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    konrad adenauer

    Explore "konrad adenauer" with insightful episodes like "5 Zitate für mehr Schlagfertigkeit", "Besondere Beziehung: Deutschland und Israel | Dr. Michael Borchard", "W-011: Der Bundeskanzler Kurt Georg Kiesinger (1904-1988), mit Prof. Dr. Philipp Gassert", "Wie haben Sie seit 1954 alle Bundeskanzler und Päpste vor Ihre Linse bekommen, Herr Slominski? 118" and "Episode 31" from podcasts like ""Lebendige Rhetorik - Der Podcast für Rhetorik & Kommunikation", "Politik auf den Punkt gebracht.", "Geschichte Europas", "OM-Online-Podcast" and "Asien Aktuell"" and more!

    Episodes (18)

    Wie haben Sie seit 1954 alle Bundeskanzler und Päpste vor Ihre Linse bekommen, Herr Slominski? 118

    Wie haben Sie seit 1954 alle Bundeskanzler und Päpste vor Ihre Linse bekommen, Herr Slominski? 118
    In den Gesichtern lesen und sich ein eigenes Bild von den Dargestellten machen" – Seit 1954 hat der Pressefotograf Josef Albert Slominski Personen des öffentlichen Lebens porträtiert; darunter alle deutschen Bundeskanzler und sieben Päpste. Damit ist der gebürtige Bochumer, der inzwischen in Steinfeld lebt, sowohl in Deutschland, als auch im Vatikan der dienstälteste Pressefotograf. Mit Moderator Casjen Duzat spricht Slomisnki in dieser Folge des OM-Online-Podcasts darüber, wie ihm 1954 als 16-jähriger eine Visitenkarte dazu verhalf, den damaligen Bundeskanzler Konrad Adenauer zum ersten Mal abzulichten, mit welchem Trick Angela Merkel ihn testen wollte und wieso Olaf Scholz bei seiner Aufnahme sehr schmallippig war.

    Episode 31

    Episode 31
    Aufnahme vom 6 April 2023   Nachrichten aus Asien: Taiwans Präsidentin in den USA; mehr Details zur ausgeweiteten militärischen Kooperation zwischen den Philippinen und den USA; die formelle Auflösung der NLD-Partei in Myanmar, sowie die China Reise von Emmanuel Macron und Ursula Von der Leyen. Im Interview: Johann Fuhrmann, Leiter des KAS Auslandsbüros China in Peking, zur Arbeit in China, der Außen- und Innenpolitik nach Covid-19 sowie den jüngsten diplomatischen Bemühungen des Landes. Den erwähnten Länderbericht zu Chinas Rolle als Vermittler im Nahen und Mittleren Osten gibt es hier: https://www.kas.de/documents/252038/22168750/Tauwetter+am+Golf.pdf/d3efad5a-3748-fd5e-0c54-133fbfc01d95?version=1.2&t=1680004439127   Moderation: Alina Reiss, Jan Kliem

    Folge 35 - 60 Jahre Élysée: Adenauers Dolmetscher blickt hinter die Kulissen

    Folge 35 - 60 Jahre Élysée: Adenauers Dolmetscher blickt hinter die Kulissen
    Als Konrad Adenauer am 22. Januar 1963 zur Unterzeichnung des Élysée-Vertrags zu Präsident Charles de Gaulle fuhr, hat ihn Hermann Kusterer begleitet. Der Dolmetscher des Auswärtigen Amts hat alle Gespräche zwischen Adenauer und de Gaulle gedolmetscht. Mit Ausnahme des ersten Treffens der beiden am 14. September 1958 in de Gaulles Wohnhaus in Lothringen. De Gaulle, der u.a. in deutscher Kriegsgefangenschaft die deutsche Sprache gelernt hatte, sagte einmal über Kusterer: „Sie verstehen den Kern meiner Gedanken, und wenn Sie sie übersetzen, bringen Sie sie manchmal noch besser zum Ausdruck.“

    Chorweiler

    Chorweiler
    Liebe Mitläufer! Euer Lieblingspodcast gibt sich wieder die Ehre. Diesmal aus dem berühmt und vielleicht auch berüchtigten Stadtteil Chorweiler, im Norden von Köln. Einst als gut gemeinte Idee von unserem Altbürgermeister Konni Adenauer geplant, wurde das Veedel in den frühen 1960er aus dem Boden gestampft. Heute wird es oft als Ghetto bezeichnet. Aber davon ist an diesem sonnigen Sonntag, an dem wir durch das Veedel streifen, wenig zu spüren. Und so machen wir es uns in Ermangelung von Sitzgelegenheit in einer Bushaltestelle bequem. Dort plaudern wir über die Geschichte von Chorweiler und haben auch wieder einige aktuelle Themen aus Kölle im Gepäck, an denen wir uns abarbeiten. Ach ja...fast vergessen! Der bereits angekündigte neue Jingle für unseren Veedelscheck feiert in dieser Folge Premiere. Gönnt euch!

    Erststimme #42: Jan Asjoma

    Erststimme #42: Jan Asjoma
    Am 04. Februar 2022 feiern wir den 125. Geburtstag von Ludwig Erhard. Als Konrad Adenauers Wirtschaftsminister machte er die Soziale Marktwirtschaft zu einem - überaus erfolgreichen - Grundgesetz der deutschen Wirtschaftspolitik ab 1948. Dabei steht die Soziale Marktwirtschaft selbst nicht namentlich in DEM Grundgesetz der Bundesrepublik Deutschland.

    « L’Europe des patries » : le grand dessein de Charles de Gaulle

    « L’Europe des patries » : le grand dessein de Charles de Gaulle

    Aujourd’hui à peu près tout le monde aime citer ou même se réclamer en politique du général de Gaulle. C’est de bon ton pour se donner à la fois une once de respectabilité et pour rechercher une adhésion facile. Curieusement, les plus nombreux à s’en réclamer se trouvent souvent parmi ceux qui ont succédé à ses plus farouches adversaires, au centre, à gauche, mais aussi à droite de l’échiquier politique, notamment ceux qui militent ouvertement pour une VIe République en appelant de leurs vœux le retour au « régime des partis ». Il y en a même qui n’hésitent pas dire
    qu’ils « savent ce que le général aurait fait » dans tel ou tel cas… Comme me le disait un jour son fils, l’amiral Philippe de Gaulle : « S’il est très difficile de prédire ce que le général de Gaulle aurait fait dans telle ou telle circonstance, par contre, on peut, sans se tromper, être certain de ce qu’il n’aurait pas fait ». 

    De 1958 à 1969, le général de Gaulle a redressé le pays, l’a doté d’institutions solides pour qu’elles soient après lui à l’épreuve du temps. De son œuvre de rénovation nationale, on retiendra en particulier qu’il a mis un terme à la guerre d’Algérie, transformé son armée de gros bataillons pour créer une force de dissuasion nucléaire crédible. Il a redressé l’économie, rétabli sa monnaie et lancé des grands projets pour moderniser et réindustrialiser le pays dont il transformera l’agriculture sans oublier sa langue et sa culture, prévoyant même de prendre une part à la grande aventure spatiale. Les hommes qui l’entouraient étaient pour la plupart issus de la guerre et de la Résistance.
    De Gaulle a rendu leur fierté à nos concitoyens, au premier rang desquels les soldats
    de cette « armée » qui l’a fidèlement soutenu, fiers de partager « une certaine idée de la France ». Une France qui, en dix ans, a su renouer avec les heures glorieuses de son passé.  

    C’était l’époque des bâtisseurs !
    Nombre de Français aimeraient aujourd’hui « changer l’image » de notre pays devenu le mauvais élève de la classe européenne, un modèle d’endettement. Beaucoup de jeunes en particulier – c’est réconfortant –, rêvent de « renouer » avec cette époque de
    notre histoire contemporaine, lassés qu’ils sont de vivre au jour le jour une déconstruction permanente et d’assister impuissants au rabaissement de l’image
    de la France dans le monde. 

    Entendre une voix comme celle du général de Gaulle est alors une occasion de se rappeler que cette époque n’est pas si lointaine…  

    Dans l’émission que la Voix du Béarn diffuse aujourd’hui, nous allons entendre de nouveau cette voix. Avec un premier extrait de son allocution, le 22 janvier 1963, lorsque le général s’est adressé à la Nation après avoir signé avec le Chancelier Konrad Adenauer le « Traité d’amitié et de coopération » plus connu sous le nom de « Traité de
    l’Élysée ».[1] Et puis un deuxième extrait, en allemand, c’est le « discours à la jeunesse allemande », prononcé le 9 septembre 1962 dans la cour du château de Ludwibsburg (Bade-Wurtemberg) devant plus de 300.000 personnes. 

    Ce traité scellant la réconciliation constitue « un acte fondateur » qui restera un modèle et ne l’oublions pas, une grande réussite qui honore la diplomatie française. D’où l’idée, aujourd’hui, de rendre hommage à un de nos diplomates pour qui ce traité est resté, sa vie durant, un objet de fierté, même si celui-ci a été amputé plus tard par « un préambule » imposé par Washington lors de sa ratification au Bundestag, le vidant en grande partie de sa substance. Il s’agit de Pierre Maillard. 

    Mon ami Michel Anfrol qui avait suivi pour l’ORTF les voyages officiels du général de Gaulle, me l’avait présenté lors d’un dîner-débat organisé au siège de l’Association des Français libres – 59, rue Vergniaud dans le 13ème à Paris. Un homme exceptionnel avec
    lequel il travaillait à la Fondation Charles de Gaulle. Le général avait choisi en 1959 ce jeune diplomate, agrégé d’allemand, pour en faire son conseiller diplomatique, fonctions qu’il a exercées jusqu’en 1964 avant de devenir Secrétaire général de la défense nationale (SGDN).  

    A l’actif de ce conseiller diplomatique, notamment, la préparation côté français de ce traité, et avoir été le « professeur » d’allemand du général en traduisant le texte de son
    intervention à Ludwigsburg et s’assurer de son accent. 

    Qui mieux que Pierre Maillard qui fut un de ses proches collaborateurs à l’Élysée, pouvait évoquer la vision européenne du général de Gaulle ?  

    L’ambassadeur Maillard nous a quitté en 2018 – à 102 ans – je vous propose de l’écouter. Il m’avait invité en 2010 chez lui à Boulogne-Billancourt pour parler également de ce traité et de la « vision de l’Allemagne » du général de Gaulle. Des extraits de cet enregistrement avaient été diffusés dans l’excellente revue Défense [1]. Entendre sa voix est une occasion de revenir sur la vision européenne du général. Il détaille les structures de cette Europe, ses contours, mais aussi sa vocation. « Une aire de civilisation, de démocratie.» Une page d’histoire qu’avec jean-Michel Poulot, nous souhaitions partager. 

    Joël-François Dumont 

    [1] Voir : La relation franco-allemande à l’épreuve du temps et France-Allemagne
    : le grand dessein
    » in Numéro 144 de Défense, daté de Mars-avril 2010.  

    [2] Revue bimestrielle des Auditeurs de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale.  

    La CDU tourne la page Merkel

    La CDU tourne la page Merkel

    Angela Merkel, il y a encore quelques semaines, récoltait 80% d’opinions favorables. Comment expliquer que son parti, la CDU, lors de son 34e congrès, le 22 janvier 2022, ait élu avec 95% des suffrages Friedrich Merz, celui qu’elle désignait depuis 2005
    comme son « ennemi intime » ?  

    En quelques heures, samedi, tout ce qui pouvait rappeler l’ère Merkel a été gommé. La presse, unanime, parle de « rupture avec l’ère Merkel ». La Frankfurter Allgemeine Zeitung constate que « l’ensemble du bureau fédéral a été rénové ». Il est urgent de « rénover le parti et de réparer la relation avec la CSU. »
    Le parti est tellement « laminé » comme l’écrit la Berliner Zeitung que c’est peut-être là « que réside sa chance, les choses ne pouvant qu’évoluer dans le bon sens ». Pour le Handelsblatt, « Merz est la dernière cartouche ». Un homme que la Tageszeitung situe
    « aux antipodes d’Angela Merkel », ce que confirme la Süddeutsche Zeitung qui précise que la « rupture avec l’ère Merkel est nette ». On comprend aisément pourquoi Angela Merkel a refusé de devenir présidente d’honneur de ce parti qu’elle a dirigé pendant 18 ans. Dans ce désastre électoral, sa responsabilité est immense. Die Welt y voit « une rupture consommée ». Il était « logique », dans de telles circonstances, qu’elle s’isole d’un parti dans lequel elle aurait pu s’investir « un minimum syndical » au cours de ces 18 années ! Ce 34e Congrès de la CDU, un 22 janvier, fera date dans l’histoire d’un des grands partis fondateurs de la République fédérale d’Allemagne. 

    La Voix du Béarn dans sa série d’émissions hebdomadaire produite par Jean-Michel Poulot, « les Français parlent aux Français du bout du monde », a demandé à Joël-François Dumont, son correspondant à Berlin, de dresser un bilan de l’action d’Angela Merkel qui, pendant 16 années, aura été chancelière fédérale d’Allemagne.  

    La CDU tourne la page Merkel  

    Lindenthal

    Lindenthal
    Lindenthal - nä wat schön! Das denken sicherlich viele von euch, wenn sie an dieses Kölsche Veedel denken. Und, was sollen wir sagen, uns geht es genauso. Also haben wir unseren Rekorder geschnappt und sind losgezogen, um Lindenthal für euch auschecken! Dabei geht's los an der Dürenerstraße bis in den fernen Osten ans Ostasiatische Museum und zum Abschluss sind wir noch zum Kaffeekränzchen bei Altbundeskanzler und Kölner Ehrenmann Konni Reimann oder hieß er doch Adenauer? Hört selbst!

    #100: Mit Mut und Neugier

    #100: Mit Mut und Neugier
    75 Jahre CDU zeigen zweierlei: Da ist ein tiefer Drang, Verantwortung zu übernehmen, der Wille zum Gestalten und Regieren im Jetzt – denn nur so kann eine Partei ganz konkrete Probleme lösen. Und es gibt eine starke visionäre Kraft, den Willen, nicht einfach im Hier und Jetzt stehenzubleiben und ängstlich irgendwie den Status quo zu verteidigen, sondern eine glückliche Zukunft zu gestalten. Ein Essay von Annegret Kramp-Karrenbauer. Die Autorin ist Vorsitzende der CDU und Bundesministerin der Verteidigung. ##Shownotes## Daniel Deckers, Politikredakteur der Frankfurter Allgemeinen Zeitung und dort verantwortlich für das Ressort „Die Gegenwart“, trägt den Essay vor. Sie können Ihn hier (mit Fplus) nachlesen: https://www.faz.net/aktuell/politik/die-gegenwart/mit-mit-und-neugier-akk-ueber-75-jahre-cdu-16825779.html. Weitere Essays des Ressorts finden Sie hier: https://www.faz.net/aktuell/politik/die-gegenwart/, alle Podcast-Folgen hier: https://www.faz.net/podcasts/f-a-z-essay-podcast/. ~ Mehr über die Geschichte hinter dem Podcast erfahren Sie in diesem Text von Daniel Deckers: https://blogs.faz.net/essay/2018/08/08/die-zukunft-beginnt-jeden-augenblick-54/.