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    Explore " ipséité" with insightful episodes like "Être avec son habit social - Valentine (2/3)", "Être avec son habit social - Maxime (1/3)", "Vivre suite à des violences (3/3) - Lisa", "Vivre suite à des violences (2/3) - Lucille" and "Bande annonce" from podcasts like ""Ipséité", "Ipséité", "Ipséité", "Ipséité" and "Ipséité"" and more!

    Episodes (16)

    Être avec son habit social - Valentine (2/3)

    Être avec son habit social - Valentine (2/3)
    Depuis toujours et dans les premières civilisations, sociétés et groupes sociaux, nos vêtements n’ont pas seulement une utilité de survie. Nous ne portons pas seulement un vêtement chaud pour se protéger du froid, l’habit est aussi un message.Je me souviens, lorsque j’étais adolescent, je voulais les vêtements de marques, trouver mon style, je m’habillais avec des pantalons loose quand je voulais trainer avec les skatteurs ou avec un slim vert fluo quand je faisais de la Tektonik. Et ce que je renvoie aux autres me bloquent souvent. J’ai mis un temps fou à oser les boucles d’oreilles publiquement, alors que je portais secrètement celles de ma mère parfois.Dans le cadre de ce sujet, tu vas rencontrer trois personnes aux habits sociaux très différents, plus ou moins dans la norme de notre société. Nous mettrons en perspective leurs vêtements avec leur personnalité, pour nous permettre de déconstruire nos stéréotypes.Et pour le deuxième épisode, tu vas rencontrer Valentine. Style berlinois, coiffure mulet, plateformes aux pieds, tatouée. Valentine à un style remarquable et est en dehors des codes de beautés classiques français.Nous parlerons des différentes influences à l’origine d’un style qu’elle développe seule. Mais aussi de l’importance de dévoiler son corps pour elle, qui n’est pas obligatoire synonyme de confiance en soi.Travail du son et musique : Sabrina Duval

    Être avec son habit social - Maxime (1/3)

    Être avec son habit social - Maxime (1/3)
    Depuis toujours et dans les premières civilisations, sociétés et groupes sociaux, nos vêtements n’ont pas seulement une utilité de survie. Nous ne portons pas seulement un vêtement chaud pour se protéger du froid, l’habit est aussi un message.Je me souviens, lorsque j’étais adolescent, je voulais les vêtements de marques, trouver mon style, je m’habillais avec des pantalons loose quand je voulais trainer avec les skatteurs ou avec un slim vert fluo quand je faisais de la Tektonik. Et ce que je renvoie aux autres me bloquent souvent. J’ai mis un temps fou à oser les boucles d’oreilles publiquement, alors que je portais secrètement celles de ma mère parfois.Dans le cadre de ce sujet, tu vas rencontrer trois personnes aux habits sociaux très différents, plus ou moins dans la norme de notre société. Nous mettrons en perspective leurs vêtements avec leur personnalité, pour nous permettre de déconstruire nos stéréotypes.Et pour le premier épisode, tu vas rencontrer Maxime, 24 ans. Maxime porte une grande diversité de vêtements et de style, à sa taille ou non. J’ai souhaité échanger avec lui pour ça, mais aussi par l’intégration de l’horreur dans son habit social.Ensemble, nous parlerons de la déconstruction de la beauté dans le vêtement, de l’importance du message et de la poésie dans l’habit social. Nous traiterons de l’influence du harcèlement dans la construction de son habit de social et des dynamiques de communautés, notamment LGBTQI+.Travail du son et musique : Sabrina Duval

    Vivre suite à des violences (3/3) - Lisa

    Vivre suite à des violences (3/3) - Lisa
    Depuis plusieurs années, la médiatisation concernant les violences dans notre société explose, qu’elles soient conjugales, sociales, raciales ou encore sexistes. Cette médiatisation est le résultat de siècles et d’années de colère.Toujours aujourd’hui, de nombreux préjugés sont posés sur les victimes, parlant de personnes faibles, ayant provoquées ces violences par leur comportement ou encore leur tenue.Dans le cadre de ce sujet, nous allons essayer d’aborder les conséquences des violences sur notre construction et notre reconstruction. Nous allons parler des besoins pour tendre vers une extinction des violences dans notre société.Alors comment déconstruire tout ça justement ? Par la rencontre avec les personnes concernées.Dans le cadre de ces épisodes, tu vas rencontrer trois personnes victimes de violences multiples.En avertissement, l’ensemble des ces épisodes abordent la question des violences conjugales. Nous allons donc parler de sujets qui peuvent heurter la sensibilité de certains.Et pour le troisième épisode du sujet « Vivre suite à des violences », tu vas rencontre Lisa, femmes cis, victimes de violences familiales, amicales et conjugales.Musique et traitement du son : Sabrina Duval

    Vivre suite à des violences (2/3) - Lucille

    Vivre suite à des violences (2/3) - Lucille
    Depuis plusieurs années, la médiatisation concernant les violences dans notre société explose, qu’elles soient conjugales, sociales, raciales ou encore sexistes. Cette médiatisation est le résultat de siècles et d’années de colère.Toujours aujourd’hui, de nombreux préjugés sont posés sur les victimes, parlant de personnes faibles, ayant provoquées ces violences par leur comportement ou encore leur tenue.Dans le cadre de ce sujet, nous allons essayer d’aborder les conséquences des violences sur notre construction et notre reconstruction. Nous allons parler des besoins pour tendre vers une extinction des violences dans notre société.Alors comment déconstruire tout ça justement ? Par la rencontre avec les personnes concernées.Dans le cadre de ces épisodes, tu vas rencontrer trois personnes victimes de violences multiples.En avertissement, l’ensemble des ces épisodes abordent la question des violences conjugales. Nous allons donc parler de sujets qui peuvent heurter la sensibilité de certains.Et pour le deuxième épisode du sujet « Vivre suite à des violences », tu vas rencontrer Lucille, femme cis, victime de violences sexistes, conjugales et médicales.Musique et traitement du son : Sabrina Duval

    Bande annonce

    Bande annonce
    Qu’est-ce qui te définit ? Comment réussir à montrer ce qui fait qui tu es ? Comment faire percevoir son Ipséité ?Tu peux donner une ou plusieurs informations sur toi, qui viendront en dire plus sur toi, mais qui ne te définiront possiblement pas entièrement. Et derrière chaque information, nos cerveaux vont être en capacité de projeter ta personnalité en fonction des stéréotypes et préjugés.Et même si les réponses ne sont pas franchement importantes, nous les sous-entendons en permanence entre nous toustes.C’est la dynamique de ces assignations et préjugés que nous allons essayés de tempérer par ce podcast.Chaque mois, nous aborderons un sujet avec trois personnes concernées; et chacune sera rencontrée au cours d’un épisode individuel. Par ces rencontres tu vas pouvoir découvrir trois parcours différents, pourtant perçus comme identique socialement.Evidemment, l’idée n’est pas de chercher quelle est la meilleure identité, mais de rencontrer une diversité de profils, de manière à limiter nos préjugés.Et c’est ici, en toute détente que je t’invite à rencontrer les invitésEnfin, si tu veux aller plus loin, connaitre les coulisses, réagir ou simplement échanger avec moi, je t’invite à découvrir les comptes Instagram, Facebook et Tiktok : ipséité.podcast.

    Être hétérosexuel.le (3/3) - Audrey

    Être hétérosexuel.le (3/3) - Audrey
    Encore aujourd’hui, l’hétérosexualité est la norme dans notre société française. Mais qui dit norme, dit aussi cadre strict, dans lequel il est possible de vivre son hétérosexualité. Dès lors qu’une personne hétérosexuelle sort de la norme, ça se complique.Parce qu’être hétéro n’est pas qu’une question de sexualité individuelle, mais aussi d’un rapport à l’autre en société. On parle même d’hétéronormativité, d’une norme posée par la culture hétérosexuelle. De cette culture émane les inégalités de genre, la culture du viol, le mariage, l’obligation de parentalité, la masculinité toxique ou encore le sexisme intériorisé. En dernier épisode de ce sujet, je te propose de rencontre Audrey, lyonnaise et toulousaine de 47 ans.Nous parlerons de l’influence du racisme dans la sexualité, mais aussi du changement de son rapport aux hommes grâce à son célibat.

    Être hétérosexuel.le (2/3) - Antoine

    Être hétérosexuel.le (2/3) - Antoine
    Encore aujourd’hui, l’hétérosexualité est la norme dans notre société française.Mais qui dit norme, dit aussi cadre strict, dans lequel il est possible de vivre son hétérosexualité. Dès lors qu’une personne hétérosexuelle sort de la norme, ça se complique.Parce qu’être hétéro n’est pas qu’une question de sexualité individuelle, mais aussi d’un rapport à l’autre en société. On parle même d’hétéronormativité, d’une norme posée par la culture hétérosexuelle. De cette culture émane les inégalités de genre, la culture du viol, le mariage, l’obligation de parentalité, la masculinité toxique ou encore le sexisme intériorisé. Pour ce deuxième épisode, je te propose de rencontrer Antoine, parisien de 28 ans.Nous parlerons de la place ascendante des hommes dans la relation hétérosexuelle, de sexisme intériosé et des évolutions nécessaires dans l’hétérosexualité.

    Être hétérosexuel.le (1/3) - Emma

    Être hétérosexuel.le (1/3) - Emma
    Encore aujourd’hui, l’hétérosexualité est la norme dans notre société française. Mais qui dit norme, dit aussi cadre strict, dans lequel il est possible de vivre son hétérosexualité. Dès lors qu’une personne hétérosexuelle sort de la norme, ça se complique.Parce qu’être hétéro n’est pas qu’une question de sexualité individuelle, mais aussi d’un rapport à l’autre en société. On parle même d’hétéronormativité, d’une norme posée par la culture hétérosexuelle. De cette culture émane les inégalités de genre, la culture du viol, le mariage, l’obligation de parentalité, la masculinité toxique ou encore le sexisme intériorisé. Pour ce premier épisode, je te propose de rencontrer Emma, toulousaine de 25 ans.Nous parlerons du rapport compliqué entre féminisme et hétérosexualité, mais aussi de l’influence de notre société sur notre désir.

    Être dans la communauté LGBTQI+ (2/3) - Maurine

    Être dans la communauté LGBTQI+ (2/3) - Maurine
    Aujourd’hui en France, près de 6 millions de français.e.s sont LGBTQI+, et autant de places prises au sein de la communauté, de la plus détachée à la plus militante et investie.Malgré ces chiffres, la communauté LGBTQI+ est peu visible et porte encore de forts stéréotypes, elle serait trop festive, trop peu politique, trop sexualisée, etc. A la découvert de la communauté, on réalise le nombre infini de places possibles. Ces multiples manières d’être dans la communauté s’accompagne également de préjugés.Au cours de ces trois épisodes, nous essayerons de savoir s’il existe une bonne place à prendre au sein de la communauté. Pourquoi la masculinité est encore si précieuse chez les hommes gays ? Pourquoi les lesbiennes sont si peu représentées ? Ou encore pourquoi les personnes trans sont encore si peu entendues ?Au cours de ce deuxième épisode, tu vas rencontrer Maurine, parisienne de 20 ans, femme cis lesbienne.Nous parlerons de la place des femmes dans la communauté, de la fetichisation des personnes racisées et de ce que le militantisme est venu apporter dans son identité.

    Être dans la communauté LGBTQI+ (1/3) - Théo

    Être dans la communauté LGBTQI+ (1/3) - Théo
    Aujourd’hui en France, près de 6 millions de français.e.s sont LGBTQI+, et autant de places prises au sein de la communauté, de la plus détachée à la plus militante et investie.Malgré ces chiffres, la communauté LGBTQI+ est peu visible et porte encore de forts stéréotypes, elle serait trop festive, trop peu politique, trop sexualisée, etc. A la découvert de la communauté, on réalise le nombre infini de places possibles. Ces multiples manières d’être dans la communauté s’accompagne également de préjugés.Au cours de ces trois épisodes, nous essayerons de savoir s’il existe une bonne place à prendre au sein de la communauté. Pourquoi la masculinité est encore si précieuse chez les hommes gays ? Pourquoi les lesbiennes sont si peu représentées ? Ou encore pourquoi les personnes trans sont encore si peu entendues ?Au cours de ce premier épisode, tu vas rencontrer Théo, parisien de 25 ans, homme cis et homosexuel.Nous parlerons de l’évolution de son lien à la communauté, des stéréotypes qu’il a pu avoir sur le dit « milieu gay » et de la pression qu’il peut avoir à être militant.

    Vivre son rapport à l'amour (3/3) - Dominique

    Vivre son rapport à l'amour (3/3) - Dominique
    Aujourd’hui, en France, on compte un peu plus de 30 millions d’adultes en couple et 8 millions d’adultes célibataires. Aucun chiffre officiel n’existe encore concernant les trouples et les relations polyamoureuses.L’amour est placé comme essentiel dans notre société, mais aussi encore pour moi. Je ne sais pas pour toi, mais déconstruire l’idée du couple idéal est un travail dingue.Mais aussi, déconstruire tous les préjugés accrochés au célibat est un travail quotidien.Au cours de ce sujet, tu vas pouvoir rencontrer des personnes qui aiment comme elles sont. Nous essayerons de comprendre en quoi l’amour peut devenir essentiel dans notre société, qu’est-ce qui amène deux humains à se supporter pendant 50 ans ? Ou encore comment peut-on avoir assez d’amour pour plusieurs partenaires ?Au cours de ce dernier épisode, tu vas rencontrer Dominique, marseillaise de 65 ans, en couple.Nous parlerons de l’évolution de son rapport à l’amour depuis les années 70, de la place de la liberté dans le couple et de la vieillesse dans l’amour.

    Vivre son rapport à l'amour (2/3) - Laura

    Vivre son rapport à l'amour (2/3) - Laura
    Aujourd’hui, en France, on compte un peu plus de 30 millions d’adultes en couple et 8 millions d’adultes célibataires. Aucun chiffre officiel n’existe encore concernant les trouples et les relations polyamoureuses.L’amour est placé comme essentiel dans notre société, mais aussi encore pour moi. Je ne sais pas pour toi, mais déconstruire l’idée du couple idéal est un travail dingue.Mais aussi, déconstruire tous les préjugés accrochés au célibat est un travail quotidien.Au cours de ce sujet, tu vas pouvoir rencontrer des personnes qui aiment comme elles sont. Nous essayerons de comprendre en quoi l’amour peut devenir essentiel dans notre société, qu’est-ce qui amène deux humains à se supporter pendant 50 ans ? Ou encore comment peut-on avoir assez d’amour pour plusieurs partenaires ?Au cours de ce deuxième épisode, tu vas rencontrer Laura, femme originaire Cantal de 25 ans, célibataire.Nous parlerons de l’évolution de son rapport à l’amour, de la bizarrerie que la norme liée à l’amour et de ce que peut représenter une femme seule dans notre société.

    Vivre son rapport à l'amour (1/3) - Alexandre

    Vivre son rapport à l'amour (1/3) - Alexandre
    Aujourd’hui, en France, on compte un peu plus de 30 millions d’adultes en couple et 8 millions d’adultes célibataires. Aucun chiffre officiel n’existe encore concernant les trouples et les relations polyamoureuses.L’amour est placé comme essentiel dans notre société, mais aussi encore pour moi. Je ne sais pas pour toi, mais déconstruire l’idée du couple idéal est un travail dingue.Mais aussi, déconstruire tous les préjugés accrochés au célibat est un travail quotidien.Au cours de ce sujet, tu vas pouvoir rencontrer des personnes qui aiment comme elles sont. Nous essayerons de comprendre en quoi l’amour peut devenir essentiel dans notre société, qu’est-ce qui amène deux humains à se supporter pendant 50 ans ? Ou encore comment peut-on avoir assez d’amour pour plusieurs partenaires ?Au cours de ce premier épisode, tu vas rencontrer Alexandre, toulousain de 26 ans, en trouple.Nous parlerons de l’évolution de son rapport à l’amour, de la déconstruction d’une normalité pour pouvoir s’épanouir et de la liberté que cette forme d’amour a ouverte.

    Être en situation de handicap physique et/ou moteur (2/3) - Ahmed

    Être en situation de handicap physique et/ou moteur (2/3) - Ahmed
    Pour ce premier sujet de l’année, tu peux rencontrer trois personnes en situation de handicap physique et ou moteur.Nous parlerons de handicap et d’incapacité dans notre société en France. Qu’est-ce qu’être en situation de handicap en France ? Quels sont les préjugés auxquels sont rencontrés les personnes concernées ? Et quelle est leur réalité ?Aujourd’hui, 12 millions de personnes sont en situation de handicap et les inégalités sont toujours criantes. 12 millions de personnes encore si peu visibles.Nous questionnerons alors quels sont les besoins pour permettre une égalité d’accès.Au cours de cette première rencontre, tu rencontreras Ahmed, fraichement toulousain et âgé de 25 ans, en fauteuil électrique du fait d’une paralysie cérébrale. Nous parlerons de ce qu’est le handicap pour lui, de luttes et de militantisme pour favoriser l’insertion des personnes concernées.Pour en savoir plus, Ahmed te propose l’ensemble de ces infos :Sur le capacitisme : https://www.med-h.net/1592_reflexion-sur-capacitismeDocus, podcasts, films :Bon pied bon oeil et toute sa tête : https://www.youtube.com/watch?v=5WC7DJK4ABQ ; Defiant lives ; Crip Camp (netflix) ; Yes we fuck (tw: nu, érotisme, bdsm, ... c'est un docu) https://vimeo.com/123177395 ; Handicapés, haut et fort (avec le clhee) https://www.arte.tv/fr/videos/RC-016638/handicapes-haut-et-fort/ ; Féminismes et handicaps : les corps indociles https://www.arteradio.com/son/61661891/feminismes_et_handicaps_les_corps_indociles_19Livres :Infirmités et inadaptation sociale : pour une étude socio-politique de l’intégration des handicapés dans la société capitaliste de Jean-Marc Bardeau.Babette handicapée méchante de Elisabeth Auerbacher.Le Normal et le pathologique de Georges Canguilhem.Dictionnaire CRIP: Petit ouvrage d’introduction au Crip de Charlotte PUISEUXEt enfin d’autres sites pour s’informer :https://dehorscestlasile.wordpress.comhttps://coupsdegueuledelau.wordpress.comhttps://lgbthandicap.wordpress.comhttps://vivreavec.frhttps://dcaius.fr/blog/https://www.kevinpolisano.comhttps://blogs.mediapart.fr/elena-chamorrohttps://auxmarchesdupalais.wordpress.comhttps://amongestedefendant.wordpress.com/author/nonoelomb/https://charlottepuiseux.weebly.comhttps://commedesfous.comhttps://cle-autistes.frhttp://handi-queer.org/

    Être avec sa famille (3/3) - Guillaume

    Être avec sa famille (3/3) - Guillaume
    A l’occasion des fêtes de fin d’année et de l’obligation de faire famille le 25 décembre, j’ai décidé d’aborder le sujet de la famille.Quelle est l’influence de notre famille sur notre identité ? Sommes-nous obligés de maintenir le lien ? Comment imaginons-nous en construire une aujourd’hui ?Encore aujourd’hui, il est difficile de se détacher des obligations sociales liées à la famille. Perçue comme un pilier de vie et une réussite sociale, avoir une famille ou un lien à celle-ci différents de la norme génère de nombreux préjugés.Par ce sujet, je cherche à connaitre les différentes formes de famille, leur atouts et leur réalité. Nous essayons de cerner ce que la famille est venir définir en nous, et d’arriver à déterminer notre liberté avec sa famille.Au cours de cette troisième rencontre, tu vas rencontrer Guillaume, albigeois de 25 ans.Il nous parlera de son rapport à sa famille , de l’évolution de la relation avec ses parents et de ce qui lui est indispensable pour faire famille.
    Ipséité
    frDecember 20, 2020

    Être avec sa famille (1/3) - Sonia

    Être avec sa famille (1/3) - Sonia
    A l’occasion des fêtes de fin d’année et de l’obligation de faire famille le 25 décembre, j’ai décidé d’aborder le sujet de la famille.Quelle est l’influence de notre famille sur notre identité ? Sommes-nous obligés de maintenir le lien ? Comment imaginons-nous en construire une ?Encore aujourd’hui, il est difficile de se détacher des obligations sociales liées à la famille. Perçue comme un pilier de vie et une réussite sociale, avoir une famille ou un lien à celle-ci différents de la norme génère de nombreux préjugés.Par ce sujet, je cherche à connaitre les différentes formes de famille, leur atouts et leur réalité. Nous essayons de cerner ce que la famille est venir définir en nous, et d’arriver à déterminer notre liberté avec sa famille.Au cours de cette première rencontre, tu rencontreras Sonia, mosellane de 34 ans, qui nous parlera de l’évolution de son rapport à sa famille, de son besoin de liberté et de ce qu’elle est de par sa famille.
    Ipséité
    frDecember 20, 2020
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