Première couche

Nous sommes déjà à la fin de la première saison, bien que parler de saison pour mon type de podcast n'est pas très pertinent.

C'est donc le moment de faire le bilan de cette première année, pas complète mais quand même, de podcast, de revenir sur la création, sur mes ambitions, sur le fonctionnement, mes projets pour la suite bref... un bilan quoi !

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La maternité, la parentalité est un voyage souvent tumultueux, parfois tortueux, avec des passages qui peuvent être très sombres et d'autres plein de paillettes. Aucune histoire ne se ressemble et le ratio entre paillettes et moments difficiles n'est pas le même chez tout le monde.

Lucile fait partie de ces mères qui me disent n'avoir rien vécu de particulier et donc n'avoir rien à raconter.

Dans cet épisode, comme parfaite preuve qu'elle a tort sur ce dernier point, Lucile nous raconte ses essais rapides qui a débouché sur une grossesse épanouie, elle nous raconte aussi son accouchement pendant le premier confinement et comment elle s'est retrouvé séparée quelques heures de sa fille, ses premiers pas de maman, son allaitement qui se passe bien, sa deuxième grossesse et les réactions de son aînée. Liste non exhaustive évidemment.

En bref, elle nous raconte toute une aventure : celle de devenir mère, et c'est déjà tout un programme.

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Quand on s'imagine la maternité, la plupart d'entre nous s'imaginent tomber enceinte naturellement, de préférence assez vite, sans difficulté aucune. Et si c'est ce qui se passe pour certaines, ce n'est pas automatique pour tout le monde.

L'INSERM définit l'infertilité comme une absence de grossesse malgré des rapports sexuels non protégés pendant une période d'au moins 12 mois. On en parle peu, et pourtant ça concerne 15 à 25 % des couples. 1 couple sur 4 rencontrent des difficultés à concevoir et la population n'y est pas du tout sensibilisé.

Caroline a toujours, depuis toute petite, désiré être mère. Alors quand elle se rend compte qu'elle a des difficultés à concevoir et qu'elle découvre qu'elle souffre d'un syndrome des ovaires polykystiques, aussi appelé SOPK, c'est un vrai choc qui lui rend les mois de stimulation qui suivent très difficiles moralement. Heureusement, elle n'aura pas à passer aux étapes suivantes de la PMA et tombe enceinte quelques mois plus tard.

Dans cet épisode, Caroline nous raconte son parcours de conception et ses peurs de ne jamais devenir mère puis sa grossesse de rêve malgré un petit diabète gestationnel, son accouchement sans péridurale et ses débuts plein de paillettes avec sa petite fille qui l'émerveille un peu plus chaque jour.

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Aujourd'hui je vais amener dans tes oreilles l'histoire d'une warrior. On me répondra qu'elle n'a pas eu le choix, je suis d'accord, mais elle n'en est pas moins impressionnante de force et de résilience.

La parentalité pour Cassandre c’était un sujet lointain qui s’est brusquement rapprochée quand elle a rencontré une petite orpheline cambodgienne de 6 ans. Si malheureusement elle a perdu sa trace, cette petite fille aura eu le temps de planter dans son cœur les petites graines d’amour qui ouvriront bien grand la voie de la maternité à Cassandre.

L’arrivée d’un premier enfant est déjà un grand bouleversement mais Cassandre voit son monde s’écrouler lorsque la maladie et le handicap lui tombe dessus.

Dans cet épisode, elle nous raconte tout ça et comment la vie a repris son chemin après 2 années en enfer mais également le bonheur d’être la maman de ses deux enfants : Nao, son ainé bigenre qui les a embarqué sur le chemin de la transidentité et Ambrose, son cadet si solaire.

Je te préviens, cet épisode aborde entre autre le sujet des pensées suicidaires, n'hésite surtout pas à te préserver si c'est un sujet sensible pour toi. Aussi, nous avons eu quelques petits soucis techniques qui font qu'il y a parfois un petit décalage dans mes réactions, je m'en excuse par avance.

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La maternité, la parentalité même, ça change la vie et parfois, souvent peut être, ça change les gens. Et surtout : ça rabat les cartes des places dans la famille. Le noyau familial certes, on passe de couple à parents, ou plutôt on s'ajoute cette casquette, mais aussi la famille dans son ensemble. Nos mères passent au statut de grand-mères, nos pères à celui de grand-père et ça demande parfois beaucoup d'efforts aux uns et aux autres pour trouver sa place dans ce nouveau remaniement.

C'est le cas de Pauline qui a mis longtemps, très longtemps, à enfin trouver sa place de mère au sein de sa famille. Dans cet épisode, Pauline nous raconte ses grossesses qui se sont super bien passés, ses accouchements rapides, très rapides, mais aussi ses posts partum compliqués moralement, son sentiment d'être envahies par ses parents et ses beaux-parents et comment elle a dû composer avec tout ça et essayer de se construire en tant que mère.

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Je n'arrête pas de le répéter, et je ne suis bien évidemment pas la seule à le dire, mais chaque grossesse, chaque maternité, chaque enfant est différent. Je le dis dans l'intro de ce podcast d'ailleurs, chaque parentalité est unique et je rajouterais même au sein d'une même famille.

Quand Raphaëlle et son mari ont décidé d'avoir un enfant, son image de l'accouchement et d'un bébé était calqué sur ce que la société a tendance à nous renvoyer : un accouchement doit se faire à l'hôpital et sous péridurale, il n'y a pas de débat. Un bébé une fois passé les premières semaines dort toute la nuit et fais plusieurs heures de sieste par jour.

Dans cet épisode, Raphaëlle raconte comment son regard sur l'accouchement a changé au fil du temps et de ses deux grossesses, comment la séparation de quelques heures avec sa fille aînée à la naissance et son séjour en unité kangourou l'a marqué assez fort pour que son souhait n°1 avec sa deuxième soit de ne surtout pas être séparée, comment elle a découvert la fameuse régression du sommeil du 4ème mois mais elle nous raconte aussi son bonheur de pouponner et sa joie d'être la maman de deux adorables petites filles.

Bonne écoute !

Retrouve le site Gyn&Co avec la liste des soignant.es safe ici !

Pour l'étude sur les lubrifiants dont je parle en revanche c'est ici !

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Il y a des expériences qui reposent sur des choix, et d'autres qui débutent sur des surprises de la vie. Marion n'aurait jamais pensé aller vivre à Mayotte et c'est comme une blague que son mec envoi un cv là-bas en pleine recherche frénétique d'emploi. C'est avec une grande surprise que quelques mois plus tard, ayant tout oublié de cette candidature, ils apprennent qu'elle est accepté et qu'un poste est aussi disponible pour Marion.

Dans cet épisode, Marion nous raconte comment ils se sont retrouvés sur une île aussi belle qu'au contexte compliqué, comment ils s'y sont acclimatés, comment la parentalité a fini par faire son chemin chez eux, ses grossesses dont une seule amènera à une petite fille qui arrivera dans un dispensaire après un accouchement physio intenses et enfin les raisons de leur retour à la métropole.

Et si tu veux voir des photos de l'île, ce que je te conseille, tu as Google évidemment mais tu as aussi le post de l'épisode sur mon instagram Premierecouche_podcast. En attendant, bonne écoute !

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Il y a des personnes avec qui je pourrais discuter des heures, tellement elles ont d'expériences à raconter, tellement elles ont vécus plus que moi. Pas forcément des choses extraordinaires, quoi que la vie est en soit quelque chose d'extraordinaire, mais juste la vie et en l'occurrence la maternité sur plusieurs années et avec plusieurs enfants. C'est le cas avec Stéphanie. Cet épisode est long et il aurait pu l'être plus encore tellement c'était fascinant d'écouter Stéphanie raconter sa vie en Suisse avec ses 4 enfants. De sa première grossesse surprise et une entrée dans la maternité en mode advienne que pourra à son 4eme enfant bébé koala en passant par une suspicion de trisomie pour son deuxième, une découverte sur le tard des réseaux sociaux et de ses dérives pour son troisième, le covid évidemment, et un harcèlement professionnel qui aura teinté la quatrième grossesse et le congé maternité qui a suivi de ruminations et d'anxiété, comme si on avait pas assez à faire à ce moment là, Stéphanie nous raconte sa vie de maman Suisse, du début à la fin, à sa manière et c'est doux à écouter.

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[PAUSE]

Je fais une pause de 3 semaines mais je ne te laisse pas sans rien puisque j'ai prévu 3 rediffusions. Et pour clôturer cette pause puisque je reviens la semaine prochaine avec un épisode inédit, je te propose de découvrir ou de redécouvrir un autre épisode cher à mon cœur. Si j'en crois mes stats, c'est aussi un de vos préférés d'ailleurs. Et comme je vous comprends. Sarah aussi c'est une warrior. Sarah avait un désir d'enfant incommensurable, viscéral, indéfinissable, mais malheureusement aussi non-partagé par son conjoint. Parce que c'était trop douloureux, elle prévient un jour son mec qu'elle arrête sa contraception et que, comme c'est lui qui ne veux pas d'enfant, ce sera à lui de s'en occuper. Quelques mois plus tard, elle tombe enceinte d'un bébé qui s'accroche et elle est décidée : quelque soit la décision du père, partir ou rester, elle gardera cet enfant. Dans cet épisode Sarah raconte sa grossesse avec un mec qui a décidé de faire comme si rien ne se passait, son accouchement express sur le sol de sa chambre, son post partum avec un mec qui ne fait rien et une carrière professionnelle qui décolle à vitesse grand V et aussi de sa décision de quitter le père de son fils après des mois et des mois de souffrance. Un épisode fort en émotions, enregistré à l'aube de sa reconstruction, toujours en cours d'ailleurs.

Bonne écoute !

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[PAUSE]

Je fais une pause de 3 semaines mais je ne te laisse pas sans rien puisque j'ai choisi 3 épisodes à rediffuser ! Pour cette deuxième semaine de pause, j'ai choisi l'épisode de Clémence qui a aussi une place particulière. Parce que Clémence c'est aussi une amie, comme Léna, mais c'est surtout une force de la nature. Clémence, c'est la fille qui a fais un bras de fer avec ses contractions et qui l'a gagné. Sauf que bon, il fallait quand même qu'elles bossent ces contractions pour faire arriver ce bébé. C'est la fille qui faisait tout, qui contrôlait tout et qui s'est pris le raz de marée de l'arrivée d'un bébé, qui plus est aplv et en plein dans le premier confinement en plein dans la gueule. C'est la fille qui s'est retrouvé dans les tourbillons de la dépression pré partum et de la dépression post partum et qui a réussi à s'en relever, changer de vie, et relancer une grossesse. Clémence, c'est évidemment bien plus que ça mais je vais vous laisser la découvrir ou la redécouvrir.

Depuis l'enregistrement, elle aussi a accouché d'une magnifique petite fille et elle vit un post partum bien différent, bien plus apaisé, loin de l'aplv et de la dépression. Bonne écoute !

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[PAUSE]

Je fais une pause de 3 semaines dans la diffusion du podcast. Mais je ne vous laisse pas sans rien puisque j'ai choisi 3 épisodes à vous rediffuser ! Et le premier c'est justement le 1er épisode du podcast qui est particulier dans mon cœur. D'abord parce que c'est le premier, ensuite parce que mon invité n'est autre qu'une de mes amies les plus proches, si ce n'est la plus proche et enfin parce qu'il donne le ton de ce podcast. Parce que la maternité est faite de choix et d'adaptions à son enfant, avec Léna on discute de l'application des grands principes théoriques lorsque son enfant n'y colle pas. Elle nous raconte sa maternité sur fond de bébé impossible à poser, de troubles de l'oralité certes mais de tellement plus que ça... 

Léna était enceinte lorsqu'on a enregistré cet épisode et, depuis, elle a accouché d'une magnifique petite fille et vis un post partum bien plus apaisé que son premier. Pas sans fatigue, pas sans aucune difficulté mais plein de paillettes.

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Cette semaine c'est avec plaisir que je reçois Camille à mon micro. L'histoire de Camille est une des raisons qui m'a fait lancer ce podcast. Les sujets qu'on y aborde on les a déjà abordés dans l'épisode de Chloé, le 10ème, et pourtant ce n'est absolument pas la même histoire. Camille est tombé enceinte une première fois à cause d'un instant où son partenaire n'a pas mis de préservatif. Même si l'erreur a été réparée presque immédiatement, ça a suffi à induire une grossesse. Mais comme ce n'est ni le moment ni l'homme de sa vie, Camille avorte et se fait poser un sterilet. La vie faisant son chemin, elle finit par s'installer en Italie avec son mec. Tout se passe bien jusqu'au jour où elle se rend compte que quelque chose cloche et qu'elle fait un test, positif. Dans cette épisode, Camille nous raconte ses débuts de grossesses sous l'angoisse quand elle découvre qu'elle date en fait de 10 semaines et qu'elle ne sait pas ce que ce sterilet encore présent va avoir pour conséquence, le suivi en Italie, son accouchement physio et ses débuts de jeune maman. Mais je vais laisser Camille raconter ça bien mieux que moi…

Les liens dont je parle dans l'épisode :

Allongement du délai légal de l'IVG à 14 semaines de grossesse

Quelques résultats de l’Enquête Nationale Périnatale 2016

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Cette semaine c'est avec beaucoup de joie que j'accueille dans ce podcast un premier papa. J'espère que ça ne sera pas le seul car je trouve que les points de vue de père sont aussi très intéressants ! Aujourd'hui donc c'est Edwin qui a accepté de répondre à mes questions. Et Edwin ce n'est pas n'importe qui puisque c'est le mari de Sophie, que j'ai interviewé la semaine dernière. J'ai donc la chance d'avoir, pour une même histoire, les deux points de vue. Comme la dernière fois, on y parle de désirs d'enfant non synchronisés, de vie professionnelle, du confinement, de congé paternité, d'angoisses, et j'en passe et des meilleurs. Vu la configuration, on est moins rentré dans les détails chronologiques cette fois ci alors pour avoir toutes les références je te conseille d'abord d'aller écouter l'histoire de Sophie, l'épisode 18, si ce n'est pas déjà fait. Et si c'est fait alors passons tout de suite à l'épisode.

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Aujourd'hui j'ai le plaisir de recevoir Sophie qui nous raconte, entre autres, comment le chemin vers la décision de faire un enfant n'a pas été simultanée avec son mari mais également sa grossesse presque parfaite, comment elle a accouché sans péridurale, mais en fait avec péridurale mais finalement sans péridurale, son séjour très compliqué à la maternité puis le retour à la maison qui a été rythmé par des angoisses très fortes et constantes. Et si aujourd'hui ça va mieux, le problème du tout début est revenu, mais inversé. Je te laisse découvrir son histoire…

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Cette semaine c'est avec grand plaisir que je reçois Cécile. Cécile c'est une de ces mères que je ne peux m'empêcher d'admirer de par la force et les paillettes qu'elles dégagent. Sa maternité est aussi l'incarnation de la maxime "Chaque enfant est différent". Après 2 ans de vie commune, Cécile et son mari lancent les essais pour avoir un bébé. C'est après 9 mois d'attente que leur fille ainée décide de s'implanter et fais vivre à Cécile une grossesse paillette. A la naissance, ils découvrent une bébé très expressive, mais qui pleure beaucoup : le quatrième trimestre est très difficile entre nuits hachés et douleurs de bébé. Puis tout s'éclaire au 4ème mois, les paillettes reviennent en force, tellement qu'ils décident de ne pas attendre pour relancer les essais. Cette deuxième grossesse placée sous le signe de l'angoisse à cause des suspicions de problèmes qui s'enchainent laissera la place à une bébé tendue, dont le visage ne varie que peu, à qui on diagnostique après des mois d'attente, de questionnement et de recherche, un syndrome de Moebius. Cécile nous raconte tout ça et bien plus encore dans ce nouvel épisode.

Si tu veux en savoir plus que le syndrome de Moebius, tu peux aller consulter le site de l'association Syndrome Moebius France.

Les études dont je parle dans l'épisode : Une ici et une autre là !

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Cette semaine c'est Fanny que j'ai le plaisir d'accueillir dans Première couche. Fanny elle a toujours oscillé depuis toute petite : 0 ou un seul enfant, loin des rêves d'immenses fratries de ses copines de primaire. La vie a suivi son chemin et finalement elle s'est lancé avec son mari. C'est sur fond d'hyperemese gravidique qu'elle vit 9 mois très difficiles physiquement et psychologiquement. L'accouchement, pas une partie de plaisir non plus, puis l'arrivée de sa fille la précipite dans un rôle de mère qu'elle découvre ne pas aimer et qui la fait plonger dans la dépression post partum. Aujourd'hui Fanny raconte tout ça, comment elle en est sorti et pourquoi non, il n'y aura pas de deuxième enfant.

Pour aller plus loin, tu peux aller consulter les comptes instagram de @jeneveuxpasdenfant et @le_regret_maternel, les comptes que Fanny cite dans l'épisode.

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Cette semaine c'est Charlène que je reçois dans mon podcast. Son histoire a un thème, fort, celui de l'allaitement. Si elle a pris son premier allaitement comme il venait, découvrant le sujet comme tous les autres liés à la maternité en même temps que sa première fille, le scandale Lactalis et le rappel de toutes les boîtes de lait contaminés à la salmonelle a mis à mal sa confiance en l'industrie. Pour sa deuxième, l'allaitement était devenu son cheval de bataille et rien, pas même de passer près du pire à la suite des complications d'une opération, ne saurait le mettre à mal. Elle nous raconte ça et tout le reste de sa maternité dans cet épisode.

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Cette semaine, j'ai l'honneur de recevoir Marie Chetrit, autrice du livre Education positive : une question d'équilibre ? Paru aux éditions Solar. On parle de son parcours de maman, de sa découverte des dérives liées à l'éducation positive, de ce qui l'a amené à écrire ce livre et évidemment... du livre !

Ce fameux livre, tu peux d'ailleurs le commander dans ta librairie ou le retrouver ici. Tu peux aussi retrouver son blog ici : prgr.fr

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Cette semaine, c'est avec grand plaisir mais avec d'immenses difficultés techniques, je pense que je n'avais jusqu'à présent jamais autant eu de problèmes techniques simultanés avec une personne, j'espère que ça ne s'entendra pas trop, que je reçois Sarah. Sarah, c'est une très grande prématurée qui n'aura pas eu la chance de vivre un troisième trimestre au chaud. Fort heureusement elle s'en sort très bien et peut plonger dans son enfance sans plus y penser. Mais son enfance est écourtée lorsqu'elle doit régulièrement s'occuper de son frère puis, à 12 ans, de sa petite sœur nouvelle née, sans que personne ne lui ai trop demandé son avis. Alors lorsque vient le temps pour Sarah de construire sa famille, elle sait qu'elle va y arriver. Elle l'a déjà fait. Entre l'angoisse de la prématurité, le covid, le travail à gérer et un diabète gestationnel diagnostiqué très tôt, Sarah nous raconte dans cet épisode sa grossesse mouvementée mais heureuse, dont la conclusion sera différente de ce qu'elle avait imaginé et ses premiers pas en tant que maman.

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Aujourd'hui j'ai le plaisir de recevoir Camille, avec qui nous parlons de son entrée compliquée dans le monde de la parentalité, ou au moins de la grossesse, avec une grossesse surprise sous stérilet qui sera suivie d'un avortement et d'une fausse couche et d'une autre fausse couche. Elle nous raconte également les suspicions de trisomie qu'elle a eu pour ses deux grossesses, mais aussi, en vrac, de symptômes du premier trimestre, d'accouchement long puis au contraire rapide, des tourbillons très différents qu'ont provoqué l'arrivée de ses enfants, du confinement et de comment ça se passe pour elle quand son mari doit partir parfois pendant des durées qui peuvent se compter en mois.

Pour l'article sur les grossesses biochimiques, c'est sur mon blog que ça se passe : premierecouche.wordpress.com !

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