valse

L’Orchestre d’Harmonie de la ville de Haguenau, placé sous la direction d’Aimé Bastian, revient cette année se prêter à l’exercice du Nouvel An viennois, en vous proposant valses et mélodies d’opérettes les plus célèbres. L’Orchestre a choisi de se faire accompagner par des danseurs qui feront revivre la tradition légendaire des bals de la cour viennoise. La soprano Mélanie Moussay et le ténor Olivier Schreiber viendront également rejoindre les musiciens pour vous faire vibrer au son des airs de la capitale autrichienne. Le public quittera ensuite Vienne pour une courte escale dans la capitale française, en compagnie de l’accordéoniste Sylviane Bastian, qui saura sublimer quelques fameux airs parisiens. On en parle avec Aimé Bastian, le chef d’Orchestre.

Le lien vers l'article complet : https://www.azur-fm.com/news/haguenau-un-concert-pour-vous-faire-valser-dans-la-nouvelle-annee-2024-1913

Ce qui t'est donné, l'est par toi, c'est toi, c'est Tout, c'est la valse du don, une danse à quatre temps.

Librement inspiré de la lecture de « La révolution du don » de Jean-Édouard GRESY et Alain CAILLÉ. 

Nos corps et nos esprits tiennent de la biologie et de l'énergie que nous buvons, mangeons et respirons, besoin qui n'est pas né de lui-même, mais du renouveau donné auquel il aspire, de mêmes nature et origine.

L'Amour, ce flux qui coule en cycles de rus en rivières, en fleuves en mers et océans, en toutes ces contrées de soi et par le Soi de tous les Univers, cet Amour qui demande, qui donne, qui reçoit, puis redonne, suivant la valse à quatre temps, la danse de la Vie.

Que tu choisisses bien ou mal ta nourriture et l'air que tu respires, la couleur, la saveur que tu colles au vécu, que tu saches ou non tranquilliser ton pas et bien te rassurer dans la valse du don, que tu passes ou trébuches sur de fausses mélodies, au rythme des attentes, de l'exigence, des créances, des dettes et de l'ingratitude, il reste que c'est de cet élan que tu es venu, et toujours d'où tu pars et jusqu'où tu iras.

Traversant les épreuves, les croyances de l'expérience, t'identifiant au corps, à ton esprit, à la piste de danse et tout ce qui t'entoure, à l'air, à l'énergie, ce qui te fait tourner... jusqu'à... sortir du temps et de l'espace.

Ici et maintenant, au bout de l'affinage, rien n'est plus de ce qui n'est pas et n'a jamais été.

Nul n'est besoin, car tout est déjà là.

En cet instant d'éternité, tu es la particule d'immensité, la lumière indicible de l'Amour qui résonne en ton mouvement singulier sur ta musique unique.

Sans quoi, de toujours et à jamais, rien ne serait Vraiment Tout.

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Texte déposé ©Renaud Soubise 

Musique : ©Dmitri Shostakovich - Waltz No. 2.

Au paradis de la valse / Radio Cuisine par Édouard de Pomiane

Lu par Laurent Seminel - Menu Fretin

 Je ne vous la présente plus, Anne-Marie Sandrini, 79 ans, ancien petit rat de l’Opéra de Paris, petite fille D’Emma Sandrini, danseuse étoile de l’Opéra de Paris dans les années 1900… et… ce qui nous intéresse plus particulièrement aujourd’hui, fille de Pierre Sandrini. 

PIERRE SANDRINI c’est le fils D’Emma donc, si vous m’avez suivie, et de Pedro Gaillard, ancien directeur de l’Opéra de Paris, qui ne le reconnaitra jamais d’ailleurs…

 Dans les épisodes précédents, Anne-Marie nous raconte l’enfance de Pierre, biberonné à l’opéra comme tous les fils de danseurs, et délaissé par sa mère, Emma, qui lui préférait ses chiens. 

Bref après avoir traine ses savates, enfin ses chaussons, à l’opéra, Pierre change radicalement de trajectoire… 

Voici un voyage dans l’univers du Music-hall et du French Cancan dans le Paris des années 1930  💃💃💃💃

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 Si l’homme danse depuis la nuit des temps, les bals sont nés au Moyen-Âge et étaient exclusivement réservés à la noblesse.
À la Renaissance, on se doit d’avoir un maître à danser qui enseigne la musique, la danse et le maintien.
Louis XIV qui en était friand fonde l’Académie royale de la danse.
Dès 1715, le Régent Philippe d’Orléans popularise les bals où s’invitent
désormais toutes les classes sociales de la société.
Au fil du temps, les danses évoluent, s’importent et s’exportent : branle,
bourrée et menuet, laissent la place aux mazurka, valse et polka puis aux
tango, galop et paso doble avant que n’arrivent le foxtrot, charleston et le
matchiche, eux-mêmes supplantés par le swing et le rock puis par le disco,
hip-hop ou électro.
Entrons dans la danse, au cœur des bals qui ont offert quelques-unes des plus
belles pages de la littérature, de la peinture et du cinéma.

 

Illustration :

Laurent Chappey d'après Valse au Bal Mabille de Philippe Jacques Linder, 1866 @museecarnavalet

Bibliographie :

Madame de Sévigné, Lettre à Madame de Grignan, sa fille, (1626-1696)
Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678
Le carnaval : histoire des bals de l'opéra, tableau des fêtes, travestissements, mascarades, Collectif, 1835
Honoré de Balzac, Sarrasine, 1831 - Le Lys dans la vallée, 1836,
Jules Maurel et les frères Escudier, La France musicale, Paris, 1839
Gérard de Nerval, Les Filles du feu, Sylvie, 1855
Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1857, L’Éducation sentimentale, 1869
Raymond Radiguet, LeBal du comte d’Orgel, 1924
Giuseppe Tomasi di Lampedusa, Le Guépard, 1958 (parution posthume)
Margaret Mitchell, Autant en emporte le vent, 1936
Marie-Joëlle Louison-Lassabliere, Études sur la danse. De la Renaissance au siècle des lumières, Éditions L'Harmattan, 2003.
Michel Peyramaure, Les Bals de Versailles, Pocket, 2005
Dominique Pillette, Flaubert et la danse : les bals au XIXe, 2016
https://dominiquepillette.wordpress.com/2016/01/07/flaubert-et-la-danse-3-les-bals-au-xixe/  

Crédits sons : 

https://www.youtube.com/watch?v=snxUHRaGTuA

Marc-Antoine Charpentier (1636 - 1704), Marche de Triomphe 

https://www.youtube.com/watch?v=4UQNTXyanes

Jacob Obretch, Le Banquet du Faisan  

https://www.youtube.com/watch?v=NJiL3gjl88E

Philippe Musard, Galop 1 

https://www.youtube.com/watch?v=WUpTIdtJZpc

Bohemian National Polka  

https://www.youtube.com/watch?v=pUpAcPAipDA&t=38s  

https://www.youtube.com/watch?v=TdXPR45PFCs

Bee Gees, Staying alive Karaoke 

https://www.youtube.com/watch?v=D8kl3AIzsU8

Vivaldi's Four Seasons: Spring | Epic Trailer Version  

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L et J, Une histoire sentimentale: Épitaphe amoureuse, La valse des surnoms, épisode 20❤

Après une lettre, un épître au ton polémique, un sujet au ton plus léger avec moins de passé simple et de subjonctif : les surnoms. Dans un couple, ils sont communs et participent autant à l’affection qu’à l’appropriation de l’autre par chacun. Ils se glissent peu à peu comme des mots uniques et magiques qui désignent l’objet de nos pensées les plus belles par un code secret quotidien. Les surnoms se forment rapidement et dérivent lentement pour devenir habitudes.

J ‘ai remarqué que les surnoms sont surtout employés entre deux aimés ou dans la famille. Ils disent autant le lien indéfectible que la moquerie de défauts risibles. Avec les amis, les diminutifs sont plus fréquents. Ils heurtent généralement les parents, qui ont choisi un prénom en entier, c’est pour toujours bien le prononcer. Mais dans le couple, le prénom rappelle trop le passé, avant de se rencontrer ou alors paraît trop officiel, loin du lien qui unit deux âmes sensuelles.

Des surnoms, nous en avions eus. Ils m’amusent, et je ne peux me souvenir de tous ceux que je lui ai inventés. Elle m’affubla aussi d’affectueux sobriquets. En regardant tantôt quelques mails si anciens que les lettres ont jauni je me suis rendu compte que nous avions très rapidement balayé nos identités de papier pour celles de notre imagination partagée. Jusqu’à récemment je ne l’appelais pas L., elle ne m’appelait pas J..

Le premier surnom qu’elle me donna fut « Petit Piaf » en référence à mon petit gabarit certainement, et à ma propension à beaucoup parler. «Petit chou » était celui réservé au lit. Il provoquait à chaque fois chez moi un sourire. Il était tendre et puéril, et elle le prononçait toujours de manière gentille. Enfin, mon surnom totémique, mon second prénom fut pendant je ne sais combien d’années « Darling », plus habituellement « Darl ». Ça me convenait très bien! J’eus la mauvaise découverte de savoir qu’elle appelait Darling aussi un amant qui avait le même prénom que moi… On pense être unique… Elle le sera toujours pour moi. Et en surnom, certains, je ne les donnerai à personne d’autre.

J’ai dû oublier des surnoms qu’elle me donna. Cependant, je sais qu’elle en fabriqua moins que moi. Ici va débuter un petit inventaire à la Prévert: miss tinguette, miss monde, petite meuf, jolies jambes, mes jolies petites fesses (oups, mais j’adorais les voir et penser que j’étais le seul, je rougis:-), bébé, baby, jolie fille, starving dindon (elle aime manger tout en gardant la ligne, et ce surnom, personne ne va lui donner, et moi non plus à personne d’autre:-)… et d’autres encore.

Seulement, celui quotidien, que j’utilisais du matin au soir, sonnait comme ce que je ressentais, simple, générique et très commun: « Mon amour ». J’ai dû l’appeler ainsi pendant presque quinze années . À l’oral, dans des écrits, dans des mails, dans des textos, « Mon amour » c’était elle, et ce surnom disait tout. J’eus beaucoup de mal dans les temps récents et troublés à oblitérer ces deux mots. Parfois, ma langue fourchait. Nos maigres échanges depuis notre destruction font qu’il ne restera que très peu de traces de communications avec nos deux prénoms. Même dans des moments de crise, même l’année dernière, j’ai continué à l’appeler « mon amour » jusqu’au moment où elle a éteint le jour. Elle avait terminé de m’appeler Darling avant.

Et ne sachant plus comment la nommer. Je ne savais pas comment ses amants l’appelaient. Je pris le parti à l’oral d’un diminutif. Je l’avais déjà employé, mais très peu souvent. Cela ne me dérange pas. Mais j’aime son prénom énormément. Je le trouve beau, harmonieux, et pour ce que j’en sais il fait partie de notre histoire à nous deux.

La manière dont on nomme les personnes dit beaucoup de choses sur notre rapport à elle. Dans les quelques rêves où elle est présente, jamais son prénom officiel ne s’entend, elle gardera ces trois syllabes « Mon amour » indéfiniment… (À suivre…)

Et retrouver sur ce lien les 13 premiers épisodes d’épitaphe amoureuse: L et J, Tous les épisodes d’Épitaphe amoureuse.

Et les autres sur le site, ou sur l’émission de Podcasts : L et J, Poésies et histoires d’amour (Spotify, ApplePodcast, Deezer, podcastaddict, Google podcast, Amazon music, ivoox, Ausha)

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La Mort est amoureuse de la vie...

Le temps d'une journée Elle s'incarne pour une valse d'ébats bien terrestres.

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Hoy tenemos una entrevista con Osvaldo Pugliese. Cuando lo conocí y lo entrevisté en Rotterdam en 1993, el gran maestro tenía ya 88 años. Fue el primer director artístico del Departamento de Tango del Conservatorio de Rotterdam. Cuando vino a Rotterdam para la inauguración, tuve el honor de acompañarle e interpretar para él. Lamentablemente, yo no hablaba muy bien el español en aquel momento, y Pugliese ya estaba un poco sordo, así que su esposa Lydia repitió mis preguntas. Pugliese me llamó "Helenita de oro", algo que me llenó de orgullo. Su gran calma y su aura me impresionaron y me acompañaron durante mis estudios de música, incluso tras su triste fallecimiento, 2 años después.

Además de hacer música, Pugliese amaba mucho dos cosas: contar chistes y el dulce de leche, un dulce argentino que él comía a cucharadas. Durante nuestra charla, Pugliese se atragantó con una rodaja de mandarina, que se le atascó en el esófago y no quiso moverse más. Él fue el único que mantuvo la calma mientras todos a su alrededor entraban en pánico. Yo salí corriendo a comprar polvo para estornudar. Afortunadamente, a mi vuelta a la habitación del hotel poco después, la situación se había solucionado y el trozo de mandarina estaba ya tranquilamente en su estómago. Escuchemos ahora las palabras de Osvaldo Pugliese.

Camille Saint-Saëns spelade piano från tre års ålder.

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Den formella debuten skedde i Salle Pleyel i Paris då han var 10 år gammal, med pianokonserter av Beethoven och Mozart. 1848 började Saint-Saëns på Pariskonservatoriet, där han studerade orgel, komposition och orkestrering. Saint-Saëns musikaliska förmåga gjorde att han vann både vänskap och beskydd av bl.a. Gounod, Rossini och Berlioz. När Liszt hörde Saint-Saëns improvisera på orgel hyllade han honom som den störste organisten i världen. Mer information på sverigesradio.se/p2

Den österrikisk-ungerske dirigenten Arthur Nikisch var den mest inflytelserika dirigenten av sin tid.

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Han excellerade i romantisk musik, som Schumann, Brahms, Bruckner, Tjajkovskij och Wagner, men också Beethoven. Så här säger Arthur Nikisch om det självspelande pianot: Återgivningen av styckena som spelas av artisterna på apparaturen är i varje avseende så underbart naturlig, att det är svårt att tro att artisten själv inte är närvarande och framträder personligen. Mer information på sverigesradio.se/p2

Den tyske tonsättaren och pianisten Eugen dAlbert var mycket intresserad av den tyska kulturen.

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Wagners Tristan och Isolde hade ett större inflytande över honom än den undervisning han fick av bl.a. Arthur Sullivan. d’Albert studerade också för Franz Liszt, som ansåg att Eugen var en av hans mest betydande elever. Höjdpunkten på d’Alberts pianistkarriär var i slutet av 1800-talet och han spelade främst de tyska tonsättarna från Bach till sin egen tid. Av hans operor är Låglandet (1903) den mest kända. Under tre år var han gift med med pianisten Teresa Carreño. Mer information på sverigesradio.se/p2

Ferruccio Busoni var en italiensk kompositör och pianist, i huvudsak verksam i Österrike och Tyskland.

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Som pianist var han mest intresserad av Bach, Mozart och Liszt, men han hade en stor repertoar – från Rameau till Balakirev. Han var intresserad av många olika sorters musik från gregoriansk sång till nya skalor och mikrotonalitet. Busoni debuterade vid nio års ålder i en konsert av Mozart och blev den som tjänade till brödfödan i familjen. 1894 bosatta han sig i Berlin, där han finansierade konserter med ny musik och aktivt stödde unga tonsättare. Efter en tid i USA och Schweiz återvände Busoni till Berlin 1920 där han undervisade och höll öppet hus för unga musiker i sin egen våning. Mer information på sverigesradio.se/p2

I unga år studerade Artur Schnabel för Theodor Leschetizky i Wien.

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Schnabel sade att Leschetizky inte lärde ut någon metod alls, utan frigjorde den slumrande vitaliteten i eleven. Från 1900 bodde han Berlin, där han ägnade sig åt Schubert och Beethoven. På 1930-talet spelade Schnabel in Beethovens samtliga pianosonater på skiva, vilket ingen hade gjort förut. Han spelade också flera gånger Beethovens alla pianosonater på konsert. Schnabel blev amerikansk medborgare 1944. Han fick där inte samma genomslag som i Europa. Schnabel är berömd för sin Mozart och Schubert – och inte minst sin Beethoven. Mer information på sverigesradio.se/p2

Vladimir Horowitz var en av 1900-talets största pianister.

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Horowitz’ pianorullar är de nyaste i vår serie och spelades in på 1920-talet, då 78-varvarna redan hade slagit igenom stort. När Horowitz var nio år började han på Kievkonservatoriet. Hans lärare var elever till Theodor Leschetizky och Anton Rubinstein. Vid Tysklandsdebuten 1928, i Tjajkovskijs första pianokonsert, förundrade han publiken med en kaskad av oktaver. Horowitz hade hela sitt liv problem med nerverna och medicinerade kraftig en period, vilket påverkade hans spel. De sista åren återfick han hälsan och spelade åter med glädje, kanske tyckte han att han inte behövde bevisa något längre. Horowitz ansågs ständigt vara den främste interpreten av Liszt, Schumann, Skrjabin och Rachmaninov. Mer information på sverigesradio.se/p2