parcours de femme

Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Hayatte Maazouza, programme manager au sein de la fondation L’Oréal et membre du conseil d’administration de Génération France.

Hayatte a jusque-là connu une carrière vraiment inspirante et un parcours très éclectique. Elle a exercé dans l’associatif, la fonction publique, privée mais également dans le milieu philanthropique et en politique.

Dans cet épisode, Hayatte revient sur son enfance à Trappes au sein d’une famille d’origine marocaine très modeste où elle est l’unique fille d’une fratrie de quatre.

Elle relate le choc subi lors de son arrivée en prépa et en école de commerce notamment face au déterminisme social et au manque de mixité sociale dans ces milieux.

Hayatte évoque les raisons qui l’ont incité à suivre des études et des métiers engagés, ainsi que son moteur dans ses prises de décisions relatives à ses choix d’opportunités professionnelles.

Nous avons également abordé la question de son engagement politique et les circonstances qui l’ont conduit à être le bras droit de Benoit Hammon dans sa course à la présidentielle de 2017.

Enfin, Hayatte partage à cœur ouvert ses interrogations et ses prises de conscience sur la maternité, de la grossesse au post partum.

Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !    

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Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Emel Methlouthi, chanteuse, auteure-compositrice et productrice de musique. 

Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d’un manteau rouge, on l’a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C’est ainsi qu’Emel est devenue l’égérie chantante d’une révolution. 

Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz.  

Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l’ont incité à s’expatrier en France à l’âge de 25 ans. 

Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d’un côté le bonheur d’être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d’un autre le fait d’être coincée dans une case qui ne lui correspond pas. 

Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu’elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi des répercussions. 

Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité. 

Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Emel Mathlouthi. 

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Aujourd’hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Emel Methlouthi, chanteuse, auteure-compositrice et productrice de musique. 

Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d’un manteau rouge, on l’a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C’est ainsi qu’Emel est devenue l’égérie chantante d’une révolution. 

Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz.  

Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l’ont incité à s’expatrier en France à l’âge de 25 ans. 

Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d’un côté le bonheur d’être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d’un autre le fait d’être coincée dans une case qui ne lui correspond pas. 

Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu’elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi de ses répercussions. 

Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité. 

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Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Samah Karaki, docteure en
neuroscience, fondatrice du « Social Brain Institute » et autrice du livre « Le talent est une fiction ». 

Née au Liban en pleine guerre civile, Samah grandit au sein d’une famille au sens large où
cousins, tantes et voisins sont très présents. Du fait de leur précarité, elle mène une vie de nomade et déménage vingt-et-une fois avec ses parents. Cela ne l’empêche pas malgré tout de baigner dans un océan d’amour. 

Samah nous raconte comment le hasard de la vie et sa rencontre avec Carla, une de ses
professeures, changera à jamais le cours de sa vie. Carla la supporte et l’encourage à s’expatrier en France à l'âge de 23 ans pour y finir ses études. 

Elle revient sur son arrivée en France et évoque ce sentiment nouveau d’enfin se sentir quelque part chez soi. 

Nous avons discuté du sexisme dans le milieu scientifique et du mythe de la méritocratie. Samah décortique le syndrome de l’imposteur et décrypte ce que le boom du développement
personnel dit de notre société actuelle. 

Samah ne tombe pas du tout dans l´illusion biographique et retrace sa vie sans filtre. Elle évoque des sujets qu'elle n'a jusque-là jamais partagés publiquement et je la remercie
infiniment pour sa confiance. 

Un épisode très riche qui a suscité chez moi beaucoup de réflexions. 

Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Samah Karaki.  

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L'invitée de ce nouvel épisode du podcast 9addat est une battante comme en fait plus. Soucieuse de liberté et de justice, elle s'est engagée dès son plus jeune âge pour la démocratie. D'abord détenue et torturée pendant les années de plomb, elle décide de dédier sa vie après la prison à l'action militante et retourne aux centres pénitenciers, cette fois pour venir en aide aux prisonniers, et particulièrement aux femmes dans cette condition.

Dans cet épisode, Fatna nous parla de comment l'approche genre a été un nouveau paradigme fondamental récemment intégrée dans la réflexion et action militante et des enseignements qu'elle a tirés de ces différentes expériences. Comme par exemple : l'importance d'intégrer les lieux de décisions pour amener le changement ou encore le rôle important de l'écriture comme un outil de constitution et de préservation de la mémoire. C'est d'ailleurs, une belle rencontre avec la défunte Fatima Mernissi qui amena Fatna El Bouih à écrire ses propres mémoires. Elle nous en parle.

Bonne écoute 🎧

Pour ces deux prochains épisodes, j'ai reçu la talentueuse Nina Bruneau, connue également sur les réseaux sociaux sous le pseudo Gribouilleuse cosmique. Dans cette première partie d'interview, elle nous raconte le passé qui l'a amenée, aujourd'hui, à devenir auteure et illustratrice dans la littérature jeunesse. 

Elle qui voulait à la base faire carrière dans la danse, son destin fut totalement chamboulé à l'âge de 26 ans où elle tombe gravement malade et échappe de peu à la mort. Déclarée invalide, elle se retrouve contrainte à abandonner son ambition de devenir professeure de danse. Outre, ses problèmes de santé, elle nous fait part aussi des relations sentimentales pas très saines qu'elle a connu plus jeune encore, et qui l'ont parfois mis en grand danger. 

Mais une chose est sûre, Nina est une artiste dans l'âme. Et l'art, c'est ce qui lui permet de se sentir vivante, c'est ce qui la nourrit. Alors, ne pouvant plus danser, elle trouve une alternative pour s'y reconnecter : le dessin. Comme Frida Kahlo, elle utilise la peinture pour extérioriser ses émotions et retrouver sa joie de vivre. 

L'art est comme une thérapie et c'est ce qui lui permet de dépasser ses souffrances. Certifiée en Art thérapie, c'est d'ailleurs ce qu'elle transmet dans des séances qu'elle dispense. En plus de ça, elle écrit et illustre des livres, elle dessine en collaboration pour des marques, elle fait des interventions dans les écoles et elle a récemment créé sa propre maison d'édition "Maison Lison".

Son parcours est absolument admirable. Je suis ravie de vous le partager, car Nina nous prouve que l'on peut donner vie à ses rêves et qu'on peut se créer une belle vie malgré tous les obstacles que l'on peut traverser. Sa recette magique : se raccrocher à ce qui nous fait vibrer !

Bonne écoute 🎧

Retrouvez l'univers coloré de Nina Bruneau sur :

Son site internet : https://www.ninagribouille.com

Instagram : https://www.instagram.com/gribouilleuse.cosmique

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Marine : Partage son histoire de femme enceinte avec une pathologie encore trop peu connu.

On a souvent tendance à dire que les grossesses ne se ressemblent pas !

Toutefois, pour Marine, l’aventure de la grossesse fut bien différente. Vu qu’à trois reprises Marine a souffert d’hyperémèse gravidique. « Hein quoi, qu’est que quoi ? » Vous êtes en train de vous dire.

Oui, l’hyperémèse gravidique est une pathologie, qui provoque de nombreux et violents vomissements chez la femme enceinte. Cela concerne environ 1 % à 2 % des femmes enceintes.

Marine aime raconter qu’elle possède un point commun avec Kate Middleton : 3 grossesses avec une l’hyperémèse gravidique.

Bel écoute.

"Matdwich  m3aya, ndir lli bghayt !" si vous avez déjà entendu cette phrase, c'est  que vous connaissez déjà Mounia Magueri ou du moins sans personnage  haut en couleur Chakib Ousfour que les marocain.e.s ont découvert sur Youtube en 2011. Mounia nous parle des coulisses de sa création et de son étonnement face à l'évolution de l'usage de cette plateforme. 

Pour l'épisode 22, nous nous sommes  entretenus avec la femme derrière l'actrice et découvert également son  engagement associatif auprès des femmes migrantes et victimes de  violences.
Mounia nous parle de son enfance en tant que fille adoptée, des complications de sa première grossesse et de la nécessité de savoir se libérer du poids du passé et de composer avec son histoire.

En échangeant avec Mounia, nous avons pu  percevoir son sens de la justice et sa définition du féminisme. Des convictions fortes qui animent et guident ses actions.

Comme vous  allez le découvrir, cette conversation a aussi permis d'évoquer la  question des différences culturelles entre la France et le Maroc, des  discriminations raciales ou encore de l'attachement à la darija comme  partie intégrante de l'identité marocaine.

Bonne écoute !

Docteure et enseignante en droit, Sabah Chraibi est présidente de l’association ESPOD - Espace point de départ, qui promeut les entreprises fondées par des femmes. 

Dans cet épisode, Sabah nous explique les différents leviers actionnés par son organisme pour accompagner le travail du terrain et les plaidoyers pour une meilleure intégration économique des femmes au Maroc. 

Nous avons également discuté de son parcours en évoquant notamment sa période à l'étranger et le rôle primordial qu’a pu jouer le soutien de son mari pour la poursuite de ses études.  

Aida Hachad est pharmacienne, mère de deux enfants et militante des droits de l'Homme. Dans cet épisode, elle nous parle d'une période particulière dans sa vie et celle du Maroc, celle des années de plomb. Pendant 19 ans, Aida a été séparée de son mari qui a été placé dans la prison secrète de Tazmamart, après le "coup d'Etat" des aviateurs survenu contre le régime de Hassan II, le 16 août 1972.

Dans cet épisode, elle nous raconte, non sans émotions, ses souvenirs de cette période, les conséquences de cette arrestation sur sa famille et les secrets de sa résilience.