art de rue

Abstrait, T.O.Y.S et tableaux pour tous : une rencontre avec Nikodem, artiste graffeur.

🎥 Portrait nº4 | NIKODEM - YouTube 🎥

__DÉTAILS__
| Musiques par Lucas Leroy & Satya.
| Réalisé par Justin Vicat-Blanc et Guillaume Carrel.   

🤨 Habillés en bagnards, Acousteel Gang  déambulent sur toutes les Scènes d'été en Gironde ! Ils distillent leur musique festive et dansante !

🙄 Leur secret : reprendre des tubes musicaux à la sauce steel drum, cette percu métallique (à ne pas confondre avec le Hang) aux sonorités si caribéennes ! Ajoutez une voix portée par un mégaphone, des percussions de fanfare et vous voilà envoûtés !

🤗Pour le Frayse'toch , ils avaient "carte blanche" ! Ils en ont profité pour inviter des copains, la Fanfare Le Snob et Le Karaoké Live Show.

😏Stéphane nous parle de l'histoire du groupe, de celle du steel drum, de la préparation de ce show et alerte sur le manque de soutien à la culture locale !

Interview, montage et réalisation : Nicolas Gruszka, iTi Radio
crédit photo : Lucille Poiret 

L’été est sans conteste la plus belle saison pour profiter des œuvres d’art public qui fleurissent à tous les coins de rue. L’espace public s’anime grâce à diverses activités culturelles et l’art visuel aussi se décloisonne. Au-delà d’embellir le quotidien, il s’agit d’une invitation lancée à tout le monde (incluant les néophytes!) de prendre contact avec la création en art contemporain. Ainsi, l’art urbain est inclusif par nature et instaure un dialogue : qu’on adore ou qu’on déteste, l’opportunité se présente à nous!

J’apprécie énormément ces rencontres artistiques hasardeuses sur mon chemin, qu’elles soient permanentes comme les nombreuses murales qui ornent les façades de Montréal, ou très éphémères comme les deux initiatives à qui je donne la parole dans cet épisode.

Thien Vu Dang, fondateur du festival de projection mapping MAPP_MTL et Charlotte Gomeshi, initiatrice et commissaire du Projet tabloïde discutent avec moi des particularités de l’art public, des avantages de sortir l’art visuel et numérique des centres de diffusion traditionnels et de leurs missions.

Un épisode très estival qui donne le gout de garder le nez en l’air et de rester à l’affût lors de votre prochaine promenade citadine!

Création, réalisation, animation : Claire-Marine Beha

Musiques originales : Juliette Beha, Yvan Vindret

Crédit photo : yasuko tadokoro, courtoisie MAPP_MTL @mapp_mtl

Remerciements chaleureux à Thien Vu Dang @mapp_mtl et à Charlotte Gomeshi @projet.tabloide_new

Mounir Biba, 13 fois champion du monde de breaking, revient dans cet épisode sur son parcours, de la pratique du breaking dans les centres commerciaux d'Angers aux compétitions qui lui ont permis de décrocher 13 fois le titre le plus convoité au monde en matière de breakdance solo.

Dans ce premier épisode de la saison 3, nous partons à la rencontre du street-artist Charles Leval, alias Levalet. De ses débuts dans la rue et ses premiers collages aux expositions d’oeuvres vendues à des milliers d’euros, découvrez le parcours d’un artiste de rue, 500 collages plus tard.

Un épisode présenté par Arthur Guiraud, réalisé et monté par Louis Lefèvre et Tom Lefèvre, produit par Ludovic Constans, assisté par Clara Constans. Remerciements particuliers à Le Monde en Direct, Galerie Openspace.

Une création originale SUPERMIND.

C’est l’aboutissement d’un an d’enquête.

Un entretien en face à face avec celui qui a voulu sauver Paris.

Une rencontre exclusive entre “Jésus Sauve ! “ ( en personne ) et Aurore, une ancienne dealeuse adepte des soirées parisiennes. Comme un appel, les tags “Jésus Sauve ! “ auraient changé sa vie.

Ruben est un artiste new-yorkais. Au début des années 90, il a été le premier à écrire “Jesus saves” sur les murs. Un travail de street évangélisation qui l’a conduit plusieurs fois en prison.

Jérôme est vendeur de bombes de peinture. Derrière son comptoir il voit passer tous les tagueurs de Paris, “Jésus Sauve ! ” se fournit peut-être chez lui ?

Jésus sauve ! Qui ? Comment ? Pourquoi ? Un prêtre catholique et un pasteur évangélique nous apportent une explication de texte. 

À la sortie de la messe, les fidèles sont partagés sur cette nouvelle façon de “louer le seigneur”. Serait-ce un coup des évangéliques ?

Il s’appelle maître Jean-françois Jésus et il se murmure qu’il sauve, parfois, des tagueurs.  

Dans le milieu du graffiti, tout le monde ne parle que de lui et chacun a sa théorie sur l’identité de ce nouveau venu au style si particulier.

Hugues est photographe, sur son compte Instagram il a publié l’une des rares photos où l’on aperçoit  le tagueur en pleine action.