#enquête

La nuit du 21 avril 2016, à Piketon, en pleine campagne dans l'Ohio, 8 membres de la famille Rhoden ont été brutalement exécutés chez eux. Deux ans plus tard, leurs voisins les Wagner sont arrêtés ; ils auraient commis le plus grand massacre de l'histoire de l'Ohio. Choquée, la ville de Piketon reste incapable de tourner la page. Pour la 1ère fois,  une équipe de journalistes a mené l'enquête. Ils ont parlé aux habitants, à des experts en psychologie, des enquêteurs de premier plan, des amis et même des membres des deux familles. Les Wagner sont-ils coupables ? Ou est-il possible qu'un meurtrier se promène encore dans la région en liberté, prêt à s'attaquer à une autre famille ? 

Un soir de janvier 2013, une jeune femme se rend dans un hôtel californien à la réputation... macabre.

3 semaines plus tard, la jeune femme est toujours portée disparue, elle s'est littéralement évaporée. Les dernières images qu'on a d'elle proviennent des caméras de surveillance de l'hôtel dans lequel elle séjournait. On la voit dans l'ascenseur, le visage apeuré par quelque chose, mais quoi ? L'extrait fait le tour du net, laissant la porte ouverte à tout un tas de théories.

Cette femme, vous la connaissez peut-être, c'est Elisa Lam.
Et cet hôtel, c'est le Cecil Hotel, tristement connu pour être un hôtel... maudit.

Vous écoutez la véritable histoire d'Elisa Lam, une des affaires paranormales les plus marquantes de la décennie.

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, « il n’y a pas de santé, sans santé mentale. » Le sujet est plus que jamais à l’ordre du jour puisque 34% des personnes interrogées en février 2021 dans le cadre de l’enquête CoviPrev présentaient un état anxieux ou dépressif. Cela ne fait aucun doute : la santé mentale des Français a été touchée de plein fouet par les conséquences de la crise sanitaire. Tout cela réveille de nouvelles angoisses : la peur du virus, le raz le bol des restrictions, un climat social tendu, des perspectives économiques souvent inquiétantes. Si, en France, la santé mentale reste un peu le parent pauvre de la médecine et si elle a été longtemps considérée comme un sujet tabou, la crise sanitaire lui a permis d’avoir une place plus importante dans le débat public. On en parle avec un expert, le Professeur Michel Lejoyeux, professeur de psychiatrie et d’addictologie à l’Université de Paris et chef de service à l’hôpital Bichat.    

Pour en savoir plus : 

Covid-19 : quel impact sur notre santé mentale ?

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Nous voilà arrivés au terminus de notre première saison au cœur des ténèbres peuplées de spectres et de monstres parfois bien humains. J’espère que vous avez apprécié l’aventure… Avant de vous quitter pour rejoindre ma crypte, je vous propose une dernière histoire, bien de chez nous cette fois : celle du fantôme du château de Veauce. Une jeune fille au destin tragique qui se retrouvera coincée pour l’éternité entre les murs d’un vieux château médiéval...

À Pittsburgh, en Pennsylvanie, on raconte souvent l’histoire d’une maison au passé si sombre qu’on dit que c’est le diable en personne qui l’a construite. Depuis sa construction jusqu’à ses derniers habitants, elle n’a été le théâtre que d’atrocités — réelles ou rapportées — et glace encore le sang de ceux qui passent à côté. Ce grand manoir victorien est l’illustration parfaite de la maison hantée par excellence.  Et quand on sait ce qui s’y est déroulé en 1871, lorsqu’elle abritait encore ses tout premiers habitants… il y a de quoi croire aux malédictions.  

Le 31 décembre 1992, dans une petite ville du Kansas, Debra et Tony Pickman emménagent dans leur nouvelle maison. Ils sont mariés depuis un mois, elle est enceinte alors qu’elle n’y croyait plus : bref, ils nagent dans le bonheur. Mais comme nous ne sommes pas là pour raconter de jolies histoires d’amour, vous vous en doutez déjà : leur rêve tourne vite au cauchemar. 

Ce qu’ils ignorent encore quand ils posent leurs cartons dans cette petite maison vieillotte mais douillette, c’est qu’elle est déjà habitée. il ne s’agit pas d’un colocataire collant, un propriétaire envahissant ou même un squatteur discret — non, c’est un fantôme qui loge à cette adresse. 

Et pas n’importe lequel : celui d’une petite fille dont les jeux ne sont pas toujours inoffensifs.