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    De l'animation dans l'air

    fr-frJune 13, 2008
    What was the main topic of the podcast episode?
    Summarise the key points discussed in the episode?
    Were there any notable quotes or insights from the speakers?
    Which popular books were mentioned in this episode?
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    Were any current events or trending topics addressed in the episode?

    About this Episode

    une nouvelle recrue pour Podo! Après l'arrivée de Caroline, la compagne d'Hervé il y a quelques jours, notre Podorange s'apprête à accueillir la dixième équipière (et la dernière) avant son départ pour le grand sud! Il s'agit de Claire, une artiste dont la spécialité est la réalisation de dessins animés! Amie de Jeanne de longue date, elle a ressenti un véritable coup de coeur pour l'aventure de Podorange. C'est elle qui a réalisé l'animation de début et de fin des podcasts. Depuis que nous sommes partis de la Rochelle, elle nous suivait depuis la France via internet munie de ses carnets, crayons et aquarelles. Avant de partir, elle nous avait dit qu'elle nous rejoindrait peut être de l'autre côté... C'est chose faite, Claire a eu le courage et l'envie de nous rejoindre avec en tête un projet : réaliser un carnet de voyage animé à bord de Podorange. Son enthousiasme, son énergie positive et son rire se répandent sur le bateau. Et à peine le pied posé sur le sol argentin, Claire s'empresse de croquer tout le monde, et de crayonner ses petits carnets de pas de tangos. Pour elle qui n'a pas navigué depuis des années, l'aventure est de taille, car elle nous rejoint pour la partie de navigation la plus difficile...Mais Claire a de l'énergie à revendre et à transmettre, et une place toute acquise à bord de Podorange. Prochain épisode : dernier tango pour Podo

    Recent Episodes from Podorange : Destination "fin del mundo"...

    Ushuaia : fin del mundo !

    Ushuaia : fin del mundo !
    Nous voici enfin arrivés au bout du monde ! Avec un peu de retard, voici donc le résumé de cette dernière étape de nos aventures. Après presque trois mois de voyage, Podorange a atteint son but : la ville d’Ushuaia, en terre de feu. Pour nous, cette arrivée dans le grand sud est magistrale. D’abord parce que les conditions nous sont clémentes : une mer calme, du vent juste ce qu’il faut, et surtout, une lumière incroyable, presque irréelle. Les lumières du grand sud, vive, crue et qui confèrent aux paysages une magie toute particulière. Nous sommes un peu plus secoués en « embouquant » le canal Beagle, dernière ligne droite avant l’arrivée. Une dernière nuit de navigation plus rock’n’roll, avec 40 nœuds de vent, et des paquets de mer dans la figure. Et toujours le froid…Mais le moral est bon car nous savons l’arrivée toute proche. En raison de ces conditions défavorables, nous n’aurons hélas pas la possibilité de doubler le Cap Horn. Mais au petit matin, la mer se calme, le vent tombe et nous sommes éveillés par un superbe lever de soleil. Le Beagle est violet et ainsi nous apparaissent les montagnes blanches du bout du monde. Certains contemplent le souffle coupé, Claire notre dessinatrice aquarellise les paysages, d’autres se réjouissent. Pour tous, une drôle de sensation : celle que la fin de l’aventure est à portée d’étrave. Et d’un coup, un ballet d’otaries se met en place sous nos yeux. Elles jouent avec Podorange et nous accompagnent vers cette ville du bout du monde qui grossit sous nos yeux. Ushuaia. Nous y sommes. Podorange découvre ainsi sa nouvelle demeure. Une arrivée feutrée, toute en douceur, presque comme dans un rêve. La fatigue se lit sur les visages, « on est tous un peu azimutés » selon Flo. La fierté aussi, celle d’avoir mené Podorange à bon port, celle d’avoir participé à cette aventure. Pour certains d’entre nous le retour en France est proche : Laurent, Jeanne, Florent, Tatiana, Hervé et Caroline. Claire restera encore quelque temps à bord pour mener à bien son projet de dessin animé. Pour Brice, Stephanie et Joris, c’est une autre aventure qui commence... Et c’est ainsi que s’achève la saga des podocasts, nous espèrons vous avoir ainsi fait partager ce voyage. Encore merci à tous ceux qui nous ont suivis, aidés de quelque manière que ce soit. Et puis pas d’inquiètude, nous reviendrons ! A suivre donc le documentaire plus complet de nos aventures (tout ce que vous n’avez pas vu dans les podocasts !), le dessin animé...Nous vous tiendrons au courant sur le site de voile australe : http://www.voile-australe.com. Alors, à très bientôt pour de nouvelles aventures!

    Estimated time of arrival

    Estimated time of arrival
    Les Quarantiemes rugissant, les Cinquantiemes hurlant, nous voici donc dans ces zones de navigation redoutées. Pourtant, nous bénéficions d'une fenêtre météo très favorable, puisqu'après les Quarantièmes murmurant, nous entrons dans les Cinquantièmes accueillants. Pas de mer, un vent portant, et le soleil pour venir éclairer nos journées. Que demander de plus? Eole et Poséidon semblent nous faire grâce de toutes leurs bonnes volontés pour ce périple. Ainsi l'équipage peut-il profiter à loisir des magnifiques lumières du grand sud; levers et couchers de soleil incomparables, et de multiples oiseaux qui jalonnent notre route, des damiers du Cap aux grands albatros du sud. Nous prenons nos marques à huit, et Claire se lance dans ses premiers dessins et aquarelles. Nous prenons peu à peu conscience que nous cheminons vers la fin du périple et c'est pour tous l'occasion d'un premier bilan, une façon aussi de prendre conscience de l'importance d'être là, simplement, pour vivre le moment présent, sans autre état d'âme. Voici donc des moments de vie, des réflexions, en cette approche de fin del mundo. Et après...? Prochain épisode : Ushuaia, terminus

    Wanted

    Wanted
    Un épineux problème pour tout l'équipage alors que nous venons d'arriver dans les fameux Quarantièmes...Nous repartons de Mar del Plata à huit personnes (Joris et Stéphanie ayant choisi de débarquer pour faire route à pied et en bus jusqu'à Ushuaia). Les premières heures de traversée sont paisibles, avec juste un rien de froid mordant. Puis nous sommes pris dans un coup de vent, une première épreuve pour nous tous, car il fait de plus en plus froid. Heureusement, cet épisode ne dure que 24 heures. Ensuite tout s'apaise "un peu trop même" selon Laurent qui n'oublie pas que nous sommes dans des zones très changeantes. Pourtant, la mer s'aplanit, le vent mollit. Les quarts de nuit s'enchainent, et chacun d'entre nous disparait peu à peu sous les couches de cirés, polaires et autres cagoules; Claire prend ses marques et noircit ses carnets de voyage. Albatros et damiers du cap nous accompagnent; Bref tout va bien. Hélas, très vite, la panique s'empare de nous. Yankee Flo, le cuistot en chef du bord s'apprêtant à nous faire mijoter un petit plat de son cru, pousse un cri d alarme : plus d'oignons à bord. Un vrai problème puisque l'oignon comme chaucun sait n'est autre qu'un aliment de base, un de ceux qui réjouissent les marins fatigués et frigorifiés quand il mijote dans sa gamelle! La nouvelle se répand comme ue trainée de poudre, Hervé part chasser les "roulants" (ces oignons épris de liberté qui ont tenté de fuir dans les fonds); il réussit à en sauver trois. Nous organisons donc un rationnement à raison d'un oignon tous les trois jours. bref c est clair, le temps est au calme dans les Quarantièmes! (souhaitons que ça dure..) Dans le prochain épisode : Pénurie de gruyère!

    Quand la bise fût venue

    Quand la bise fût venue
    Le Froid. C'est l'un des quatre maux en mer (les quatre F), avec la Faim, la Fatigue et la Frousse. On dit qu'ils favorisent le mal de mer. Et bien, ça y est, nous y voilà. En plein dans le froid du grand sud. L'équateur nous paraît déjà bien loin... Nous sommes maintenant dans une région où les dépressions sont nombreuses et où la météo change très vite. Il faut profiter de la moindre fenêtre météo pour avancer jusqu'au prochain abri. Une petite fenêtre météo doit s'ouvrir vendredi, et nous nous y engouffrons. Nous partons de Buenos Aires au petit matin, sur fond d'aube orangée, objectif Mar del plata que nous devons atteindre avant le samedi soir pour nous mettre à l'abri de la dépression qui s'annonce. Le samedi nous essuyons un coup de vent, pas plus méchant que les précédents mais beaucoup plus froid. Tout l'équipage est mis à rude épreuve. Quand nous arrivons à Mar del Plata à minuit, il fait 1°... Le lendemain, alors que la tempête fait rage au large, Stéphanie et Joris nous annoncent leur intention de débarquer pour poursuivre la route sur terre, à pied ou en bus, et nous rejoindre à Ushuaia. Ils ont été particulièrement affectés par le mal de mer à chaque coup de vent, surtout Stéphanie, très affaiblie. Comme la fin de la navigation sera la partie la plus difficile, elle n'envisage pas de passer dix jours dans sa banette. Et on la comprend... Notre équipage se trouve donc réduit à huit personnes pour faire route vers le grand sud. Après quelques heures d'escale, un diner à terre, et des au revoirs, nous reprenons la mer car une splendide fenêtre météo s'ouvre, et elle pourrait bien nous permettre d'atteindre Ushuaïa sans escale... Prochain épisode : les quarantièmes

    Rythme d'enfer à Buenos Aires

    Rythme d'enfer à Buenos Aires
    Un départ pour le grand sud, ça ne s'improvise pas! Aussi cette escale argentine est elle placée sous le signe de l'efficacité. Il faut dire que la "to do list" des réparations à effectuer sur Podorange s'allonge de jour en jour depuis le début du voyage. Voiles à réparer, réservoirs à remplir, réparations en tous genres, courses et lessives à faire. Bien peu de temps pour danser le tango en somme! Et il faut faire vite, car pour partir vers Ushuaia, les fenêtres météo se font rares : quand elles sont là, il ne faut pas les laisser passer! Encore une fois pour Podorange, une belle rencontre, salvatrice cette fois ci. Sur le ponton, nous rencontrons Juan, un jeune argentin passionné de voile. Lui navigue sur un Open 30 du nom de "Tsunami", et il va tout au long de cette escale nous filer un sacré coup de main. Transport de nos voiles, bonnes adresses, aide aux réparations, conseils, indispensable Juan! Nous sommes même invités chez lui et chez Gonzalo, l'un de ses amis pour déguster l'assado, le barbecue de délicieuses viandes argentines! Bref le début d'une belle amitié, puisque Juan viendra sûrement à Ushuaia cet été naviguer sur Podorange...Merci à lui, à son frère Hernan et à Gonzalo! Grâce à eux les conditions de préparation du voyage ont été idéales. En route vers le grand sud... Prochain épisode : le ciel met sa peau d'orange

    De l'animation dans l'air

    De l'animation dans l'air
    une nouvelle recrue pour Podo! Après l'arrivée de Caroline, la compagne d'Hervé il y a quelques jours, notre Podorange s'apprête à accueillir la dixième équipière (et la dernière) avant son départ pour le grand sud! Il s'agit de Claire, une artiste dont la spécialité est la réalisation de dessins animés! Amie de Jeanne de longue date, elle a ressenti un véritable coup de coeur pour l'aventure de Podorange. C'est elle qui a réalisé l'animation de début et de fin des podcasts. Depuis que nous sommes partis de la Rochelle, elle nous suivait depuis la France via internet munie de ses carnets, crayons et aquarelles. Avant de partir, elle nous avait dit qu'elle nous rejoindrait peut être de l'autre côté... C'est chose faite, Claire a eu le courage et l'envie de nous rejoindre avec en tête un projet : réaliser un carnet de voyage animé à bord de Podorange. Son enthousiasme, son énergie positive et son rire se répandent sur le bateau. Et à peine le pied posé sur le sol argentin, Claire s'empresse de croquer tout le monde, et de crayonner ses petits carnets de pas de tangos. Pour elle qui n'a pas navigué depuis des années, l'aventure est de taille, car elle nous rejoint pour la partie de navigation la plus difficile...Mais Claire a de l'énergie à revendre et à transmettre, et une place toute acquise à bord de Podorange. Prochain épisode : dernier tango pour Podo

    Objectif Caroline

    Objectif Caroline
    Nous voici tout proches de Buenos Aires! Avec en tête un objectif principal : être dans les temps! En effet, Caroline, la future femme d'Hervé, notre neuvième coéquipière nous rejoint dans la capitale argentine! Heure prévue pour l'atterrissage de son avion : 5h30 du matin, le 5 juin. L'équipage va tout faire pour être dans le bon timing, malgré la cruelle absence de vent! Et finalement, nous arrivons dans le Rio de la Plata, qui sépare l'Uruguay de l'Argentine. Une eau boueuse nous accueille, le temps se rafraichit d'un coup et les polaires ressortent. Signe que nous descendons bien vers le Grand Sud. Il est déjà loin le temps où nous étouffions de chaleur dans le carré aux abords de l'équateur... Et finalement, nous sommes dans les temps. Premières terres en vue, elles sont uruguayennes, Montevideo, Punta del Este. Puis c est une arrivée de nuit sur Buenos Aires et ses buildings illuminés. Nous sommes pour l'occasion au Yacht Club Puerto Madeiro au coeur de la ville et des anciens docks entièrement rénovés. Il est une heure du matin, le temps de poser un pied à terre. Premières impressions. Une ville très urbanisée. Des poubelles éventrées partout dans les rues. Une ville déserte qui pleure la défaite de son équipe de football de La Bocca contre les Brésiliens de Fluminense. Hervé trouvera quand même le moyen d'acheter un joli bouquet de fleurs pour sa douce, Caroline, qu'il accueille accompagné d'une meute de journalistes. Tous sont là bien enendu pour acueillir Caro, et à l'occasion faire quelques images des joeurs de football qui repartent vers d'autres terres...Objectif accompli donc, Caroline est parmi nous pour poursuivre l'aventure Podorange. Dans le prochain épisode : de l'animation dans l'air !

    Coup de vent sur Podorange

    Coup de vent sur Podorange
    En route vers Buenos Aires! La traversée commence tranquillement, mer calme, soleil, et de belles rencontres pour nous accompagner, même si elles ne sont que furtives. Une baleine aperçue au loin et un couple de rorquals non identifiés viennent nous saluer. L'équipage un peu fatigué par l'escale brésilienne profite des premiers instants pour se reposer, car les differentes sources météos le confirment, ca va bientot secouer. Avis de grand frais dans notre zone de navigation, soit un vent de force 7, une mer bien formée, bref de l'action, comme en réclamait Florent à l'arrivée de la transat! Nous allons être servis, car en fait de grand frais, Podo a droit à un coup de vent. Force 8, limite force 9 puisque le vent monte jusqu'à 42 noeuds (75 kms/heure), vagues qui déferlent et dont la couleur tourne au vert et bleu glacier. Un spectacle magnifique mais qui n'épargnera pas les estomacs de certains d entre nous... Les moins sensibles au mal de mer se relaient pour assurer les quarts et auront droit à une nuit plutôt sportive. Mais le coup de vent ne s'éternise pas. Douze heures plus tard, la mer se calme, le vent "faiblit" à 20 noeuds, puis le lendemain retour du moteur, du pilote automatique, et du même coup, des parties de coinche. Un peu moins poétique, mais de quoi reposer corps et esprits fatigués... Dans le prochain épisode : Arrivée à Buenos Aires

    Le pavillon du Commodore

    Le pavillon du Commodore
    L'heure est venue de quitter le Brésil et Rio de Janeiro. Pourtant nous ne sommes pas du tout prêts!! Derniers podcasts à envoyer, derniers mails à terre, dernières caipi à enfiler, derniers amis à saluer... Un au-revoir plein d'émotion pour ceux qui auront partagé notre route au cours de cette belle escale. Et un joli cadeau fait à Podo : le Commodore du ICRJ CIate Clube Rio de Janeiro), Hélio Lyra de Aquino, nous offre le pavillon du club, un signe fort qui témoigne de l'envie de nous y accueillir à nouveau. Puis pour nous, c'est un départ sur les chapeaux de roue : une dernière traversée grace à Cocoroca, notre petit taxi des mers. Et c'est parti pour le rangement de dernière minute. Objectif : rien ne doit trainer. Brice lance les quarts de nuits, chacun s'affaire alors qu'Hervé regarde l'heure qui passe et piaffe d'impatience. Sa belle est au bout de la route...Il nous faut arriver à Buenos Aires avant le 5 juin au petit matin, heure d'atterrissage de Caro! Nous relevons le challenge. Prochain épisode : Coup de vent sur Podorange

    Mystique Rio

    Mystique Rio
    Vous raconter Rio en trois minutes, impossible! Parlez en donc à Jeanne, notre monteuse de choc...Une escale qui décoiffe! Profiter et vous faire vivre ces instants en direct, quel dilemne...Alors voici en brut de décoffrage les principales images de notre escale brésilienne. 48 h de montage non stop pour Jeanne qui a enchaîné trois podcasts d'affilée sans dormir. Football au Maracana, samba, danses cap verdiennes et électro à Lappa, visite exceptionnelle du monastère de Saint Benoit, sérénade à Santa Teresa avec notre ami Ricardo, professeur de chant grégorien et artiste. Des rencontres improbables comme celle de frère Cassien, un moine peu ordinaire et extraordinaire que nous accueillerons sur Podorange le temps d'une visite. Croisière en compagnie de nos amis brésiliens fanas d'escalade, Diogo, Léandro, et les deux Léonardo, bercée par les chants grégoriens de Ricardo, sous l'oeil de plusieurs hôtes dont le consul de France à Rio, grâce auquel nous étions reçus au Iate Clube. Nous repartirons de Rio le coeur gros, l'âme emplie de souvenirs et de belles rencontres. Merci à tous pour nous avoir offert ces beaux instants, merci à Tonio qui ne figure pas dans le podcast mais qui aura été pour nous un guide hors pair. Amitié à tous et immense merci au monastère de Saint Benoit. Prochain épisode : Cap sur Buenos Aires
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