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    Episodes (6)

    Délices normands, berlinois ou brandebourgeois, même combat !

    Délices normands, berlinois ou brandebourgeois, même combat !

    Plusieurs millions de Français se sont expatriés. Entre 4 et 7 millions. Difficile d’avoir un chiffre précis, car beaucoup d’entre eux ont omis de s’inscrire au Consulat de France… 

    Les cinq pays les plus prisés de nos compatriotes, seraient, dans l’ordre : la Suisse, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Belgique et l’Allemagne devant le Canada, l’Espagne et le Maroc…  

    Pour en avoir côtoyé de très nombreux au cours de mon existence avant même de m’expatrier à Berlin, j’ai pu constater, non sans surprise, que les Français non seulement s’adaptaient assez facilement dans leurs pays d’accueil, mieux encore, que leur intégration était souvent une réussite. On constate au passage que ces Gaulois ont laissé dans l’hexagone cette
    image de « râleurs » impénitents qui souvent n’est pas usurpée… 

    Certains même, au-delà de réussites professionnelles sont cités comme des modèles d’intégration. Leur apport conforte notre image de marque à l’étranger tout en relayant naturellement les purs produits de nos terroirs qui constituent un des charmes français. Une notion qui ne semble pas avoir été prise en compte à Paris, mais au cours des années on s’y fait… 

    Il n’y a qu’à voir combien les produits français se retrouvent sur les bonnes tables mais aussi chez l’habitant qui les ont intégrés dans leur vie quotidienne pour s’en persuader. 

    Pendant deux ans, nous avons donné la parole à la radio à des Français qui ont fait ce choix de l’expatriation. Qu’ils soient installés aux États-Unis, en Pologne, à Singapour, à Tokyo, à Casablanca ou à Marrakech, en Espagne ou au Portugal, en Chine, en Afrique ou encore dans les pays d’Europe orientale : République tchèque, Slovaquie, pour ne citer que ces pays, j’ai été frappé de mesurer en les écoutant dialoguer entre eux combien leur approche et leurs problèmes — pour ne pas dire leurs revendications vis-à-vis du pouvoir politique français — étaient identiques. 

    Nous avons décidé de continuer à faire parler ces Français qui rayonnent dans leur pays d’adoption. En Allemagne et particulièrement à Berlin, où ils sont assez nombreux à avoir « réussi ».
     

    L’exemple de Didier Canet est typique de cette intégration réussie.   En 1987, il représente les produits de Lenôtre au KaDeWe. La ville lui plaît. Pâtissier dans l’âme, il décide de rester et de
    combler un manque à ses yeux. En 1995 il créé sa première pâtisserie dans la Berliner Straße à Zehlendorf. Le succès est tel qu’aujourd’hui « les délices normands » ont fait des petits dans la Neue Kantstraße, la Pfalzburgerstraße à Wilmersdorf, au cœur de Wannsee, Chausseestraße, et à Steglitz, sans oublier Stahnsdorf qui est devenu un haut-lieu des délicatesses à la française… Sans oublier le pain français qui a aussi ses adeptes. L’entendre comparer le pain allemand et français est un plaisir pour ne pas dire un enrichissement culturel. 

    Didier Canet est un homme heureux, bon vivant et fait désormais partie du paysage gastronomique de Berlin et du Brandebourg depuis 27ans. Ses gâteaux, ses tartes, ses croissants feuilletés font le bonheur des petits et des grands, allemands ou pas. Notre Normand a conservé son âme de pionnier et ne manquerait pour rien au monde ces moments de partage avec des compatriotes.  

    Et pour ceux qui s’inquiéteraient du mal du pays, sa Normandie, rassurez-vous, Monsieur Canet a su rénover un magnifique domaine à Stahnsdorf qui a un côté… normand. Manque plus que le beurre, les pommiers, le cidre ou le Calvados. Espérons qu’il suscitera des vocations pour combler ce vide… 

    Joël-François Dumont  

    Die Liebermann-Villa am Wannsee

    Die Liebermann-Villa am Wannsee
    Die Liebermann-Villa am Wannsee ist das ehemalige Sommerhaus des Malers Max Liebermann (1847-1935) und seiner Frau Martha (1857-1943). Ein besonderer Ort, der mit dem heutigen Kunstmuseum und dem historischen Garten an die Geschichte der Familie Liebermann erinnert. Seit Februar 2020 leitet Dr. Lucy Wasensteiner die Geschicke des Hauses, das von der Max-Liebermann-Gesellschaft getragen wird. Marc Lippuner unterhält sich mit der promovierten Kunsthistorikerin über die wechselvolle Geschichte der Villa, über die Rolle des jüdischen Ehepaars Liebermann in der Berliner Gesellschaft und die Bedeutung Max Liebermanns für die Moderne, über die Herausforderung, ein Museum ohne institutionelle Förderung, dafür mit viel ehrenamtlichem Engagement zu leiten, über Strategien, Besucher:innen an den Stadtrand zu locken sowie über die geplante Vernetzung mit den Kultureinrichtungen der Nachbarschaft.

    25 Ruth Ur und DIE SUCHT ZU SEHEN

    25 Ruth Ur und DIE SUCHT ZU SEHEN
    Die gebürtige Londonerin und Wahl-Berlinerin Ruth Ur stand eines Tages am schmucklosen Berliner Bahnhof Wannsee und fand: Da müsse eindeutig Kunst dran. Sie fasste sich ein Herz und rief bei der Deutschen Bahn an. Das Ergebnis ist eine permanente Installation, die nun rund 38.000 Fahrgäste erfreuen kann; pro Tag, wohlgemerkt. Wie es zu dieser und zu den vielen anderen Aktionen und Initiativen kam, die Ruth Ur sich ausdenkt, begleitet und anstößt, das erzählt uns die Kuratorin und Kunstberaterin jetzt; in der Folge 25 von „Die Sucht zu SEHEN“.

    Berlin - Fuerteventura - Hunde #3

    Berlin - Fuerteventura - Hunde #3
    In dieser Folge erfahrt ihr, ob Lucia sich mit einem Madenautomaten, Lili Marleen und vietnamesischen Seidenpyjamas aus ihren »111 Orte in Berlin, die man gesehen haben muss« gegen »111 Orte auf Fuerteventura, die man gesehen haben muss« und »111 Hunde, die man kennen muss« durchsetzen kann. Die Konkurrenz ist stark und besteht aus einem musikalischen Bobtail, der einen direkten Draht zu den Beatles hatte, Hot Dogs, einem Salzmuseum und der ominösen Winddüse des Herrn Egli. Extra-Tour Berlin: https://www.emons-verlag.com/presse/111-orte-die-man-gehoert-haben-muss Zum Gewinnspiel geht's hier: https://www.facebook.com/111orte https://www.instagram.com/111_orte https://www.emons-verlag.com/datenschutz
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