louise bourgeois

Motherhood, childhood wounds and Freudian nightmares preoccupied the great sculptor Louise Bourgeois, who was especially iconic to younger followers in the latter part of her life. One of them was Philip Larratt-Smith, who became her literary archivist. He talks to Daniel about the importance of psychoanalysis on the artist. A new exhibition of Louise Bourgeois is on at the Art Gallery of New South Wales. 

My thing is... the 'souvenirs' of consumerism. Artist Joyce Lubotzky takes plastic things from the rubbish and puts them in the art gallery. It's part of a tradition of artists asking viewers to reconsider consumer waste as something permanent, not transitory. (Like a bit of trash talk? Listen to our special episode on art made from rubbish.)

The National Gallery of Victoria recently purchased 27 boomerangs from the 24-year-old artist Keemon Williams, an emerging talent whose bold, empowered, queer portraits exemplify black joy. 

New York, 1946. Avec Emmanuel Pernoud, on pousse la porte du mythique Atelier 17. Ici, se
pratique l’art de la gravure. Au milieu des fûts d’encre et des rouleaux de papier, les artistes se mêlent aux imprimeurs, aux chromistes et aux ouvriers. Dans cette foule, une silhouette se détache : c’est la française Louise Bourgeois. Une de ses premières œuvres gravées vient de sortir de la presse… Emmanuel Pernoud nous explique tout l’intérêt de cette technique méconnue de l’estampe.  

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Production : Institut national d’histoire de l’art (INHA), en partenariat avec Beaux Arts Magazine. 

Auteure : Anne-Cécile Genre 

Réalisation, habillage sonore, mixage : Théo Boulenger 

Jingle : Guillaume Auguet 

Mise en image : Jean-Michel Tixier

Production exécutive : Alessandra Danelli et Jean-Baptiste Costa de Beauregard

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« La recherche à l’oeuvre » plonge l’auditeur dans le monde de l’histoire de l’art et parcourt les époques en utilisant le pouvoir immersif de l’écriture sonore. La deuxième saison fait entendre 6 nouvelles voix de chercheuses et de chercheurs. De la description de leur passion à la réalisation de leurs travaux, en passant par leurs doutes et questionnements, l’auditeur les suit dans la part intime de leur recherche pour découvrir une discipline vivante ancrée dans l’actualité.

Mâkhi Xenakis, artiste plasticienne, est l’invitée du 10ème épisode de Femmes artistes / Artistes femmes le podcast.  

Avec elle, nous avons parlé de son parcours de fille d’artiste devenue artiste malgré tout, des obstacles qui ont forgé sa personnalité à la fois forte et profondément vulnérable. Elle, qui a du s’opposer pour laisser son âme d’artiste - et d’amoureuse fidèle -  se déployer, malgré la volonté de ses parents, et plus particulièrement de Iannis Xenakis, son père.  

Au fils de ses rencontres, de David (son mari) à Louise Bourgeois, en passant par Joan Mitchell, Mâkhi raconte son histoire d’artiste, de femme et mère durant les années 90. Tandis que la rivalité inter-artistes et le patriarcat bat son plein, dans le monde de l’art contemporain... 

On parle aussi des folles, qui ont fini par cramer en enfer, des hystériques, de Charcot, de l’anxiété de Louise Bourgeois, d'Antigone, des araignées, du syndrome de l’imposteur, et de la dépression. 

Pendant cet entretien, nous avons aussi évoqué : 

Les artistes qui inspirent son travail 

Louise Bourgeois, Françoise Petrovitch, Francis Bacon, Alberto Giacometti, Joan Mitchell  

Références littéraires 

Les folles d’Enfer,
par Mâkhi Xenakis, Éditions Actes Sud  

Antigone 

Oeuvre décrite en intro de l’épisode :

Les folles d’enfer. Sculpture exposée dans le jardin de la Pitié Salpetriere
en 2014.  

Le site internet de Mâkhi Xenakis : www.makhi-xenakis.com 

Ses œuvres figurent pour certaines dans les collections
publiques du Centre Pompidou, à la Maison Rouge, la manufacture des Gobelins,
etc. 

D’ici là, suivez-moi sur la page instagram du podcast @artistesfemmeslepodcast et sur mon fil twitter @adakafel. 

Femmes artistes / Artistes femmes est un podcast entièrement indépendant créé et produit par Ada Kafel. Ada Kafel est artiste peintre et maman d'un petit garçon. On peut voir son travail sur son site internet https://www.adakafel.com/ ou sa page instagram @a_felka. 

Musique d’introduction : Leonie Pernet, Butterfly feat. Malik Djoudi 

Musique de fin : Brahms, sonate pour violoncelle et piano, Jacqueline du Pre au violoncelle, Daniel Barenboim au piano 

On a longtemps pensé que la sculpture était réservée aux hommes, pourtant les artistes femmes les plus connues, les plus populaires du XXème siècle sont des sculptrices : Camille Claudel, Niki de Saint Phalle, Germaine Richier et la formidable œuvre de Louise Bourgeois. Quelle forte personnalité, quel sens de l’humour et quel esprit ! Voilà ce que nous voudrions vous faire découvrir de cette artiste extraordinaire, qui a travaillé si longtemps sans reconnaissance, dans l’ombre, et qui pourtant n’en a gardé aucune amertume. 

Le podcast Les grandes dames de l’art donne la parole aux artistes femmes du XXe siècle. Elles parlent de leur œuvre, de leur vie, du monde qui les entoure et de leurs conquêtes. Partons à la recherche de leur présence, de leurs secrets. Retrouvons l’histoire cachée des artistes femmes, à partir de leurs voix. 

Les grandes dames de l’art est une série de podcasts produite par AWARE : Archives of Women Artists, Research and Exhibitions, en partenariat avec l’Institut national de l’audiovisuel, avec le soutien de la Maison Veuve Clicquot et la Délégation à la transmission, aux territoires et à la démocratie culturelle du ministère de la Culture.

 AWARE est une association loi 1901 à but non lucratif co-fondée en 2014 par Camille Morineau.

À la préparation : Mathilde de Croix avec l’équipe d’AWARE 

À la réalisation : Élodie Royer

Musique originale : Juliano Gil 

Générique : Andrew Nelson 

Mixage sonore : Basile Beaucaire 

Conseil scientifique : Catherine Gonnard et Marjorie Micucci 

Voix : Camille Morineau

Otte, écrit et chanté par Louise Bourgeois, musique par Satch Hoyt et Ramuntcho Matta ; produit par Brigitte Cornand, Les Films du Siamois, Paris, 1995

Illustration : Fanny Michaëlis, Louise Bourgeois, 2021
© Fanny Michaëlis