S2 EP 1 - GROSSESSE EXTRA-UTERINE

Tomber enceinte, se poser la question des ingrédients cosmétiques controversés et peiner à trouver les informations : tel a été le point de départ de l’aventure entrepreneuriale de Kenza Keller, notre invitée du jour.

talm, c’est la marque de soins dédiée aux femmes enceintes, jeunes mamans et mamans dont elle rêvait, qu’elle a fondé et qu’on adore, tant pour ses engagements que pour sa transparence.

Mais alors comment fait-on pour tout concilier, lorsque l’on a deux enfants en bas âge et qu’une mission nous transcende tellement, que l’entrepreneuriat s’invite au programme, presque par surprise ?
Comment relever ce double challenge et apprivoiser ses nouvelles identités de mère et de chef d’entreprise ?
Comment placer les curseurs au bon endroit sans que la culpabilité ne pointe le bout de son nez ?
Et comment savoir si l’on en fait assez, tant pour soi, que pour ses enfants, que pour son entreprise ?

Dans cet épisode Kenza nous livre ses questionnements avec une sincérité rafraichissante, et parce que chez Gynécée, nos professionnelles ont plus d’une corde à leur arc, Charlotte Fortuit, coach, hypnothérapeuthe & sophrologue, et Julie Tran, kinésiologue, l’aiguilleront pour se faire passer au premier plan sans état d’âme et trouver plus de douceur et de sérénité dans ce quotidien au rythme effréné.

Alors - entrepreneure ou non - si vous aussi, vous êtes à la recherche de la fameuse harmonie vie-pro / vie-pro, ou simplement d’une bonne dose d’inspiration : vous êtes au bon endroit !
Je vous laisse en compagnie de la délicieuse Kenza.

Bonne écoute !

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Au tour de Manon de s’ouvrir à notre micro sur un thème intime et longtemps tabou, qui concernerait pourtant 20 à 40% des femmes en âge de procréer.

Le syndrôme prémenstruel, ou SPM, regroupe un ensemble de symptômes physiques et psychologiques avec des manifestations d’intensité variable, qui débutent quelques jours avant la période menstruelle et prend généralement fin quelques heures après le début des règles.

Coïncidence ou non, les règles de Manon deviennent difficiles lorsqu’elle fait ses premiers pas dans l’entrepreneuriat.
Alors à 24 ans, comment gérer la pression et les responsabilités lorsque l’on subit de surcroit plusieurs journées par mois ? Et surtout, comment surmonter les douleurs et vagues de tristesse lorsque l’on a grandi avec l’idée qu’être une femme rimait avec avoir mal ?

Plusieurs années plus tard, arrive le premier confinement : et même si ses symptômes s’aggravent, Manon fait l’expérience de la sororité en découvrant qu’elle n’était pas seule, au détour de conversations avec des amies et surtout d’un compte Instagram salvateur.

Dans cet épisode, vous découvrirez comment Manon a finalement repris les choses en mains, et à force d’expérimentations, trouvé des solutions pour apaiser ses symptômes, tant physiques que psychologiques.

Et parce que Gynécée, nous abordons la santé de manière globale, et que nous croyons en la complémentarité de nos professionnelles, Fabienne Venchiarutti, réflexologue plantaire, et Sabrina Ragheb, praticienne en herboristerie, lui livreront par ailleurs leurs meilleures pistes pour rendre son quotidien plus doux.
Alors si vous aussi, vous vous sentez en détresse tous les mois, une bonne dose d’inspiration vous attend dans cet épisode.

Bonne écoute !

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SOPK : 4 lettres derrière lesquelles se cache la maladie hormonale la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer…

Si la liste est non exhaustive, le syndrome des ovaires polykystiques - SOPK, donc -  peut se traduire par des anomalies du cycle menstruel, de l'acné, une pilosité excessive, un surpoids... voire une infertilité.

C’est l’absence de règles à l’adolescence qui inquiète Eva en premier lieu. 
Alors à 17 ans, la pilule contraceptive lui est prescrite pour réguler ses cycles et elle la prendra pendant 4 ans avant de se poser des questions. 

En parallèle, le cercle vicieux des troubles du comportement alimentaire, lui, a déjà commencé et s’installe durablement.
C’est d’ailleurs le combat sur lequel Eva concentrera tous ses efforts dans un premier temps. Et c’est précisément sa prise de poids accélérée depuis la prise de la pilule qui finira par la questionner, la pousser à l’arrêter, et se rendre compte que sans, ses règles n’étaient toujours pas là.  

Et puis finalement, malgré l’errance médicale à laquelle elle est confrontée, il suffira d’une vidéo YouTube, pour que tout s’éclaire, et que le diagnostic soit enfin posé. 
3 ans plus tard, à force de curiosité, de recherches pointues et d’expérimentations sur son hygiène de vie en solo, Eva a repris le pouvoir sur sa santé.

Oui mais voilà, aujourd’hui, même si le rapport à son corps et à sa féminité n’est plus conditionné par son SOPK, Eva se pose la question de sa contraception… Et elle s’avère être épineuse.

Quelle méthode choisir lorsqu’on doit dealer avec le paradoxe qu’avoir des enfants, ce sera certainement compliqué, mais que de ne pas avoir de contraception, c’est prendre le risque d’une grossesse non désirée ?

Dans cet épisode, Alix d’Antras, naturopathe et Anaïs Koen, conseillère en symptothermie, lui livrent une panoplie de pistes pour un choix éclairé. 
Spoiler alert : nous avons parlé de stérilet au cuivre, de glaire cervicale et de tentatives d’ovulation. 

A noter que les conseils livrés aujourd’hui sont spécifiques au cas d’Eva, mais que chaque SOPK est unique. Nous vous recommandons donc un accompagnement personnalisé auprès de professionnels afin de trouver les solutions les plus adaptées pour vous...

Mais en attendant, pour une bonne dose d’espoir et d’inspiration, nous vous laissons en compagnie de la pétillante Eva. 

Bonne écoute !

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• Pour en découvrir d'avantage sur le SOPK, rdv sur le blog de SOVA 

A l’occasion du mois de prévention et d’information sur l’endométriose, nous vous donnons aujourd’hui rendez-vous pour aborder le thème de cette maladie chronique, qui touche 1 femme sur 10. 

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), “elle se caractérise par le développement de tissu semblable à la muqueuse utérine en dehors de l’utérus, provoquant ainsi des douleurs et/ou une infertilité”.

Les symptômes étant très variables, la maladie est souvent mal repérée.
C’est ainsi que de nombreuses femmes atteintes n’en ont pas pleinement conscience. 

Et ce fut précisément le cas d’Oriane.
Malgré des douleurs intenses et une myriade de symptômes depuis ses premières règles, le diagnostic d’une endométriose superficielle ne tombe qu’en 2016, après 10 ans d’errance médicale. 

Sauf que le manque de considération de la part du personnel médical retardera encore le processus d’acceptation pendant plusieurs années.
Parce qu’après tout, comment prendre au sérieux sa maladie, lorsqu’elle est minimisée, et que le lien avec ses symptômes n’est pas explicitement fait ?  

Mais finalement, dans cet épisode, vous découvrirez comment Oriane est enfin parvenue à mettre des mots sur ses maux, et à prendre conscience du réel impact de l’endométriose sur sa vie. 

Et parce que les pistes pour la soulager sont nombreuses, vous assisterez ensuite à sa consultation live avec Bertille Flory - patiente experte & coach -  et avec Marie Bouchayer - chiropracteure - qui avec douceur et pédagogie, nous présenteront leurs meilleurs conseils et nous apprendront que la douleur n’est jamais normale. 

Même si, chez Gynécée, nous avons conscience que toutes les histoires d’endométriose sont différentes et ô combien complexes, nous sommes ravies de vous livrer celle d’Oriane, qui est avant tout un message d’espoir destiné à toutes celles qui cherchent des solutions pour vivre avec la maladie. 

Bonne écoute !

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• Pour découvrir les univers respectifs de nos professionnelles, rdv sur le site internet de Marie  et le blog de Bertille.

En mai 2022, Marie tombe enceinte et prend la décision que 30% des françaises prennent au moins une fois dans leur vie : celle d’interrompre volontairement sa grossesse. 

Débute alors pour elle une procédure semée d’embuches, où règnent solitude et incompréhension, face à un accompagnement médical pour le moins décousu.
Alors comment rester sûre de son choix, lorsque la procédure s’éternise et nécessite finalement trois interventions ?
Comment naviguer entre impuissance et culpabilité, alors que l’on se sent livrée à soi-même ? 

Et puis, bien sûr, se pose également la question de l’après. 
Comment reprendre possession de son corps, lorsque l’on s’est sentie trahie, envahie, et que le lien avec lui a été rompu ? 
Comment se libérer de la peur d’arrêter la pilule, lorsqu’elle nous rassure autant qu’elle nous meurtrit ? 
Et puis comment refaire suffisamment confiance à son couple pour opter de nouveau pour une contraception naturelle ? 

A nos côtés, Julie Tran, kinésiologue, et Anaïs Koen, conseillère en symptothermie, livrent à Marie les clés pour composer avec l’ambivalence de ses émotions et pour retrouver une sexualité apaisée. 

Avant de vous laisser en bonne compagnie, je souhaitais remercier Marie, de lever le voile sur un sujet aussi intime que complexe, et d’avoir eu le courage de nous offrir ce témoignage à un intervalle très symbolique… Vous l’aurez deviné : 9 mois après.

Bonne écoute !

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Aujourd’hui, nous allons aborder le thème délicat du cancer et de la fertilité avec Julie, pour qui le diagnostic tombe comme un coup de tonnerre dans un ciel bleu, et coïncide avec une fausse-couche. 

Alors à 28 ans, comment le choc de l’annonce laisse-t-il place au temps du combat ?
Et même si le corps médical se veut rassurant sur les chances de rémission et sur l’impact sur la fertilité, qu’en est-il du rapport au corps et à la féminité ? 

Avec beaucoup de dignité et un grand recul, Julie se confie aujourd’hui sur sa victoire sur la maladie - annoncée rapidement - , et sur la manière dont elle compose avec l’interdiction de tomber enceinte pendant 2 ans, alors que la vie avance, et que les annonces de grossesse pleuvent dans son entourage. 

Oui mais voilà, que reste-t-il de la confiance en son corps, lorsqu’après le feu vert du corps médical, ce premier bébé n’arrive pas ?
Comment ne pas céder à la colère, face à une temporalité ironique, et une fertilité finalement plus impactée qu’annoncé ?
Comment gérer la charge mentale d’un parcours PMA, qui, malheureusement, ne s’avère paS être la solution immédiate ?
Comment garder l’espoir, même après une deuxième fausse-couche ?
Comment gérer ses émotions et dissocier la grossesse de la maladie, lorsqu’elles ont un jour flirté ensemble ? 
Et surtout… comment la pulsion de vie finit-elle par surpasser la peur de la rechute ?
Car spoiler alert, l’histoire se termine bien !

Alors chères auditrices, c’est parti : je vous laisse en compagnie de la solaire et ô combien résiliente Julie, qui nous livre une très belle leçon de vie.

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Aujourd'hui, nous allons aborder le sujet épineux de la grossesse extra-utérine, cette anomalie de la nidation.

En quelques mots, la grossesse extra-utérine est définie par toute grossesse qui s'implante et se développe en dehors du milieu normal de la nidation, c'est à dire en dehors de l'endomètre, tapissant la cavité utérine.
Le diagnostic doit être fait rapidement, car l'oeuf fécondé grossit spontanément.
Au fil des jours, la trompe de l'utérus se distend, puis se rompt, provoquant ainsi un saignement dans la cavité abdominale. S'ensuit alors un danger pour la santé de la femme. 

Le traitement consiste à éliminer l'oeuf mal implanté, soit par un traitement médicamenteux, soit par une intervention chirurgicale. 

Chez Gynécée, nous avons bien conscience qu'il y a autant d'histoires de grossesses extra-utérines que de femmes qui la vivent, mais nous tenions à vous faire entendre celle de Philippine.

Dans son témoignage, elle soulève le paradoxe, dans lequel la plupart de celles qui la subissent pourront se reconnaître, qui réside entre d'une part, l'urgence d'agir, et d'autre part, les délais incompressibles qui rythment la procédure. 

Vous et moi, nous serons alors témoins de chaque étapes de son parcours : du diagnostic, qui tombe dans sa vie de célibataire, à l'inquiétude face à l'injection de méthotrexate - dont rien que le nom sonne barbare - et de ses conséquences, en passant par les sentiments d'impatience et d'impuissance,  face à la longueur du traitement. 

Et même si l'histoire de Philippine se termine bien, son expérience de la grossesse extra-utérine ne s'est pas arrêtée le jour où son taux de bêta hcg est redescendu. Et ça, elle aura voulu le savoir avant... 

Alors toujours ensemble, nous pousserons ensemble les portes de chez Gynécée, où nous retrouverons Alix d'Antras, naturopathe, et Alice Fontaine, osthéopathe, lors d'une consultation en live, où elles nous livrerons leurs meilleurs conseils pour adoucir l'après. 

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• Intéressée par la conférence sur les différentes méthodes de contraception et le cycle menstruel avec Elodie Cariou, le 11 janvier à 19h ? Les inscriptions se passent ici.  

Qu’elles soient positives ou négatives, fortes ou tempérées, nos émotions sont d’abord une expérience interne. L’émotion est aussi une information et le corps une mémoire. Pour qu’il
s’exprime pleinement, les massages compte parmi les thérapies les plus efficaces. Nos invitées, Fabienne Venchiarutti, réflexologue plantaire et Charlotte de Noisy, énergéticienne, nous expliquent via leur pratique, comment elles parviennent à libérer le corps de ses mémoires et des émotions enkystées.

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Le ventre est soumis à ce qui fait la vie, la digestion, les émotions, les règles, la grossesse… Cet organe que l’on a longtemps cru dédié à la digestion seulement, est en vérité très en lien avec le système nerveux, d’où son nom le « deuxième cerveau ». Berceau de
notre bien-être et centre de l’énergie, il mérite toute notre attention et beaucoup de douceur. Pour en parler, nos invitées Elodie Cariou, sage-femme et Alix D’Antras naturopathe. 

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L’adolescence est un passage marqué par une recherche identitaire qui va amener l’individu vers l’âge adulte. C’est une période de changements qui transforme le corps en renforçant les caractéristiques typiquement féminines. Et c’est aussi et surtout un processus normal et universel que toutes les filles connaissent dans une même période de vie. Pour en parler, nous avons reçu, Christelle Roux, gynécologue et Aude Briantais, psychologue.

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