culturelle

durée : 00:03:52 - RécréAmômes sur France Bleu Pays de Savoie - Au programme ce dimanche 10 mars 2024 : initiations à des activités 4 saisons à Habère-Poche, festival Numérica à Annecy et visite ludique du musée des Beaux-Arts de Chambéry.

durée : 00:13:57 - La programmation de la 2ème partie de la Saison culturelle 2024 du CC Michel Manet de Bergerac - En allant au Centre Culturel Michel Manet de Bergerac vous découvrirez une programmation colorée, dynamique et éclectique. Concerts, danse, représentations théâtrales, cirque, marionnettes, musique du monde, humour, il y en a pour tous les publics.

durée : 00:08:44 - Gwendoline HALLOUCHE Coordinatrice Culturelle Usine Utopik Tessy bocage

durée : 00:02:28 - Un monde nouveau - par : Mathilde Serrell - En espagnol, le terme "zorra" désigne aussi bien une "renarde" qu'une insulte misogyne. Et c’est avec le titre « Zorra » précisément que le duo Nebulossa représenter l’Espagne à l’Eurovision en mai prochain. Un choix qui provoque des débats houleux dans tout le pays.

durée : 00:13:47 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - L'ambiance, chaque été, est fiévreuse. Des événements culturels sont organisés presque toute l'année. La Naute, qui était au départ une simple guinguette au bord d'un plan d'eau, est devenue un précieux levier de vitalité pour le village de Champagnat et ses alentours.

durée : 00:06:55 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - L'identité de France Culture s'est forgée au long de 60 années de débats en interne et avec les auditeurs et auditrices. Fondée par des poètes, des dramaturges et des auteurs, retour sur l'histoire d'une radio entre savoir et actualité. - invités : Emmanuel Laurentin Historien, producteur de l'émission "Le Temps du débat"

durée : 00:08:53 - avec Richard Martet, fondateur et rédacteur en chef d'Opéra Magazine - par : Jean-Baptiste Urbain - Comme chaque année, la Scala de Milan ouvre sa saison le 7 décembre, jour de la Saint Ambroise. Mais cette fois, ni le président Sergio Mattarella, ni la présidente du conseil Giorgia Meloni n'assisteront à l'événement. Retour sur un événement incontournable de la vie culturelle italienne.

Durée : 00 : 10 : 39 — Saison 1, Épisode 7

Godelieve Lust est amatrice de culture, de contes gascons, née à 35 km de Lectoure. Ancienne professeure d’espagnol, elle a choisi de venir habiter et travailler à Lectoure. Godelieve est très intéressée à l’archéologie, à l’histoire de la ville de Lectoure. Jeune femme de 90 ans, elle parle de Lectoure avec beaucoup d’amour. 

D’où vient le nom de Lectoure ? Comment les Romains se sont installés dans la ville ? Quelle était la position de Lectoure au Moyen-Age ? Comment les rochers ont pu protéger Lectoure des agressions extérieures ? Comment Lectoure a été assiégée malgré la résistance de ses habitants ? Godelieve apporte la réponse à toutes ces questions du haut de sa connaissance de l’histoire de cette ville médiévale. 

Lectoure, il faut le noter, avait la flèche la plus haute de France et Godelieve en parle avec beaucoup de clarté et de précision dans ce huitième et dernier podcast de la première saison de l’oppidum, le podcast culturel de Lectoure.  

Durée : 00 : 14 : 04 — Saison 1, Épisode 7

Sculptrice et peintre autodidacte, jeune femme de 81 ans, elle tient sa boutique au 61 rue nationale. Aujourd’hui lieu de création, Monique Lapeyre et sa tendre maman y sont nées. Sa boutique était une maison parentale, créée par son grand-père en 1928 à son retour de la guerre de 1914. Monique a vécu et visité plusieurs continents, elle a beaucoup voyagé en Afrique notamment. Ses créations reflètent quelque part son ouverture sur le monde, dans sa boutique, on y trouve des sculptures inspirées par ses diverses rencontres sur  tous les continents. 

Ses sculptures sont aussi  beaucoup influencées par la danse, ce qui remonte à son passage à l’École Normale Supérieure à Paris et à sa fonction de formateur d'enseignants. Pour elle, la danse est un langage comme la peinture et la sculpture et c'est  le caractère universel  de ces langages qui s'exprime dans ses œuvres.

Durée : 00 : 20 : 04 — Saison 1, Épisode 6

Yves MARC est un homme de corps qui a un parcours artistique et de vie riche de 50 ans d’expérience. A Paris, il a co-dirigé la plus grande compagnie de l’art du mime et du geste de la
capitale qui s’appelle « Théâtre du mouvement ».  

Arrivé à Lectoure, Yves MARC a créé l’association « compagnie Yves MARC, théâtre du
mouvement ». Pour Yves, c’est un moyen de transmettre sa connaissance aux jeunes et nouvelles compagnies par la mise en scène et l’accompagnement artistique. Yves continue de vivre sa passion en l’occurrence par la formation professionnelle, les stages de week-end ouverts à tous sur le corps.  

Yves MARC a un parcours fabuleux à la fois dans le théâtre mais aussi dans les neurosciences et la communication. Il a fait plusieurs tournées internationales notamment au Canada
et en Belgique et a obtenu plusieurs prix. Dans son parcours, il a collaboré avec
plusieurs cadres d’entreprises et des cabinets d’avocat parisiens sur la représentation du corps, la communication non verbale pendant les plaidoiries
par exemple.  

En avril 2020, en plein confinement, Yves s’intéresse au corps des spectateurs. Il inverse ainsi les rôles. Au lieu de regarder de la salle vers la scène, désormais, on regardera de
la scène vers la salle avec ces deux interrogations : qu’est-ce qui se passe chez le spectateur dans sa réception du spectacle vivant ? Qu’est-ce qui se passe dans l’intimité des corps des spectateurs ?  

Enseignant dans plusieurs écoles nationales, Yves MARC a décidé de venir au soleil et c’est Lectoure qu’il a choisie pour une raison simple. A la fin des années 80, s’est tenu à
Lectoure « l’académie international de l’acteur » dirigé par Patrick Pezin.
 

Ce puissant et sixième épisode de l’oppidum est à écouter, absolument. 

Durée : 00 : 13 : 26 — Saison 1, Épisode 5

 

Née à Tulle en Corrèze (19) en septembre 1969, Caroline Sers est une romancière française. Femme d’écriture, elle a travaillé plus de 25 ans aux éditions du Rocher puis chez Calmann-lévy et Kero. Elle a gravi tous les échelons. Du standard au service des manuscrits jusqu’au service littéraire, Caroline a tout découvert.  

Toute jeune, précisément à l’âge de 8 ans, elle a accroché avec la lecture et a commencé à écrire des histoires en imitant des auteurs qu’elle aimait. Son premier roman « Tombent les avions » publié en 2004 a reçu le prix du Premier Roman.
 

Caroline Sers a grandi et vécu à Paris jusqu’en 2016. Elle est arrivée à Lectoure il y a 6 ans et participe à l’animation de la ville.  

D’où vient l’inspiration pour écrire un roman ? Combien de temps faut-il pour écrire un livre ? Comment parvient-on à écrire un livre ? Quelle discipline faut-il avoir ? 

Dans ce cinquième épisode du podcast culturel de Lectoure, Caroline Sers nous fait le grand plaisir d’échanger avec nous sur sa passion, sa connaissance et ses expériences de romancière. Elle a surtout les meilleurs mots pour décrire Lectoure.   

Durée : 00 : 17 : 17 — Saison 1, Épisode 4

Enseignant de la cornemuse des Landes de Gascogne au conservatoire occitan à Toulouse pendant une vingtaine d’années, Bertrand Gautier est un passionné de la musique populaire. Né dans la vallée de Chevreuse, en Yveline, dans la région Île-de-France, Monsieur cornemuse Gascogne s’est installé à Blagnac à l’âge de 23 ans avant d’arriver en terre gasconne et à Lectoure.   

À Lectoure justement, il a créé officiellement avec le « roi » de la charcuterie italo-gasconne, Pascal Mazzonetto, l’association Les Gasconades en avril 2017 pour revitaliser au quotidien l’art de vivre en Gascogne. Son rêve est de faire du Rondeau, une pratique musicale étendue et fortement populaire de sorte à l’infuser dans les pratiques sociales.  

Notre invité de ce quatrième épisode du podcast l’oppidum, dirige aussi le groupe de musique traditionnelle Regain qui se produit partout dans le Gers.   

Durée : 00 :17 :  56 — Saison 1, Épisode 3

Arrivé à Lectoure il y a une quinzaine d’années  à la recherche de son amour de jeunesse qu’il ne retrouve pas, et dans le #Gers en 1967, Pierre s’est tout de suite mis à l’écriture. Son premier livre sur l’histoire locale porte sur les résistants lectourois de la Seconde Guerre mondiale. Grand admirateur de la ville, il lui a consacré beaucoup de livres, de romans et a même publié sa collection de cartes postales consacrées à Lectoure. Dans sa particulière modestie, il aime dire ne pas être Marcel Proust, même s’il a écrit une quarantaine de livres. Mais voilà, Pierre écrit, c’est sa vie, c’est sa passion. Il est fortement engagé dans le milieu littéraire. 

Président de l’association culturelle Le 122, il organise plusieurs événements, à savoir le Salon du livre, le Salon du polar, le festival Bizarre, le festival Musique des Sphères et le festival du bleu au blues prévu d’ailleurs du 12 au 16 août à la salle de la comédie de Lectoure. Il organise également des concours de nouvelles policières et de poésie qui ont beaucoup de succès et participent au rayonnement de Lectoure. 

Pour notre invité, le « livre papier est un vecteur d’intelligence et de tolérance » contrairement aux écrans qui amenuisent la faculté des jeunes à lire et à comprendre. Il travaille d’ailleurs à faire rencontrer les livres, les écrivains et les lecteurs. 

C’est à l’âge de 8 ans que Pierre a commencé son exploration littéraire pendant qu’il habitait Brugnens (32), un petit village situé entre Fleurance et Monfort. Sa première pièce de théâtre jouée a été écrite à cet âge. Son père a même reçu un courrier de la société des auteurs pour réclamer les droits d’auteurs, qui ne connaissait pas l’auteur de cette pièce !

Correspondant de la Dépêche du Midi, principal titre de la région, Pierre exerce avec passion dans la presse, d’abord et avant tout au service de son territoire qu’il aime beaucoup. Il retrouve aussi dans cet exercice son amour de l’écriture. Pierre est également un retraité de la police nationale. Il a travaillé toute sa vie pour la protection de la France.

Dans ce troisième épisode, c’est une sagesse que nous vous invitons à écouter sans tarder.

 Durée : 00 :20 :  31 — Saison 1, Épisode 2

 Gaëlle Olsen, directrice artistique de la Cie J’ai pas sommeil est une femme de théâtre. C’est à l’âge de 10 ans que le théâtre a commencé à s’imposer à elle, du moins, les premières manifestations. Elle ne l’a donc pas choisi. Au contraire, c’est le théâtre qui l’a choisie et elle en est aujourd’hui une figure. Professionnelle et toujours investie dans son travail, Gaëlle a fait toutes ses études à Paris. Désormais Lectouroise, elle offre aux habitants et aux Gersois des
représentations de très grande qualité.  

Femme-orchestre, notre invitée est une comédienne et metteuse en scène. Dans ce deuxième épisode de notre Podcast, elle nous parle de sa passion. Lorsqu’elle était en CM2, Gaëlle
a été voir avec sa classe un spectacle de Molière appelé « Le médecin malgré lui ». Elle en a été subjuguée. La prestation de la comédienne principale l’a tout aussi marquée.  

30 ans plus tard, Gaëlle vit un effet miroir en montant avec une compagnie gersoise, « Le médecin malgré lui ». Elle a aisément pu jouer le rôle de cette femme qui l’a énormément marquée quand elle était une gamine de 10 ans.  

De la fac d’histoire en passant par le droit jusqu’au théâtre à l’école Claude Mathieu à Paris (18), Gaëlle nous livre ici les secrets de son parcours. Eh oui, notre invitée a été formée
pour être actrice, créatrice, interprète, porteuse de projets.  

Comment a-t-elle réussi à monter une compagnie de théâtre ? Qu’est-ce que le théâtre de salle, de texte ? Quel message essaie-t-elle de faire passer dans ses représentations ? À
toutes ces questions, Gaëlle apporte un éclairage.  

« Histoire de femme », « liberté de femme », « notre rapport à la nature et à l’animalité » sont les principaux thèmes de ses créations. Elle joue d’ailleurs « La Femme changée en renard » le
23 novembre à Condom, sa toute dernière création.   

 Durée : 00 :13 :  27 — Saison 1, Épisode 1 

Dès sa plus tendre enfance, Corinne a nourri la passion de l’opéra en écoutant Carmen à l’âge de 8 ans. À partir de là, elle s’est fixée pour objectif d’en faire un jour son métier.  

Pour ce 1er épisode de l’oppidum, le podcast culturel de Lectoure, nous recevons Corinne Fructus par parler de son métier, de son parcours et de ses passions. Notre invitée a un parcours classique. Elle aime beaucoup les études, mais c’est avant tout une vraie passionnée.  

Passée par plusieurs conservatoires, notamment à Toulouse, Corinne est aussi une alumni de l’Université Sorbonne-Nouvelle Paris 3. Ses études ? Chant lyrique, musicologie et art
du récital.  

Corinne a fait une très belle transition. De chanteuse en chœur à soliste et maintenant à l’opéra, la lectouroise a réussi à coller à la peau un ensemble de styles de musique.  

Corinne Fructus est fondatrice et présidente de l’institut de recherche vocale et artistique, une
association qu’elle a créée à Lectoure. 

Bonne écoute !   

durée : 00:16:33 - L'invité spectacles de France Bleu Béarn Bigorre

durée : 00:03:24 - Invité France Bleu Picardie 7h40

durée : 00:08:08 - La Question du jour - par : Guillaume Erner - Une logique de "marchandisation" s'immisçant dans le financement du cinéma en France : voici ce que dénonçait la réalisatrice Justine Triet lors de la remise de la Palme d'or à Cannes. Les aides à la création sont-elles en train de diminuer, et vers quels types de production d'orientent-elles ? - invités : Ana Vinuela Maîtresse de conférence économie du cinéma et de l'audiovisuel à l’Université Sorbonne Nouvelle

durée : 00:04:25 - La chronique d'Antoine Pecqueur - par : Jean-Baptiste Urbain - Chaque mois, Antoine Pecqueur décrypte pour nous les enjeux politiques et économiques de la musique et du monde de la culture. Quelques jours avant le deuxième tour de l'élection présidentielle turque, il analyse la politique culturelle et musicale menée par l'actuel président Recep Tayyip Erdoğan.

Le groupe de réflexion CICERON, a été invité par le président Jérôme Chartier, à participer cette année aux Entretiens de Royaumont.

Une dizaine de membres a répondu à l’invitation et a pu, durant deux jours, écouter de prestigieux intervenant traiter de la thématique retenue pour cette année : « La troisième voie ».

Pour beaucoup, la troisième voie est un concept politique et économique visant à créer une philosophie qui se situerait entre la social-démocratie et le libéralisme.

 Il ne s’agit pas de prendre la moyenne des deux extrêmes, socialisme et capitalisme, mais trouver une nouvelle voie pour la société d’aujourd’hui, dans tous les domaines ; politique, économique, culturelle, artistique, etc.

Durand la guerre froide, déjà on parlait de la nécessité à trouver une troisième voie entre le communisme soviétique et le capitalisme américain. En France, le gaullisme a été présenté un temps, comme une troisième voie entre les deux modèles antagonistes des grandes puissances.

Au cours des années 1990 et 2000, en Europe et aux États-Unis, les dirigeants de gauche et du centre gauche, ont développé une notion précise de troisième voie. Elle consistait essentiellement à oublier définitivement le passé communiste et l’économie administrée. On parle alors de triangulation, de realpolitik, ou de pragmatisme économique.

Le président français Emmanuel Macron et son parti La République en marche se présentent comme une incarnation de cette troisième voie, par leur rejet du clivage traditionnel gauche/droite et leur synthèse entre socialisme et libéralisme. 

Perçu comme un marqueur essentiel de la gauche occidentale, l’engagement en faveur de l’égalité est ce qui a semblé faire le plus défaut aux premières énonciations de la Troisième voie. 

La théorisation e l’égalité réelle des chances révèle la place relativement importante que la plupart des penseurs de la Troisième voie réservent à l’individu.

Le temps est loin où les gouvernements socialistes, sociaux-démocrates et travaillistes dominaient l’Europe des Quinze. Aux victoires qui ont émaillé les années 1990 succèdent aujourd’hui une série de défaites ou d’affaiblissements plus ou moins durables des gauches européennes. Les questions soulevées perdurent, comme les débats autour de la troisième voie britannique, et de son caractère exportable ou non sur le continent.

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