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    Explore " naturisme" with insightful episodes like "#91 - Isabelle et Lionel Nicaise, amoureuse traversée du Levant", "#88 - Jean-Louis Droit - Du service militaire au service de transport", "#87 - Sonia Gandouin, transmettre le Levant", "#86 - Catherine Masselin – Voir autrement au Levant" and "#85 - Robert Charraix, une lignée de commerçants au Levant" from podcasts like ""Fragîle Porquerolles", "Fragîle Porquerolles", "Fragîle Porquerolles", "Fragîle Porquerolles" and "Fragîle Porquerolles"" and more!

    Episodes (15)

    #91 - Isabelle et Lionel Nicaise, amoureuse traversée du Levant

    #91 - Isabelle et Lionel Nicaise, amoureuse traversée du Levant

    "Cette liberté absolue, que l'on ressent en étant nu, ça reste un apprentissage et je pense que ce sera un apprentissage toute ma vie en fait." Isabelle

    "Il y a une respiration  artificielle du Levant qui rejette tout ce dont l'île ne veut pas. L'île retrouve toujours son équilibre. Cette mémoire qui se perpétue de génération en génération, c'est ça l'énergie de l'île."
    Lionel

    Isabelle et Lionel sont tous les 2 originaires de la région, Isabelle de Toulon et Lionel de la Seyne sur Mer. Ils découvrent le Levant en 2006 lors d’un court séjour qui marque le début d’une longue série.
    En 2015, ils reprennent la boutique Le Minimum pour y installer leur boutique d’antiquités sur l’île: l'érotique traversée des siècles.

    Avec Isabelle et Lionel, on a parlé d'antiquités, de marginalité, de naturisme à la carte,  de câlins, de famille, d'amour, de vulnérabilité, d'honnêteté et d'alignement des planètes...

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur https://fragileporquerolles.com/isabelle-lionel-nicaise/

    #88 - Jean-Louis Droit - Du service militaire au service de transport

    #88 - Jean-Louis Droit - Du service militaire au service de transport

    « Vivre au Levant m’a appris à oublier l’apparence, à ne plus voir un corps avec tel ou tel défaut. Ce n’est plus le même regard. C’est voir le corps et l’âme déjà ensemble. Quand on est sur le continent, il y a comme un rideau, on n’arrive plus vraiment à voir les gens. »

    Originaire de Haute Saône, Jean-Louis est né à Vesoul en 1947. Il est le 2ème d’une fratrie de 4 enfants. Il passe une partie de son enfance dans les Vosges puis en 1952, ses parents viennent s’installer à Hyères puis à Six-Fours en 54. Jean-Louis découvre l’île du Levant à 20 ans en 1967 où il choisit de faire son service militaire en tant qu’opérateur radar après un rapide passage à Porquerolles. Au Levant il rencontre sa femme et travaille un temps comme manœuvre en maçonnerie. 

    Il quitte l’île quelques années, retourne à Vesoul puis à la Seyne-sur-Mer où il occupe des postes de mécaniciens dans une station-service et sur les chantiers. 

    En 1983, il rachète l’entreprise de transport de marchandises et de personnes du Levant, fonction qu’il occupe jusqu’en 2006. Il partage son temps aujourd’hui entre le Levant et la Seyne-sur-Mer.

    Avec Jean-Louis, on a parlé de sa découverte du Levant et de ses souvenirs de la partie militaire, de la vie avant l’électricité sur l’île, de ses fonctions à la tête de l’entreprise de transport, du plaisir de se baigner nu et de son changement de regard à travers le naturisme.

     L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur https://fragileporquerolles.com/levant-jldroit/

    #87 - Sonia Gandouin, transmettre le Levant

    #87 - Sonia Gandouin, transmettre le Levant

    « Au Levant, on vit en dehors de la réalité de la vie. Pour aimer le Levant il faut partir un peu. »

     Sonia est originaire de Strasbourg. A la fin des années 40, début des années 50, ses parents, à la recherche d’un pied à terre dans le sud, arpentent la côte d’azur, Menton, St Tropez, Juan les Pins… pour s’ancrer finalement sur l’île du Levant. Sonia découvre l’île à l’âge de 6 ans en 1953, qui devient le lieu de ses vacances estivales avec ses frère et sœur, cousins, cousines. Un endroit où toute la famille se retrouve. Sonia vit désormais sur l’île à l’année depuis 1998, ce qui représente, si on calcule bien, près de 70 ans de relation plus ou moins constante avec Le Levant. 

    Avec Sonia on a parlé de mer, de baignade, de convivialité, de rapport au corps, de vulnérabilité, de vieillesse, et de transmission.

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur
    https://fragileporquerolles.com/levant-sonia/

    #86 - Catherine Masselin – Voir autrement au Levant

    #86 - Catherine Masselin – Voir autrement au Levant

    « Ici le corps devient harmonieux parce qu’il n’est pas habillé. On ne se regarde plus, on ne voit plus nos défauts. On a la totalité du corps donc plus rien à découvrir, ça change le regard. »

    Originaire de Paris, Catherine découvre le Levant toute jeune en vacances à l’âge de 8 ans avec ses parents au début des années 60. En dehors de quelques interruptions dans son adolescence puis à l’arrivée rapprochée de ses 6 enfants, l’île a toujours fait partie de sa vie, comme le lieu de ses vacances, d’un ressourcement et d’un engagement qu’elle a su transmettre à ses enfants. Elle vit désormais à Rouen, avec un pied dans le var également où ils ont, avec son mari, une maison depuis 12 ans, et ont fait l’acquisition il y a 4 ans d’un terrain au Levant non constructible, où ils vivent « à la levantine ». 

    Avec Catherine, on a parlé de corps harmonieux, de changement de regard, de réservoir d’énergie, de transmission et de résilience.

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur https://fragileporquerolles.com/catherine-masselin/

    #85 - Robert Charraix, une lignée de commerçants au Levant

    #85 - Robert Charraix, une lignée de commerçants au Levant

    Robert est né en 1939. Bien qu’originaire de Marseille où il passe sa première année, il découvre l’île très jeune à l’âge de 6 ans et va y passer la plus grande partie de sa vie.  

    La famille de Robert est installée sur l’île du Levant depuis 4 générations. Ses parents, sa femme, Marie-Jacqueline, et lui-même, ses enfants et ses petits-enfants. Sa famille y a vécu et travaillé en tant que commerçants pour des services aussi variés qu’essentiels. Son père, sous l’impulsion de sa sœur, devient transporteur terrestre de passagers et de marchandises sur l’île à partir de 1946. Puis   avec sa famille, ils prennent la tête de différents commerces, les épiceries du village et du port et la boulangerie notamment. 

    Avec Robert, on a parlé de simplicité, de rusticité, de dévouement, d’institut catholique, de famille, de la zone militaire, de groupe électrogène et de chambre froide, de camping, de naturisme, de Marceline Henry à Port-Cros et de liberté. 

    #84 - Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles : un rien l’habille (Partie 2/2)

    #84 - Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles : un rien l’habille (Partie 2/2)

     « Je ne vois pas comment à terme cette île ne pourrait pas redevenir, dans sa totalité, le paradis originel qu’elle a été, il y a un siècle. J’ai cette extraordinaire intuition que ça se fera ! même si j’ai totalement conscience que la partie militaire l’a énormément protégée »

    Directeur de la Villa Noailles depuis 2003, fondateur du prestigieux Festival international de la mode et de la photographie de Hyères, créateur du festival Design Parade, autodidacte, Jean-Pierre Blanc a révolutionné le rapport à la jeune création et a fait de Hyères un haut lieu de la mode française. Passionné de sport, engagé dans la défense des droits LGBTQI, il avance dans la vie avec un naturel et une énergie inaltérable et on sent chez lui, sans même vraiment bien le connaitre, un alignement, une énergie et une intuition capables d’emporter l’adhésion, et de révolutionner les codes. 

    J’avais envie de l’entendre au micro de Fragîle pour parler non seulement de son parcours mais aussi pour évoquer son attachement pour cet endroit tout proche d’ici, son refuge en quelque sorte, l’île du Levant, qu’il a découverte en 1999 et qu’il fréquente assidument depuis.

    Avec Jean-Pierre, on a parlé de son enfance, de son parcours à la tête de la Villa Noailles, de Charles et de Marie-Laure de Noailles, de fleurs sauvages, de son attachement à l’île du Levant, d’identité, de naturisme, de mode, de sport, d’amour, de beauté, de joie, de partage, de sensations, de Porquerolles, de Port-Cros, de roi cigalier, on a ri et on a pleuré. Et il fallait bien 2 épisodes pour tout ça. 

    Je vous propose donc de savourer ce témoignage en 2 parties. 

    Ceci est la 2ème partie de notre échange. Je ne peux que vous inviter à écouter la première partie ici si ce n’est pas déjà fait. 

    Jean-Pierre Blanc au micro de Fragîle :

    « Dans 10 ans, ce sera le centenaire d’Héliopolis. D’ici là il faut vraiment se poser cette question : que veut-on faire de cette utopie française unique au monde. Qu’a-t-on envie de léguer comme héritage aux futures générations ? »

    « Il faut arrêter cette idée que les habitants de l’île et les gens de souche seraient meilleurs. Les touristes amènent les futurs résidents. »

    « Sur la question du naturisme, il ne devrait pas y avoir l’ombre d’un poil qui dépasse, on devrait être être au cordeau !  » 

     Le texte lu par Jean-Pierre à la fin de l’épisode est de Théo Varlet et extrait du recueil de poèmes « Aux îles bienheureuses ». 

    #83 - Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles : un rien l’habille (Partie 1/2)

    #83 - Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles : un rien l’habille (Partie 1/2)

    « Je ne me suis jamais senti artiste […] Je sais maintenant que c’est le plaisir du partage, de la découverte, de l’aide apportée aux artistes et au public qui m’animent »

    Directeur de la Villa Noailles depuis 2003, fondateur du prestigieux Festival international de la mode et de la photographie de Hyères, créateur du festival Design Parade, autodidacte, Jean-Pierre Blanc a révolutionné le rapport à la jeune création et a fait de Hyères un haut lieu de la mode française. Passionné de sport, engagé dans la défense des droits LGBTQI, il avance dans la vie avec un naturel et une énergie inaltérable et on sent chez lui, sans même vraiment bien le connaitre, un alignement et une intuition capables d’emporter l’adhésion, et de faire vaciller les codes. 

    J’avais envie de l’entendre au micro de Fragîle pour parler non seulement de son parcours mais aussi pour évoquer son attachement pour cet endroit tout proche d’ici, son refuge en quelque sorte, l’île du Levant, qu’il a découverte en 1999 et qu’il fréquente assidument depuis.

    Avec Jean-Pierre, on a parlé de son enfance, de son parcours à la tête de la Villa Noailles qui fête ses 100 ans cette année, de Charles et de Marie-Laure de Noailles, de fleurs sauvages, de son attachement à l’île du Levant, d’identité, de naturisme, de mode, de sport, d’amour, de beauté, de joie, de partage, de sensations, de Porquerolles, de Port-Cros, de roi cigalier, on a ri et on a pleuré. Et il fallait bien 2 épisodes pour tout ça. 

    Je vous propose donc de savourer ce témoignage en 2 parties. Voici la première. 

    Jean-Pierre Blanc au micro de Fragîle :

     « Mon énergie vient du sport, de mon éducation, du plaisir que j’ai à vivre. Je suis un peu fou dans ma tête. Je serais capable de m’engager sur des sujets que personne ne pourrait comprendre. »

    « Le sport et l’art m’ont sauvé, je suis un rescapé de la vie. Je suis amoureux des réalités de la vie. » 

     « Si je dois mener 2 combats pendant ma retraite, ce seront la défense des droits LGBT et du naturisme! »

    Pour plus d'information sur cet épisode, rendez vous ici

    #82 - Brigite Gelman - Vision et sensations du Levant

    #82 - Brigite Gelman - Vision et sensations du Levant

    « La nudité, c’est une question de présence à soi, aux sensations. Dans notre monde moderne, on est coupés de nos sensations corporelles. Le naturisme permet de se reconnecter à soi, à cette grande intensité du moment présent »

    Originaire de Toulon, Brigite a découvert l’île du Levant il y a 25 ans en vacances avec son mari. Ils séjournent alors à l’hôtel restaurant Le Ponant. En 2004, ils acquièrent un terrain sur l’île où ils construisent leur maison qui sera achevée en 2010. 

    Brigite vit depuis maintenant 3 ans à l’année sur l’île, date à laquelle elle a été élue en tant que présidente de l’Association Syndicale Libre (l’ASL), mandat qui venait d’être renouvelé quand je l’ai interviewée. Depuis, Brigite a quitté ses fonctions à la présidence de l’ASL mais elle reste investie dans la vie de l’île. 

    Avec Brigite on a parlé des missions de l’Association Syndicale Libre, de la gestion de l’eau et des déchets sur l’île, des enjeux immobiliers, de vibrations, de vulnérabilité, de présence à soi et de sensations…

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur
    https://fragileporquerolles.com/brigite-gelman/

    #81 - Christophe et Brigitte Chevallier - De la navigation au long cours à la pêche au Levant

    #81 - Christophe et Brigitte Chevallier - De la navigation au long cours à la pêche au Levant

    « Quand vous naviguez, vous avez un sentiment de liberté quand vous quittez le port. Vous laissez derrière vous les histoires (…) Sur les îles c’est pareil, quand la dernière navette est partie, on souffle. Ça, vous ne pouvez pas l’expliquer aux gens. »

    Christophe et Brigitte sont tous les 2 originaires de la région, Brigitte de Carqueiranne et Christophe de la presqu’île de Giens où il a grandi.

    Après une brillante carrière dans la marine marchande, une vie faite de voyages, passée ensemble, puisque Brigitte a eu la possibilité de naviguer aux cotés de son mari, ils ont  décidé de poser leurs valises en 2004 au Levant où ils vivent désormais,  bien que n'étant  pas naturistes. Ils exercent comme pêcheurs , seuls pêcheurs de l’île à exercer toute l’année.

    Avec Brigitte et Christophe on a parlé de navigation au long cours, d’instabilité, de solidarité insulaire, d'isolement, de chats, de la gestion de l'eau et des déchets, de pêche et du fait de vivre au Levant sans être naturistes.

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur le site Fragîle Porquerolles

    #80 - Frédéric Capoulade, Adjoint spécial – Archivages et cétacés

    #80 - Frédéric Capoulade, Adjoint spécial – Archivages et cétacés

    « Je pense que ce qui a séduit mes parents ici, c’est la liberté totale, une rusticité tout à fait originale, pas d’électricité, pas de voiture, la marche, la nage, la plongée, la pêche…Un environnement bienveillant et calme. »

    Frédéric est né à Forcalquier en 1950. Il a grandi au Maroc entre Tanger et Casablanca où son père exerçait comme professeur de lettres.

    Il rentre avec sa famille tous les ans en France pour les vacances qu’il partage entre le Lot et l’île du Levant où il passe plus d’1 mois et demi. Ses parents ont découvert l’île en 1949 pendant leur voyage de noces et en sont tombés amoureux au point d’y acheter une petite maison en 1958. De retour en France en 1968 après son bac, sa famille s’installe au port d’Hyères. 

    Poussé par son père, il se lance dans des études de marine marchande à Marseille puis au Havre. Il fait carrière à la SNCM pendant 25 ans. 
    En 2007, au décès de sa mère, Frédéric s’installe avec sa femme au Levant. Très vite il s’engage dans la vie levantine, comme conseiller au syndic entre 2007 et 2016, puis à partir de 2018 comme adjoint spécial. 

    Avec Frédéric, on a parlé du Maroc, de l’Histoire du Levant, de la zone militaire, des enjeux à venir, de naturisme, de transmission et de cétacés.

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur
    https://fragileporquerolles.com/frederic-capoulade/

    #79 - Michel Guinard - Au bazar, rien n’est rare

    #79 - Michel Guinard - Au bazar, rien n’est rare

    « Cette île a quelque chose de très spirituel. Il y a un sens à la vie pour moi ici. La nature est belle, généreuse, rude parfois. C’est un endroit où l’on envie de prier, pour certains de méditer… Pour moi, c’est une preuve de l’existence de Dieu. » 

    Michel est propriétaire du Bazar de l’île. Il a découvert le Levant en 1980, amené ici par celui qui deviendra son conjoint, Berty, qui l’a précédé en tant que propriétaire du Bazar. A l’époque, il est encore étudiant et réside chez ses parents à Paris. A partir de cette période, Le Levant devient le lieu de ses vacances. En 1995, Berty achète une maison sur l’île, puis Le Bazar en 1997. Il poursuit sa vie professionnelle à Paris d’abord en tant qu’artisan encadreur puis comme cadre commercial jusqu’en 2005, année où il décide de rejoindre son mari au Levant et de prendre sa suite au Bazar.

    Avec Michel on a parlé de religion, d'éducation par l'exemple, de la question de l’eau au Levant, d’homosexualité, de naturisme, d’électricité, de tolérance et de voyages.

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur
    https://fragileporquerolles.com/michel-guinard/

    #78 - Naomi Gergaud – Le Levant au cœur et au corps

    #78 - Naomi Gergaud – Le Levant au cœur et au corps

    « « Ici, c’est chez moi, c’est chez nous » cette devise de ma maman résume bien ma vision de l’insularité. C’est cet endroit où l’on se sent à la fois coupé du monde, un lieu réconfortant et protecteur, le meilleur endroit au monde où il est possible de se trouver, pour nous, du moins »

    La famille de Naomi est installée sur l’île du Levant depuis 4 générations. Son arrière-grand-père, originaire de Marseille, est devenu transporteur officiel de la ligne maritime entre Hyères et le Levant en 1946 avant de devenir correspondant des vedettes des îles d’or.

    Ses grands-parents et ses parents, oncle et tante dans leur lignée ont passé une grande partie de leur vie sur l’île, tenant différents commerces essentiels, l’épicerie et la boulangerie entre autre. 

    Naomi a 29 ans. Elle a grandi sur l’île dans les années 90 et travaille aujourd’hui à la Villa Noailles, centre d’art d'intérêt national à l’origine de nombreuses expositions, festivals et ateliers tout au long de l’année.

    Avec Naomi, on a parlé de l’école au Levant, d’adolescence, de naturisme, de contemplation, d’été, d’atmosphère, de famille et de transmission.

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur
    https://fragileporquerolles.com/levant-naomi/

    #76 - Laurette Alario – Croquer la pomme

    #76 - Laurette Alario – Croquer la pomme

    « Il y a un charme profond sur cette île et une sérénité du lieu. Ce qui l’emporte c’est la nature et ce qu’elle dégage, un magnétisme, une force qui est très prégnante. »

    Laurette est née en Tunisie au début des années 50 où elle est restée jusqu’à ses 8 ans avant de s’installer avec ses parents et ses 2 frères à Hyères où elle a fait toute votre scolarité. 

    A 17 ans elle rencontre le futur père de son fils, levantin, qui lui fait découvrir l’île du Levant. Elle s’y rend pour la première fois en 1972 pour finalement ne plus jamais en repartir. Cela fait 50 ans que Laurette y réside une bonne partie de l’année. Après plus de 30 ans à la tête de la Pomme d’Adam, bar-restaurant historique de l’île, d’engagement dans la vie associative et de création artistique -Laurette a notamment réalisé cette sculpture tournée vers le large et qui accueille les visiteurs, intitulée La Maternité - elle continue de s’investir pour son île et de créer la vie douce et foisonnante qui lui ressemble.

    Avec Laurette on a parlé de la Pomme d’Adam, de peinture et de sculpture, de maternité, de naturisme, de ciel, de roche et de mer, d’électricité et de magnétisme.

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur
    https://fragileporquerolles.com/laurette-alario/

    #75 - Pascale Karels – Douceur et poésie du Levant

    #75 - Pascale Karels – Douceur et poésie du Levant

    « Ce que je ressens ici c’est ce rapport à la poésie, à la douceur. C’est facile ici. Je pense que c’est quelque chose qui manque effroyablement dans notre monde. »

    Pascale est une enfant de l’île. D’origine allemande, ses grands-parents, adeptes du naturisme, achètent un terrain sur l’île du Levant dans les années 50. Sa mère et son père, hollandais, se rencontrent ici alors qu’ils sont en vacances et décident de s’y installer. Pascale grandit sur l’île où elle vit aujourd’hui à l’année. Elle y tient depuis 2016 une boutique de vêtements et de souvenirs.

    Avec Pascale on a parlé de lumière, de freie körper kultur, de nature, de poésie et de douceur.

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur
    https://fragileporquerolles.com/pascale-karels/

    #74 - Sylvette et Michèle Viale – Îles sœurs

    #74 - Sylvette et Michèle Viale – Îles sœurs

    Sylvette et Michelle sont sœurs. Leur famille vit sur l’île du Levant depuis 3 générations.

    Leurs grands-parents paternels se sont rencontrés au Levant dans les années 1920. Louis, leur grand-père est pêcheur, il navigue avec les ravitailleurs des phares et balises et rencontre Adrienne leur grand-mère, alors gouvernante dans une famille à Port-Cros.

    De leur union naissent 3 enfants, 2 filles et un garçon, leur père Jacques qui voit le jour en 1924 et rencontrera leur mère Denise après la guerre en 46 quand elle prendra ses fonctions en tant qu’institutrice sur l’île.

    Leur grand-frère Jean-Louis nait en 1948 et quelques mois plus tard leur mère part enseigner à Port-Cros où elle exercera jusqu’en 1956. Sylvette et Michèle voient le jour respectivement en 52 et 53, avec, explique Sylvette, « 1 pied sur les 2 îles », leur père continuant de résider au Levant où il construit l’Hôtel restaurant « la Reserve ».

    Aujourd’hui, Le Levant est devenu pour l’une et l’autre leur résidence secondaire puisque Sylvette vit à Hyeres et Michèle, sur une autre île, lointaine celle-ci, St Barthélemy.

    Avec Sylvette et Michèle, on a parlé d’identité et de souvenirs insulaires, d’esprit naturiste, de soleil, de tolérance et de liberté.

    Un épisode pour les amoureux des 3 îles...

    L'article complet et toutes les notes et références citées dans l'épisode sont à retrouver sur https://fragileporquerolles.com/sylvette-michele-viale/ 

    Dans cet épisode, Sylvette et Michèle font référence à 3 personnalités de Port-Cros et du Levant déjà interviewées dans le podcast dont je vous mets les liens ici si vous souhaitez poursuivre le récit de ces îles: 

    Pierre Buffet, propriétaire du Manoir de Port-Cros: https://fragileporquerolles.com/pierre-buffet-port-cros/ 

    Janine Seemuller, institutrice sur les îles du Levant et de Port-Cros: https://fragileporquerolles.com/janine-port-cros/

    Alain Pegliasco, marin et enfant du Levant: https://fragileporquerolles.com/port-cros-apegliasco/

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