Souvent peu favorable aux migrant.e.s (peur, racisme, discriminations, lois rigides,...), notre société inhibe parfois les formes d’émancipations possibles pour ces personnes. Caroline Safarian a imaginé la première université populaire des femmes « en migration », en Belgique, pour transformer autant que possible le regard qu’on pose sur ces femmes mais aussi amener les femmes migrantes elles- mêmes à se sentir légitimes à « (re)-penser » le monde, développer avec elles leur capacité de prise de parole, d’esprit critique et leur implication dans la société belge. Souvent peu favorable aux migrant.e.s (peur, racisme, discriminations, lois rigides,...), notre société inhibe parfois les formes d’émancipations possibles pour ces personnes. Mais ce projet me motive aussi car aucune « université populaire » n’existe encore sous cette forme. Caroline Safarian, autrice de théâtre, Gbahi Kouakou, sociologue, directeur du Piment, auteur d'un livre "Le peuple n'aime pas le peuple", Aminata Ba, apprenante au Piment, participante et "chercheuse" pour la première édition de l'Université Populaire des Femmes Migrantes, Laurence Adam, Directrice de l'ASBL Article 27 Bruxelles.
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