entre femmes

Et voici le dernier épisode en collaboration avec le festival black Helvetia !

Le festival continuera sa route en 2023 et je vous laisse aller découvrir sur le site internet www.blackhelvetia.ch la programmation,  ainsi que les différents liens des articles consacré au festival, et surtout l’enregistrement de la table ronde extraordinaire qui s’est tenue le 8 octobre avec les femmes incroyables que sont Barbara Hendricks et Christiane Taubira. 

Un épisode un peu spécial, car ce n’est pas 2 ni 3, pas même 4 femmes qu’il y a autour de la table rose aujourd’hui, mais bien 6 !!! Pour que l’écoute soit plus simple pour vous, l’épisode sera en 2 parties, que vous pourrez écouter soit l’un après l’autre à la suite directement, soit l’un aujourd’hui, l’autre demain ou tout simplement lorsque vous aurez le temps!

Dans cette première partie, on a abordé l’enfance et les 1eres confrontations racistes, l’adolescence et les relations amoureuses, ou encore le rapport à l’identité féminine.

Je vous laisse donc en compagnie de Sacha, Laure, Ndotar, Olga, Naima et Maissa 

Belle écoute!

Et voici le dernier épisode en collaboration avec le festival black Helvetia !

Le festival continuera sa route en 2023 et je vous laisse aller découvrir sur le site internet www.blackhelvetia.ch la programmation,  ainsi que les différents liens des articles consacré au festival, et surtout l’enregistrement de la table ronde extraordinaire qui s’est tenue le 8 octobre avec les femmes incroyables que sont Barbara Hendricks et Christiane Taubira. 

Un épisode un peu spécial, car ce n’est pas 2 ni 3, pas même 4 femmes qu’il y a autour de la table rose aujourd’hui, mais bien 6 !!! Pour que l’écoute soit plus simple pour vous, l’épisode sera en 2 parties, que vous pourrez écouter soit l’un après l’autre à la suite directement, soit l’un aujourd’hui, l’autre demain ou tout simplement lorsque vous aurez le temps!

Dans cette première partie, on a abordé l’enfance et les 1eres confrontations racistes, l’adolescence et les relations amoureuses, ou encore le rapport à l’identité féminine.

Je vous laisse donc en compagnie de Sacha, Laure, Ndotar, Olga, Naima et Maissa 

Belle écoute!

J’ai eu le plaisir d’être contacté par les organisatrices du  festival black Helvetia pour vous proposer plusieurs podcasts autour de la construction identitaire des femmes noires vivant en Suisse. C’était un plaisir pour moi de rencontrer toutes ces femmes afrodescendantes et leur donner en collaboration avec le festival, la possibilité de s’exprimer sur leur expérience d’enfant, de jeune fille et de femmes noires vivant en Suisse.

Le festival black helvetia  qui se tiendra du 30 septembre au 23 octobre 2022 ainsi qu’en 2023, a pour but de célébrer la diversité de la population suisse avec des propositions artistiques et culturelles et à s'interroger sur l’identité et le regard que chacune et chacun de nous portons sur l’Autre et en particulier, sur les femmes* noires et afrodescendantes.

Je vous laisse aller découvrir la superbe programmation du festival sur le site internet www.blackhelvetia.ch

être une femme et particulièrement une femme noire lorsque l’on vit dans un pays où la majorité des personnes ne le sont pas n’est pas toujours chose aisée.

c’est ce dont nous avons discuté avec mes invitées du jour…

Racisme à l’école, racisme au sein de la famille lorsque l’on aime l’autre qui n’a pas la même couleur, charge raciale, féminisme et sororité, sont les quelques sujets évoqués lors de cet entretien autour de la table rose avec : Phara, Carmelle et Farah  

J’ai eu le plaisir d’être contacté par les organisatrices du  festival black Helvetia pour vous proposer plusieurs podcasts autour de la construction identitaire des femmes noires vivant en Suisse. Ainsi qu’un podcast sur le racisme dans les soins. C’était un plaisir pour moi de rencontrer toutes ces femmes afrodescendantes et leur donner en collaboration avec le festival, la possibilité de s’exprimer sur leur expérience d’enfant, de jeune fille et de femmes noires vivant en Suisse.

Le festival black helvetia  qui se tiendra du 30 septembre au 23 octobre 2022 ainsi qu’en 2023, a pour but de célébrer la diversité de la population suisse avec des propositions artistiques et culturelles et à s'interroger sur l’identité et le regard que chacune et chacun de nous portons sur l’Autre et en particulier, sur les femmes* noires et afrodescendantes.

Je vous laisse aller découvrir la superbe programmation du festival sur le site internet www.blackhelvetia.ch

la construction de l’identité féminine?... c’est quoi être, une femme et particulièrement une femme noire lorsque l’on vit dans un pays où la majorité des personnes ne le sont pas. Vaste sujet….

Racisme à l’école, premières histoires d’amour, relations aux parents, charge raciale, féminisme et sororité, sont les quelques sujets évoqués avec mes deux invitées.

Alors aujourd'hui autour de la table rose il y a : Francia et Louella

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J’ai eu le plaisir d’être contacté par les organisatrices du  festival black Helvetia pour vous proposer plusieurs podcasts autour de la construction identitaire des femmes noires vivant en Suisse. Ainsi qu’un podcast sur le racisme dans les soins. 

C’était un plaisir pour moi de rencontrer toutes ces femmes afrodescendantes et leur donner en collaboration avec le festival, la possibilité de s’exprimer sur leur expérience d’enfant, de jeune fille et de femmes noires vivant en Suisse.

Le festival black helvetia  qui se tiendra du 30 septembre au 23 octobre 2022 ainsi qu’en 2023, a pour but de célébrer la diversité de la population suisse avec des propositions artistiques et culturelles et à s'interroger sur l’identité et le regard que chacune et chacun de nous portons sur l’Autre et en particulier, sur les femmes* noires et afrodescendantes.

Je vous laisse aller découvrir la superbe programmation du festival sur le site internet www.blackhelvetia.ch 

 

Il y a des institutions où l'on s'attend à ce que les origines des unes et des uns ne soit pas un sujet...En particulier dans le domaine du soin.

Et pourtant....Malgré La déclaration de Genève également intitulée Serment du médecin qui indique entre autre " JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de croyance, d’origine ethnique, de genre, d’orientation  sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient ;

Force est de constater que bien  souvent il existe une catégorisation raciale qui a pour conséquence une mauvaise prise en charge des personnes racisées et des femmes noires en particulier.

Bien qu’il y ait peu de données sur le sujet en Suisse, on sait que le racisme systémique trouve malheureusement sa place dans les différentes institutions de soin. Les centres de conseil, qui recensent les incidents racistes en Suisse, ont en effet mis en évidence une recrudescence de 27% des actes de racisme entre 2018 et 2019, et dans le milieu de la santé, ces chiffres sont également en augmentation.

Le racisme et ses préjugés ancré depuis des siècles fait que des patients se retrouvent victimes de discrimination raciale de la part des équipes de soins et certains soignants se retrouvent également confrontés au racisme de leurs collègues..

Quelles stratégies mettre en place pour être mieux soignées, comment ces personnes  font-elles face au quotidien, et quelles solutions devraient être trouvées ?

 

C'est ce dont nous avons discuté avec Sandrine, Mireille et Nadine

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5 étoiles sur apple podcast, des commentaires sur les plateforme où c'est possible et vous m'aiderez énormément ! Alors MERCI.

J’ai eu le plaisir d’être contacté par les organisatrices du  festival black Helvetia pour vous proposer 5 podcasts autour de la construction identitaire des femmes noires vivant en Suisse et 1 podcast sur le racisme dans les soins. 

C’était un plaisir pour moi de rencontrer toutes ces femmes afro-descendantes et de leur donner en collaboration avec le festival black helvetia, la possibilité de s’exprimer sur leur expérience d’enfant, de jeune fille et de femmes vivant en Suisse.

Au cour de ces épisodes vous découvrirez:

Dominique, Sandra, Sandrine, Mireille, Nadine, Louella, Francia, Carmelle, Phara, Farah, Sasha, Laure, Ndotar, Olga, Naima et Maissa.

Nous avons parcouru leur enfance, adolescence et leur vie de femme. Le racisme, la charge raciale, la mauvaise prise en charge dans les soins...On a ri on a été émues...Je vous laisse les découvrir.

Et puis pour la première fois, autour de la table rose nous étions 7, vous le verrez c'est un épisode en 2 parties, car elles avaient tant à partager.

Le festival black helvetia  qui se tiendra du 30 septembre au 23 octobre 2022,va pour but de célébrer la diversité de la population suisse avec des propositions artistiques et culturelles et à s'interroger sur l’identité et le regard que chacun·x·e de nous portons sur l’Autre et en particulier, sur les femmes* noires et afrodescendantes.

Je vous laisse aller découvrir la superbe programmation du festival sur le site internet www.blackhelvetia.ch

Comment se construit l’ identité féminine?... Vaste question… encore plus lorque l’on est une femme noire et que l’on vit dans un pays où la majorité des personnes ne le sont pas.

Comment se vit cette construction au fil du temps, comment trouve-t-on sa place en tant que femme noire lorsqu’en plus de la charge mentale il faut subir la charge raciale?

Est-ce que l’on vit une adolescence différente quand on grandit ici avec des parents afrodescendants, comment les parents envisagent l’éducation de leurs enfants dans un pays qui n’est pas le leur.

De quelle manières vit-on ses 1ères histoires d’amour quand on ne correspond pas aux canons de beauté du lieu ou l’on vit et comment on embrasse le fait d’être une femme afrosdescendante en suisse ? Bref comme toujours vous le savez maintenant, j’avais beaucoup beaucoup de questions et c’est toujours un plaisir pour moi de partager ces interrogations avec d’autres femmes.

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Hello, hello,

heureuse de vous retrouver après quelques mois d'absence par ici.

Qu’est-ce que j’ai fait durant tout ce temps? Eh bien un peu, beaucoup de procrastination!

J’ai également pas mal galéré avec cet épisode, car il y avait beaucoup de problèmes au niveau du son, j’ai perdu des fichiers, ce qui m’a énervé, et m’a donné envie de tout abandonner, puis retrouvé les fichiers, pour qu’ils se mettent pas du tout dans l’ordre….

Bref pour finir j’ai tout mis dans l’ordre, mais va savoir comment ou pourquoi, ils ont ensuite décidé de se superposer les uns sur les autres, bref vous l’aurez compris, cet épisode m’a demandé beaucoup de “RESPIRE, RESPIRE Pascale ”!!!

Il faut croire que la respiration fonctionne car, voici enfin cet épisode enregistré en début d’année!!!

Un épisode assez long que j’ai décidé de ne pas mettre en 2 parties, car vous pouvez toujours mettre sur pause, et y revenir lorsque vous aurez envie, ou tout simplement comme me le disait une auditrice l’écouter pendant une de vos longues séances de repassage, un long trajet en train ou encore en voiture !

Belle écoute!

Il fut un temps jadis, ou les familles nombreuses étaient encore très courantes, et même assez valorisées. Aujourd’hui,  la tendance est plutôt à deux enfants maximum et le nombre d’enfants uniques en Suisse est en constante augmentation.

D’ailleurs ici on parle de famille nombreuse à partir de 3 enfants!

Alors pourquoi ce choix de vie dans une société qui aujourd’hui ne valorise plus vraiment les familles nombreuses. Comment on arrive à s’organiser, à prendre du temps pour soi, c'est quoi le kit de survie du frigo, est-ce qu’il faut forcément être riche pour avoir plus de 2 enfants en Suisse, comment ces mamans se sentent perçues…Et surtout est-ce qu’on aime vraiment tous ses enfants de la même manière quand on a plusieurs?

C'est ce dont on va discuter avec 3 mamans qui nous parlent de leur vie de famille avec 4 et 5 enfants.

Autour de la table rose aujourd’hui, il y a Caroline, Pascale et Cécile.

Les recos de Caroline:
Pour bien manger

C'est chez elle que ça se passe !

Caroline est traiteur et vous propose des plats afro-fusion ainsi qu'un piment qui "tue la mort"!!!!

Vous pouvez découvrir ses plats ici : https://www.instagram.com/bukabuki_/  

Pour la culture

Elle a adoré Rome qui l'a même éblouie par sa culture documentée ou non.

Pour se détendre ou se ressourcer

Peu importe le lieu tant qu'elle a un livre !

Les recos de Pascale:

Pour bien manger

Le restaurant Alive  aux Eaux-Vives 

Pour la culture

La Citadelle La Ferrière  en Haïti

Pour se détendre ou se ressourcer

C'est à la montagne que Pascale se ressource, en particulier à la Forclaz  

Les recos de Cécile:

Pour bien manger

Pizzeria Frisco 

Pour la culture

L'espagne en particulier Barcelone 

Pour se détendre ou se ressourcer

C'est à Formentera  que Cécile se ressource et dès qu'il y a de la musique!

Jamais une langue n'aura été plus habile que celle de Klara, plus patiente, plus pénétrante, plus connaisseuse des tréfonds moites. Une langue apprivoisante des désirs enfouis, des désirs inavouables... qu'il faut patiemment ramener à la surface de la conscience, tels des trésors, lourds et rouillés, arrachés aux profondeurs. Imaginez... des perles nacrées de jouissance, enfilées sur la langue, comme on enfile un collier d'amour.

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Bienvenue pour la 2ème partie de cet épisode!

Marie-Laurence, Lucie et Manuela nous ont parlé de l'infidélité dans le couple, de féminisme et bonne répartition des tâches et pleins d'autres choses.

Belle écoute!

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On parle souvent des couples qui divorcent ou se séparent,

2 mariages sur 5 semblerait-il en Suisse, et en 2019  Genève était même le canton qui comptait le plus de divorces dans le pays.

Mais quid des couples qui durent ?

Quels sont leurs secrets, comment ont-ils fait pour résister au temps, à faire vivre leurs couples avec le travail, les enfants ou tout simplement la vie qui a son lot de hauts et de bas.

Quand on a plus de 15 ou 30 ans de vie commune, qu'est-ce qui fait que cela fonctionne toujours?

C'est donc avec beaucoup de plaisir que j’ai reçu 3 femmes autour de la table rose avec qui nous avons parlé de la vie de couple, de communication, des difficultés rencontrées, de sexualité aussi… D’ailleurs elles répondent même à la fameuse question : est-ce qu’un couple peut exister sans relations intimes !! 

Vous commencez à me connaître, on a papoté pendant des heures, alors la réponse à cette question sera dans la  2ème partie de l’épisode, qui sortira dimanche donc soyez au rendez-vous!!

Je vous laisse donc en compagnie de Marie-Laurence, Lucie et Manuela!

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Partir, tout quitter pour une nouvelle vie... dans une autre ville, un autre pays ou encore parfois même sur un autre continent.

Certains en rêvent, d'autres le font…

Certains partent pour fuir une vie triste, d’autres pour le soleil, ou pour des opportunités de travail… Il y en a aussi qui partent pour changer le monde, par amour, juste pour tenter quelque chose de différent ...bref  vous l’aurez compris, il y a mille et une raisons de partir.

Mais comment fait-on pour partir, et une fois sur place, comment cela se passe?

Et puis quand on a grandi en Suisse, pays dans lequel on a un certain confort et ou a priori de nombreuses opportunités sont possibles, pkoi partir? qu’espère t’on trouver de mieux, et est ce qu’on trouve finalement quelque chose de mieux ?

comment on vit la distance avec la famille,  et les amis de toujours? comment se faire des nouveaux amis? est-ce que c’est pareil ? comment on fait avec la langue?

bref j’avais pleins de questions...Alors j’ai demandé à deux personnes personnes qui ont tenté l’aventure de bien me répondre...et aujourd’hui c’est via zencastr que j’accueille Susana et Jessica, pour un moment virtuel autour de la table rose.

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Les recos de Jessica: 

Pour bien manger

La meilleure des cuisine: LA CUISINE HAITIENNE

et elle avoue aussi un petit faible pour la cuisine mexicaine

Pour la culture

La culture suisse !

Pour se détendre ou se ressourcer

La côte ouest des Etats-Unis

Les recos de Susana  :

Pour bien manger 

Chez la tante du chéri de Susana à Cochin au Kerala en Inde !

Pour la culture

Le Rhino ancien haut-lieu de la culture squat à Genève

ici un petit reportage de 2 minutes  et un autre ici de 9 minutes  

Pour se détendre ou se ressourcer:

Les structures Maya du Guatemala

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Un petit épisode bonus pour pour vous souhaiter une belle année 2022 et vous dire MERCI !

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Faire le métier de ses rêves, ou être épanouie dans son travail...nous sommes nombreuses et nombreux à en rêver. 

Souvent, c’est lorsque l’on est enfant que l’on imagine ce que l’on fera plus tard, et on se dit “ moi le métier de mes rêves c’est”…et là il y a toute un liste non exhaustive…Moi par exemple je voulais être l’une des danseuses de Janet Jackson. 

Mais selon un sondage mené sur 2000 personnes, il a été révélé que 6 personnes sur 10 ne font pas le métier dont elles rêvaient étant enfant et que près de 60 % d’entre elles le regrettent. 

Et vous c'était quoi le métier de vos rêves???… 

Les désirs d’enfance ne se réalisent pas toujours car il arrive aussi que l’on réajuste ou que l’on change de rêves en cours de route,  et que malgré tout on finisse par exercer une activité que l’on aime et dans laquelle on s'épanouit. 

Parfois cela passe par l’indépendance, certaines et (ns) trouvent leur voie en étant salariées (és), oui oui il semblerait que cela soit possible ! Et il arrive qu’un cumul indépendantes(s) et salariées (és) puisse également être la clé! 

Actuellement dans une phase de reconversion professionnelle, que l’on peut aussi appeler chômage, j’ai le besoin de me sentir inspirée par celleux qui font un métier qu’ils et elles aiment! 

J'ai donc demandé à 3 femmes qui exercent des métiers dans lesquels elles se sentent épanouies de venir partager leur expérience.

Car j’ai envie de savoir ce que ça fait de se lever le matin en étant heureuses d’aller travailler” ??!! 

Alors aujourd’hui autour de la table rose pour répondre à mes questions, je reçois Céline, Clémence et Licia!

Mettez 3 femmes inspirantes autour d'une table rose, et vous obtenez plus de 2 heures de discussion !!!

Nous avons parlé de leur parcours, des difficultés et de joies de l'indépendance, d'audace, d'argent, et d'authenticité qui permet de gagner en liberté.

J'espère que cet épisode vous inspirera à vivre vos rêves, et à être pleinement vous-même!

Les reco de Licia 

Les reco de Clémence

Les reco de Céline

 

Pour les retrouver sur instagram c'est par ici !

Céline  

Clémence  

Licia  

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Faire le métier de ses rêves, ou être épanouie dans son travail...nous sommes nombreuses et nombreux à en rêver.

Souvent, c’est lorsque l’on est enfant que l’on imagine ce que l’on fera plus tard, et on se dit “ moi le métier de mes rêves c’est”…et là il y a toute un liste non exhaustive…Moi par exemple je voulais être l’une des danseuses de Janet Jackson.

Mais selon un sondage mené sur 2000 personnes, il a été révélé que 6 personnes sur 10 ne font pas le métier dont elles rêvaient étant enfant et que près de 60 % d’entre elles le regrettent.

Et vous c'était quoi le métier de vos rêves???…

Les désirs d’enfance ne se réalisent pas toujours car il arrive aussi que l’on réajuste ou que l’on change de rêves en cours de route,  et que malgré tout on finisse par exercer une activité que l’on aime et dans laquelle on s'épanouit.

Parfois cela passe par l’indépendance, certaines et (ns) trouvent leur voie en étant salariées (és), oui oui il semblerait que cela soit possible ! Et il arrive qu’un cumul indépendantes(s) et salariées (és) puisse également être la clé!

Actuellement dans une phase de reconversion professionnelle, que l’on peut aussi appeler chômage, j’ai le besoin de me sentir inspirée par celleux qui font un métier qu’ils et elles aiment!

J'ai donc demandé à 3 femmes qui exercent des métiers dans lesquels elles se sentent épanouies de venir partager leur expérience.

Car j’ai envie de savoir ce que ça fait de se lever le matin en étant heureuses d’aller travailler” ??!!

Alors aujourd’hui autour de la table rose pour répondre à mes questions, je reçois Céline, Clémence et Licia!

Pour les retrouver sur instagram c'est par ici !

Céline  

Clémence  

Licia  

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Je suis ravie de vous savoir au rendez-vous pour la deuxième saison de Autour de la Table Rose.

Merci d’être là aujourd’hui et pour les futurs épisodes à venir.

Dans le podcast du jour, on va parler de ce petit crabe qui nous fait peur à raison, car on ne sait pas comment on l’attrappe.

Je me souviens d’une époque quand j’étais plus jeune, où je croyais que seules les personnes qui fumaient ou avaient un certain âge pouvaient avoir un cancer...Et que les autres cas n’étaient qu anecdotiques.

Et pourtant aujourd’hui, c’est une bien triste réalité à laquelle nous faisons face… De nombreuses personnes, fumeuses ou pas, sportives ou non, qui mangent équilibré ou pas nécessairement, jeunes ou moins jeunes, succombent à un cancer.

J’ai moi-même récemment perdu une amie atteinte de cette maladie. Je vous invite d’ailleurs si vous parlez ou comprenez l’anglais, à aller écouter son podcast “Mommy had a little cancer”, dans lequel elle discutait avec son amie Karlee de leur expérience commune.

S’il est vrai que de nombreuses personnes meurent d’un cancer, il est aussi important de rappeler que cette maladie n’est pas toujours synonyme de mort, car bon nombre s’en sortent également.

J’ai eu envie de donner la parole à 3 femmes pour qui le cancer a fait irruption dans leur vie afin qu’elles partagent avec nous leur expérience.

Cet épisode sortira vraisemblablement le vendredi 1er octobre, et c’est une date importante, car c’est le mois d’octobre rose.

Octobre rose c’est un mois de prévention destiné à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein, et à la récolte de fonds pour la recherche.

En suisse environ 1 femme sur 8 est confronté à un cancer du sein. Mesdames, pensez à l’autopalpation et au moindre doute allez consulter, et surtout à partir de 50 ans, on ne fait pas l’impasse sur la mammographie. Je vous mettrai différents liens d’information.

Une vidéo pour l'auto-examen des seins 

L'association dont Marie-Lise fait partie
 

Infos sur le cancer du sein en Suisse  

Un podcast sur le cancer du sein chez les femmes noires

Donc aujourd’hui autour de la table rose, il y a Marylise, Emmanuella et Hélène.

Les recos de Emmanuella : 

Pour bien manger

Masterfood pour de délicieux tacos! 

Une bonne fondue quand il fait froid

et la cuisine haïtienne !

Pour la culture

Elle aime apprendre de toutes les cultures

Pour se détendre ou se ressourcer

Aller regarder un manteau neigeux sur les hauteurs de Schaffouse

Les recos de Marylise  :

Pour bien manger 

Le sud de l'Italie 

Pour la culture

Elle est hétéroclyte 

Pour se détendre ou se ressourcer:

La Polynésie

Les recos de Hélène:

Pour bien manger

Ca se passe chez la maman d'Hélène !! ( je verrai si je peux nous obtenir une ivitation ;-) )

Pour la culture 

L'Usine à Genève  

Pour se détendre ou se ressourcer

Ottobiano en Italie et son centre de Motocross sa passion  

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Selon l’ami Wikiédia, et son cousin Larousse , le mot métis(du latin: mixtus, qui signifie « mélangé »/« mêlé »), désigne une personne dont les parents ont des origines géographiques, culturelles, ou des caractéristiques phénothypiques différentes, comme par exemple la couleur de la peau.

Le terme métis fut notamment utilisé pour désigner les nombreuses et nombreux descendantes et descendants de parents européens et indigènes issus de la colonisation.

Le métissage colonial a d’ailleurs conduit l’article IX du code noir à décréter l’interdiction (hors mariage) des relations sexuelles entre les noirs et les blancs.

Car ne l’oublions pas, mais avant, les parents d’enfants métisses étaient  dans l'illégalité dans bon nombre de pays et risquaient la prison ou même parfois la mort s’ils étaient pris on dénoncés… 

Le métissage a longtemps été décrié, et de nombreux soi-disant auteurs dont je ne citerai ici ni les textes ni les noms, ont rédigés pas mal d’écrits nauséabonds dans lesquels ils indiquait que les unions entre blancs et non blancs donnaient entre autres des enfants anormaux physiquement ou encore mentalement, pour ne citer que cela.

Heureusement, notre société moderne a évolué, et aujourd’hui on voit généralement le métissage comme quelque chose de formidable, d’un moyen de réconciliation qui pourrait anéantir le racisme, et on dit même parfois que c'est peut-être l’avenir de l’humanité...

Mais est-ce si simple?  

Les personnes métisses vivent-elles leur métissage comme quelque chose de formidable? Comment on assume la couleur de sa peau métisse?

Est-ce qu’on est vraiment moitié-moitié? 

Comment sentent-elles perçus dans la société? 

Comment cela se passe quand on n'est pas née dans le pays où l'on vit ? 

Quel rapport aux cheveux ( oui, c'est une question existentielle !!!)?

Pour avoir cette réflexion, j'ai eu envie de questionner des femmes dites métisses et afro descendantes pour savoir comment elles ont vécu leur mélange de cultures…

J’ai eu la chance d’avoir 5 femmes autour de la table rose, donc vous aurez droit à 2 épisodes en 2 partie sur ce thème.

Alors Autour de la table rose pour en discuter avec moi aujourd’hui, il y a Abeti et Martine

Les recos de Martine : 

Pour se détendre ou se ressourcer

Au bord de l'eau  par exemple au Doubs  

Pour bien manger

Le Yaka  

Pour la culture

les musées  en général et récemment elle a visité le musée cantonal des beaux arts à Lausanne 

Les recos de Abeti :

Pour se détendre ou se ressourcer 

Abeti se détend en cuisinant, chantant et dansant

et se ressource dans la nature en regardant les différentes couleurs de la terre

Pour bien manger

Hanu Lui Manuc  à Bucharest  

Pour la culture

les musées en général et en particulier Le musée national de l'histoire et de la culture afro américaine  à Washington 

Aujourd'hui C’est un épisode un peu particulier pour moi, car il a été réalisé avec une maman qui n’est plus des nôtres, aujourd’hui. 

Cet épisode est dédié à Amaya et Liam, car votre maman Angie était tout simplement extraordinaire.

Quand on devient parent, une chose qui nous tient particulièrement à coeur, c’est le bien-être de nos enfants.

Pourtant chacun ayant son style d’éducation, on ne va pas élever nos enfants de la même manière pour diverses raisons.

Depuis quelque temps déjà, la tendance de l’éducation bienveillante ou positive fait son chemin chez de nombreux parents.

Mais peut-on être une maman noire, qui a reçu une éducation dite entre guillements” à la dure” et pratiquer une parentalité bienveillante?

Mais d’ailleurs c’est quoi l’éducation bienveillante ?

Selon mes petites recherches, en gros, c’est le fait d’adopter un style d’éducation et des comportements qui répondent aux besoins de l’enfant en premier pour son épanouissement, un espèce de juste milieu entre éducation autoritaire et éducation permissive : dont le but est d’instaurer une relation positive avec son enfant. Il ne s’agit en aucun cas de devenir des parents parfaits…car  ça n’existe pas, mais plutôt de faire de son mieux chaque jour!

C’est donc, avec Angie et Sophia qu’on en parle aujourd’hui.

Les recos de Angie :

Pour bien manger 

Florence en Italie ( peu importe l'endroit c'est délicieux)

Pour se détendre 

Costa Rica 

Pour la culture 

Bénin 

Les recos de Sophia :

Pour bien manger 

Haïti Chérie 

Pour se détendre 

les balades dans la nature 

Pour la culture 

Haiti

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Selon l’ami Wikiédia, et son cousin Larousse , le mot métis(du latin: mixtus, qui signifie « mélangé »/« mêlé »), désigne une personne dont les parents ont des origines géographiques, culturelles, ou des caractéristiques phénothypiques différentes, comme par exemple la couleur de la peau.

Le terme métis fut notamment utilisé pour désigner les nombreuses et nombreux descendantes et descendants de parents européens et indigènes issus de la colonisation.

Le métissage colonial a d’ailleurs conduit l’article IX du code noir à décréter l’interdiction (hors mariage) des relations sexuelles entre les noirs et les blancs.

Car ne l’oublions pas, mais avant, les parents d’enfants métisses étaient  dans l'illégalité dans bon nombre de pays et risquaient la prison ou même parfois la mort s’ils étaient pris on dénoncés… 

Le métissage a longtemps été décrié, et de nombreux soi-disant auteurs dont je ne citerai ici ni les textes ni les noms, ont rédigés pas mal d’écrits nauséabonds dans lesquels ils indiquait que les unions entre blancs et non blancs donnaient entre autres des enfants anormaux physiquement ou encore mentalement, pour ne citer que cela.

Heureusement, notre société moderne a évolué, et aujourd’hui on voit généralement le métissage comme quelque chose de formidable, d’un moyen de réconciliation qui pourrait anéantir le racisme, et on dit même parfois que c'est peut-être l’avenir de l’humanité...

Mais est-ce si simple?  

Les personnes métisses vivent-elles leur métissage comme quelque chose de formidable? Comment on assume la couleur de sa peau métisse?

Est-ce qu’on est vraiment moitié-moitié? 

Comment sentent-elles perçus dans la société? 

Pour avoir cette réflexion, j'ai eu envie de questionner des femmes dites métisses et afro descendantes pour savoir comment elles ont vécu leur mélange de cultures…

J’ai eu la chance d’avoir 5 femmes autour de la table rose, donc vous aurez droit à 2 épisodes en 2 partie sur ce thème.

Alors Autour de la table rose pour en discuter avec moi aujourd’hui, il y a Louella, Noémie et Romaine. 

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On se retrouve pour la 2ème partie de l'épisode avec Louella, Noémie et Romaine.

On parle de racisme, de cheveux, du privilège métisse et de comment elles se définissent.

Belle écoute!

Les recos de Louella : 

Pour se détendre ou se ressourcer

Pierre de la Paix – Hôtel du Chasseron 

Le Morne Brabant à l'île Maurice

Le Vulcano aux îles Eoliennes 

La Grande Anse en Guadeloupe 

Parc des Bastions et la Treille

Pour bien manger

Restaurant du Grütli

Restaurant l'Athénée 4

Le Barocco  restaurant du musée d'art et d'histoire ( il semblerait qu'il soit fermé

Pour la culture

Chaplin's World

Musée Warhol à Pittsburg

Les recos de Noémie 

Pour se détendre et se ressourcer

La région de Lavaux 

Pour bien manger 

Le restaurant Amici

Pour la culture 

Le carnaval de Notting Hill

Les recos de Romaine

pour se détendre ou se ressourcer

Partout où elle se sent tout petite ( montagnes...)

pour bien manger 

En ce moment dans la structure où elle travaille, elle y découvre la nourriture nigérianne.

Pour la culture 

Ouagadougou au Burkina Faso

Durant son séjour au Canada elle a beaucoup vu beaucoup de spectacles et pratiqué beaucoup de danse

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Dans cette deuxième partie, les filles me parlent de l'âge fatidique des 40 ans ... De leur lâcher prise et de comment elles se sentent et s'imaginent dans le futur sans enfants...

Et comme toujours, la séquence reco!

Les reco de Myriam

Restaurant Papas: Guardamar del Segura à Valence en Espagne

Les calanques de Cassis : https://www.viree-malin.fr/visiter-les-calanques-de-cassis-weekend/  

Et pour la culture, pour Myriam c'est partout !

Les reco de Nadina

Restaurant les Tilleuls à Genève: https://les-tilleuls.ch/

Pour se détendre, elle recommande son canapé dans son salon !!!

Son coup de foudre culturel récent : Instanbul https://fr.wikipedia.org/wiki/Istanbul

Les reco de Barbara https://www.instagram.com/barbarabertoli_/

Restaurants : 

8 oak https://www.8oak.ch/

Kytaly  https://kytaly.ch/

Chez Fouad https://fouadtraiteur.ch/accueil_restaurant.html

Barabara se détend sous sa douche !

Sensas : https://geneve.sensas.top/

Le chemin des lanternes  https://www.crans-montana.ch/fr/feerie/

En 2018, une étude suisse mentionnait qu’environ 69% des femmes entre 25 et 80 ans ont eu au moins un enfant.

Mais quid des  30% restant sans progéniture?

Certaines décident de ne pas en avoir par choix, car elles n’aiment pas les enfants, ou parce qu’elles ont toujours su qu’elles n’en voudraient pas.

d’autres choisissent de ne pas en faire par choix financier ou choix de carrière.

Il y a aussi celles qui ne se sentent pas capables de s’occuper d’un enfant et celles qui décident de faire un choix écologique, car depuis quelque temps l’idée selon laquelle nous serions trop nombreuses et nombreux sur cette planète prend de plus en plus de  sens dans l’esprit de beaucoup de femmes.

Parfois aussi, c’est tout simplement du fait des circonstances de la vie: Pas trouvé le fameux papa ou la fameuse maman idéale. Des problèmes d’infertilité, ou encore tout simplement le temps qui est passé trop vite et qui n’a pas permis l'opportunité.

Des raisons, il en existe certainement des milliers, mais dans cette société où l’on attend des femmes qu’elles soient mères, comment on le vit quand on a plus de 35 ans et que l’on a pas d’enfants…? 

car aujourd’hui malgré le fait que cela devienne de plus en plus commun, une femme sans enfants subit encore bon nombre de préjugés.

Comment vit-on la pression sociale, familiale, l’horloge biologique qui fait tic tac, les copines/copains qui ont des enfants et les remarques déplacées?

alors je tiens à vous dire que les questions qui sont posées aujourd’hui, pourraient tout aussi bien l’être à des hommes, car certains font le choix de ne pas en vouloir, tout comme d’autres n’en ont pas eu l’opportunité. Mais voilà, autour de la table rose est un podcast dédié aux femmes !

Je souligne par ailleurs qu’il sera question d’amour de l’homme, ceci uniquement car mes trois invitées sont hétérosexuelles, mais qu’il est bien entendu qu’il peut aussi s’agir de  l’amour d’une femme pour une femme.

Dans cet épisode en 2 parties, j’ai demandé à Barbara, Myriam et Nadina 3 femmes sans enfants de partager avec nous leur expérience sur le sujet : 

On a discuté, des attentes familiales, du patriarcat de l’indélicatesse de certains proches et d’estime de soi. Et On aussi bien rigolé au sujet de la famille cornflakes. Je vous laisse découvrir ce tout nouvel épisode!