bibliothèque

La narratrice Chantal Girard sera de passage à la bibliothèque d'Acton Vale pour un atelier dans le cadre du clud de lecture d'été TD. 

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Pendant longtemps, on a vu la bibliothèque comme un endroit d’une certaine froideur. Mais, à l’image d’une initiative drummondvilloise, une autre approche existe, celle de la bibliothèque comme espace ouvert et inclusif, même pour les citoyens les plus marginalisés. Ces espaces communautaires qui sont complémentaires au travail et à la maison deviennent de réels tiers-lieux.

Invité : Stéphane Baillargeon, journaliste

Équipe :
Philippe Papineau, animateur
Stéphane Baillargeon, journaliste
Xavier Kronström Richard et Félix Deschênes, réalisateurs
Marie-Ève Brassard, recherchiste
Alexis Elina, composition musicale originale

Cet épisode est une rediffusion. Pour joindre l'équipe du balado : balado@ledevoir.com

Pendant longtemps, on a vu la bibliothèque comme un endroit d’une certaine froideur. Mais, à l’image d’une initiative drummondvilloise, une autre approche existe, celle de la bibliothèque comme espace ouvert et inclusif, même pour les citoyens les plus marginalisés. Ces espaces communautaires qui sont complémentaires au travail et à la maison deviennent de réels tiers-lieux.

Invité : Stéphane Baillargeon, journaliste

Équipe :
Philippe Papineau, animateur
Stéphane Baillargeon, journaliste
Xavier Kronström Richard et Félix Deschênes, réalisateurs
Marie-Ève Brassard, recherchiste
Alexis Elina, composition musicale originale

Pour joindre l'équipe du balado : balado@ledevoir.com

Pourquoi certains créateurs jeunesse choisissent-ils d’œuvrer à l’extérieur des grands centres? Quels sont les avantages d’occuper la région comme territoire? Est-ce que le succès peut quand même être au rendez-vous? L’autrice-compositrice-interprète Geneviève Labbé (Sous un même soleil) et l’autrice Anie Langelier (C’est dans ma nature!) partagent un parcours qui les ont amenées à s'établir en région pour créer à leur aise et en toute liberté, sans compromettre leur visibilité.

Se construire un personnage de scène pour un public jeunesse vient avec son lot de responsabilités.  Comment conjuguer sa vie publique et sa vie privée quand on peut être reconnu à tout moment par un enfant qui nous admire? La conteuse et animatrice Lyne Richard (Mandolyne), et l’autrice, conteuse et illustratrice Jacinthe Lavoie (Les Contes de Petite Souris) nous expliquent comment elles font pour vivre avec leur personnage sans que cela ne devienne un costume lourd à porter.

Le public jeunesse est un public unique. À la fois émerveillé et passionné, mais parfois très exigeant. Pourtant, tous les créateurs jeunesse s’accordent pour dire qu’il est extraordinaire! Mais comment développe-t-on cet auditoire amené à changer si rapidement? La musicienne Julie Béchard (Julie Sa Muse) et l’autrice et illustratrice Mélanie Grenier (Baba la dompteuse de matou) ont tissé des liens au fil des ans avec leur public cible qui se manifestent de multiples façons.

L’art jeunesse a ses propres codes, ses propres contraintes. Ça implique un tas de décisions complexes en fonction de la tranche d’âge choisie. Il faut trouver le ton, le rythme et l’équilibre dans chaque projet.  Ça demande une rigueur et une sensibilité peu communes. L’auteur Mathieu Fortin (Nozophobia, Maxime Superpuissante) et l’auteur-compositeur-interprète Jean-Luc Lavigne (Les Contes de Petite Souris) nous prouvent qu’être créateur jeunesse, c’est plus exigeant qu’on le pense.

Pourquoi et comment on choisit le public jeunesse? Est-ce un choix réfléchi ou un hasard de parcours? Une vocation ou un pis-aller?  Comment les artistes qui décident de créer pour les jeunes sont-ils perçus par leurs pairs? Le comédien et metteur en scène Pierre Luc Houde (Les Argonautes, Ramdam, Une grenade avec ça?), et le duo de bédéistes derrière FlaFlam studio, Félix Laflamme et Claude Desrosiers (Les mégaventures de Maddox), sont des artistes aux trajectoires différentes, mais qui ont en commun d’assumer fièrement leur statut de créateur jeunesse.

Le journal intime s’envisage comme un geste libre ou comme un cabinet de l’œuvre projetée. Mais aussi parfois comme une trace destinée à être publiée à la mort de l’auteur·e. À l’instar des mémoires et de l’autobiographie, sa commercialisation peut être l’objet d’enjeux élevés.

 Existe-t-il un conflit entre Journal et œuvre littéraire? Pourquoi publier de façon posthume un journal intime? Quels critères légitiment cette parution? Enfin, comment expliquer l’engouement pour les écrits de l’intime dès la seconde moitié du XXe siècle à aujourd’hui?