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    Episodes (100)

    Épisode 1 : C'est quoi le patrimoine - Campus PatMat x De l'or dans les mains

    Épisode 1 :  C'est quoi le patrimoine - Campus PatMat x De l'or dans les mains

    C'est le premier épisode de notre saison de podcast De l'or dans les mains et le Campus PatMat !


    C’est quoi au juste, le patrimoine ? Une château ? Une église ? Un savoir-faire ? Un geste ? Une technique ? Comme celle du tailleur de pierre qui nervure une pierre ou du menuisier qui rabote une porte de chêne ?


    Aujourd’hui, nous sommes à Mosnes, un village en Touraine de 800 habitants qui organise avec le Campus d'excellence PatMAT la 3ème édition des « rencontres des savoir-faire ». On peut y croiser des artisans et des artisanes, des jeunes en formation et leurs enseignants. 


    J’y ai rendez-vous avec Jean-Louis Sureau, président de ce Campus. Mais avant, je vous emmène avec moi pour tendre le micro aux apprenants, aux enseignants et aux professionnels afin de leur demander leur définition du patrimoine. 


    Montage : Malo de Saint Venant 

    Ecriture : Gabrielle Légeret

    Bande-annonce - le podcast Campus PatMat x De l'or dans les mains

    Bande-annonce - le podcast Campus PatMat x De l'or dans les mains

    Vous connaissez les Campus des métiers et des qualifications ? C’est un label décerné par l’État qui permet d’identifier, à l’échelle d’un territoire, un réseau d’acteurs qui développe des actions sur l'attractivité des métiers, la montée en compétences et l'insertion professionnelle des apprenants autour d'une filière.


    En Centre Val de Loire, le Campus des métiers et des qualifications d’excellence Patrimoines, Métiers d’Art et Tourisme, PatMAT pour les intimes, concerne aujourd’hui plus de 200 formations. 


    Ensemble, nous avons décidé de vous faire découvrir les métiers qui contribuent  au rayonnement des patrimoines en Centre-Val de Loire, à travers une série de 20 épisodes. Partez à la rencontre des professionnels, enseignants et apprenants qui font vivre ces savoir-faire.


    Voix : Jean-Louis Surreau, Gabrielle Légeret

    Ecriture : Gabrielle Légeret, Charlotte Fuchs

    Montage : Malo Gueny


    Dominique Eury, sculpteur de pâte à pain

    Dominique Eury, sculpteur de pâte à pain

    Comment définir une belle pâte à pain ? Par la couleur ? Par l’odeur ? Par le bruit de son sifflement lorsqu’elle est au four ? Ce sont toutes ces questions que nous avons posé à Dominique qui est boulanger depuis plus de quarante ans. 


    Pour lui, c’est l’heure de passer la main, alors nous avons parlé de transmission, du quotidien d’entrepreneur de savoir-faire et de formation. 


    Rendez-vous sur toutes les plateformes audio (Deezer, Apple podcast, Spotify, Amazon music…) pour écouter le deuxième épisode de notre podcast conçu par De l'or dans les mains  et la Chambre de métiers et de l'artisanat d'Îme-de-France pour faire entendre aux jeunes les voix des métiers de l’artisanat.


    Musique : Oscar Meurer

    Montage : Justine Monti et Malo de Saint Venant

    Voix : Gabrielle Légeret

    Bruno Desbois, cordonnier des temps modernes

    Bruno Desbois, cordonnier des temps modernes

    « Comment on transmet ? Par le geste, par la vue, le bruit, par les quatre sens qui permettent de comprendre, de maîtriser et de reproduire un savoir-faire » Ce sont les 4 sens qui permettent de comprendre et de reproduire »


    « On aura toujours des anciens qui nous diront ''c’était mieux avant'' mais moi je crois qu’il faut faire sa propre expérience. Nous sommes sur des métiers d’avenirs. On aura toujours besoin des gens pour réparer nos chaussures, car on marchera toujours ! » 


    Ce matin, on vous donne rendez-vous sur toutes les plateformes audio (Deezer, Apple podcast, Spotify, Amazon music…) pour écouter le premier épisode de notre podcast conçu par De l’or dans les mains et la Chambre des métiers et de l’artisanat Île de France qui s’associent pour faire entendre aux jeunes les voix des métiers de l’artisanat.


    Bruno est cordonnier. Après s’être formé chez les compagnons, il a repris un ancien atelier de cordonnier dans le XIXème arrondissement de Paris : Atelier des bois. On le retrouve dans son atelier pour qu’il nous raconte son métier, son histoire et son expérience de la transmission.


    Montage : Malo de Saint Venant et Justine Monti

    Voix et écriture : Gabrielle Légeret

    Musique : Oscar Meurer

    Les Mains à l'Ouvrage - le podcast de l'exposition

    Les Mains à l'Ouvrage - le podcast de l'exposition

    Et si nous changions de regard sur les métiers manuels ? Depuis plus d’un an, l’association De l’or dans les mains arpente des manufactures et des ateliers. L’objectif ? Donner enfin la parole à celles et ceux qui transforment la matière grâce à des savoir-faire transmis de génération en génération. Notre action est double : faire entendre les voix de ces artisans et producteurs à travers un podcast et organiser avec eux des ateliers afin de sensibiliser les écoliers, collégiens et lycéens, aux métiers de la main. 

     

    L'exposition Les Mains à l'Ouvrage, dont vous écoutez le podcast, est une selection des photographies de Malo de Saint Venant parmi les milliers de clichés qu’elle a produit depuis le début de nos itinérances dans les ateliers. Fermez les yeux et ouvrez vos coeurs : vous y entendrez les voix et les gestes de celles et ceux que nous avons photographié.

    Les poires tapées de Rivarennes

    Les poires tapées de Rivarennes

    Avez-vous déjà entendu parler de la poire tapée ? C’est une spécialité tourangelle ! Dans le village de Rivarennes, les reines de Touraine font un carton depuis des années. Les pommes et les poires sont épluchées, posées sur des claies, placées pendant plusieurs jours dans des fours chauffés au bois puis aplaties grâce à la platissoire avant d’être placées en chambre de chauffe. 

    C'est le neuvième épisode de notre série consacrée aux savoir-faire du territoire avec la Région Centre-Val de Loire.

    Vincent Crosnier, nouvelle génération d'agriculteur-brasseur

    Vincent Crosnier, nouvelle génération d'agriculteur-brasseur

    Prendre soin de la terre. C’est le crédo de Vincent Crosnier qui est agriculteur depuis plusieurs générations mais aussi brasseur. De l’orge et du houblon qu’il fait pousser dans ses champs, il en fait de la bière.  Mais comment est-ce qu’on devient brasseur ? Chez Vincent tout a commencé dans une étable d’ouvrir un vrai laboratoire. Allez, je vous emmène le rencontrer à Sours, un petit village à quelques kilomètres de Chartres. 

    L'huile de noix du moulin de Pesselières

    L'huile de noix du moulin de Pesselières

    Dans le village de Jalognes, en campagne berrichonne, Annie et Joachim se sont installés au Moulin de Pesselières. Ils y produisent de l’huile de noix et de noisettes de façon artisanale. Comment ? Ils broient les oléagineux, ils les torréfient et en extraient l’huile de façon mécanique.  


    Pour vous ouvrir l’appétit, retrouvez ce septième épisode de notre série consacrée aux savoir-faire du territoire avec la région Centre-val de Loire. On vous fait découvrir l’histoire du moulin de Pesselières. 

    #Expert(e)s - Sauver des savoir-faire d'exception de la décoration et de l'ameublement avec Martin Pietri

    #Expert(e)s - Sauver des savoir-faire d'exception de la décoration et de l'ameublement avec Martin Pietri

    Comment sauver des métiers rares ? C’est la question que j’ai eu envie de poser à Martin Pietri, fondateur de Manufacture Emblem, un petit groupe, une ombrelle comme il aime le dire, qui rassemble 4 maisons qui possèdent des savoir-faire d’exception dans le secteur de la décoration et de l’ameublement : la Maison Taillardat spécialiste de meubles de style du 18ème siècle, les Emaux de Longwy, Vernaz et filles spécialisée dans la dorure à la feuille d'or et les ateliers d’ébenistes Craman-Lagarde. Avec une dizaine de savoir-faire par maisons, Martin est un passeur. Il a réussi à structurer un véritable écosystème pour pallier leurs fragilités et assurer la préservation de ces savoir-faire, pour la prochaine génération. Au 122 rue de Grenelle à Paris, je le retrouve dans le showroom d’Emblem. Un lieu extraordinaire qui rassemble les plus belles pièces de ses maisons. 

    Romain Daloux, coutelier

    Romain Daloux, coutelier

    Dans le petit village de Jalognes, situé dans la campagne berrichonne, Romain a retapé une longère et a installé son atelier de forgeron-coutelier dans la grange mitoyenne. 


    Le métier de forgeon-coutelier pour lui, c’est une deuxième vie. Celle d’une reconversion.  


    Sous la chaleur de l’été, et du feu, il fait plier et danser le métal qui se métamorphose. On installe deux chaises entre sa forge et son établi, et je luis tends le micro pour qu’il nous raconte son histoire !


    Pour ce sixième épisode de notre série consacrée aux savoir-faire du territoire en partenariat avec la région Centre-Val de Loire, on vous emmène écouter l'histoire de Romain.

    Lydwine Le Galludec & la marqueterie

    Lydwine Le Galludec & la marqueterie

    Au  coeur de Chartres, il faut traverser un petit pont qui enjambe l'Eure, à côté de la collégiale Saint André, pour se rendre dans l'atelier de marqueterie de Lydwine.


    Vous le savez, vous, ce que c'est la marqueterie ? C'est  un savoir-faire extraordinaire : celui d'ornementer des supports par l'assemblage de placages de différentes matières : bois, nacre, os, écaille de tortue, galuchat, étain, argent, laiton, cuivre.  


    Lydwine a eu un coup de coeur pour cet art lors de ses études à l'écoleBoule. « Le côté minutieux et la richesse dans la matière, ce décor m’a interpelé. » 


    Dans cet épisode, réalisé avec le soutien de la Région Centre-Val de Loire, elle nous raconte son histoire et son savoir-faire, pour vous le faire découvrir et qui sait, susciter des vocations !  

    Pascal Rieu, l'artisan du vitrail

    Pascal Rieu, l'artisan du vitrail

    Dans son atelier, Pascal Rieu travaille le verre. Il n’est pas verrier mais vitrailliste. Il conçoit le motif du vitrail, puis il le dessine, le peint et, enfin, il assemble le vitrail final. Toutes ces étapes demandent du temps. Du temps, Pascal aime en prendre pour réfléchir, créer et travailler. Pour le quatrième épisode de notre série consacrée aux savoir-faire du territoire en région Centre-Val de Loire, on vous emmène à la rencontre de pascal, l'artisan du vitrail, à Tours. 


    Un épisode De l'or dans les mains avec le soutien de la Région Centre-Val de Loire  

    Rediffusion du Tour de France : Velcorex & Emanuel Lang, la renaissance d'une filière textile

    Rediffusion du Tour de France : Velcorex & Emanuel Lang, la renaissance d'une filière textile

    C'est l'épisode que tous les politiques devraient écouter ! Pierre Schmitt est un industriel qu'on voucrait cloner. À l'heure où personne n'y croyait, il a repris Velcorex, dernière entreprise de velours mise en liquidation, et restructuré la filière du lin avec Emanuel Lang. "J’ai voulu prouver qu’on pouvait reconstruire une vraie filière textile. J’ai voulu montrer que ces délocalisation n’étaient pas une fatalité, et qu’avec du courage et de la volonté, nous pouvions reconstruire une vraie filière textile." 

    Rediffusion du Tour de France : La Rochère, verrerie depuis 1475

    Rediffusion du Tour de France : La Rochère, verrerie depuis 1475

    Ce matin, nous nous nous rendons à Passavant-la-Rochère, une petite commune rurale feutrée contre le massif des Vosges. Ici, se trouve la plus vieille verrerie d’Europe encore en activité : la manufacture de La Rochère. 

     

    Implantée au bord de l’eau, sa cheminée rouge vermillon ne fument plus, mais ses toits rouges la distingue du vert des arbres de la forêt. Depuis 1475, la manufacture de La Rochère souffle le verre pour lui donner corps.  

     

    Cinq siècles plus tard, on y fabrique toujours le verre à la bouche mais aussi des tuiles et des pavés de verre alliant rigueur du geste, héritage d’un savoir-faire et innovation perpétuelle. Les souffleurs sont comme les danseurs d’un baller : ils se passent les objects qui sortent des braises pour les sculpter, les enssabler et les couper. À côté, les machines à fabriquer les verres industriels ressemblent à des copies mécanique de ce grand baller de verres.

     

    Gilles Ambs qui a pris le poste de président, travaillait à la verrerie depuis 33 ans. Je le retrouve au cœur de la manufacture. 


    Un épisode De l'or dans les mains, en partenariat avec Terre & fils

    Rediffusion du Tour de France : Toiles de Mayenne

    Rediffusion du Tour de France : Toiles de Mayenne

    Ce matin, nous nous rendons à Fontaine-Daniel, en Mayenne, un petit village ouvrier en pleine forêt né de l’activité textile de Toiles de Mayenne. Les bâtiments manufacturiers sont faits des mêmes pierres grises et ocre que les maisons aux petits carreaux blancs et que les immeubles. La petite fontaine de la place a longtemps fourni en eau les habitants du village.

     

    C’est ici, au bord d’un grand étang créé par les moines pour faire tourner le moulin monastique, que s’est implanté la manufacture de Toiles de Mayenne. À l’origine, il n’y avait qu’une abbaye cistercienne désertée depuis la révolution. Vendue comme bien national en 1796, l’abbaye est devenue en 1806 la propriété d’industriels parisiens du textile. La force motrice de l’eau, les vastes locaux de l’abbaye et la main-d’œuvre locale de qualité étaient autant d’avantages pour lancer une première filature. Puis un atelier. En 1809 le nombre de métiers à tisser à navette volante est de 325. Il faut construire des logements pour les travailleurs. C’est l’implantation de cette manufacture qui a fait naître autour d’elle ce petit village ouvrier.

     

    Deux cents ans plus tard, la fabrication est toujours 100% française et locale. Grâce à de petits effectifs, pas d’intermédiaire, la maîtrise de toute la chaîne de production et de confection, est assurée.

     

    Sept générations de la famille Denis se sont succédées quand en 2018 Clotilde Boutrole et Jérome Couasnon reprennent Toiles de Mayenne pour redonner vie à cette vieille dame. C’est au cœur de la forêt, dans un des bâtiments où les machines à coudre donnent le rythme, que je les retrouve, pour qu’ils nous racontent cette aventure pour faire perdurer un savoir-faire.

    Rediffusion du Tour de France : la voilerie Burgaud à Noirmoutier

    Rediffusion du Tour de France  : la voilerie Burgaud à Noirmoutier

    Au port de Noirmoutier, les bateaux sont alignés en rang d’oignon en attendant le printemps pour reprendre le large. Les voiles qui l’été dansent et se gonflent aux grés du vent comme de grands draps blancs, sont rangées dans l’atelier de la voilerie Burgaud où tronennt les voiles du Belem et de l’Hermione.

     

    Chez Burgaud, maison de voiles depuis 1910, les voiles y sont découpées, cousues, recousues, reconsolidées ou réparées. Les doigts d’Alexia, ancienne cordonnière, s’agitent minutieusement pour coudre les renforts de vieilles voiles confiées à l’atelier pour être hissées sur le bateau de leur propriétaire au printemps. Et parfois, il s’agit de centaines de m2 de voiles. En lin. En coton. En synthétique. 

     

    La voilerie Burgaud est un de ces extraordinaires joyaux qui gravitent autour des bateaux de l’île. On y fabrique des voiles mais 

    Et c’est une belle histoire de famille. Delphine vient de reprendre les rênes auprès de son père Jean-Pierre. Je les retrouve au cœur la voilerie depuis laquelle on peut deviner, au loin, les marais salants. 

    Rediffusion du Tour de France : l'espadrille en famille chez Prodiso

    Rediffusion du Tour de France : l'espadrille en famille chez Prodiso

    Il y a des objets qui ont une odeur d’été. Comme ces petites chaussures de corde et de toile de jute que l’on aime à trainer dans le sable. Crème, bleues, oranges,  vertes, rouges, vermillon, jaunes d’or, rayées, unies, Ces chaussures qui remonteraient au moins au XIIème siècle. On raconte que les soldats du Roi d’Aragon en portaient.

     

    L’espadrille a d’intéressant que c’est un objet qui a traversé les âges, qui a su se démocratiser et sans cesse se renouveler : au XIXème siècle, c’est la chaussure de l’ouvrier et du paysan, dans les années 60 Yves Saint Laurent est le premier à l’introduire dans l’univers de la haute couture et aujourd’hui, elle est aux pieds des petits comme des grands.

     

    Si leur fabrication artisanale est d’origine basque, sa production s’est industrialisée dans les années 2000. Mais à Mauléon, petite commune du Pays basque, les espadrilles sont encore cousues.  Notamment chez Prodiso, une petite entreprise familiale où le savoir-faire se transmet de génération en génération, pour fournir des clients jusqu’au Japon.

     

    Je retrouve, dans leur atelier, Jean-Pierre, Sandrine et Alex, trois générations qui oeuvrent à la préservation et au renouvellement de ce savoir-faire.

    Rediffusion du Tour de France : la ganterie Maison Fabre

    Rediffusion du Tour de France : la ganterie Maison Fabre

    Il y a des endroits qui ont une âme. À Millau, sous-préfecture de l’Aveyron, il est un savoir-faire qui se transmet précieusement, de génération en génération : celui de la ganterie. Et pendant longtemps, la ville de Millau a été celle des savoir-faire des gantiers. On l’appelle d’ailleurs la cité du gant. 

     

    La Maison Fabre est un des joyaux de cet extraordinaire savoir-faire. Leurs gants ont d’ailleurs marqué l’histoire : ce sont des gants Fabre que Grace Kelly portait à son mariage en 1956, mais aussi Jean-Louis Trintignant dans Un homme et une femme, Louis de Funès dans La Folie des Grandeurs, Steve McQueen dans L‘Affaire Thomas Crown, ou plus récemment, Emily in Paris

     

    Arrière-petit-fils d’Etienne Fabre le fondateur de cette ganterie, Olivier Fabre est la quatrième génération à perpétuer ce savoir-faire. Et qu’on se le dise : Olivier dépote ! Parce que pour faire vivre cette maison, il faut l’adapter à son temps. Un temps où l’on ne porte plus des gants comme au XIXe. Avec talent et perseverance, Olivier innove, transmet, défend et fait aimer le monde de la ganterie. Un monde qui sollicite toute une filière, du berger à la couturière. Je le retrouve dans l'atelier !

    Rediffusion du Tour de France : la savonnerie Marius-Fabre

    Rediffusion du Tour de France : la savonnerie Marius-Fabre

    Des odeurs de Provence. Celle des champs d’olivier et du savon de Marseille. Mais est-ce que vous savez comment on fabrique le savon de Marseille ? Avec de l’huile végétale, du sel, de la soude et de l’eau. Mais attention, le vrai savon de marseille est devenu rare. On vous emmène à Salon-de-Provence chez Marius Fabre, savonniers depuis 4 générations pour lever le voile sur ce produit patrimonial. Ici, le savon est fabriqué dans de grands chaudrons surveillés par un Maître savonnier qui s’assure que la recette artisanale transmise de génération en génération est toujours parfaitement respectée. Let's go ! 

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