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    Explore "déportation" with insightful episodes like "L’histoire des enfants déportés d’Outre-Mer avec Valérie Andanson", "Les Amis de la Fondation pour la mémoire de la déportation Drôme Ardèche", "« Le Silence des justes », des centaines de juifs sauvés de la déportation entre Ardèche et Haute-Loire", "Thématique : Les Juifs en France 1940-1945, avec Jacques Semelin (rediffusion)" and "FRANCINE - 11 ans, déportée au camp Nazi de Bergen Belsen en 1944" from podcasts like ""Où va le monde ?", "Le Grand Invité de ça vaut l'détour", "Le Grand Invité de ça vaut l'détour", "Le Nouvel Esprit Public" and "SOUVENIRS D'ENFANT - témoignages de transmission de mémoire de nos anciens, parents et grand-parents"" and more!

    Episodes (17)

    L’histoire des enfants déportés d’Outre-Mer avec Valérie Andanson

    L’histoire des enfants déportés d’Outre-Mer avec Valérie Andanson

    ▶️ L’histoire des enfants Réunionnais exilés de 1962 à 1983 est peu connue. A cette période, de nombreux départements de la France hexagonale ont accueilli des enfants réunionnais arrachés à leurs familles, sans leur consentement. Ils réclament aujourd'hui une indemnisation, ainsi qu'un lieu de mémoire à Guéret dans la Creuse, là où les enfants ont tous atterris il y a 60 ans, avant d'être envoyés dans plusieurs autres départements français.

    🎙️ Valérie Andanson est secrétaire et chargée de communication de la Fédération des Enfants Déracinés des DROM (Départements et Régions d'Outre-mer). Cette fédération regroupe plusieurs associations dont l'association Rasinn Anler dont Jean-Philippe JEAN-MARIE est président. Elle fait partie des 2 000 enfants arrachés à leur famille, à leur île et à leurs repères. Elle avait trois ans.

    🌐 Thèmes : Outre-mer, déportation, enfants, protection de l’enfance, Réunion, Creuse.

    Thématique : Les Juifs en France 1940-1945, avec Jacques Semelin (rediffusion)

    Thématique : Les Juifs en France 1940-1945, avec Jacques Semelin (rediffusion)

    Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.fr
    Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l’Arrière-boutique le 18 février 2022.
    Avec cette semaine :

    • Jacques Semelin, historien, politologue, directeur de recherche émérite au CNRS, spécialiste des processus de résistance civile au sein des dictatures ainsi que de l'analyse des massacres et génocides.
    • Nicolas Baverez, essayiste et avocat.
    • Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef du quotidien La Croix
    • Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.

    « Comment se fait-il que tant de Juifs ont pu survivre en France malgré le gouvernement de Vichy et les nazis ? », demandait Simone Veil en 2008 à l’historien spécialiste des crimes de masse et de la Shoah, Jacques Semelin. Dans « Une énigme française, Pourquoi les trois quarts des Juifs en France n’ont pas été déportés », l’historien explique cette exception française. Si Serge Klarsfeld a établi que trois quarts des Juifs en France ont échappé à la mort (chiffre exceptionnel en Europe), ce n'est pas l'action des quelque 4 000 Justes français qui pouvait à elle seule l'expliquer. Pas davantage une imaginaire mansuétude de Vichy : vous démontrez que ce n’est pas grâce, mais en dépit de Vichy que la très grande majorité des Juifs en France ont pu survivre. Transformant cette abstraction des 75% en nombre, vous rapportez qu’au moins 200 000 juifs sont toujours en vie en France à la fin de l’occupation, à l’automne 1944. Beaucoup se sont dispersés à la campagne, tandis qu’au moins 40 000 sont restés à Paris. Des filières de sauvetage (juives et non juives) ont contribué à sauver environ 10 000 vies, notamment celles d’enfants. Mais l’engagement de ces organisations de résistance ne peut rendre compte de la survie d’au moins 200 000 personnes, soit 65% des Juifs étrangers et 90% des Juifs français. D’autres explications doivent donc être trouvées.Sans jamais minimiser l’horreur du crime, vous écrivez votre enquête dans la mémoire des Juifs non déportés, votre analyse des circonstances de l’époque. Vous dégagez plusieurs facteurs d’explication : la chronologie de la persécution, les statuts politiques et militaires des territoires, les géographies et cultures des régions, de l’évolution de la guerre et de la situation internationale. L’histoire culturelle et politique de la société française : l’intégration des Israélites à la nation, le rôle de l’école et de la culture républicaine, l’ouverture ou le rejet des étrangers en lien avec les besoins économiques et démographiques du pays, la propagation des idées xénophobes et antisémites, l’influence du christianisme (antijudaïsme, charité). La structure des rapports occupants-occupés, les capacités de réactivité à la persécution des individus stigmatisés comme Juifs en fonction de leur nationalité (française ou non), leur âge et situation familiale, leurs ressources linguistiques, financières et sociales. La réactivité sociale des populations non juives vis-à-vis des Juifs sur les bases de l’intérêt (économique et financier) ou des ressorts de la compassion. La formation d’une opinion hostile aux opérations les plus brutales de la persécution (arrestations et déportations des juifs apatrides), ayant provoqué une dissension publique au sein des élites catholiques, par ailleurs favorables à l’Etat collaborateur. L’influence de cette prise de parole publique sur la politique de collaboration des dirigeants français. La capacité des Juifs et non Juifs à s’organiser collectivement pour créer des réseaux clandestins de résistance civile visant au sauvetage des victimes désignées, en premier lieu des enfants. Le développement d’une « société parallèle » qui, imbriquée à la « société officielle », contribue à la protection des pourchassés et persécutés du régime. De toute cette période et sur toutes ces questions, quelle vous semble être la réalité la plus difficile à faire reconnaître par l’opinion ?

    Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d’analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l’actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

    FRANCINE - 11 ans, déportée au camp Nazi de Bergen Belsen en 1944

    FRANCINE - 11 ans, déportée au camp Nazi de Bergen Belsen en 1944

    "y'avait des morts partout. on les enjambe. C’est une invasion de morts". 


    Cet épisode fait partie des épisodes de mon nouveau podcast ENFANT DE LA SHOAH. 


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    Francine avait 11 ans quand elle est arrivée au camp allemand nazi de Bergen Belsen, après avoir été trimballée à travers la France et les camps… Poitiers, Drancy, Pithiviers, Beaune la Rolande, Drancy à nouveau, pendant près d'1 an, car arretée par la Kommandantur en essayant avec sa maman de passer la zone de démarcation pour se rendre en zone libre. 


    Francine et sa maman sont restées 1 an à Bergen Belsen.


    Francine, 11 ans, "jouait à compter les morts", 


    parce que "un enfant, il faut que ca joue", me dit-elle… 


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     Attention, témoignage poignant ! 










    "À Bergen, il n’y a pas ce qu'il faut, il n'y a qu'un seul four crématoire, donc on ne peut pas les bruler tous".


    Ne perdons pas ces mémoires si essentielles, surtout en ce moment. partageons ces témoignages bouleversants, forts, poignants ! Il faut que le monde sache @tout le monde 


    #NeverAgainIsNow

    BANDE ANNONCE PREMIER ÉPISODE ENFANT DE LA SHOAH

    BANDE ANNONCE PREMIER ÉPISODE ENFANT DE LA SHOAH

     La Shoah, mot hébreu qui signifie catastrophe, désigne la mise à mort de près de  6 millions de juifs d'Europe par l'Allemagne nazie et ses collaborateurs pendant la Seconde Guerre mondiale.


     En France, plus de 25% de la population juive totale sera décimée. 


    Les enfants ne seront pas épargnés. 

    11 000 d'entre  eux ne reviendront pas des centres de mise à mort et des milliers d'autres, les  plus chanceux, seront séparés de leurs parents, cachés à la campagne sous defausses identités, mis à l'écart du monde extérieur, parfois même dénoncés etemprisonnés. 


    Ne pas dire qu'ils sont juifs, jamais. Se taire, affronter la peur, la solitude, le danger. Oui, chanceux, car malgré tout, ces enfants survivront à  cette période terrible. Ces enfants ont grandi, ils ont 80, 90 ans et plus. Ils sont  la mémoire de la guerre, ils sont les enfants de la Shoah. Ils replongent pour nous dans leurs souvenirs d'enfants. 

      

    Après un premier podcast sur les souvenirs d’enfant de nos anciens, souvenirs d’une époque d’après-guerre joyeuse et optimiste, j’avais envie de vous faire à nouveau voyager à travers les mémoires…

      

    Vous l’aurez compris, ce voyage est plus sombre, mais tellement essentiel. Essentiel de recueillir d’urgence les récits de ces rescapés avant que ces derniers ne disparaissent et que disparaisse avec eux cette mémoire d’un génocide sans précédent 

     

    Ces témoignages, 

    👉 Pour conserver la vérité historique, 

    👉 pour sensibiliser les  jeunes générations qui connaissent peu ou pas cette période, 

    👉 pour   honorer la mémoire des millions de victimes de cette barbarie nazie, 

    👉 pour rendre hommage à la force et au courage humain, 


    mais aussi…


    👉 pour voir les petites étoiles qui brillent dans les yeux des personnes que j'interroge, car leurs souvenirs, aussi douloureux soient-ils, leurs rappellent qu’ils sont en vie. 

      

    ENFANT DE LA SHOAH est plus qu’un podcast, c’est un acte de mémoire urgent et nécéssaire, un patrimoine émotionnel à transmettre … à tout prix. 

      

     Alors si vous avez aimé écouter les souvenirs de Paulette, Nicole, Rosa, Jean-Pierre, Catherine et tous les autres témoins de SOUVENIRS D’ENFANT, vous aimerez écouter ceux 

    d’ Albert, Ginette, Francine, Marcel, Roberte, Jean-Jacques et de tous les autres témoins d’ENFANT DE LA SHOAH, que j’ai eu la chance de rencontrer. 

      

    … J’ai déjà recueilli les mémoires d’une trentaine d’hommes et femmes incroyables, courageux, résilients, tenaces, dignes, profondément humains ; et je ne veux pas m’arrêter là, car tant qu’il y aura des survivants de cette époque terrible, je ferai tout pour recueillir leur mémoire ; 

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     Alors si vous voulez me faire plaisir, mais aussi et surtout, si vous voulez contribuer, vous aussi, à la transmission de ces mémoires, qui est notre mémoire à tous, en réalité, et bien écoutez…


    ENFANT DE LA SHOAH 👈👈 ICI  ou ICI 👉 👉 ENFANT DE LA SHOAH 


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    Et plus ces mémoires se partagent, plus l’histoire de la Shoah, elle aussi, se partage.  

      

    Je compte sur vous. N’hésitez pas non plus évidemment, à me suivre sur les réseaux, Instagram , Facebook, LinkedIn … à m’envoyer des messages, à me poser des questions, je suis toujours ravie d’y réponde et de de communiquer avec vous qui m’écoutez.  


    ❤️❤️❤️❤️❤️

      

    Merci d’avance de votre écoute, de l’accueil que vous ferez à ces mémoires, à ces témoins extraordinaires de notre passé… quelques épisodes d'ENFANT DE LA SHOAH sont déjà en ligne…alors, FONCEZ !  

      

    Allez salut   🙋‍♀️

      

      Catherine


       

    Lola Lafon – Quand tu écouteras cette chanson

    Lola Lafon – Quand tu écouteras cette chanson

    Amsterdam, 18 août 2021, la nuit : Lola Lafon a rendez-vous avec Anne Frank dans le musée qui porte son nom. Invitée par la collection « Ma nuit au musée », l’écrivaine n’a pas hésité : ce musée du vide et de l’absence s’est imposé à elle comme une évidence, lui renvoyant la disparition des siens décimés par la Shoah, un lourd héritage qu’elle avait jusque-là occulté.

    L’autrice de Chavirer s’est intéressée à Anne Frank pour ce qu’elle représente : une icône adolescente, aussi aimée que haïe par la grâce d’un journal traduit dans 75 langues dont les diverses éditions ont lissé le propos pour le rendre universel.

    Partie à la rencontre d’un texte dont elle disait ne se souvenir qu’à peine, comme beaucoup d’entre nous, Lola Lafon découvre un récit bouleversant de maturité qu’elle n’hésite pas à qualifier d’œuvre littéraire et qu’elle parvient à nous faire désormais entendre autrement.


    Entretien avec Lola Lafon animé par Chloë Cambrelinget enregistré en public en mai 2023, au Mucem, à Marseille, lors de la 7e édition du festival Oh les beaux jours !.  


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    À lire

    • Lola Lafon, Quand tu écouteras cette chanson, coll. « Ma nuit au musée », Stock, 2022 (prix Décembre 2022, prix Les Inrockuptibles 2022).

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    Montage : Arthur James

    Voix : Benoît Paqueteau

    Photo : Nicolas Serve

    Un podcast produit par Des livres comme des idées.


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    La 8e édition du festival Oh les beaux jours ! aura lieu à Marseille du 22 au 26 mai 2024.

    #6 Sophie NAHUM: Leçons apprises en parlant aux derniers survivants de la Shoah : le projet "Les Derniers".

    #6 Sophie NAHUM: Leçons apprises en parlant aux derniers survivants de la Shoah : le projet "Les Derniers".

    Sophie Nahum est réalisatrice de documentaires depuis plus de 15 ans.

    Après avoir travaillé pour plusieurs grandes chaînes, elle décide de produire ses films de manière indépendante. Young et moi (2015, primé au FIGRA) fut le premier, suivi par le projet « Les Derniers » auquel elle se consacre entièrement depuis plus de trois ans.

    Elle a réalisé des dizaines d'interviews des derniers survivants de la Shoah, qu'elle met à disposition, sous forme d'épisodes courts, sur son site et sur les réseaux sociaux.

    C'est une réussite avec plus d'un million de Likes sur TikTok, et une utilisation importante dans les écoles.Dans cet entretien, nous abordons plusieurs sujets, dont la genèse du projet, les leçons apprises au contact des Derniers, et bien plus encore.

    Toutes les informations sont disponibles ici :

    www.lesderniers.org

    www.hammeljonathan.com

    Mémoires de Nono CARIO - épisode #2

    Mémoires de Nono CARIO - épisode #2

    Nous poursuivons notre mini-série sur l'histoire de vie de Jean-Victor CARIO, dit "Nono". Pour ce deuxième épisode, nous partons à la rencontre de ses parents dans un Paris bientôt ravagé par le nazisme. Avec spontanéité et résilience, Nono raconte l'arrestation brutale de son père, avant de dévoiler son exil à la campagne auprès de sa nourrice, Mme CAMUS, et son retour chaotique à la Capitale en 1946.

    Les rafles de Marseille, enfin sorties de l'oubli ?

    Les rafles de Marseille, enfin sorties de l'oubli ?

    Entre le 22 et le 24 janvier 1943, les  Allemands et la police de Vichy mènent à Marseille, occupée depuis le mois de novembre, l'opération sultan. Une première rafle cible d'abord les juifs du quartier de l'Opéra, puis une seconde vise à déloger les habitants, en majorité italiens, de Saint-Jean. Quartier qui sera ensuite rayé de la carte à l'explosif, entre le 1er et le 19 février, pour faire place nette. Quant à ses habitants, certains seront relâchés, d'autres déportés, comme de nombreux juifs de l'Opéra. Au total, plus de 1600 personnes seront envoyées dans des camps de concentration. Un pan de l'histoire longtemps occulté, enfin commémoré cette année pour ses 80 ans. Et qui pourrait bientôt être reconnu comme un crime contre l'humanité.   Audrey Savournin en parle avec les journalistes de La Provence Laetitia Gentili et Delphine Tanguy.

    Cloé Korman, romancière

    Cloé Korman, romancière

    Romancière engagée dans la lutte contre toutes les formes de racisme, Cloé Korman publie « Les presque sœurs » (Le Seuil, 256 p. 19 €) bouleversant récit inspiré par le destin tragique de sa famille, en grande partie exterminée par les nazis. Portrait d’une jeune femme dynamique et tendre, qui travaille auprès du nouveau ministre de l’Éducation Nationale. 

    Si loin de l'enfer, avec son réalisateur Maxime Simone

    Si loin de l'enfer, avec son réalisateur Maxime Simone

    Depuis 3 ans, Maxime Simone, jeune réalisateur, porte à bout de bras un projet de premier long métrage documentaire. Dans Si loin de l'enfer, il suit la trajectoire de deux descendants de femmes déportées, sur les traces de leurs ancètres. Émotion, sincérité, réflexion sur la forme: son film est aussi attachant que son concepteur. Désormais dans le circuit festivalier, le film fait le tour du globe.


    Dans une longue entrevue, Maxime Simone répond à nos questions et se livre sur ses ambitions, ses doutes, ses envies et son parcours. Portrait d'un jeune artiste déjà bourré de talent.


    Si loin de l'enfer sera disponible en janvier prochain, sur la plateforme de SVOD SOFA.
    Les Réfracteurs se chargent de faire écho des actualités prochaines du film.

    On se retrouve sur: 

    - notre site: lesrefracteurs.fr pour notamment les  articles écrits 

    - Twitter: https://twitter.com/lesrefracteurs?lang=fr 

    - Facebook: https://www.facebook.com/lesrefracteurs 

    - Discord: https://discord.gg/vJqwMmDcv3   


    Sachez que vous pouvez soutenir financièrement Les Réfracteurs via PayPal, à l'adresse lesrefracteurs@gmail.com, ou grâce au bouton présent en haut a droite de notre site     

    « Quelles que soient les épreuves de la vie, il faut se montrer digne (...) l’horreur vécue est toujours pire que les romans ou les fictions. » Gabriel Bénichou

    « Quelles que soient les épreuves de la vie, il faut se montrer digne (...) l’horreur vécue est toujours pire que les romans ou les fictions. » Gabriel Bénichou

     Épisode 23 : Gabriel Bénichou, déporté à 16 ans.

    Le 8 avril 1943, Gabriel Bénichou, lycéen âgé de 16 ans, est arrêté à Marseille et transféré à la prison Saint-Pierre avec sa sœur Rachel et son beau-frère Moïse. Tous trois sont déportés à Auschwitz II-Birkenau, en Pologne, par le convoi no 57 du 18 juillet 1943. Affecté entre octobre 1943 et août 1944 au nettoyage du ghetto détruit de Varsovie, Gabriel endure ensuite une
    marche de la mort jusqu’à Kutno, puis un transfert à Dachau, en Allemagne,une seconde marche de la mort à l’approche de l’armée américaine vers la mi-avril 1945 vers Bad Tölz, en Bavière. Il est libéré le 2 mai 1945.

    Auteure et photographe, Karine Sicard Bouvatier a organisé de 2018 à 2020 des rencontres entre les derniers témoins de la Shoah et des jeunes du même âge qu’eux à l’époque de leur déportation. Consciente que la transmission de la mémoire des rescapés des camps de concentration s’impose aujourd’hui plus que jamais, elle a fixé  leurs échanges bouleversants dans un ouvrage, Déportés, leur ultime transmission aux Éditions de la Martinière.

    Isabeth Mendoza: On Truth Be Told, public & mental health, community engagement, and deportation

    Isabeth Mendoza: On Truth Be Told, public & mental health, community engagement, and deportation

    On this episode, Alexandra speaks with Isabeth Mendoza, the engagement producer for KQED podcasts. This interview was recorded in July 2020 when Isabeth was the engagement producer for Truth Be Told at KQED. They discuss the Black Lives Matter protests, mental health and therapy during the pandemic and social uprisings, and building better boundaries with social media. In the first half of the interview, they specifically discuss racism in the healthcare system, Isabeth's journey from studying public health and being a millennial caregiver to doing Next Generation NPR, an NPR internship, and how attending a podcast festival led to one of her first podcast jobs.  She is super frank about what it took for her to do freelance for a year and gave tips on creative ways to attend festivals, even when they are outside your budget. The latter half of the conversation includes a surprising after effect of anxiety, how to fix it, and a conversation with Isabeth about her Truth Be Told episode with her father, who has been living in Mexico for many years since being deported from the United States. 

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