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    Episodes (35)

    OASLR : Godzilla Minus One

    OASLR : Godzilla Minus One

    Godzilla le dieu japonais est revenu sur nos écrans en fin d'année 2023 et janvier 2024. Faye et Sophie ont découvert Godzilla Minus One de Takashi Yamazaki et en discutent.

     

    Godzilla Minus One


    À la fin de la seconde guerre mondiale, Koichi, un kamikaze, refuse d'exécuter sa mission et se pose sur une petite île d'Odo. Le soir une créature attaque les militaires, seul Koichi et un mécanicien survivent. Traumatisé, l'ancien Kamikaze tente de se reconstruire en recueillant une jeune femme et un bébé. Malheureusement pour le jeune homme, Godzilla n'en a pas fini avec lui.

     

    Le traumatisme de la guerre


    À l'instant du premier film de 1954, Godzilla Minus One traite du traumatisme subi par les soldats pendant la seconde guerre mondiale, mais surtout des blessures et des peurs d'une nation. En se focalisé sur les points de vue de la population et des soldats, le réalisateur montre avec intelligence, l'impacte sur le Japon de cette guerre. PTSD, dépression et survie, c'est le quotidien des personnages que nous suivons. Il est dur de retrouver l'espoir. Godzilla symbolise tous ces sentiments, il est effrayant pour ces raisons.


    Une critique du pouvoir


    Yamazaki livre également à travers ce long métrage une critique des pouvoirs politiques. Comme dans Shin Godzilla, le gouvernement japonais est montré comme égoïste, tardant à prendre des décisions et ayant complétement abandonné son peuple. Il y a une perte de confiance et de dialogue entre la population et les autorités. L'entraide est mise en avant comme un outil nécessaire à la survie et l'espoir.


    Qu'avez-vous pensé du film ?

    Faites connaissance avec l'équipe en écoutant cet épisode :

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    OASLR : Les coulisses de l'émission

    OASLR : Les coulisses de l'émission

    Partez à la découverte de l'équipe d'On a supprimé les rushes !


    Dans cet épisode, nous partageons avec vous notre passion pour le cinéma, les œuvres qui nous ont profondément touchés, ainsi que notre parcours en tant que cinéphiles. Nous avons décidé de nous prêter au jeu du questionnaire afin de vous permettre de mieux connaître l'équipe d'On a supprimé les rushes.

    Et pourquoi ne pas vous amuser également en répondant aux questions ?

    Retrouvez les ainsi que la liste des oeuvres citées sur notre site : https://jamesetfaye.fr/oaslr-les-coulisses-de-lemission/ 


    Un grand merci à XP pour son super travail de montage.


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    Le Quart d'heure Pelí : Célébrons les 100 ans ! Walt Disney et ses grands classiques dessins-animés

    Le Quart d'heure Pelí : Célébrons les 100 ans ! Walt Disney et ses grands classiques dessins-animés

    Hola les fans de Disney ! Dans ce nouvel épisode du Quart d’heure Pelí, nous allons parler des grands classiques de Disney car, comme vous le savez surement, cette année nous fêtons les 100 ans de Disney ! Et oui ! Et pour célébrer cela ensemble comme il se doit, dans les semaines à venir et donc les prochains épisodes, nous allons parler aujourd'hui de 3 films dessins-animés classiques que j’ai personnellement adorés ! Attention les souvenirs d’enfance, la nostalgie, les bons moments en famille ou seul devant sa télévision ! 

    Le Quart d'heure Pelí : Jean-Jacques Annaud et Le Nom de la rose

    Le Quart d'heure Pelí : Jean-Jacques Annaud et Le Nom de la rose

    Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce nouveau Quart d’heure Pelí. Et aujourd’hui nous allons parler de Jean-Jacques Annaud, ce grand réalisateur français qui a réalisé, entre autre les films La Guerre du feu en 1981, Deux Frères en 2004, Le Dernier Loup en 2015 et plus récemment Notre-Dame brûle en 2022. Nous allons donc revenir sur la carrière de ce grand visage du cinéma français et nous centrer sur un de ces films de son importante filmographie : Le Nom de la Rose, sorti en 1986 et récompensé avec un César en 1987.

    OASLR: La trilogie du dollar partie 1

    OASLR: La trilogie du dollar partie 1

    Nous sommes ravies de vous retrouver pour un nouveau dossier dans notre podcast cinéma: On a supprimé les rushes. Nous avons sorti nos colts et nos chapeaux pour partir à la  découverte de la trilogie du dollar de Sergio Leone. Pour nous accompagner, nous recevons l'ami Xp, que vous avez pu entendre au côté de Faye dans notre série d'émissions: Retour vers les étoiles.

     

    La trilogie du dollar

     

    Dans cette première partie, l'équipe se concentre sur deux films : Pour une poignée de dollars et le film dont il est le remake, Yojimbo d'Akira Kurosawa.

     

    Yojimbo

    Nous commençons par revenir sur l'extraordinaire carrière d'Akira Kurosawa. Le réalisateur japonais a inspiré toute une génération de cinéastes à l'image de Sergio Leone.  On se concentre ensuite sur Yojimbo alias Le garde du corps. Le film est sorti en 1961 avec dans le rôle du samouraï Toshiro Mifune. Celui-ci raconte l'arrivée, dans un village en pleine guerre civile, d'un mystérieux samouraï. Il se fait engager à tour de rôle par les deux familles en guerre, espérant utiliser ses talents pour gagner.

     

    Pour une poignée de dollars

    Pour aller plus loin dans notre analyse comparative, il est important de faire connaissance avec le réalisateur italien, Sergio Leone. Père du western italien dit spaghetti, sa trilogie du dollar composée de Pour une poignée de dollars, Le bon la brute et le truand et enfin Pour quelques dollars de plus, a permis d'installer les codes de ce genre auprès des spectateurs. Ces films ont également fait de Clint Eastwood une star.

     

    Duel au soleil

     

    Tout au long de l'émission, nous faisons le point sur la réalisation, l'écriture des deux films et nous explorons les différents éléments de ces deux long métrages. Nous verrons comment la violence est utilisée avec d'un côté le sabre et de l'autre l'arme à feu. Vous verrez que Yojimbo et Pour une poignée de dollars ne sont pas que de simples divertissements mais qu'ils livrent une analyse et une critique des contextes dans lesquels ils évoluent.

    Les œuvres citées dans l'émission:

    • la filmographie d'Akira Kurozawa
    • La filmographie de Sergio Leone
    • La clé de verre  ( le roman de Dashell Hammett et le film de 1942 de Stuart Heisler)
    • l'oeuvre de Shakespeare
    • Star wars de George Lucas (1977)
    • L'homme qui tua Liberty Valance de John Ford (1962)
    • 40 tueurs de Fuller (1957) 
    • La vengeance aux deux visages de Marlon Brando (1961)
    • Les sept samouraïs (1954) 
    • Les sept mercenaires de John Sturges (1960).
    • Mon nom est personne de Tonino Valerii (1973)
    • Ben-hur de William Willer (1959)
    • Sodome et Gomorrhe de Robert Aldrich (1961)
    •  La vampire indienne de Robert Roberti (1913)
    • Psychose de Alfred Hitchcock (1960)
    • On a aussi parler du code Hayes: https://youtube.com/watch?v=ljg82Ms5CC8&feature=shares

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    OASLR: Le whodunit

    OASLR: Le whodunit

    Dans ce nouvel épisode du notre podcast ciné, On a supprimé les rushes, Faye, Charlotte et Sophie vous parlent d'un genre populaire, le whodunit.

     

    Les origines du Whodunit

    L'équipe présente le genre. Celui-ci est né sous différentes plumes mais celle qui lui a donné ses lettres de noblesse est tenue par Agatha Christie.

    Des gens riches réunis dans un lieu, un meurtre, un détective et surtout un coupable, tels sont les éléments qui constituent le genre du whodunit.

     

    L'évolution du genre

    Après avoir fait connaissance avec les codes du Whodunit, il est temps de suivre son évolution. Du film de prestige en passant par le Giallo et le Slasher, le genre à su s'adapter et évoluer pour traverser les époques et rester populaire.

    Quels sont les œuvres qui vous ont marqués?

     

    Les films cités dans l'émission

    La Taverne de la Jamaïque (Jamaica Inn) d'Alfred Hitchcock 

    Le miroir se brisa de Guy Hamilton 

    Mort sur le Nil de John Guillermin

    Meurtre au soleil de Guy Hamilton

    Gosford Park de Robert Altman

    L’assassin habite au 21 de Henri-Georges Clouzot

    Le nom de la rose de Jean-Jacques Annaud

    Le mystère de la chambre jaune

    8 femmes de François Ozon

    Le crime de l’orient express de Sidney Lumet

    Cluedo de Jonathan Lynn

    Les adaptations pas ouf de Kenneth Branagh

    Scream de Wes Craven

    8 femmes pour l’assassin de Mario Bava

    Opéra de Dario Argento

    Usual suspect de Brian Singer

    Sleepy Hollow de Tim Burton

    Identity de James Mangold

    Profession profiler de Renny Harlin

    Hot Fuzz de Edgar wright

    Les 8 salopards de Tarantino

     

    Les série citées

    Hercule Poirot (of course)

    Harper Island

    Les récentes adaptations de la BBC : And Then There Were None, Ordeal by Innocence (excellentes d’ailleurs)

    Ils étaient dix par Pascal Laugier 

    Only murders in the bulding

     

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    Retour vers les étoiles épisode 3: Revenge of the Sith

    Retour vers les étoiles épisode 3: Revenge of the Sith

    Faye et Xp sont de retour pour terminer leur voyage au sein de la prélogie avec le fameux épisode III: Revenge of the Sith.

     

    La revanche des Sith

    Sortie très attendue de 2005, ce dernier opus avait à l'époque la lourde tâche de conclure la prélogie et de la lier à la trilogie. George Lucas est le seul maître à bord, prenant toutes les décisions sans tenir compte des conseils qu'il reçoit. Au final, il en sort un film plus sombre mais comme les précédents, divise les fans.
    Certains voient dans cet épisode un chef-d'oeuvre, d'autres en sont ressorti avec une grande déception et un peu de colère. notre équipe d'explorateurs de l'espace fait le point des années après sur les bons et les mauvais côtés du film.

     

    Empereur Lucas

     

    l'analyse de Revenge of the Sith nous permet de mieux comprendre son auteur. Lui-même comme les Jedi sont dans la chute.  Il passe du côté obscur et devient à la fin du tournage tout ce qu'il avait toujours détesté. Son isolement se ressent beaucoup dans le long métrage. Bien que celui-ci propose certaines scènes fortes, à l'image de son introduction, celles-ci sont souvent brisées par un scénario pas assez abouti par moments et aux dialogues parfois qualifiés de "culcul". Il y a beaucoup de potentiel dramatique dans l'histoire d'Anakin qui n'est clairement pas assez développée. Cependant on ne peut pas dire que le film soit un échec total, au contraire. Avec le temps, les erreurs prennent moins d'importance et surtout la génération suivante ayant travaillé sur The Clone Wars,  apportent beaucoup à cet opus.

     

    Œuvres citées dans l'émission:

     

    -La novélisation de l'épisode 3 par Matthiew Stover à retrouver dans l'édition intégrale de la prélogie, disponible chez Pocket

    -La trilogie de E.K Johnston consacrée à Padmé: Queen's shadow, Queen's peril et Queen's hope. Les deux premiers tomes sont disponible en français chez Pocket.

    -The clone wars et Clone wars, disponible sur Disney + (Il existe des Blu-ray et dvd de ces séries mais depuis le rachat de Lucasfilm, ils sont dures à trouver à des prix correctes)

    - Dracula de Bram Stoker son adaptation par Coppola

    - le film  l'aigle des mers de Michael Curtiz

    -Les podcast Universal Monsters sur Frankenstein et La momie

    https://galaxie-pop-la-constellation.lepodcast.fr/universal-monsters-numero-2-slash-4-frankenstein

    https://galaxie-pop-la-constellation.lepodcast.fr/universal-monsters-numero-3-slash-4-la-momie

     

    Les autres épisodes de Retour vers les étoiles :

    Episode I: https://jamesetfaye.fr/retour-vers-les-etoiles-episode-1the-phantom-menace/

    Episode II: https://jamesetfaye.fr/retour-vers-les-etoiles-attack-of-the-clones/

     

    Pour continuer le débat: https://jamesetfaye.fr/geek-en-serie-7x03-the-clone-wars/


    Un grand merci à Rémi pour le montage.



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    #S2E25 Gérard Jugnot. Comédien et réalisateur. Durée 5"21

    #S2E25 Gérard Jugnot. Comédien et réalisateur.  Durée 5"21

    Quel immense honneur d'avoir reçu il y à quelques mois,  le comédien et  réalisateur Gérard Jugnot dans le cadre du Festival du cinéma et de musique de film de La Baule.

    Vous noterez dans cet épisode tout le respect et l'importance que porte Gérard Jugnot aux techniciens du cinéma.

    Le Petit piaf est le douzième film réalisé par Gérard Jugnot. C’est le producteur Marc-Étienne Schwartz qui lui a proposé de réaliser ce long métrage. Le metteur en scène se rappelle : "J’étais ravi mais l’histoire était censée se dérouler en Afrique et ma méconnaissance de ce continent ne me permettait pas de me sentir complètement légitime."

    "La décision fût prise d’adapter l’intrigue à La Réunion, que je connaissais un peu pour y avoir joué. J’ai proposé de tout réécrire pour que l’histoire se déroule sur l’île... Avec, Serge Lamadie, l’un des scénaristes, nous avons donc imaginé ce film, où toutes les couleurs, les sensibilités et les cultures se mêlent, en y injectant aussi plus de comédie."

    Le film aborde un sujet cher à Gérard Jugnot : la transmission, cette idée d’un type qui ne va pas bien donnant une leçon de vie à un gamin et qui en prend une en retour.

    Synopsis:

    Dans un village de La Réunion, Nelson, 10 ans, rêve de devenir un grand chanteur et ainsi rendre fière sa mère qui l’élève seule. Après avoir postulé à l’émission télévisée Star Kids avec l’aide de ses amis Mia et Zizou, ils décident de trouver un coach pour préparer son concours. Par chance, Pierre Leroy, chanteur célèbre à la carrière en berne, est en tournée sur l’île. Mais le courant passe difficilement entre Pierre, solitaire et désenchanté, et Nelson fier et obstiné. Leur seul point commun, l’amour du chant. Sera-t-il assez fort pour les rapprocher ? Assez fort pour que Nelson renoue avec sa mère et que Pierre retrouve l’envie de ses débuts ?

    Un épisode monté et mixé par Les Productions du 26.

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    Mois spécial Sidney Lumet - Le Grand Bilan

    Mois spécial Sidney Lumet - Le Grand Bilan

    "Le podcast des Réfracteurs" est un podcast du label Audioactif


    Dernier tour de piste pour notre rétrospective Sidney Lumet. Avant de refermer le chapitre, Grey Pigeon et Spike égraine les films du cinéaste un par un, et tente de se livrer à l'exercice de la Tierlist, selon un barème que nous envie le monde. Bonne humeur, détente, mais aussi observations fines sont au rendez-vous, pour conclure ce cycle. Une émission idéale si vous voulez vous pencher sur la carrière du réalisateur sans savoir où commencer. N'oubliez pas que TOUS les films de cinéma évoqués dans le podcast ont été disséqués  sur notre site, si vous souhaitez en savoir plus. Un grand merci à Faye, Charlotte, Sophie, Grey, Toine, XP et Spike d'avoir mené cette odyssée Lumet


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    Spielfilmen #24: George Miller 2006-2015 (Happy Feet, 2006; Happy Feet 2, 2011; Mad Max: Fury Road, 2015)

    Spielfilmen #24: George Miller 2006-2015 (Happy Feet, 2006; Happy Feet 2, 2011; Mad Max: Fury Road, 2015)
    Achtung, Spoiler: Auch in dieser letzten Folge zur Filmographie von Starregisseur George Miller gibt es viel Lob für sein Schaffen. Dabei macht es uns insbesondere der höchst merkwürdige Happy Feet (2006) schwer, unbefangen euphorisch zu sein, wirkt er doch zusammengeflickt wie das Frankensteins Monster unter den CGI-Animationsfilmen. Sehr viel gelungener ist das Sequel Happy Feet 2 (2011), mit dem Miller & Co. zwar eine finanzielle Bruchlandung erlitt, dafür aber ein maximal breites Strahlen auf unser Gesicht - und das von Lohmi Junior - zaubert. Nicht nur, weil die Pinguine endlich richtig fluffig aussehen. Und was gibt es eigentlich noch über das Mega-Meisterwerk Mad Max: Fury Road (2015) zu sagen außer "What the F-- Wow! Woah!" und dergleichen? Hmm, da wäre vielleicht noch was-- Aber hört selbst!

    Spielfilmen #22: George Miller 1979-1985 (Mad Max, Mad Max II - Der Vollstrecker, Mad Max: Jenseits der Donnerkuppel)

    Spielfilmen #22: George Miller 1979-1985 (Mad Max, Mad Max II - Der Vollstrecker, Mad Max: Jenseits der Donnerkuppel)
    Die frühe Karriere des australischen Blockbuster-Exilanten liest sich, als hätte er sein gesamtes Leben auf eine Laufbahn als Großmeister des Actionkinos hingearbeitet. Gleich mit Mad Max (1979) pulverisierte er die gemäßigte Erwartungshaltung an das, was ein kleiner, unabhängig produzierter Carploitation-Film so alles leisten kann. Und das wahnwitzige und heiß geliebte Sequel Mad Max 2 - Der Vollstrecker (The Road Warrior, 1981) öffnete ihm auch in Hollywood Tür und Tor. Nicht zuletzt diejenigen von Steven Spielberg und John Landis, zu deren Episodenfilm Unheimliche Schattenlichter (Twilight Zone: The Movie, 1983) er die gelungenste Gesichte beitragen durfte. Aber wie sollte er dies alles noch toppen? Sollte er nicht. Aber ist Mad Max - Jenseits der Donnerkuppel (1985) tatsächlich nur eine große Mittelmäßigkeit in seinem bis dato herausragenden Schaffen oder gar ein verkanntes Meisterstück? Dennis und Patrick versuchen sich an Antworten, die ihnen der Film selbst nicht bietet.

    George Miller - Teil 1 (1979-1985)

    George Miller - Teil 1 (1979-1985)
    Die frühe Karriere des australischen Blockbuster-Exilanten liest sich, als hätte er sein gesamtes Leben auf eine Laufbahn als Großmeister des Actionkinos hingearbeitet. Gleich mit Mad Max (1979) pulverisierte er die gemäßigte Erwartungshaltung an das, was ein kleiner, unabhängig produzierter Carploitation-Film so alles leisten kann. Und das wahnwitzige und heiß geliebte Sequel Mad Max 2 - Der Vollstrecker (The Road Warrior, 1981) öffnete ihm auch in Hollywood Tür und Tor. Nicht zuletzt diejenigen von Steven Spielberg und John Landis, zu deren Episodenfilm Unheimliche Schattenlichter (Twilight Zone: The Movie, 1983) er die gelungenste Gesichte beitragen durfte. Aber wie sollte er dies alles noch toppen? Sollte er nicht. Aber ist Mad Max - Jenseits der Donnerkuppel (1985) tatsächlich nur eine große Mittelmäßigkeit in seinem bis dato herausragenden Schaffen oder gar ein verkanntes Meisterstück? Dennis und Patrick versuchen sich an Antworten, die ihnen der Film selbst nicht bietet.

    Spielfilmen #18: Peter Weir 1989-1993

    Spielfilmen #18: Peter Weir 1989-1993
    Wer hätte das kommen sehen? Dennis vielleicht. Patrick bestimmt. So oder so zeigen sich die beiden Co-Hosts besonders erfreut über gerade den Titel im heutigen Filmtriumvirat, von dem die meisten Hörer*innen möglicherweise am wenigsten erwarten. Ob es sich dabei um den zeitlos soliden Crowdpleaser DER CLUB DER TOTEN DICHTER (DEAD POETS SOCIETY, 1989), die zuckersüße Rom-com GREEN CARD (1990) oder das packende Psychodrama FEARLESS - JENSEITS DER ANGST (1993) handelt, verraten euch die beiden Herren in dieser vorletzten Etappe durch das Werk von Aussie-Ausnahmeregisseur Peter Weir.

    Spielfilmen #16: Peter Weir 1977-1981

    Spielfilmen #16: Peter Weir 1977-1981
    Mit DIE LETZTE FLUT (THE LAST WAVE, 1977) schüttet Peter Weir sein Herz und filmisches Können aus und überfordert Dennis und Patrick beinahe mit einem idiosynkratischen Mix aus phantasmagorischen Bildern, Sozialkritik und Melodrama. Dabei beginnt der Justizthriller mit Richard Chamberlain noch einigermaßen geradlinig, überrascht aber schnell mit einer Merkwürdigkeit nach der anderen. Mental aus der Puste stürzen sich die beiden Co-Hosts anschließend auf den Fernsehfilm WENN DER KLEMPNER KOMMT (THE PLUMBER, 1979), der ihnen knapp 80 Minuten Spaß durch sehr viel oberflächlichere Freuden bereitet. Die Kirsche auf der Sahne des Podcast-Menüs aber ist GALLIPOLI (1981), der den australischen Regisseur auf der Höhe seines künstlerischen Könnens zeigt und dabei auch noch großen Herzschmerz mit Mel Gibson in einer seiner frühesten wie besten Rollen bietet. Wenn Patrick nicht über Filmographien spricht, co-moderiert und produziert er Bahnhofskino. Hört seinen Podcast bei iTunes, Spotify, TuneIn, Stitcher, Deezer und überall, wo es etwas auf die Ohren gibt. Patricks Buch Columbo, Columbo ist ab sofort überall im Handel erhältlich. Dennis und seinen Co-Hosts lauscht ihr bevorzug im Lichtspielcast. Diesen findet ihr bei Kinofilme.com, iTunes und in den meisten gängigen Podcatchern. Outro Musik: "Amazing Plan (distressed)" Kevin MacLeod (incompetech.com) Licensed under Creative Commons: By Attribution 4.0 License http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
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