SDX

Création assisté par IA, imagination articifielle, hyperphantasie numérique, sommes-nous en train de créer des outils pour détruire l'Art ? Nos trois artistes en herbe ont beaucoup de trop de temps libre et l'ont passé ces derniers mois à créer des millions d'images avec ces nouveaux outils. Pour le pire et le pire. 

Cyril sur instagram : https://www.instagram.com/cyril.does.not.exist/

L'équipe de SDX revient sur le jeu-phénomène qui a marqué l'anné 1993 : Doom. Nous y parlons de sa génèse, du parcours atypique de ses créateurs iconiques, et de son héritage toujours aussi vivace trois décennies plus tard. 

Dans l'épisode de cette semaine, l'équipe de SDX explore la science cybernétique, le futur du passé, le Chili de Allende, les mathématiques de Weiner, les statistiques bayesiennes  et la Smart City de demain. 

A travers le prisme du philosophe français Dany-Robert Dufour, nous (re)découvrons Mandeville. D'ici nous évoquerons les racines du libéralisme, nous parlerons d’abeilles vicieuses, de cybernétique, d’algorithmes californiens et de bandits manchots.

 

Sommes-nous dirigés par 50 product managers de la Silicon Valley et leurs algorithmes ou sommes-nous tous devenus tous des schizophrènes paranoïaques en proie à une gigantesque machine à influencer ? Où l'on parle de Freud, de The Social Dilemma, des adolescents, de la panique, du monde d'après et du paléolithique.

Comment notre cerveau, malgré nous, travaille, assemble, erre dans le passé et invente le futur. Allongez-vous, ne pensez à rien, laissez l'équipe de SDX explorer l'esprit humain. 

1834 : comment les frères Blanc ont réussi à pirater le télégraphe optique, moyen de télécommunication le plus rapide de l'époque. Et quelles en sont, encore, les conséquences sur les réseaux, la Bourse, la vitesse de la lumière ? 

Un épisode pour une fois tourné vers l'actualité, difficile à ignorer, tant l'impact dans nos vies va être radical. Le coronavirus s'installe désormais en Europe... voici le journal de bord de l'équipe de SDX, enregisré le 13 mars 2020, au tout début du processus de confinement. 

Que restera-t-il de nos villes quand tout se sera effondré ? Sommes-nous entourés de ruines en devenir ? Les lotissements, les grattes-ciel, les bunkers résisteront-ils à l’usure du temps comme les pyramides et les châteaux-forts des civilisations perdues ? Où l’on parle de Volney, d’urbex, de Détroit, du temps qui efface, de bunkers souillés, de Piranese, de Speer et de la France abandonnée. 

De Unabomber à Greta Thunberg, de Pentti Linkola au manifeste de la Montagne Sombre, de la collapsologie ambiante à un nouveau millénarisme, l’équipe de SDX tente de trouver une solution à nos problèmes de fin du monde... ou de fin des mondes.

Ou comment la militarisation de la lutte contre la criminalité s’est imposé au sein des forces de police. Il sera question, dans cet épisode de novembre, de Waco, de braqueurs sous amphét’, de Robocop, de gendarmes à moustache, de maintien de l’ordre, de guerre à la drogue, du SWAT et de violence. Beaucoup de violence.

Dans cette épisode, nos trois gastronomes s'aventurent dans la cuisine du futur. De la high-tech hollandaise, à la permaculture, de l'obésité à la viande de synthèse, SDX fait ripaille des prochaines tendances culinaires. 

Comment Lovecraft, un auteur si américain, si matérialiste, a pu contaminer la littérature et le cinéma japonais au cours du XXe siècle ? Où nous parlons : de kaijus, de champignons géants, de Chiaki Konaka, des shoggoths, de Sadako, d’explosions atomiques, de Mizuki, de VHS maudites, des yokai, de Ken Asamatsu, d’humidité, de l’horreur cosmique et de fantômes terrifiants.

De la Terre à la Lune, de Von Braun à Walt Disney, du rêve à la déception, que reste-il de notre conquête de ce disque d’argent si proche et pourtant si lointain ? Cette semaine, l’équipage de la fusée SDX s’élance sur les traces de Cyrano de Bergerac, de Jules Verne et d’Armstrong vers l'infini... et au-delà.

Théorie miasmatique ou humorale, contagionnisme ou fatalisme théologique, penser la peste ne fut jamais aisé. Cette maladie qui a tant tué est devenue, avec le temps, une sorte de meilleure amie de l'homme et aujourd'hui, alors qu'elle tue infiniment moins qu'hier, son fantôme nous tient compagnie et informe nos peurs de contaminations futures. 

De Babel à Burj Khalifa, du donjon médiéval au gratte-ciel américain, les tours se dressent dans le paysage, barrant son horizontalité d’une verticalité rêveuse et pleine d’espoir. Pour autant, ce nouveau monde des hauteurs, qui hante la SF de Métropolis à Blade Runner, est-il encore celui de notre futur ?

Dans ce nouvel épisode, nous allons tenter de comprendre comment, à partir d’une oeuvre de science-fiction l’on crée du religieux. Du jediisme à la scientologie, de Heinlein à Butler, explorons ensemble les mythes fondateurs des religions du futur. 

En 1983, il n'y a pas eu de guerre en Europe. 100000 blindés du Pacte de Varsovie n'ont pas foncé dans les plaines ou les vallées d’Allemagne de l'Ouest, Un million d'hommes ne s'est pas mis en marche. Aucune ville n'a été dévastée par le feu nucléaire, nulle forêt ne s'est retrouvée saturée de gaz toxique, aucun commando n'a attaqué les bases de l'OTAN en Belgique. En 1983, il n'y a rien eu de nouveau à l'est, sur cette frontière européenne entre les supplétifs de l'aigle américain et l'ours soviétique cette année-là. Et pourtant...

Dans l’épisode de cette semaine, nos trois reclus en devenir s’intéressent aux fantômes sociaux - hikikomori, reclus volontaires, accumulateurs compulsifs - ces individus qui décident de s’exiler du monde moderne. A l’heure de l’hyperconnectivité, de l’injonction normative, à quoi ces retirants aspirent-ils ? Et surtout, sommes-nous tous des hikikomoris en sommeil ? 

Dans ce nouvel épisode, nos trois androïdes s’aventurent dans la vallée de l'Étrange, pour tenter de découvrir ce qui nous effraie et nous fascine dans les robots.

Où l’on parle de Masahiro Mori, de bébés creepy, de Descartes et de sa fille, de chiens disséqués, de poupées sexuelles, d’Astro, du Bouddha dans la machine, d’Anton Lavey et de son bar retro, de la mort d’Aibo et de Faust.