vivre-ensemble

Vivre à côté les uns des autres n'est pas toujours synonyme de vivre ensemble. En cette fin d’année, comment concilier le rythme imposé par la société, qui contribue à nous isoler de plus en plus, avec nos attentes personnelles ? C'est peut-être le moment de s'interroger et de construire une autre manière de vivre ensemble. Alix Grousset échange avec les élèves du lycée du Protectorat d’Aulnay-sous-Bois et interroge Stéphane Hugon, docteur en sociologie spécialisé par l’expérience du « vivre-ensemble ».

Peut-on restreindre la laïcité à des seuls principes juridiques et politiques au service de l'idéal républicain ? Par leurs ressources, et au regard d’un monde désenchanté, relancer les fondements philosophiques du concept de laïcité n’ouvrent-ils pas de nouvelles ressources pour fonder un nouveau « vivre-ensemble ». Dans un monde où la modernité politique et la modernité religieuse s'influencent et se transforment mutuellement, devons-nous contribuer à repenser le principe de laïcité et lui donner une nouvelle fonction au sein de notre société démocratique ?

"Quand l'improbable surgit, un autre futur entre dans la partie" de Yannick Roudaut, publié aux éditions de La Mer Salée.

Merci à Yannick,  Walter et Anne-Claire  pour nos échanges!

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• Le dernier épisode de #2050 avec François Bon, s'écoute là, "Imprédictible"

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nager toujours plus loin et plus près, tendre le bras effleurer du doigt la ligne d'horizon entre alors en vibration, s'enroule autour puis se déploie en toutes directions, vibrantes directions de temps, corps et continents à la dérive dans ces mondes qui s'ouvrent, respirent, paysages se défont sous les paupières, une colline, un arbre, un train tranche ce monde, une racine immédiate l'étouffe, l'engouffre et la terre qui se referme, et la vapeur qui s'échappe comme dernier cri devient rosée, une plante surgit, habite l'espace et les temps et les gens, relie tout ce qui se tient de loin en loin.

« Le territoire n’est pas une notion géographique, c’est une matrice d’interactions pour mieux vivre ensemble », entretien avec Pierre Veltz

Ça change tout, un podcast sur les enjeux de la transition énergétique, qui explore les bouleversements sociaux, technologiques, économiques et géopolitiques à l’heure du défi climatique.

Dans ce nouvel épisode, la journaliste Laurence Garcia rencontre Pierre Veltz, ingénieur, sociologue et économiste. Ce spécialiste de l'organisation des entreprises et des dynamiques territoriales a notamment publié L’économie désirable. Sortir du monde thermo-fossile (aux éditions du seuil).

Ensemble, ils interrogent l’engouement pour le localisme et les pratiques innovantes de proximité en matière d’économie des ressources, et notamment de l’énergie, pour imaginer un futur plus durable. Pour Pierre Veltz, le local ne peut pas s’affranchir du global et la solidarité entre les territoires est essentielle. Dans cet entretien, il en appelle à développer une « économie humano-centrée » sur des besoins essentiels comme la santé et l’éducation. Pour lui, c’est dans ces secteurs à la fois productifs et sobres que se trouvent les emplois pour relancer la croissance verte dans tous les territoires.

Un podcast proposé par EDF.

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Direction éditoriale : EDF

Réalisation et production : HRCLS

Animation : Laurence Garcia

Conseil éditorial et coordination : Havas Paris

Découvrez Volutes ! Le nouvelle émission à retrouver chaque mois sur votre flux de podcast Penser Les Luttes ! Un podcast élaboré pour vous par Radio Parleur et la maison d’édition indépendante La Volte.  

Volutes c'est un podcast pour penser les imaginaires politiques. On vous propose de plonger dans les pensées d’auteurs et d’autrices qui combinent créativité, puissance des mots et engagement politique. 

Pour ce second épisode, Sabrina Calvo, autrice, s'interroge sur le vivre-ensemble et la révolution sociale, lorsqu'on engage nos corps et nos manières de vivre avec les nouvelles technologies.

Votre hôte : 

Sabrina Calvo est une écrivaine, dessinatrice et conceptrice de jeux vidéo. Elle est née à Marseille en 1974. Explorant une science-fiction queer et sensuelle empreinte de fantastique, elle vit entre Paris et Zanzibar. En 2018, son livre Toxoplasma a reçu le Grand Prix de l’Imaginaire et le prix Rosny-Aîné.

Son invité : 

Nicolas Nova est un chercheur franco-suisse, socio-anthropologue, essayiste et Professeur associé à la Haute École d’art et de design à Genève où il aborde l’ethnographie, l’histoire des cultures numériques et la recherche en design.

Si ce podcast vous a plu, soutenez une information indépendante sur les lutttes sociales, faites un don à Radio Parleur !

Peau noire, masques blancs de Frantz Fanon.

Un immense merci à Rose Ndengue, Sendo & Immacula Hélène pour leur disponibilité.

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A quoi bon parler. Ma langue trébuche. Elle ne tient pas son corps debout. Elle voudrait danser mais tombe. Elle voudrait voler mais colle aux dents. Ses mots empêchés avortés pourrissent les gencives. Elle voudrait être claire mais ses accents sont des angles morts, noirs. Transfiguration. Il n'y a plus de syllabes, syntaxe, majuscules ont disparu. Il n'y a qu'un bras, à peine un corps, dessine une vague, une arabesque et le dernier doigt oscille,  éventre l'air, impalpable tranchée d'un point cardinal à l'autre, le ciel est tombé, le soleil avec, le vent et la faim. Avec le temps tout cela disparaîtra a-t-il dit. Le temps est depuis immobile.

Préjugés - Différence - confiance en soi

Livre disponible sur Pourpenser.fr : 

https://www.pourpenser.fr/fsa

Ce n'est pas toujours facile de se faire des amis, surtout si l'on est une fée sans ailes. Pas d'ailes et un chat noir... Hum... cette fée n'est-elle pas plutôt une sorcière ?

La fée sans ailes

Une histoire d'Aline de Pétigny 

Musique et réalisation par Armel Dupas 

Un podcast de Pourpenser  

Une écologie décoloniale de Malcom Ferdinand

Merci à Malcom Ferdinand, Marie Toussaint & Jérémy pour m'avoir consacré du temps. 

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J'ai vu une couleur, puis deux puis trois. J'ai entendu des voix des langues des accents. Depuis le claquement de ces mots inconnus dans l'air, celui-là même que je respire, j'ai perçu d'autres mondes qui se dévoilaient ici dans une syllabe, là dans une intonation. Ces voix dessinaient un autre sens. Ces langues racontaient une autre histoire. Ces accents louaient d'autres univers. Puis j'ai entendu un cri. A l'unission ce cri. Je pouvais le comprendre, je sentais la douleur. Du désastre entamé. Du monde amputé, diminué. De la cale montait ces voix et de partout à la fois. L'usine criait, la plantation criait, les corps criaient. Désorientées perdues ces voix. Non. Déterminées ces voix, disaient

"Il faudrait alors réparer monde"

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Extraits:

• Backlash blues de Nina Simone
• 1492 de Ridley Scott
• Le passage du milieu de Guy Deslauriers

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Prochain épisode: "Peau noire, masques blancs" de Frantz Fanon

La vieillesse amène la solitude. Inévitablement ou presque. La mort du conjoint. La disparition des amis et des proches. Les difficultés croissantes à maintenir les engagements associatifs ou ludiques. 

Régulièrement des rapports accablant dénonce la solitude et l’isolement des vieux. Face à cette situation, déménager pour un habitat collectif, faire communauté et vivre ensemble peut sembler une bonne idée. 

Sauf que...

Sauf que d’une part vivre ensemble quand on a été longtemps seul est compliqué. D’autre part, le besoin de lien est un besoin de reconnaissance parfois difficilement satisfaisable dans le cadre d’un collectif. Enfin, qui a dit que les vieux ont envie de vivre en collectivité ! 

 Bienvenu sur sociogérontologie, le podcast pour comprendre les vieux. 

Aujourd’hui on se demande si vivre ensemble est une solution efficace à la solitude. 

Et une fois n’est pas coutume, je vais être radical et directe. La réponse est non. 

Valérie, franco-allemande, était déjà mon invitée de l’épisode 2 (que vous courrez (ré)écouter après celui-ci !). Elle m’avait parlé du couple que forme ses parents, 40 ans de compétition et complicité culturelles, et de son propre parcours pour devenir elle-même. Dans cette deuxième partie de notre conversation, elle évoque l’entreprise qu’elle a créée pour que dans les projets collectifs, chacun trouve sa place sans renoncer à qui il est. Sauver l'importance de la relation, définir ce sur quoi on ne transige pas, choisir quelle part de soi on met au service du collectif, comprendre quand la diversité et l'intégration cessent de créer de la valeur... Des questions qui, pour moi, résonnent autant en entreprise que pour cette société bigarrée et bariolée que j'espère contribuer à construire !

Cet épisode est le cinquième et dernier d'une mini-série qui fait la part belle aux trajectoires professionnelles, et pour laquelle j’ai reçu Alex du Kamer (#4, artiste "camerounais d'origine française"), Stéphanie Prinet Morou (#5, franco-togolaise et experte en diversité et inclusion), Tuong Vi Nguyen Long (#6, réalisatrice de documentaires franco-vietnamienne), et José Michel Garcia (#7, avocat franco-espagnol inscrit aux barreaux de Paris et de Madrid). Bonne écoute !