education aux médias et à l'information

la 1ère émission de webradio, collective, du réseau des documentalistes de l'Enseignement agricole en Occitanie, diffusée en direct depuis le CDI du lycée agricole d'Auch Beaulieu, le jeudi 22 juin 2023.A retrouver découpée en 3 chapitres, avec leur contenu détaillé, sur le site du réseau national RENADOC : https://renadocagri.fr/index.php?lvl=cmspage&pageid=4&id_article=467

A l'occasion de la 34ème semaine de la presse et des médias à l'école, 2 groupes d'élèves qui suivent la spécialité Histoire-Géographie-Géopolitique-Sciences Politiques ont rencontré pendant une heure deux journalistes pour comprendre la fabrique de l'information locale, mais pas seulement...L'objectif du projet: réaliser une émission radio sur les enjeux de l'information, notamment à l'échelon local.Deux interviews ponctuées d'extraits de leur production, de micro-couloirs, et d'une chronique.Merci à Gwénaëlle Bron de France3 Bretagne et Véronique Muzeau de Radio Evasion d'avoir participé à ces riches échanges avec les élèves sur leur métier de journalistes.

Modifier ce sonON N'EST PAS FATIGUE-VIRGINIE CHRONIQUE 1 ECO-DELEGUESPublié il y a 6 minutesIls ont aimé (1)éco-déléguéslycéeéducation aux médiaséducation à l'environnement10L'émission matinale de MOUV' "On n'est pas fatigué" présentée par Virginie, Marie, Adam, DJ First Mike et Elie a été réalisée en direct du Lycée Jean Paul de Rocca-Serra de Portivechju le 25 novembre 2022 !La chronique de Virginie sur l'environnement et la méditerranée avec nos éco-délégués MARIANNA & LEANE

L'émission matinale de MOUV' "On n'est pas fatigué" présentée par Virginie, Marie, Adam, DJ First Mike et Elie a été réalisée en direct du Lycée Jean Paul de Rocca-Serra de Portivechju le 25 novembre 2022 !Adam discute avec le public et met des élèves en avant suivant leurs talents -Il découvre des developpeurs de jeux video entre autres

Interview de Marie-Charlotte Franchi par Romane, Maé et Lena de l'Atelier Podcultura réalisé à l'Animu en partenariat avec le centre culturel de la commune de Portivechju. Elle nous présente le FRAC Corsica (Fonds Régional d'Art Contemporain) basé à Corte ainsi que son parcours professionnel.

Il y a quelque temps, interroger la digitalisation du monde était une question spéculative: on tentait d’imaginer la forme qu’elle pourrait prendre, et ses éventuelles conséquences. Quand le groupe PUNCH a commencé à s’intéresser aux changements que la numérisation allait produire dans la société, cela relevait d’un travail sur toute une série de « nouvelles pratiques ». Aujourd’hui, apès deux ans passés sous Covid, il nous semble qu’il était temps de faire une sorte de retour d’expérience. D’une part parce que le numérique est dans notre quotidien. Non plus une étrange et mystérieuse promesse, mais un élément banal. La présence du numérique n’a plus rien d’étonnant, c’est au contraire lorsqu’on se retrouve « sans réseau » que la situation paraît exceptionnelle. Pour en débattre, Jean Blairon – Expert RTA asbl est entouré par Luc Malghem – Centre Librex, Nadid Bellatik – Gsara, Jennifer Nielz – Fesefa et Geoffroy Carly – CEMEA.

Equiper et affilier le maximum de citoyen.nes aux usages dominants du numérique, tels étaient les idéaux visant à réduire la fracture numérique. Mais cette dernière s’avère plus diversifiée et complexe qu’on ne le croit, recouvrant une pluralité d’autres fractures sociales et culturelles. Cela se traduit dans des interfaces administratives, par exemple, développées sans aucune concertation avec leurs destinataires. La crise du Covid-19, le confinement et la montée en puissance du « distanciel » et « virtuel » ont accentué ces fractures. Le point avec des acteurs et actrices de terrain en éducation permanente (EPN)Avec Lauriane Paulhiac (CABAN, collectif des acteurs bruxellois de l’accessibilité numérique) ; Véronique Guisen (EPN à Anderlecht), Renaud Ziegler (EPN à Evere), François Limbert-Limbosch (Echevin de l’action sociale et des nouvelles technologies à Uccle)

Les moteurs de recherche mis à notre disposition sont magiques. C’est incroyable ce qu’ils trouvent et en un temps record. Quel est l’envers du décor ? Comment se construit cette automation de la plateformisation ? Les machines ont besoin du digital labor aujourd’hui pour apprendre à s’en passer demain. Sans prolétaires du clic, pas de machines autonomes efficaces pour remplacer le travail humain. La disparition du travail n’est pas une conséquence inévitable de l’automation ni la conséquence surdéterminée du développement technologique, mais il est l’issue de l’aménagement des luttes sociales qui l’entourent.Antonio Casilli, sociologue, maître de conférences en humanités numériques à Télécom ParisTech et chercheur au Centre Edgar-Morin de l’EHESS.

Quand le numérique déboule dans la vie économique, c’est avec un storytelling exaltant : voici un nouveau monde d’inventions, de créations complètement libres, sans patron ! Voyons la réalité de ce nouvel entrepreneuriat avec le cas de Uber, symbole de l’émergence de ce capitalisme de plateforme. Si Uber a attiré rapidement15 000 « partenaires », des tensions sont vite apparues. Comment s’organise la contestation dans ce nouvel environnement de travail ? Quels sont ses représentants ? Quels sont les registres d’action mobilisés ? Quelles sont leurs revendications ? Gros plan sur ce nouveau terrain du conflit social, plus particulièrement, sur le cas des chauffeurs VTC en France.Sophie Bernard est professeure de sociologie à l'Université Paris Dauphine et chercheuse à l'IRISSO.

L’omniprésence des outils numériques a changé nos expériences de l’espace, nos façons de traverser les lieux, les centres commerciaux, les aéroports. On est à la fois dans un lieu physique et connecté à d’autres dimensions, en des géographies composées, réelles et virtuelles. Certains endroits deviennent ainsi des hyper-lieux. Cette hyper-spatialité n’est-elle pas porteuse d’une redéfinition même du statut d’acteur spatial des êtres humains en société ?Michel Lussault, géographe, professeur à l’université de Lyon (Ecole Normale Supérieure de Lyon), membre du laboratoire de recherche Environnement, villes, sociétés (UMR 5600 CNRS/Université de Lyon).

Comment les artistes s’emparent-ils de ce que le numérique fait au corps social, à l’imaginaire collectif ? Selon quelles esthétiques et dans quels lieux ?  Outre l’activisme, il est souvent question d’interventions ludiques, signant au passage une nouvelle forme de sensibilisation aux enjeux sociaux. Ces artistes visuels proposent de sourire des dispositifs de contrôle de notre société hypermoderne et d’interagir avec eux. Examinons notamment les travaux de Banksy, Jill Magid, Ai Weiwei, Michael Wolf …Sophie Limare, agrégée d’arts plastiques et docteure en esthétique et théorie de l’art contemporain

Avec l’idée de « modes de vie », on vise toutes les forces qui façonnent nos manières de vivre sans que l’on s’en rende compte réellement, sans que nous puissions avoir une prise réelle sur les choix en amont de ces modes d’existence. Il est très difficile de les mettre en question, ce qui pose un problème de démocratie. Le virage numérique est bien de cet ordre : il façonne nos quotidiens sans avoir fait l’objet de controverse démocratique. Le contexte numérique accélère la viralité de ces choix de vie non questionnés. Mais il offre aussi des outils pour imaginer des parades intéressantes. Le préalable étant de pouvoir mettre des mots et des concepts sur la forme fuyante de ce qui détermine nos modèles culturels, notamment à travers la technologie.Mark Hunyadi, philosophie politique et morale à l’UCL

Si l’on dépasse le temps court de l’histoire de l’informatique (moins de cent ans) par le temps long de l’histoire de l’écriture (trois millénaires), l’informatique apparaît alors comme l’étape la plus récente de cette longue histoire. Comment se rattache-t-elle à l’histoire de l’écriture ? Quel type d’innovation y introduit-elle ? Si c’est bien l’automatisation du calcul que l’informatique rend possible, en quoi cela a-t-il rapport à l’histoire de l’écriture ? C’est sans doute que l’écriture entretient autant de liens avec les langues qu’avec les nombres…Jean Lassègue, philosophe, épistémologue, chercheur au FNRS

L’Internet initial a été un outil formidable de partage des savoirs, de mise en commun des expériences et des connaissances. Puis Internet est entré dans l’âge des nouvelles « enclosures », avec la captation et privatisation des savoirs et savoir-faire. Tout en devenant aussi un lieu de fabrication de faux-savoirs (rumeurs). Comment définir aujourd’hui les « communs de la connaissance », les « communs de la culture », comment se réapproprier le numérique comme outil d’éducation populaire ?Hervé Le Crosnier, enseigne les technologies et les cultures numériques à l’Université de Caen. Editeur chez C&F éditions.

Le samedi 19 mars 2022 avaient lieu les portes ouvertes du collège. L’équipe de la radio s’est mobilisée autour de M. Vanhollemeersch pour proposer une émission de radio en direct du médialab. De nombreux acteurs du la communauté éducative sont passés par notre micro. Retrouvez-les dans ce son 100% Aubrac. Mme Mortier (3’05) enseignante d’histoire-géographie et professeure principale de 6e. Mme Boukhobza, présidente de l’association des parents d’élèves (9’42), Syrine et son petit frère Sami (15'01), M. Granado, principal du collège (20’15), Flora, ancienne élève (30’26). Un grand jeu opposant plusieurs équipes (39'35). Un autre ancien élève Théo (59'50). Et la conclusion par Lounes, Ferrouz, Mme Messaoui et M. Asseman (63'05)

Une actualité internationale, une actualité nationale, une actualité culturelle ou scientifique, une actualité sports ou loisirs, ... c'est le point actu présenté chaque semaine. Gaspard et Antoine reviennent sur la semaine du 7 au 11 mars 2022.

Une actualité internationale, une actualité nationale, une actualité culturelle et scientifique, une actualité sports ou loisirs, ... c'est le point actu présenté chaque semaine. Lou et Emma reviennent sur la semaine du 31 janvier au 4 février 2022.

Émission "La radio qui claque no2"Thème : Les discriminations (homophobie et racisme)Réalisée par des élèves de 5e dans le cadre d'une résidence de journaliste tenue les 17 et 18 mai 2021.Un partenariat entre le Rectorat de Caen, la DAAC et l'association "La porte à côté" (éditrice de Radio Parleur).Avec le soutien du CLEMI Normandie.Réalisation / Prise de son / Mixage : Violette Voldoire (journaliste radio)Écriture et voix : Les élèves de 5eB Habillage sonore : Violette Voldoire et Les élèves de 5eB Enseignants coordinateurs du projet : Mathieu Lambert-Carabin / Agnès Caballo / Céline Lemaître

Émission "La radio qui claque no1"Thème : Les discriminations Sexisme et handiphobie)Réalisée par des élèves de 5e dans le cadre d'une résidence de journaliste tenue les 17 et 18 mai 2021.Un partenariat entre le Rectorat de Caen, la DAAC et l'association "La porte à côté" (éditrice de Radio Parleur).Avec le soutien du CLEMI Normandie.Réalisation / Prise de son / Mixage : Violette Voldoire (journaliste radio)Écriture et voix : Les élèves de 5eB Habillage sonore : Violette Voldoire et Les élèves de 5eB Enseignants coordinateurs du projet : Mathieu Lambert-Carabin / Agnès Caballo / Céline Lemaître

Pour les enseignantes, la webradio est un point d'appui pour travailler de nombreuses compétences, de manière transversale, dans une démarche citoyenne.Dans le cadre d’une pédagogie de projet, en lien avec l’éducation aux médias et notre partenariat avec Radio Laser, les jeunes abordent des tâches de compréhension et production orales (élocution, phonétique), et écrites à partir de leurs propres chroniques et sujets choisis en équipe. Cela favorise les apprentissages et l'engagement !