école d'ingénieurs

Des témoignages bien troublants et intrigants à bien des égards mettent en relief des formes certaines de discrimination et de racisme avéré à l'intérieur de l'école militaire d'ingénieurs de Polytechnique en France.

A Polytechnique, des accusations de racisme qui ne passent pas . 

Même sous couvert d'anonymat, des témoignages bien troublants et intrigants à bien des égards mettent en relief des formes certaines de discrimination et  de racisme avéré à l'intérieur de l'école militaire d'ingénieurs de Polytechnique en France.

Normalement, ces témoignages publiés dans l'édition du 30 mai du quotidien parisien Le Monde auraient dû provoquer des réactions virulentes et susciter de l'indignation, sauf que non . Même pas ! !

Polytechnique, la prestigieuse école militaire d’ingénieurs, qui accueille vingt pour cent d'étudiants étrangers, est ainsi accusée de véhiculer des stéréotypes racistes et une culture néocoloniale à travers des traitements racistes et discriminatoires infligés aux étudiants étrangers, mais pas aux français.

Le  mouvement estudiantin a toujours été remuant, rebelle ou insubordonné, et souvent pour des causes justes et louables mais pas à Polytechnique, excepté en ce qui concerne le Wokisme qui a bien été toléré à travers l'implantation du mouvement LMVH !

Temple de la raison mathématique , Polytechnique appelée également l'X , est-elle le chantre et l'instrument d'une pensée favorisant une raison où la puissance occidentale est la culture dominante.

De ce fait, cette école a longtemps échappé aux courants progressistes et aux mouvements contestataires qui secouent les autres grandes écoles françaises et l'ensemble de l'enseignement supérieur. 

Oui , mais question à deux sous : où sont passés les associations qui luttent contre le racisme et comment expliquer le silence sournois , complice et coupable de l'Observatoire  des discriminations !?

Indignation sélective 

Ainsi, à part quelques réseaux sociaux qui ont volontiers relayé et partagé ces témoignages à charge, la grande indignation n'a pas eu lieu et les autres médias ont complètement ignoré cette affaire qui n'en est malheureusement pas encore une !.

Allons bon , un étudiant marocain qui dénonce un traitement à caractère raciste c'est franchement pas grave. Il pourrait même crever ou se faire tuer par accident que cela ne gênerait personne .Alors , pourquoi s'offusquer !?

Lire la suite  

Une résidence Icam n'est pas uniquement un lieu de vie et d'hébergement pour les étudiants et étudiantes. C'est aussi là où l'on expérimente le vivre ensemble, les responsabilités partagées, l'autonomie et la construction de soi. Celles que l'on appelle les "Maisons des Icam" font partie intégrante de la pédagogie ignatienne. Une particularité que nous vous invitons à découvrir avec les témoignages de Jacques Meyniel, responsable de la Maison des Icam de Lille, et de Côme Dupont, un élève résident de 2e année. Très bonne écoute !

Un épisode réalisé avec la collaboration de Anne-Fleur Andrle.

Déjà 20 ans que l'Institut Ucac-Icam s'est implanté à Douala et Pointe-Noire, pour former de jeunes ingénieurs des différents pays d'Afrique Centrale. 

Dans cet épisode, Olivier Massamba Loubelo et Jean-Gabriel Prieur reviennent sur la genèse de ce site : pourquoi Pointe-Noire et Douala et pas ailleurs ? Ils évoquent aussi les premiers recrutements, qui impliquaient tout de même de coordonner des centres d'examens à plus de 1000 kilomètres les uns des autres !

Un épisode réalisé avec la collaboration d'Anne-Fleur Andrle.

Guillaume Dubois travaillait chez McKinsey quand il a décidé de tout quitter pour se lancer dans l’entrepreneuriat avec HappyVore. Cette startup, anciennement connue sous le nom « Les Nouveaux Fermiers », tire son origine de l’engagement en matière d’environnement et d’écologie qui a toujours guidé ses cofondateurs. Aujourd’hui, le CEO de cette jeune pousse qui propose une alternative aux viandes végétales se confie sur son parcours. Il revient également sur la naissance de cet engagement environnemental, mais aussi sur cette fameuse prise de risque qui a conduit à la création de HappyVore.
 

Au programme :

• 0:00 - Intro
• 1:45 - Guillaume Dubois et CentraleSupélec : la naissance de l’engagement environnemental
• 04:57 - L’entrée dans le monde du travail, entre PSA et McKinsey
• 10:27 - Le grand saut dans l’entrepreneuriat et le début des Nouveaux Fermiers
• 18:52 - Le développement de HappyVore
• 27:40 - L’engagement environnemental
• 39:10 - La « prise de risque » de Guillaume Dubois
• 49:25 - L’avenir de HappyVore
• 54:50 - Conclusion

Hervé le Sourne, qui est l’un des trois responsables d’axes de recherche à l’Icam, aux côtés de Jean-Pierre Fradin et Paul-Eric Dossou, nous explique ici qui sont les partenaires de recherche de l’Icam, et pour quelles raisons nous travaillons en lien avec eux.

Certains des projets de l’Icam sont très médiatisés, comme "Energy Observer", sur lequel nous revenons, et Hervé évoque également un projet ambitieux sur le recyclage des plastiques, actuellement en cours, qui aura des applications particulièrement pertinentes au niveau des industries.

Bienvenue dans cette nouvelle série d'épisodes de l’Icam en Mémoire.s consacrés à la Recherche académique. Hervé le Sourne, qui est responsable de la Recherche à l’Icam, pour l’axe “ structure et matériaux innovants”, répond à toutes mes questions.

Dans ce premier épisode, Hervé nous explique ce qu’est être enseignant-chercheur à l’Icam, quels sont les 3 axes sur lesquels lui et ses collègues travaillent particulièrement, et aussi ce que représente une chaire de recherche, telle que la chaire Sens et Travail que nous avons au sein de l’école.

La Fondation Féron-Vrau fête ses 40 ans et l'Icam en Mémoire.s revient sur la relation particulière qui l'unit à l'Icam. La Fondation est membre de la gouvernance de l'école et elle possède, à ce titre, un rôle clé dans les évolutions de l'Icam, dans une relation de confiance solide et durable.

François Bouvard, président de l'Icam et Pierre-Yves Rogez, ancien président de la Fondation, évoquent ce lien spécifique et la façon dont il se traduit au quotidien.

Merci à Anne-Fleur Andrle d'avoir coopéré à la réalisation de cet épisode.

Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'Icam en Mémoire.s, enregistré dans le cadre des 40 ans de la Fondation Féron-Vrau. 

En 1981, L'Icam s'est dotée d'une Fondation reconnue d'utilité publique qui lui permet, depuis, de concrétiser deux de ses grandes ambitions : ouvrir ses formations aux élèves de tous horizons, grâce aux prêts d'honneur, mais aussi développer des campus porteurs de l'esprit Icam, en France et dans le Monde.

Dans quel contexte cette Fondation a-t-elle été créée et de quelle manière ? Maurice Milard et Guy Carpier, ses deux fondateurs, répondent à nos questions !

Merci à Anne-Fleur Andrle pour sa coopération à cet épisode.

La Fondation Féron-Vrau fête ses 40 ans ! L'Icam en Mémoire(s) revient sur les temps forts de son histoire et sur la façon dont elle contribue à la vie de l'école.

Le dispositif le plus emblématique de la Fondation est incontestablement celui des prêts d'honneur. Ils permettent à tous les jeunes qui le souhaitent de poursuivre leurs études à l'Icam, grâce au financement intégral de leurs frais de scolarité. 

Dans cet épisode, Anne Flautre, directrice des études du Parcours Ouvert à Lille, et Théo, l'un de nos étudiants bénéficiaires, expliquent le rôle essentiel de ces prêts, qui placent tous les élèves sur un pied d'égalité et permettent d'incarner, pleinement, les valeurs de mixité sociale chères à l'Icam.

Merci à Anne-Fleur Andrle pour sa coopération à cet épisode. 

Bienvenue dans ce nouvel épisode de l’Icam en Mémoire(s), épilogue de l’entretien que nous avons eu avec Philippe Carpentier. Grâce à lui, nous en apprenons un peu plus sur cette fameuse pédagogie ignatienne, dont on parle en permanence à l’Icam. Cette pédagogie est, en réalité, quasiment un art de vivre sur nos campus, et ce podcast vous permettra de comprendre pleinement en quoi cette singularité est essentielle au projet de l’Icam. Très bonne écoute et à bientôt !

Bonjour à tous et merci d'écouter l'Icam en Mémoire(s) ! Aujourd'hui, nous nous posons la question suivante : pourquoi l’Icam restreint-il ses promotions à une petite centaine d'élèves ? Voilà un mystère que Philippe Carpentier nous dévoile dans ce nouvel épisode. Au passage, on notera que l’Icam a toujours su rester fidèle à ses valeurs, quoi qu’il en coûte ! A très vite !

Bonjour à tous et bienvenue dans l'Icam en Mémoire(s). On retrouve la suite de l’interview de Philippe Carpentier, avec un retour global sur les 40 dernières années. Nous lui avons demandé ce qui l’avait le plus marqué au cours de ces décennies, et la réponse tient en une phrase : “l’Icam a toujours su rester l’Icam”. De quelle manière ? Je vous invite à le découvrir en écoutant son récit ! Il dévoile aussi une autre singularité de l’école, à savoir les raisons qui l’ont poussée à ne jamais se développer dans la partie Est de l’Hexagone. Très bonne écoute !

Bienvenue dans l’Icam en Mémoire(s) pour ce troisième épisode de la série consacrée à Philippe Carpentier, qui évoque ici son expérience de directeur du campus de Lille, au début des années 2000. A travers son récit, on découvre la ”Marque de fabrique de l’Icam”, qui responsabilise ses étudiants et étudiantes et les encourage à se former d’une manière libre et audacieuse, avec un grand sens du collectif. Excellente écoute !

Bonjour et bienvenue dans l’Icam en Mémoire(s), avec la suite de l’interview de Philippe Carpentier, qui a occupé de nombreuses fonctions stratégiques à l'Icam. Dans ce second épisode, il nous plonge dans les débuts du déploiement de l'école en France. À votre avis, quel a été le premier campus à ouvrir dans le prolongement de celui de Lille ? Découvrez tout de suite la réponse ! Très bonne écoute !

Bonjour à tous ! Dans ce nouvel épisode de l’Icam en Mémoire(s), nous accueillons Philippe Carpentier, qui a passé pas moins de 40 ans à l’Icam, dont plusieurs années à la direction du campus de Lille. Autant vous dire qu’il a beaucoup de choses à nous raconter sur l’école ! On démarre avec l’arrivée de Philippe Carpentier à l’Icam, au début des années 80, à l’époque où seul le site de Lille existait. Comment recrutait-on les élèves à l’époque et qu’attendait-on d’eux ? La réponse sans attendre ! 

Bienvenue dans cet épisode de l’Icam en Mémoire(s), épilogue de notre entretien avec Jean-Luc Souflet. Nous évoquons ici l’audace incroyable dont l’Icam a toujours su faire preuve, et particulièrement depuis le début des années 2000. Jean-Luc Souflet partage avec nous les coulisses des grands projets qui ont rythmé la vie de l’école, et dévoile également ses aspirations pour l’avenir. Excellente écoute ! 

Jean-Michel Viot, directeur général de l'Icam, revient sur l'un des grands temps forts de l'école : la création de la "marque" Icam, en 2008, dans le prolongement même de la création du "groupe". Auparavant, les sites et formations possédaient des noms et des identités différentes, et la mise en place de la marque a permis de gagner en cohérence et lisibilité. Mais c'était aussi un profond changement de paradigme, pour les collaborateurs ! Jean-Michel Viot revient, en détails, sur les enjeux de cette marque, et nous fait vivre de l'intérieur sa concrétisation.

Retrouvez notamment dans cet épisode :

- les raisons qui ont motivé la création de la marque Icam et une "photographie" de ce qu'était l'école, avant 2008 (1:30) ;

- pourquoi était-il important d'avoir une seule identité, de communiquer d'une seule voix et avec un même nom ? (5:45) ;

- la démarche et l'accompagnement nécessaires pour la mise en place de la marque, concrétisée notamment par une charte graphique (7:43) ;

- les valeurs sur lesquelles l'Icam fonde sa communication de marque, en lien avec ses fondements (9:18) ;

- de quelle manière les collaborateurs et élèves s'approprient cette marque, depuis sa création (16:41) ;

- pour quelle(s) raison(s) les sites Icam, à l'international, ne possèdent pas tout à fait le même intitulé que les sites français ? (18:12) ;

- les défis qui restent, selon lui, à relever autour de cette marque (21:58).

Le forum des télécommunications rassemble chaque année une centaine d'entreprises et quelque 3000 étudiants désireux de les rejoindre, notamment en stage ou en alternance. Cet événement, qui se tient ce mardi 3 décembre pour l'édition 2019, est organisé chaque année conjointement par Télécom SudParis et Institut Mines-Télécom Business School : nous avons interrogé Ariane, étudiante en deuxième année à IMT-BS et organisatrice de l'événement !