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    Episodes (70)

    La data guide Emmanuelle Mörch en tennis-fauteuil

    La data guide Emmanuelle Mörch en tennis-fauteuil

    Dans le monde du sport, la data est partout, y compris dans le handisport. Emmanuelle Mörch, joueuse de tennis-fauteuil classée à la 25e place mondiale, a décidé de passer le cap de la data pour tenter d'optimiser ses performances à travers son jeu. D'abord loin de la data, c'est avec Salesforce qu'elle s'est orientée vers cette solution à travers notamment une séance de data-capture.


    Grâce à des capteurs présents sur ses articulations, elle a ainsi réussi à obtenir des informations sur son service afin de gagner en puissance et en efficacité. Mais l'analyse de la data à travers plusieurs séances de la sorte pourrait lui permettre d'aller plus loin dans l'optimisation de son jeu via ses mouvements ou encore son fauteuil roulant.


    La technologie et l'utilisation de la data sont très présentes dans le monde du tennis-valide. Les grandes stars du circuit comme Novak Djokovic ont régulièrement recours à ces solutions. Dans le tennis-fauteuil, ces solutions sont beaucoup moins fréquentes notamment en raison des moyens moins importants. Une tendance que tente d'inverser des joueuses comme Emmanuelle Mörch dans un sport où tant de choses sont encore à analyser à travers la data et la technologie.

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    Après une olympiade 2020 fortement touchée par la pandémie, Paris accueillera l'an prochain, les premiers Jeux depuis 8 ans, en présence de spectateurs venus du monde entier. Huit années pendant lesquelles la technologie a profondément évolué. Où le numérique s'est introduit dans tous les aspects de la société, et le monde du sport n'y fait pas exception. À travers le podcast Tech In Sport et de nombreux articles de notre rubrique "Sport et numérique", Alliancy, média de la transformation digitale vous propose de découvrir ces impacts variés sur l’industrie sportive : de la gestion de données à la cybersécurité, en passant par l'intelligence artificielle et les solutions au service de la performance des athlètes...

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    Sarah Ramanauskas talks next step in RG: The Gambling Files RTFM 118

    Sarah Ramanauskas talks next step in RG: The Gambling Files RTFM 118

    Hey, have you seen any podcasts sponsored by Clarion Gaming? YOU HAVE NOW. Because this one is. I know, right? WOAH NELLY! So this episode, Fintan and Jon talk about some things [0:00 - 15:54] like what's in a name, and child tantrums. Then they're joined by the excellent Sarah Ramanauskas to talk about her new project The Game Safety Institute (https://safer.games/). It's genuinely a fresh step forward, very interesting to hear about, and sounds awesome [15:55 - 53:47]. 

    Jamie Salsburg talks branding RG and much more; The Gambling Files RTFM 76

    Jamie Salsburg talks branding RG and much more; The Gambling Files RTFM 76

    What an episode this week... It kicks off with Fintan and Jon discussing their first-ever in-person meeting, which happened at ICE; they also discuss ICE itself, and how Jon thought Fintan would be taller. Conversation switches to the cost of things for exhibitors/price gouging as highlighted in a recent LI post [0:00 - 26:52]. Then in swishes guest Jamie Salsburg to talk SMACK. We get into the branding of RG, why sometimes it's just completely unsuccessful and what can be done about that; we even get into the role of parenting on the next generation of players could mean. This conversation goes many, many places [26:53 - 1:38:10]. 

    Enjoy the episode!

    NoNoxa - new RG company aiming for change: The Gambling Files RTFM 74

    NoNoxa - new RG company aiming for change: The Gambling Files RTFM 74

    This week, Jon manages to alienate two whole British cities in the intro [0:00 - 14:06], before he and Fintan are joined by Dominika and Nicolas Renaux, founders of new RG company NoNoxa. The pair explain how the company came about, their complementary industry backgrounds, their exciting partners (Maris! Karim!) and just how it all works [14:07 - 1:12:23]. Just two questions remain - what's their favourite Christmas film, and have they seen Cobra Kai? Listen and find out.

    Côté jardin

    Côté jardin

    Saviez-vous que l'on peut acheter du miel des abeilles qui butinent entre les terrains de tennis ? Aujourd'hui, le podcast vous propose une balade bucolique à travers différents espaces que les jardiniers de Roland-Garros doivent entretenir et décorer.

    Roland-Garros solidaire

    Roland-Garros solidaire

    Parce qu'au delà de la compétition, Roland-Garros est aussi une formidable tribune pour défendre des actions solidaires, aujourd'hui le podcast s'arrête sur deux opérations caritatives: la compétition Stars Set et Match, remportée cette année par Shirine Boutella et l'inauguration d'un arbre de la paix, planté en faveur de l'Ukraine.

    2022 edition starts off in party mode with crowds and DJs

    2022 edition starts off in party mode with crowds and DJs

    Roland-Garros may be switching into full-on mode this Sunday but the week-end's warm-up events have seen a number of firsts as Marjorie Hache discusses with hardcore tennis fan Bob Sinclar, the French DJ who rocked everybody from his kids' bedroom during the covid pandemic lockdowns. She also reports on how Paris closed down to traffic and opened up to Urbain Tennis to mark the opening of the 2022 tournament.    

    « Keep Your Secrets Secret ! »

    « Keep Your Secrets Secret ! »

    Le 16 novembre 1944, le général de Gaulle a signé une ordonnance créant la « Direction de la Surveillance du Territoire », ordonnance qui sera complétée par un arrêté ministériel une semaine plus tard.  

    En fixant les attributions et les structures internes de la « DST », le chef de la France Libre a dérogé à une tradition : pour la première fois en France, le contre-espionnage échappait au contrôle du ministère des Armées et était placé sous l’autorité  du ministère de l’Intérieur. 

    Roger Wybot – un ancien du BCRA à Londres – était nommé directeur.  

    Parmi les missions prioritaires de ce nouveau service de contre-espionnage français
    qui succédait à la « ST », la Sécurité du Territoire crée en 1934 par le gouvernement de Gaston Doumergue, la DST se devait de traquer les anciens nazis comme avait pu le faire la ST avant-guerre, de surveiller de près les menées subversives communistes financées par Moscou visant à instaurer en France un régime communiste, enfin d’identifier tout agent étranger sur notre territoire suspect de se livrer à des activités d’espionnage ou à des actes terroristes. 

    Soixante ans plus tard, le 16 novembre 1944, Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur, a
    réuni au siège de la DST, rue Nélaton, dans le XVe, presque tous les anciens directeurs y compris le légendaire Roger Wybot. Manquaient à l’appel, notamment, le préfet Gabriel Ériau – un grand Résistant qui vissait un bras mécanique quand il allait au monument aux morts pour y déposer une gerbe ou pour conduire sa DS et qui n’en était pas moins resté un tireur d’élite ! 

    Dans une grande salle en haut de l’immeuble qui avait été le siège de ELF, le ministre lui-même ancien Résistant qui avait connu la clandestinité, a rappelé brièvement quelques souvenirs personnels avant de conclure son propos ainsi : « votre devise est et restera Keep your secrets secret ! ». Comme quoi dans le milieu du renseignement, que l’on soit civil ou militaire, il y a des règles qui ne souffrent pas d’exception. Une magnifique médaille commémorative a été remise aux invités triés sur le volet… 

    Notre précédente émission a été l’occasion d’évoquer une très belle page d’histoire
    inédite qui plus est de notre service de contre-espionnage français après la débâcle de 40 et l’entrée en Résistance, dès le 14 juin 1940, à Bon-Encontre des effectifs du « 2 Bis ».  

    Cette fois-ci, après « l’hommage aux anciens », nous nous sommes intéressés au Renseignement français et aux évolutions majeures qu’il a pu connaître au cours de ces 20 dernières années. Sans oublier d’évoquer deux grandes réformes.  

    La première a eu lieu sous François Mitterrand, la seconde sous Nicolas Sarkozy. 

    Dans le domaine du renseignement militaire, le 16 juin 1992, Pierre Joxe, ministre de la Défense, créait la « DRM ». L’objectif était de palier « les manques » constatés à l’issue de la première guerre du Golfe. Son prédécesseur, Jean-Pierre Chevènement, avait demandé au général d’armée aérienne François Mermet, ancien DGSE, de réfléchir
    à la création d’une « DIA à la française ». Pierre Joxe concrétisera cette réforme qui était indispensable. 

    La Direction du Renseignement Militaire regroupait, notamment, tous les anciens 2e Bureaux d'Armées et se devait de ne pas faire double emploi avec le SDECE devenu la DGSE, la Direction générale de la Sécurité Extérieure.  

    Plus tard, sous Nicolas Sarkozy, pour contrer les menaces terroristes de toute sorte, une grande réforme du Renseignement intérieur a été initiée par le préfet Bernard Squarcini qui fusionnera la DST et les RG en rendant la DST responsable de la lutte antiterroriste, sans pour autant négliger ses missions classiques de contre-espionnage et de contre-ingérence.  

    C’est ainsi que le 1er juillet 2008, la DST a fusionné avec la Direction Centrale des Renseignements Généraux au sein d'une nouvelle direction prenant le nom de « Direction Générale du Renseignement intérieur » (DCRI), renommée en 2014 par le pouvoir socialiste « Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI). Cette réforme restera une des très rares réformes pensées et réalisées « à froid », autrement dit pas suite à une bavure ou dans « un climat » passionnel. 

    Si l’on ajoute à cela l'installation à l'Élysée d'un « coordinateur du Renseignement » pour s'assurer que les échanges interservices fonctionnent bien et que la remontée de
    l'information stratégique soit valorisée, on a une vue d’ensemble assez complète des changements intervenus en profondeur pour mieux adapter l’outil à la menace. 

    Dans cette émission réalisée avec Jean-Michel Poulot, la Voix du Béarn a donné la parole à des experts très qualifiés : Jean Guisnel du Point, un des rares journalistes à s’être intéressé au Renseignement pendant plus de 30 ans et auteur de nombreux
    ouvrages de référence,[2] Alain Juillet ancien n°2 de la DGSE qui deviendra sous
    Chirac « Haut-fonctionnaire à l’Intelligence économique » qui va lui considérablement
    renforcer nos capacités d’action dans le domaine économique, le préfet Bernard
    Squarcini, le père d’une de ces deux grandes réformes, le professeur Christian Tafani qui forme des étudiants sur ces questions et Hedy Belhassine, un expert des questions stratégiques. 

    Si les dernières aventures de James Bond et d’OSS 117 portées à l’écran récemment continuent de faire rêver, force est de constater que l’on trouve plus de pères tranquilles à la DGSE et à la DGSI que de séducteurs patentés. Mais qui s’en plaindra ? 

    Joël-François Dumont 

    [1] Le C-E en 1940 se trouvait 32 rue de Tourville à Paris. 

    [2] Lire notamment de Jean Guisnel : Histoire secrète de la DGSE (Robert Laffont, 2019), Au Service secret de la France avec David Korn-Brzoza (Éditions de la Martinière, 2014), Guerres dans le Cyberespace (Éditions La découverte, 1995).  

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