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Compositrice, metteuse en scène et musicienne, Maguelone Vidal crée des spectacles vivants hybrides et interdisciplinaires. Pour sa nouvelle création « Liber », à retrouver le jeudi 18 septembre au Théâtre de Nîmes, elle munit la danseuse Hanna Hedman de capteurs à même la peau reliés à des machines, ce qui engendre une musique, qu’elle orchestre avec deux instrumentistes en live. Si ses gestes et son souffle génèrent du son, la musique naît aussi de son flux sanguin, et même du codage de son ADN. Le corps en mouvement devient la cible d’une harpiste électronique et d’un percussionniste.

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Le nom de cette rue, ancien chemin de Nîmes au Mas de Ville, aiguise la curiosité. Partant de la rue Sainte- Perpétue pour déboucher boulevard Salvador Allende, elle est située dans un quartier pavillonnaire où bruisse la jeunesse qui fréquente les nombreux établissements scolaires voisins.

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Après un passage remarqué sur le parvis des Arènes en 2019, à l’occasion de la Feria des Vendanges, le duo Synapson, composé d’Alexandre Chiere et de Paul Cucuron, revient à Nîmes le vendredi 22 octobre pour présenter ses nouveaux morceaux en live, à Paloma. Les deux DJs naviguent depuis près de 20 ans entre électro moderne, pop et musiques
du monde. Ils se sont fait connaitre du grand public en 2014, deux ans après la sortie de leur premier album, grâce au tube « Djon Maya Maï ». 

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Cette rue, à la pente raide, rejoint le Chemin du Mas-de-Balan à la place de la Révolution. Au fil du temps et malgré sa proximité avec le centre-ville, elle a conservé son allure de chemin de garrigue. Le quartier, dit des Bénédictins, a été sujet à de nombreuses
fouilles archéologiques. 

La rue correspond à l’un des anciens passages menant vers Alès et Anduze. Aux XVIIIème et XIXème siècles, les fabricants et artisans du textile cévenol arrivaient à Nîmes par ce chemin. Dans sa partie supérieure, la rue Rouget de l'Isle est restée largement agricole au XIXe siècle, mais on voit alors s'y développer des mazets au sein de jardins. Cependant, il faut attendre les années 1920-1930 pour qu'on puisse parler d'une véritable urbanisation de la partie supérieure de la rue, une urbanisation qui continue de faire la part belle aux jardins. La rue allie le charme de la garrigue à la proximité du centre-ville, elle a gardé son tracé légèrement tortueux, la roche affleure toujours à la base des clôtures et on y retrouve une végétation d’amandiers et de cyprès.   

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Le quartier de Montaury est marqué par l’histoire de la ville. On y trouve des vestiges romains et la toile denim s’y fait une deuxième vie. Le Montaury culmine à 105m. Ce mont est considéré comme l’une sept collines de Nîmes. On ignore comme pour l’ensemble de la ville, ce qu’était la toponymie romaine. Au Moyen-Age, on trouve Mont Aureus et Porium Aureum. On a voulu voir dans cette appellation tantôt la couleur dorée grâce au soleil levant tantôt une colline particulièrement exposée au vent, l’aura. Aur indique aussi un relief, une hauteur bien qu’il puisse aussi évoquer l’eau, une source comme Font Aurelle ou Auroux et Chapeauroux. Sur la pente Est de la colline, trois tours romaines ont été retrouvées accolées aux remparts.

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Greg Delon est le fondateur et directeur artistique du label nîmois Way of House (WOH).

Il est aussi le président de l’association A-nimé, connue pour son festival éponyme.

DJ reconnu dans le monde de la musique électronique, le quadragénaire a sorti durant l'été 2021 un mini-album de 6 titres en format vinyle qui compte de nombreuses collaborations.

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Depuis les années 70 chaque Jeudi de l'Ascension ce sont plusieurs centaines de pieds-noirs venus de toute la France qui se retrouvent à Nîmes. Les Pieds-noirs y prient la vierge d'Oran ramenée en France dans les années 60, après l'indépendance de l'Algérie, dans le quartier du Mas de Mingue, où un sanctuaire a été reconstruit à l'identique.

Michel Perez nous raconte l'histoire de ce lieu.

Le Quartier d’Espagne s’étend de l’ancienne route d’Alès au chemin de la Cigale. Le chemin, du même nom, longe le Bois des Espeisses sur sa partie sud. L’appellation Quartier d’Espagne tire son origine de la Font d’Espagne, appelée aussi Font dei Chins (Fontaine des chiens). Les chasseurs y faisaient boire leurs chiens. Cette fontaine a disparu sous des travaux de terrassement dus à la grande expansion des résidences en garrigue depuis les années 1960. La question reste posée de savoir pourquoi cette fontaine est dite d’Espagne. Il est connu que d’autres fontaines portaient ce nom. Il en existait au moins une autre dans le Gard à Saint Julien de Peyrolas. Une autre théorie concerne la Porte d’Espagne, puisqu’à l’époque de Bernard Aton (vicomte d’Albi et de Nîmes de 1074 à 1129) autour de ce qui est devenu le Château de la Porte de France se constitue un fief. Les titulaires de ce fief ayant pris le nom d’Espagne, un terroir leur appartenant aurait pu porter leur nom, ainsi que la fontaine située sur ce terrain. 

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Le Festival de Nîmes accueille Kendji Girac le dimanche 4 juillet 2021. Rencontre exclusive avec le chanteur gitan préféré de français, habitué des Arènes de Nîmes.  

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L’inceste est malheureusement au cœur de l’actualité, la parole se libère et les réseaux sociaux facilitent les témoignages. La principale difficulté de l’inceste c’est justement le secret, le « poids de la famille » qui force la victime à ne pas témoigner. Le déni et la honte sont autant de barrières à la dénonciation. Pour les plus jeunes, le manque de mots et de savoir sur la question sont des limites évidentes.

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Rencontre avec l'artiste plasticienne connue pour avoir notamment réalisé la statut de Nimeño en face des Arènes de Nîmes. Elle a été choisie pour dessiner l’affiche des Férias de Nîmes en 2021. Si vous ne la connaissez pas encore, faisons les présentations.

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Rencontre avec le trio rap VSO composé de Pex, Vinsi et Alien. Ils ont sortis le 13 mars 2020 leur premier album Adrénaline. Après trois EP très remarqués et plusieurs scènes écumées partout en France, VSO compte bien mettre tout le monde d’accord avec ce nouveau disque.

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Retour au cœur des années 1970 avec Janis Joplin, légende du rock féminin, membre du club des 27, disparue trop tôt. En décembre 2021, l’artiste est mis à l’honneur avec le spectacle Janis au Théâtre l’Odéon. Une conférence et une projection font écho à l’événement. Rencontre avec Nora Granovsky de la compagnie BVZK et Alain Guyard, auteur-philosophe. 

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La 16e édition du festival Un réalisateur dans la ville s'est déroulé du 27 au 31 août avec des séances en plein air aux Jardins de la Fontaine. En 2020, c’est le réalisateur, scénariste et producteur Marc Esposito qui est mis à l’honneur.  Rencontre avec l'auteur de la saga Le Cœur des hommes. 

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Le 26 novembre 2020, Mathieu Bourdoiseau, 29 ans, a participé à la finale de la semaine de l’émission Objectif Top Chef sur M6. Cette émission, animée par le Chef Philippe Etchebest, est réservée aux apprentis cuisiniers et aux amateurs, elle permet aux gagnants de participer au concours « Top Chef ».

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Depuis 2013, les Goguettes poussent la chansonnette et reprennent de grands classiques de la musique dans des versions parodiques pleines d’humour. Fort de leurs 12 millions de vues sur YouTube, le groupe s’est fait connaître du grand public pendant le confinement avec sa reprise de Jacques Brel « T’as voulu voir le salon ». Il etait à retrouver en concert au Théâtre Christian Liger, à Nîmes, le vendredi 9 octobre 2020. Rencontre avec Clémence Monnier, membre du groupe.

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Le chorégraphe et co-fondateur du groupe Géométrie Variable a fait une apparition plus que remarquée dans le dernier clip de Shakira et Black Eyed Peas, qui comptabilise plus de 250 millions de vues sur la Toile. Retour sur l’ascension incroyable du danseur nîmois Sadeck, âgé de 32 ans.

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Elle part de la rue Enclos Rey et rejoint l’avenue Peladan et le quartier du Mont Duplan. Constituée en partie d’escaliers, elle était autrefois la rue des Moulins à Vent, nombreux sur cette colline. C’est un lieu chargé d’histoire et marqué par l’art sous toutes ses formes. La rue tient son nom de la proximité d'une poudrière construite au XVIIe siècle, lors des guerres de religion. À cette époque, le fort Rohan était construit sur le sommet du Puech. La poudrière a subsisté longtemps après la démolition de la fortification.

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Cette rue pénétrante va du Planas sur le boulevard Salvador Allende au centre-ville en rejoignant le boulevard Sergent Triaire. Elle traverse la zone humide du Creux des Canards. Le chemin de la Tour de l'Evêque, quant à lui, est dans son prolongement et longe à l'ouest le Parc George Besse jusqu'au Bois des Noyers. Avant la construction de l’autoroute, le chemin se poursuivait jusqu’au Chemin de Bachas à l’extrémité de la cité des Espagnols. L’origine de la « Tour de l’évêque » vient du Domaine du même nom situé entre le chemin et la route d’Arles, sur la rive droite du Petit Vistre, aujourd’hui transformé en habitations. La fameuse « Tour de l’évêque » semble avoir disparu depuis un bon nombre d’années et soulève des interrogations. La seule véritable trace qu’elle ait laissée est la dénomination de ce passage.

Jusqu’au XXe siècle «Agau», comme «aiga», désigne l’eau. C’est un terme répandu dans toute la région pour désigner un petit cours d’eau.Au temps des romains, un canal souterrain traversait les actuelles rue de l'Agau et Nationale. 

La source de cet aqueduc se situait au niveau des Jardins de la Fontaine . Des dalles en pierres recouvraient le sol, elles étaient munies de trous, pour permettre aux eaux usées de s’écouler jusqu’à la porte Auguste. Ce souterrain sera oublié pendant plusieurs siècles. Au Moyen-Âge, les cours d’eau sont à ciel ouvert et suivent les remparts qui entourent la ville, il y avait des moulins de part et d’autre, mais aussi dans la ville. À la Bouquerie, les eaux se divisaient en deux branches : l’une passant le long des murs, du côté de la Madeleine et des Récollets, allait arroser les jardins tout en remplissant les fossés de défense. Le cours d’eau mettait en mouvement de nombreux moulins à blé nécessaires à l’alimentation de la ville et placés hors des murs. L’autre portion des eaux formait les canaux de l’Agau (Aqualis) et avait pour principal but d’alimenter les lavoirs destinés à la teinture et de faire mouvoir à son tour des moulins à blé.

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