100 dernières années. Nous produisons mondialement, en moyenne 400 millions de tonnes de plastiques par an.

    Le succès du plastique n’est pas sans raison, il est pratique, léger et pas cher et a permis des avancées énormes dans bien des domaines notamment dans le domaine médical. Le problème, c’est que la moitié du plastique utilisé est à usage unique. La pollution plastique a atteint des proportions alarmantes, avec chaque année, au moins 8 millions de tonnes de plastique qui finissent dans les océans soit 253 kilos de plastique par seconde, qui finissent en micro-particules avec des conséquences dramatiques sur la faune et la flore mais aussi sur l’Homme. 

    C’est en réalisant toutes ces conséquences que Muriel Papin, passionnée par le développement durable et l’économie circulaire, a décidé de s’engager en créant avec d’autres amoureux de la mer, des parents soucieux de ne pas laisser une dette environnementale à leurs enfants, l’association No Plastic In My Sea. L’association a pour objet de lutter contre la pollution plastique et ses conséquences sur l’écosystème marin.

    Muriel nous expliquera les origines et les conséquences de la pollution plastique dont certaines que nous ne soupçonnons pas mais elle nous donnera surtout des solutions pour lutter contre ce fléau.


    • Ministère des solidarité et de la Santé / Qualité de l'eau : https://solidarites-sante.gouv.fr/sante-et-environnement/eaux/eau


    • Documentaire : "Kiss The Ground" (Josh et Rebecca Tickell)


    • Philosophie magazine : "Comment penser d’un point de vue étique les questions climatiques ?"


    • Site web : https://noplasticinmysea.org/
    • Formulaire d’inscription au No Plastic Challenge : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSem1qR7RypHDFoNNw_6KpTJZu52pbg38xuizojkM7Dayx42gw/viewform


    • Instagram : https://www.instagram.com/noplasticinmysea/
    • Facebook : https://www.facebook.com/noplasticin/
    • Twitter : https://twitter.com/noplasticfrance
    • Linkedin : https://www.linkedin.com/company/no-plastic-in-my-sea/

    #35 - L'art au service du bien commun - Yacine Aït Kaci et Adeline Pilon (Elyx)

    #35 - L'art au service du bien commun - Yacine Aït Kaci et Adeline Pilon (Elyx)

    Faire connaître les ODD au plus grand nombre tel est l’enjeu que nous avons pour passer du discours aux actes et avoir un réel impact. Il est important de comprendre l’approche systémique des ODD : on ne peut pas traiter le sujet de la lutte contre le changement climatique sans s’assurer de l’égalité entre les sexes ou un accès à des emplois décents ou dans un monde en guerre. Je le répète souvent, mais il faut passer par une étape indispensable qui est de s’informer, de connaître les enjeux pour avancer dans le bon sens et ainsi créer ensemble de nouveaux récits. Pour faire passer les messages, tous les canaux doivent être utilisés. Via l’éducation par exemple où ces sujets doivent être abordés dès le plus jeune âge mais aussi via la culture et l’art qui aident à la construction de nouveaux imaginaires et de cette nouvelle réalité.Un petit bonhomme avec un joyeux sourire s’emploie à faire passer ces messages chez les petits comme chez les plus grands. Je ne sais pas si vous le connaissez. Il s’agit d’Elyx, l’ambassadeur virtuel des Nations Unies.

    Ce personnage porte sans un mot un message universel pour encourager la paix, le développement durable ou la lutte contre les changements climatiques.

    Derrière ELYX se cache l’artiste digital Yacine Ait Kaci que j’ai la chance de recevoir aujourd’hui en compagnie d’Adeline Pilon. Ensemble, ils ont créé la fondation ELYX qui mène d'une part des actions de plaidoyer et d'autre part a créé le programme 10togo pour décomplexifier les sujets et décomplexer chacun face aux grands enjeux de la décennie. 


    Ressources mentionnées :


    Site de la Fondation Elyx  



    #34 - La stratégie d'amplification - Yaël Guillon (Imfusio)

    #34 - La stratégie d'amplification - Yaël Guillon (Imfusio)

    Depuis de nombreuses décennies, le capitalisme est le système qui régit notre société. Le profit comme seul objectif et le mythe de la croissance infinie sont bien ancrés dans les esprits et les règles intrinsèques des organisations.  


    Mais on le sait, ceci n’est plus soutenable et il va falloir faire différemment. Pour les entreprises notamment, il est indispensable d'opérer une transformation en profondeur afin que leurs activités ne génèrent plus d’externalités négatives mais au contraire aient un impact positif. Et cela prend du temps, beaucoup de temps. Mais je suis convaincue que si elles décident de bouger, elles sont les mieux placées pour y arriver et utiliser leur force de frappe et leur réactivité au service du bien commun. Ce changement doit s’opérer à toutes les strates d’une organisation afin de redonner du sens à ses actions. La bonne nouvelle c’est qu’il suffit seulement de quelques unes pour atteindre le fameux point de bascule de Malcolm Gladwell. Elles entraîneront mécaniquement les autres dans leur sillage et progressivement, toutes contribueront positivement au monde. 


    Aujourd’hui je reçois Yaël Guillon, co-fondateur d’Imfusio. Imfusio accompagne les entreprises dans leurs transformations en redonnant du pouvoir à leurs collaborateurs, leur permettant ainsi d'avoir impact positif en contribuant à un monde plus inclusif et respectueux de l’environnement. Yaël travaille sur la stratégie d’amplification car elle est au cœur de la logique de dépassement du capitalisme pour créer des conditions qui vont rendre possible ces fameux points des bascule vers des changements durables destinés à réparer la société.


    J’espère vous fera voir le monde de l’entreprise différemment !  


    Ressources mentionnées:


    Site d'Imfusio: https://imfusio.com/fr


    Guide pour faire échouer des projets contre
    la nature
     de François Verdet


    Héritage et fermeture : une écologie du démantèlement  d'Emmanuel Bonnet, Diego Landivar et Alexandre Monnin  


    Sortir de la croissance Mode d'emploi  d'Eloi Laurent


    Certification B-Corp  


    Communauté des entreprises à mission 






    #33 - Devenir agent du changement - Hélène de Vestele (Edeni)

    #33 - Devenir agent du changement - Hélène de Vestele (Edeni)

     Pour réussir le pari de la transition écologique, nous devons changer et vite que ce soit dans nos vies professionnelles et nos vies personnelles. Et ce n’est pas la volonté qui manque puisque 70% des collaborateur.rices souhaiteraient être davantage impliqué.es dans la stratégie RSE de leur entreprise. Et 88% des Français.es se disent préoccupée par l’environnement. 

    Mais ce type de changement ou de transition peut faire peur et beaucoup de personnes
    renoncent. 

    Alors comment avoir un impact malgré tout ? Comment insuffler plus de sens dans son
    quotidien ? 

    On peut devenir agent du changement et opérer des transformations en influençant de
    l’intérieur ses proches et ses collègues pour faire boule de neige ! Pour cela, il n’y a pas de secret, il faut s’intéresser, se former. 

    C’est ce que propose Edeni, qui vous permet de vous former aux enjeux actuels : écologie, santé et éthique et vous donne toutes les clés pour une transition réussie. 

    Aujourd’hui, j’ai la chance de recevoir Hélène de Vestele, la fondatrice d’Edeni. En plus de son engagement entrepreneurial, Hélène est avant tout quelqu’un de passionné par toutes les problématiques liées aux changements systémiques : zéro déchet, éco féminisme et tellement d’autres sujets. 

    Avec Hélène, nous parlons des méthodes pour accompagner ces transitions et cette quête de sens, comment éviter les fausses bonnes idées et bien d’autres sujets. 



    Ressources mentionnées :


    Edeni : https://www.edeni.fr/

    Chaine Youtube



    Bullshit Jobs de David Graeber

    Les Héritiers Pierre Bourdieu

    L'éco-anxiété, vivre sereinement dans un monde abîmé  de Alice Desbiolles

    Les besoins artificiels de Razming Keucheyan 

    La pyramide des besoins de Maslow 

    Comment trouver son Ikigaï ? 



      

      

       

    #32 - Décélérer pour retrouver son écologie intérieure - Alice Vivian (Mojom)

    #32 - Décélérer pour retrouver son écologie intérieure - Alice Vivian (Mojom)

    Pour faire face à la crise climatique à laquelle nous sommes confrontés, nous n’avons pas d’autres choix que celui de la sobriété. Pour cela, il nous faut changer nos modes de vie et apprendre à ralentir, à décélérer.

    Mais comment fait-on cela dans une société qui ne jure que par la performance et dans laquelle tout va vite, tout est injonction et dans laquelle la pression constante ? 

    Nous devons nous reconnecter à l’essentiel, à la nature, à l’autre et surtout à nous-mêmes. Nous devons reprendre le pouvoir sur la gestion de notre temps, de notre stress et de notre énergie, évidemment  dans nos vies privées mais ces sujets doivent également être pris en compte et portés par les entreprises.

    C’est ce que fait Alice Vivian au quotidien. Après avoir co-dirigé pendant presque 5 ans l’Institut des futurs souhaitables, Alice décide de créer Mojom. Passionnée de l’humain, elle aime explorer de nouveaux territoires et créer des ponts entre les disciplines, proposant une approche intégrative et systémique du changement. Hybridant prospective et innovation, neurosciences, intelligence émotionnelle et yoga, c’est avant tout l’intelligence du CORPS qui est au cœur de ses recherches et de ses méthodes.

    Avec Alice on parle de l’importance de décélérer,  de se reconnecter à la nature mais surtout et avant tout à soi. Dans cet épisode, vous allez apprendre à libérer vos super pouvoirs, car oui, selon Alice, nous en avons tous des super pouvoirs. 


    Ressources citées :

    www.mojom.fr

    Livre : Joanna Macy  “L’espérance en mouvement”  

    Le travail qui relie  de Joanna Macy


    Episode n°27 sur l'éco-anxiété  avec Charline Schermber


    #31 - Quel futur désirable ? - Virginie Raisson-Victor (Le Grand Défi)

    #31 - Quel futur désirable ? - Virginie Raisson-Victor (Le Grand Défi)

    Nous sommes dans un monde qui fonctionne en système complexe, très complexe. Et quand il s’agit de se projeter dans un futur désirable, où sobriété rimerait avec prospérité, nous avons toutes les peines à le faire. Et pourtant, cet exercice pourrait nous être très utile pour mettre en place les actions qui nous permettront de changer de paradigme et d’agir pour construire un futur durable. 

    Dans cet objectif, des professionnels se penchent tous les jours sur l'éventail des possibles.

    C’est le cas de Virginie Raisson Victor que j’ai le plaisir de recevoir aujourd’hui. Virginie est geopolitologue spécialisée en prospective. Virginie a beaucoup de différentes casquettes dont celles de présidente du GIEC Pays-de-Loire et de co-fondatrice du Grand Défi. Le Grand Défi est un processus participatif inédit qui fédère les acteurs économiques et la société civile autour d’un objectif commun: accélérer la transition de l’économie pour mettre en place un modèle durable pour tous. 

    Cet épisode est peu plus long que d’habitude mais très riche. Virginie nous parle entre autres de la complexité de notre époque, nous amène à nous interroger sur la responsabilité qu’a chaque acteur de notre société pour relever le défi qui est le nôtre, et nous offre des solutions à explorer.


    Ressources mentionnées:


    Le Grand Défi - Des entreprises pour la planète


    En plus des travaux qu'elle publie régulièrement dans des revues et des ouvrages collectifs, Virginie Raisson-Victor est coauteur des deux premiers Atlas du Dessous des Cartes et surtout l'auteur de deux ouvrages de référence dans le domaine de la prospective : "2033, Atlas des Futurs du Monde " (nov 2010) et "2038, les Futurs du Monde"  (nov 2016), traduit en 5 langues et vendus à plus de 40 000 exemplaires.

    L'institut des futurs souhaitables 


    Le monde d'hier : souvenirs d'un européen de Stefan Zweig 


    Le Comité 21 


    Le Bug Humain de Sébastien  Bohler


    Autres épisodes en lien avec celui-ci


    Le Développement Durable ou la co-construction de la transformation - Sarah Schönfeld 

    La construction collective, la clé de la transformation de l'entreprise  - Alexandre Brailowsky


    #30 - Parlons déchets ! - Alexis Lemeillet (Take a waste)

    #30 - Parlons déchets ! - Alexis Lemeillet (Take a waste)

    330 millions de tonnes de déchets. C’est ce que nous produisons en France actuellement chaque année, soit 3 à 4 tonnes par personne. C’est astronomique ! Bien sûr, une partie est recyclée mais il ne s’agit que d’une infime partie. Alors si tout n’est pas recyclé, que deviennent nos déchets ? Car malheureusement, ils ne disparaissent pas comme par magie après que nous les ayons mis à la poubelle ! Le véritable enjeu est donc la prévention et la réduction drastique des différents types de déchets. Des solutions doivent être mises en œuvre afin de tendre vers le zéro déchet. Quelles sont les solutions pour atteindre cet objectif ? Les entreprises sont majoritairement les plus grosses productrices de déchets. Elles doivent donc se responsabiliser à l’heure où nombre d’entre elles sont encore très loin du compte. Toutefois, il n’y a pas de petit geste. Chaque effort, chaque pas vers l’idéal contribue à faire avancer les choses, à changer les mentalités. 


    L’entreprise Take a waste a pour vocation d’accompagner les professionnels dans le traitement responsable de leurs déchets. Sensibilisation, prévention, accompagnement, … Take a waste s’instigue en véritable partenaire des entreprises. Dans cet épisode, j’ai le plaisir d’échanger avec Alexis Lemeillet. Alexis est le cofondateur de Take a waste. Il nous explique comment lui est venue l’envie de s’investir sur ce sujet et la façon dont il propose d’emmener les entreprises partenaires vers une meilleure prise en compte de leur impact et la réduction de leurs déchets. 



    Ressources, références et crédit :


    #29 - Du Greenwashing à la communication éco-résponsable - Mathieu Jahnich

    #29 - Du Greenwashing à la communication éco-résponsable - Mathieu Jahnich

    Les sujets autour de la crise écologique occupent une place de plus en plus importante dans les stratégies de communication des marques. Si nous pouvons nous en réjouir, toutes les entreprises ne le font pas avec les meilleures intentions ou si les intentions ne sont pas focemment mauvaises au départ, le degré de transparence et de sincérité n’est pas toujours au rendez-vous et beaucoup d’entreprises basculent dans ce que l’on appelle le greenwashing. On ne compte plus les publicités de produits qui se disent « verts » que ce soient des voitures, des vêtements ou des produits ménagers. Même les banques s’y mettent. Certaines marques jouent avec les limites et brouillent les messages. Mais le consommateur est de plus en plus averti et s’y trompe de moins en moins notamment grâce aux réseaux sociaux.


    Tout cela démontre bien qu’il y a désormais un vrai enjeu pour les entreprises à s’emparer des sujets liés à la transition écologique. Leur rôle est fondamental dans la création d’un nouvel imaginaire afin de véhiculer un nouveau modèle de société. Les marques doivent prendre leurs responsabilités afin de refléter une réalité et non plus seulement la sur-valorisation d’un produit ou d’un service. 


    Aujourd’hui je reçois Mathieu Jahnich enseignant à Sciences Po en Marketing et communication responsables. Spécialiste des sujets de communication et de transition écologique. Mathieu nous explique les rouages du greenwhashing et comment les entreprises peuvent éviter de tomber dans ce piège et ainsi prendre leurs responsabilités. 


    Liens et références :


    • Site Internet : https://mathieu-jahnich.fr/
    • Loi climat : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043956924
    • Guide de la communication responssable (Ademe) : https://librairie.ademe.fr/consommer-autrement/1757-guide-de-la-communication-responsable-9791029709661.html
    • Jury de déontologie publicitaire : https://www.jdp-pub.org/
    • LABEL BIO 
    • Eco label européen : https://www.ademe.fr/expertises/consommer-autrement/passer-a-laction/reconnaitre-produit-plus-respectueux-lenvironnement/dossier/lecolabel-europeen-logos-publics/lecolabel-europeen-ecolabel-connu-reconnu-france
    • Label commerce équitable : https://www.commercequitable.org/le-commerce-equitable/les-labels/
    • La vie Low tech en 2040 : https://www.institutparisregion.fr/economie/commerce-et-consommation/la-vie-low-tech-en-2040/

    #28 - Le numérique responsable et inclusif - Frédéric Bardeau (Simplon)

    #28 - Le numérique responsable et inclusif - Frédéric Bardeau (Simplon)

     Le numérique est au cœur de nos vies. Il crée des emplois, facilite les échanges, accélère la communication, etc … Mais a-t-il toujours un impact positif ? Il peut être source d’exclusion pour beaucoup et son impact écologique est lui aussi considérable.  

    Pour toutes ces raisons, il est important de former au numérique mais de le faire de façon responsable et inclusive. 

    C’est de cette volonté qu’est née Simplon, entreprise solidaire qui forme tout un chacun aux métiers du numérique en partant du principe que ce n’est pas réservé aux matheux ou à une catégorie sociale particulière. Simplon fait du numérique est vrai vecteur d’insertion.  

      

    Dans cet épisode, j’ai le plaisir de m’entretenir avec Frédéric Bardeau, Président et co-fondateur de Simplon. Frédéric a eu un parcours qu’on peut qualifier d’atypique. Il a étudié les sciences politiques, la sociologique et l’intelligence économique, a été Saint-Cyrien et
    parachutiste dans l’armée. Il est Fellow Ashoka passionné de cyberculture, de
    communication, adepte du Miracle morning et il a même écrit un livre sur les “Anonymous”.  

     Frédéric nous explique comment est née cette entreprise dont l’objectif est aujourd’hui de réconcilier le plus de monde possible avec le numérique en les formant de manière responsable. 

    #27 - Éco-anxiété: gérer ses émotions face à la crise écologique - Charline Schmerber

    #27 - Éco-anxiété: gérer ses émotions face à la crise écologique - Charline Schmerber

    Nous évoluons dans un monde de plus en plus incertain avec des tas d’enjeux notamment environnementaux tellement complexes qu’ils nous dépassent souvent. Cette prise de conscience, même si on l’estime nécessaire, peut générer beaucoup de différentes émotions qui peuvent être parfois très difficiles à appréhender même pour les plus engagés d’entre nous. Eco-anxiété, solastalgie, nous pouvons désormais mettre des mots sur ces émotions qui nous traversent et avec lesquelles nous devons désormais composer. 

    Heureusement, il existe des professionnels comme Charline Schmerber. 

    Charline est praticienne en psychothérapie et est spécialisée dans l’éco-anxiété, la solastalgie et toutes ces nouvelles souffrances avec lesquelles nous allons devoir apprendre à vivre pour réussir à construire la suite du monde. 

    Cet épisode était très important pour moi car pour avancer, trouver des solutions, nous devons prendre soin de nous, comprendre et composer avec ces nouveaux maux. J’espère sincèrement que cet échange avec Charline vous donnera des clés pour vivre plus sereinement et vous fera du bien. Comme ça a été le cas pour moi.  



    Ressources mentionnées: 


    Site de Charline Schmerber : http://www.solastalgie. fr/


    Lise van Susteren


    Glenn Albrecht – Les émotions de la Terre 

      

    Baptiste Morizot 


    Susan Clayton – Echelle pour  mesurer le degré d’anxiété 

      

    Courbe du deuil d'Elisabeth Kübl er-Ross 

      

    Laure Noualhat  - Comment rester écolo sans finir dépressif 


    Paul Chefurka – Pour gravir les échelles de la conscience  

      

    Nicolas Gluzman - Association Futurs proches 

      

    Nos voix de résiliences de Flora Clodic-Tanguy  


    L’ampleur de toutes choses – Jennifer Abbott  



    #26 - Décarboner la Finance - Lucie Pinson (Reclaim Finance)

    #26 - Décarboner la Finance - Lucie Pinson (Reclaim Finance)

     La transition écologique est complexe et coûte chère. Elle est évaluée à 5 000 milliards de dollars par an. Les états seuls ne pourront la financer. Le secteur privé a et va avoir un rôle décisif dans cette transition et notamment le secteur financier. Parce que oui, il y a un lien entre le secteur financier et cette transition écologique et malheureusement
    les flux financiers ne sont pas du tout alignés avec l’objectif de l’accord de Paris de contenir le réchauffement climatique en dessous des 1,5 degrés. Les banques, les assureurs et financeurs continuent de soutenir les secteurs des énergies fossiles, du charbon notamment avec un coût social et climatique désastreux. 


    Des associations comme Reclaim Finance affrontent ce secteur financier depuis des années pour faire changer les pratiques et mettre le système financier au service d’une transition vers des sociétés soutenables qui préservent les écosystèmes et satisfont les besoins fondamentaux des populations. 


    Aujourd’hui, j’ai la chance de pouvoir échanger avec Lucie Pinson, Directrice Général de Reclaim Finance. Lucie en a fait son combat au début avec l’association Les Amis de la Terre et maintenant avec Reclaim Finance. Elle a même obtenu le prix Goldman pour l’environnement. Ce n’est pas rien puisque que c’est un peu l’équivalent du prix Nobel de l’environnement. 


    Avec Lucie nous parlons de finance responsable et du rôle des acteurs financiers dans la transition écologique. Nous verrons à quel point ils impactent encore négativement la transition en faisant perdurer des principes rétrogrades et comment faire pour changer cela.  


    Ressources mentionnées: 


    Site Reclaim Finance 

    Les Amis de la Terre 

    Plateforme d'investissement Lita.co 

    Helios Banque 

    Energies partagées 


    Outils :

    Coal Policy Tool 

    Scan de la finance fossile   



    #25 - S'informer de manière ludique et responsable - Jean-Baptiste Nicolas (Hello Planet)

    #25 - S'informer de manière ludique et responsable - Jean-Baptiste Nicolas (Hello Planet)

     Faire changer les mentalités et opérer les vrais changements ne peut se faire que si l’on est préalablement informé et bien informé. Il est indispensable de comprendre pourquoi et comment changer. Ce n’est qu’en sensibilisant le plus grand nombre de personnes qu’une vraie transformation est possible. Dans cet objectif, je vous présente aujourd’hui une belle initiative : Hello Planet. 

      

    Hello Planet est une plateforme en ligne qui permet de visionner du contenu engagé portant en autres sur l’énergie, la pollution, le climat, les océans mais aussi sur le bien-être et l’alimentation et bien d’autres thèmes. Pour en parler plus en détails qui de mieux que Jean-Baptiste Nicolas, son fondateur, qui après des années de Marketing dans le milieu de la télévision a décidé de changer de vie en y insuflant plus de sens. Il a ainsi créé cette plateforme en utilisant la publicité de manière responsable pour financer des projets d’ONG tout en mettant en avant les Objectifs de Développement Durable. S’informer de manière ludique et responsable c’est désormais possible !  



    Liens et Références :

    #24 - Un smartphone pour notre futur - Agnès Crepet (Fairphone)

    #24 - Un smartphone pour notre futur - Agnès Crepet (Fairphone)

    S’il y a bien un objet qui a révolutionné nos vies au point d’engendrer une véritable addiction, c’est bien le téléphone ou plutôt le smartphone. Je ne sais pas vous, mais sans lui, je me sens un peu perdue !

     

    On compte plus de 14 milliards de smartphones actifs dans le monde. C’est plus qu’il n’y a d’êtres humains sur la planète. S’il est vrai que ces petits objets connectés nous ont beaucoup apporté, on ne peut pas le nier, ils viennent avec une note plutôt salée. Les coûts environnementaux et sociaux sont énormes, sans parler des 21 milliards d’objets connectés qui nous assistent au quotidien. 


    Il faut savoir que notre précieux téléphone aura fait 4 fois le tour du monde entre sa production et sa livraison à l’utilisateur final. Un iPhone X, par exemple, émet, de sa fabrication jusqu’à son éventuel recyclage, 79kg de gaz à effet de serre. Ces appareils
    renferment une quantité de métaux précieux comme de l’or et de l’argent mais aussi des métaux rares (comme le tantale, le niobium ou le palladium) indispensables à la nanoélectronique. De l’Amérique du sud à l’Asie, en passant par l’Afrique, beaucoup de régions du monde sont des victimes collatérales de notre soif de technologie. 

    Certaines de ces régions sont d’ailleurs devenues de véritables zones de guerre. Entre la pollution des sols, la déforestation, les effets radioactifs, les conditions de travail des miniers et les conséquences sur leur santé, le travail des enfants. J’en passe et des meilleurs. C’est tout bonnement un désastre écologique et humain. 


    Certaines marques ont décidé de révolutionner ce secteur en le transformant de l’intérieur en se souciant de la planète et de ses habitants. C’est la mission que s’est donnée la marque de téléphone Fairphone : Construire un monde plus juste. 


    Pour parler de ces sujets, j’ai le plaisir de recevoir aujourd’hui, Agnès Crepet qui est Head of Software longevity & IT chez Fairphone à Amsterdam. Ingénieur de formation, elle cmbat avec son équipe l'obsolescence programmée des logiciels Android. Je peux vous dire que dans l'industrie électronique ce n’est pas une mince affaire. Avec Agnès nous parlons des grands enjeux de cette industrie, d’obsolescence programmée, de droits humains, des nécessaires changements d’usages.  



    Ressources et références :

    #23 - Qwetch, une marque engagée qui rend le nomadisme responsable - Stéphane Miquel (Qwetch)

    #23 - Qwetch, une marque engagée qui rend le nomadisme responsable - Stéphane Miquel (Qwetch)

    Nous avons pris l’habitude d’un mode de vie nomade où la vente à emporter devient la norme. Le nombre de points de vente a augmenté de 11 % par rapport à 2019. Et 60 % des restaurateurs proposent aujourd’hui la vente à emporter contre 44 % avant la crise sanitaire. Or, selon les estimations de l’Agence de la transition écologique, la restauration à emporter génère chaque année en France plus de 220 000 tonnes d’emballages, dont
    une majorité de plastique à usage unique qui finit pour la plupart dans les océans.

    Avec la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, la France s’est fixée
    d’atteindre le zéro plastique jetable d’ici à 2040. Cela veut dire éliminer les
    gobelets, les assiettes, les couverts, les pailles et autres bouteilles en plastique. 

    Tout le système doit se transformer. Il nous faudra changer nos habitudes pour aller vers une consommation plus responsable à commencer par s’équiper de produits durables qui permettent d’éviter le plastique à usage unique.  


    La marque Qwetch est devenue la spécialiste de l’isotherme.
    Elle commercialise des produits durables pour l’alimentation et l’hydratation
    contribuant à un style de vie sain. 

    Dans cet épisode, je reçois Stéphane Miquel, le fondateur de la marque. Stéphane nous expliquera comment il s'est engagé sur la voie d'une consommation à la fois plus responsable et plus saine. Il nous donnera sa vision d’une entreprise et d’une marque engagée dont la raison d’être est de prendre soin des hommes et de la planète. 


    Bonne écoute à toutes et à tous !


    Qwetch:

    Site 

    Instagram 

    LinkedIn 


    Ressources mentionnées:

    Association Couleurs de Chine 

    Association Clean My Calanques 

    Association Un océan de vie 


    Bilan Carbone avec Sirsa 

    Label B-Corp 




     

      

      

       

    #22 - L'impact positif, de l'utopie à la réalité - Elisabeth Laville (Utopies)

    #22 - L'impact positif, de l'utopie à la réalité - Elisabeth Laville (Utopies)

    La société dans laquelle nous évoluons a donné la part belle au consumérisme. Les réseaux sociaux ne font qu’accélérer ce phénomène en nous bombardant quotidiennement de sollicitations de millions de marques. Les entreprises influencent nos perceptions, nos modes de vie et nos comportements. Ben Cohen, entrepreneur visionnaire et cofondateur de la marque de crèmes glacées Ben & Jerry’s affirmait déjà à la fin des années 2000 que « l’entreprise combine la créativité humaine organisée et l’argent, ce qui en fait désormais la force la plus puissante au monde ». Les entreprises
    jouent donc un rôle de premier plan dans la résolution des problèmes de notre temps et notamment dans la transition écologique. Elles peuvent et doivent inventer de nouveaux récits, dessiner de nouveaux imaginaires et se servir de leur plateforme pour véhiculer de nouvelles valeurs.  


    Comment réinventer son business model, comment opérer cette transformation pour non seulement réduire ses externalités négatives mais aussi avoir un impact sociétal positif ?

    Comment avoir une marque positive ?  


    Nous allons aborder toutes ces questions avec la spécialiste de l’impact positif, Elisabeth Laville.

    Elisabeth aide depuis 25 ans les entreprises dans cette transformation. Elle a créé Utopies, le premier Think-tank et cabinet français spécialisé dans le développement durable, les stratégies de marques engagées et les entreprises à impact positif. 


    Ressources, références et crédits


    Lien vers site d'Utopies


    Label BCorp 

    Questionnaire BIA 


    Label Great Place to Work 


    Livres: 


    Les marques positivesd'Elisabeth Laville  


    Sapiens : Une brève histoire de l'humanité  – Yuval Noah Harari (Albin Michel)


    The tipping point - Malcom Gladwel l (Abacus)


    Delphine Horvilleur 


    L’atlas de l’anthropocène  - François Gemenne (Les Presses de Sciences Po)


    Le pire n'est pas certain - Catherine Larrère et R aphaël Larrère (Premier Parallèle) 


    Eloge de la chance ou l'art de prendre sa vie en main - Philippe Gabilliet (Saint-Simon) 


    Documentaire:


    Solution locale pour un désordre global - Coline Serreau (2016) 



    #21 - La solidarité internationale, enjeu majeur au cœur des Objectifs de Développement Durable - Emmanuel Poilane

    #21 - La solidarité internationale,  enjeu majeur au cœur des Objectifs de Développement Durable - Emmanuel Poilane

    Les dynamiques de dérèglement climatique, économique et social sont telles aujourd’hui qu’il y a une réelle nécessité et urgence à imaginer de nouveaux modèles. Des modèles plus solidaires et plus durables sont possibles et par endroit déjà engagés. Il convient pour cela de regarder les choses sous un autre angle que l’angle simpliste sous lequel nous le présentent encore trop souvent politiques et médias. Notre monde est positivement complexe et il convient d’intégrer cette complexité dans nos raisonnements. 


    Il ne s’agit pas de mettre un peu de vert sur la façade mais bien de créer une véritable synergie entre les différents acteurs politiques afin d’assurer une cohérence à l’échelle planétaire. Les ODD sont outil formidable pour y parvenir. Dans cette optique, la solidarité internationale est un enjeu majeur autour duquel doivent s’articuler toutes les actions que nous devons mettre en œuvre. Nombreuses sont les ONG, et associations qui prônent cette solidarité et déploient une énergie considérable à entrainer dans leur sillon, entreprises et citoyens. Parmi ces ONG, ID Développement est un acteur très actif. Depuis 25 ans, ID participe au renforcement de l'autonomie des acteurs pour qu'ils construisent et mettent en œuvre par eux-mêmes des réponses aux défis sociaux, environnementaux et économiques de leurs territoires. 


    Je reçois aujourd’hui Emmanuel Poilane. Emmanuel est Directeur Général d’Initiative Développement. Engagé depuis son plus jeune âge, Emmanuel croit en cette solidarité et est le témoin de ses réussites lorsqu’elle est intelligemment mise en œuvre. Emmanuel partage avec nous des exemples très concrets de réussite et nous montre par cela qu’une autre vision est possible. 


    Ressources, références et crédits


    Site de l'association Initiative Développement https://id-ong.org/


    Site de l'association Danielle Mitterrand https://www.france-libertes.org/fr/



    Introduction à la pensée complexe - Edgar Morin (Editions Points) 


    Patrick Viveret - La solidarité pour transformer notre société  

       

    Logo

    © 2024 Podcastworld. All rights reserved

    Stay up to date

    For any inquiries, please email us at hello@podcastworld.io