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    danse orientale

    Explore "danse orientale" with insightful episodes like "EP 06 - Alexandre Paulikevitch", "Autour d'un thé avec Marie, alias Samara, professeure de danse orientale.", "EP#16 - QUAND LE CANCER EST SOURCE D'UN NOUVEL ÉQUILIBRE. MAËLLE, danseuse orientale." and "Episode 4 - Soraya, Doctorante et professeure de danses maghrébo-orientales [Allier pratique et recherche]" from podcasts like ""Faut que j'moove", "Un Thé avec Hygée", "Naître princesse, devenir guerrière." and "Why a PhD ?"" and more!

    Episodes (4)

    EP 06 - Alexandre Paulikevitch

    EP 06 - Alexandre Paulikevitch

    Peut être avez-vous appris, lorsque vous avez étudié Molière à l’école, qu’au 17e siècle en France les artistes de spectacle vivant étaient considérés comme des marginaux. Leur situation était précaire, on leur reprochait une vie dissolue, immorale, en contradiction avec les valeurs de l’église catholique qui leur refusait même une place dans ses cimetières. 

    Aujourd’hui, être artiste de spectacle vivant c’est encore, parfois, appartenir à la marge. 

    Dans certaines circonstances, se revendiquer comme artiste c’est faire acte de résistance, et s’exprimer librement, revendiquer qui on est, représente un danger. Car il arrive que l’artiste, en pratiquant son art, dérange : un ordre établi, un système de domination, un pouvoir politique. 


    Alexandre Paulikevitch, mon invité du jour, est spécialiste de la danse Baladi, qu’on connaît en France sous le nom de danse du ventre ou danse orientale. Il est un des seuls hommes à la pratiquer professionnellement. Alexandre est de ceux qui ont fait le choix de danser pour revendiquer leur identité, pour se tenir droit face au monde, à la fois face à sa violence et à sa beauté.


    🎧 Extraits sonores : 


    - Extrait de la bande son de TAJWAL, d'Alexandre Paulikevitch / Music : Jawad Nawfal
    Vocals : Yasmine Hamdan

    - Badria Essaied


    👁️ Voir Alexandre Paulikevitch


    💃 Cabaret Baladi le 8 avril 2023 au Manège de Reims


    🤸‍♂️Le site du Manège, scène nationale - Reims 


    Faut que j'moove est un podcast imaginé par le Manège, scène nationale de Reims, réalisé en partenariat avec Aparté Studio et le studio Le Son de l'Encre.

    Autour d'un thé avec Marie, alias Samara, professeure de danse orientale.

    Autour d'un thé avec Marie, alias Samara, professeure de danse orientale.

    Pour ce deuxième épisode, j'accueille Marie (plus connue sous le nom de Samara, son nom de scène), professeure de danse orientale à Lille. 

    Il y a quelques années, j'ai souhaité prendre des cours de danse pour me réconcilier avec mon corps et ma féminité. J'ai d'abord pris des cours de salsa pendant trois ans puis j'ai souhaité découvrir une autre danse : la danse orientale ou danse du ventre ( d'ailleurs, dans cet épisode, Marie reviendra sur cette appellation). 

    C'est ainsi que je me suis retrouvée dans le cours de Marie, avec d'autres femmes de tout âge. C'est ça aussi la magie de la danse 😍

    Dans cet épisode, nous avons parlé des bienfaits de la danse, de confiance en soi, d'acceptation de soi. Nous avons aussi discuté de l'image que la société se fait du corps de la femme, ici et ailleurs. 

    J'espère que cet épisode vous plaira.

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    Je vous remercie par avance pour votre soutien. 

    Belle écoute et n'oubliez pas, chérissez-vous. 

     

    Amélie 🍁

     

    Vous pouvez retrouver Marie sur son compte Instagram @samarazaina et la contacter sur cette adresse mail si vous souhaitez prendre des cours de danse orientale sur Lille : asso.zaina@gmail.com . 

     

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    EP#16 - QUAND LE CANCER EST SOURCE D'UN NOUVEL ÉQUILIBRE. MAËLLE, danseuse orientale.

    EP#16 - QUAND LE CANCER EST SOURCE D'UN NOUVEL ÉQUILIBRE. MAËLLE, danseuse orientale.

     Maëlle, la danseuse orientale au sourire craquant, Maëlle cette femme solaire qui rayonne partout où elle va, on est éblouie dans tous les sens du terme quand on rencontre Maëlle. Non mais vraiment, c’est un rayon de soleil, une passionnée, une amoureuse de la vie avec un sourire quasi permanent. A l’entendre, on a presque l’impression que c’était de la gnognote son cancer, un petit cancer de rien du tout. Tout d’abord, il n'y a pas de petit cancer ou de petit cancer de rien du tout, ça n’existe pas et ce n’était vraiment pas rien tout ce qu’elle a vécu mais c’est sa manière d’aborder les choses qui est étonnante. 

    - 38 ans, un enfant de 2 ans et demi qu’elle allaitait encore et paf, cancer du sein agressif. 
    - Une danseuse orientale passionnée et qui en a fait son métier qui perd un sein et ses cheveux, c’est dur quand même. 
    - Elle a eu la totale, ablation avec reconstruction immédiate, œdème et rebelote sur le billard, 2 opérations en 24 heures et des douleurs sans nom. 
    - L’annonce du cancer au tout début du confinement, on ne savait pas trop ce qu’il en était de ce coronavirus, en tous cas, c’était un peu inquiétant tout ce qu’on entendait par rapport aux personnes immunodéprimées et donc les personnes en chimio. 
    - Une décision de vie à prendre rapidement pour le prélèvement d’ovocytes (Madame Quintart, vous avez le weekend pour décider), Maëlle a un enfant, fallait-il sauver sa fertilité, voulait-elle un autre enfant? Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je trouve ça trash comme décision. Elle le dit bien “on court au début à l’annonce du cancer et de tous les traitements, il faut prendre des décisions rapides, tout est si rapide au début”. Elle a décidé qu’elle ne voulait plus imposer cela à son corps.

    Ensuite, elle a eu les rayons et l'hormono qui n’a pas bien démarré, elle a plongé dans un état dépressif profond, elle a fini par changer de molécule et tout se passe bien à présent. Elle nous dit même “C’est bien parfois de toucher le fond, ça permet de donner un bon coup de pied au sol pour remonter”. 

    On pourrait dire que la vie ne lui a pas souri quand on entend toutes ces épreuves et ces complications, eh bien Maëlle, elle, elle sourit à la vie. Elle vivait à du 2000 à l’heure, elle nous dit qu’elle était comme un hamster dans sa roue qui ne savait plus trop où il allait et que ce cancer lui a permis de remettre de l’ordre dans sa vie. Elle a voulu en faire quelque chose de positif, quelque chose de constructif et en plus, elle le transmet aux autres femmes. 

    Elle nous dit “Je vois un futur meilleur que si j’avais continué à être shootée à l’adrénaline mais à un prix qui n’est quand même pas négligeable, le cancer du sein ce n’est pas rien”. Et elle termine par “La vie ne vaut pas la peine d’être vécue, elle vaut la joie d’être expérimentée” 

    Sur ces belles paroles, célébrons cette vie et ce sourire à la vie avec Maëlle !

    Bonne écoute à toutes et à tous !🎧

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    Création originale : Delphine Remy  Montage : Delphine Remy, Alexandre Ryelandt et Evrard Veldekens  Enregistrement : Delphine Remy  Musique originale : Circle by Hartley


    Episode 4 - Soraya, Doctorante et professeure de danses maghrébo-orientales [Allier pratique et recherche]

    Episode 4 - Soraya, Doctorante et professeure de danses maghrébo-orientales [Allier pratique et recherche]

    Doctorante et professeure de danses maghrébo-orientales, Soraya mène une thèse intitulée " Arts migrants en France : circulations transnationales, négociations identitaires et quête de légitimation. L’exemple de “la danse orientale” ". Elle est également présidente du Centre Artistique et de Recherches des Arts Maghrebo-Orientaux (CARAMO). Dans cet épisode, elle explique l’évolution parallèle de son parcours de chercheuse et de danseuse professionnelle. Et aussi, comment ses réflexions autour de la Danse nourrissent son travail chorégraphique et sa façon de transmettre une vision plus complexe de ces gestuelles. 

    👉Retrouvez toutes les références sur https://whyaphd.com/
     

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