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Episodes (15)
La France, le pays qui fait chialer les touristes
La France, le pays qui fait chialer les touristes
Malgré les feux et les canicules, la Grèce a attiré en 2023 un nombre record de touristes
Ce petit village du Haut-Jura parie sur l’entraide pour attirer les touristes
Les touristes frontaliers dans les Vosges
Robert et Sylvain les chaussures de randonnées spécial conseils
Robert et Sylvain des chaussures de randonnées s'apprètent à partir en randonnées. Alors que tous les touristes s'entassent dans les stations balnénaires à la mode ou sur les plages. les chaussures sont heureux d'être peinards dans la campagne.
Généreux, les deux héros offrent leurs conseils pour randonner sans problème. Bien sûr, les deux chaussures évoquent leurs souvenirs caustiques et drolatiques. Malins et rigolo, ils sont persuadés, ils vont vivre des marches fantastiques !!!
Comme un Palace à Tamuda… - Par Rachid BOUFOUS
Une mission à Mdiq m’oblige à y aller à la dernière minute. Mdiq c’est Tamuda Bay, le nouveau nom de la station balnéaire du nord, prisée par la JetSet marocaine. Anciennement on l’appelait, selon les projets balnéaires Kabila, Ristinga, Smir où CaboNegro. Mais le développement touristique de ces dernières années, a poussé les autorités à lui choisir un nom plus chic : Tamuda Bay, en référence au site romain de Tamuda, première présence humaine sur les bords du Rio Martin qui longe Tetouan.
La côte de Mdiq en hiver c’est comme être à cuba à l’approche d’un cyclone. Vents ténébreux et pluies battantes. Et quand il pleut au Nord, c’est vraiment la douche, ininterrompue…
Je décide de prendre la route de nuit pour aller à Mdiq. Avec mon insomnie actuelle, je préfère rouler la nuit, plutôt que le jour où je suis en général impraticable avant midi, malgré mes multiples tentatives. Cela m’arrive occasionnellement, d’inverser totalement mon cycle de sommeil. Je ne veux pas prendre de melatonine ou d’autres comprimés pour réguler mon sommeil. Cela redevient normal au bout d’un moment. J’arrive à Tetouan vers minuit et demi. La ville blanche somnole déjà.
Je traverse ses grandes artères calmement. Il pleut finement. Je choisis d’aller passer la nuit dans un hôtel cinq étoiles de la côte nord, car le lendemain j’ai une réunion de travail importante.
L’hôtel en question est un de ces palaces, où on atterrit contraint quand l’offre touristique moyenne gamme est restreinte et de qualité inégale. J’appelle auparavant pour réserver. Plusieurs fois. Personne ne répond. Au bout de la huitième tentative et après un long moment d’attente, quelqu’un me répond. J’ai préalablement vu les prix sur internet.
Cela oscille entre 1350 à 2020 dirhams pour le même produit de base ; une chambre single avec petit déjeuner. Le réceptionniste, me dit que ce qu’il a de disponible est à 2020 dirhams, taxes de séjours touristiques comprises, arguant qu’à ce prix il me fait sa meilleure offre. Même si je lui côté les autres offre glanées sur internet, chez lui, rien n’y fait, il s’accroche à son prix qui est similaire à celui de Booking, qui par ailleurs affiche le prix le plus haut.
Il me prend vraiment pour un gong. Nous sommes en hiver, à Mdiq, dans ce Maroc nord où il ne faut mettre le pied et le maillot qu’à partir de mi-juillet, car avant cela, il n’y a pas un chat dans les environs, et encore moins de touristes…
Je suis venu tellement de fois ici, en toutes saisons, que je sais de quoi je parle. Mais il est minuit passée et je n’ai pas envie de me prendre la tête, à aller ailleurs. Je me dis que de temps en temps, « ma fiha bass ». Après tout je viens pour le travail et autant que je sois logé dans de bonnes conditions. De plus j’ai déjà séjourné dans cet hôtel par le passé.
22 septembre 2022 - Des égouts transformés en tunnel pour cyclistes - Sur le pouce, les questions pas si bêtes
Robert et Sylvain les chaussures de randonnées spécial conseils, épisode n°23
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LCEFDLI 14 L'Etrange Festival
Pour ce nouvel épisode, on vous parle du meilleur festival de cinéma de France. Il s'agit de l'Etrange Festival.
Au programme, un petit tour d'horizon de la prog 2021 et nos films marquants des précédentes éditions...
C'est un gros épisodes mais il n'en fallait pas moins.
La rentabilité, principal obstacle au recyclage
Aussi étrange que cela puisse paraître, il y a quelquefois où l’on aspirerait presque à ce que les océans charrient plus de polluants. L’une des principales difficultés au recyclage des produits maritimes est l’approvisionnement. C’est ce qui fait défaut au rendement, et qui freine le développement des nouvelles filières. Dans cet épisode de La grande bleue, nous allons voir ce que deviennent les plastiques, les algues, les poissons et les coquillages, après leur échouage.
Les algues vertes, la plaie des bords de mer
C’est le poison des bretons. Les algues vertes sont une plaie pour cette région. Malgré les efforts consentis pour s’en débarrasser, elles sont toujours là. Ce qui exaspère les habitants bien sûr, mais aussi les touristes et les acteurs économiques.
Vous avez compris : c’est autour des algues vertes que va tourner ce nouveau numéro de La grande bleue. C’est surtout un mal breton, dont, hélas, « on ne parle peu ou pas assez », déplorent ceux qui montent au créneau pour déplorer l’invasion des algues vertes. Ceux-là même ne sont pas dupes. Ils ont bien compris que le dossier était brûlant. Je m’en suis rendu compte, aussi, quand j’ai sollicité des interviews auprès de plusieurs incontournables du dossier, qui m’ont systématiquement invoqué des plannings chargés.