ingénieurs

Magali Castano, Directrice des Ressources Humaines de Technip Energies, nous explique que sa société est spécialisée dans l'ingénierie, l'intégration de technologies et la gestion de projets pour des clients opérant dans le secteur de l'énergie. Avec un chiffre d'affaires de 6 milliards d'euros, Technip Energies emploie près de 15000 collaborateurs, principalement des ingénieurs, présents dans une trentaine de pays. De plus, Magali Castano nous indique que la mission de l’entreprise consiste à accompagner ses clients dans leur transition vers le net zéro carbone.

(english below) Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'Icam en Mémoire(s), consacré à l'évaluation par compétences. Une démarche dans laquelle l'Icam s'incrit comme précurseur dans le paysage des écoles d'ingénieurs.

L'évolution constante du paysage éducatif exige des institutions un engagement sans cesse renouvelé envers des approches pédagogiques innovantes et des méthodes d'évaluation plus dynamiques. Dans cette quête, la Commission des titres d'ingénieurs, ou CTI, a émis une exigence en faveur de l'approche par compétence. L'Icam s'est saisi de cette exigence pour la concrétiser dans sa pédagogie, mais a surtout fait le choix d'aller encore plus loin en proposant l'évaluation par compétence, devenant ainsi une école d'ingénieurs pionnière en la matière. Pour réussir ce défi, qui suppose un vrai changement de posture de la part des enseignants, l'Icam travaille sur la formation de ses collaborateurs, mais aussi sur le développement d'un outil nommé “Academ”, en partenariat avec la société québécoise RimaOne.

Retrouvez dans cet épisode les témoignages de Nicolas Mellier, directeur des études sur le site de Grand Paris Sud, et de Virginie Irsch, directrice générale de RimaOne.

Merci à Anne-Fleur Andrle pour l’enregistrement et la collaboration éditoriale sur cet épisode.

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Welcome to another episode of l'Icam en Mémoire(s), devoted to skills-based assessment. An approach in which Icam is a forerunner in the engineering school landscape.

The ever-changing educational landscape demands a constantly renewed commitment to innovative pedagogical approaches and more dynamic assessment methods. In this quest, the Commission des titres d'ingénieurs, or CTI, has issued a requirement in favor of the competency-based approach. Icam has seized upon this requirement to make it a reality in its teaching methods, but above all has chosen to go even further by offering competency-based assessment, thus becoming a pioneering engineering school in this field. To succeed in this challenge, which presupposes a real change of attitude on the part of teachers, Icam is working not only on training its staff, but also on developing a tool called "Academ", in partnership with the Quebec company RimaOne. 

In this episode, we hear from Nicolas Mellier, Director of Studies at the Grand Paris Sud site, and Virginie Irsch, Managing Director of RimaOne.

Thanks to Anne-Fleur Andrle for the recording and editorial collaboration on this episode.

Voici l'épisode 445 de "la quotidienne iWeek" en ce mardi 29 août 2023 !

Abonnez-vous : c'est gratuit !

Apple officialise la keynote du 12 septembre 2023.

Présentation : Benjamin VINCENT (@benjaminvincent) + Gilles Dounès (@gdounes).

Production : OUATCH Audio.

Tags : iPhone 15 et Apple Watch Series 9 : c’est pour dans 14 jours ! ; le périscope fera-t-il passer la pilule ? ; brevet AR dans le monde réel ; Google, plus généreux qu’Apple, avec les jeunes ingénieurs ; cookies Ted Lasso : on a des biscuits !

Bonne découverte de "la quotidienne iWeek" si vous nous écoutez pour la première fois, parlez de nous autour de vous, retweetez-nous (@iweeknews), bonne journée, bonne écoute et à demain !

Benjamin VINCENT et la team #iweekLQI

PS1 : rejoignez la communauté iWeek sur patreon.com/iweek et bénéficiez de bonus exclusifs !

PS2 : retrouvez-nous aussi pour "iWeek (la semaine Apple)", notre podcast hebdo, chaque milieu de semaine.

PS3 : l'épisode 150 d'iWeek (la semaine Apple), le premier de la saison 4, est disponible. Bonne écoute !

Une fois encore les jeunes bacheliers marocains au nombre de 41 ont trusté l’entrée à la plus prestigieuse des écoles françaises d’ingénieurs : Polytechnique.

Il n’y avait pourtant que 60 places à pourvoir. En seconde place, la Tunisie avec 10 places gagnées. Cela démontre une fois encore de l’excellence du niveau en mathématiques et en sciences physiques de l’école marocaine, tant décriée.

Certes beaucoup de ces jeunes lauréats passent par le lycée d’excellence du Lydex à Benguerir mis en place par l’OCP.

Pourtant il y’avait pas mal de lycées d’excellence un peu partout dans le pays, mais ils ont été supprimés par un ministre savant et égalitaire, au motif que tous les enfants du pays devaient avoir les mêmes chances.

Une vue de l’esprit quand on sait que sur une même classe d’âge, moins de 10% réussissent à faire des études supérieures et que le reste finit au chômage, dans les centres d’appels ou chez Macdo… 

Pourtant la question qui se pose : Que pouvons-nous bien faire de nos polytechniciens…?

On me dira que le pays a besoin de compétences, vu le nombre d’analphabètes diplômés ou non qui trustent nos administrations, notre parlement ou nos villes. Mais que peut un patron brillant ou un directeur au cursus universitaire excellentissime, quand le reste de ses collaborateurs ne sont pas la hauteur de sa science ou de son intelligence ? Il sellek souvent, faute de mieux !

Il arrive souvent que ces brillantes têtes soient marginalisées dans leurs postes au bled par des chefs qui refusent de quitter leurs maroquins, préférant traiter avec des subalternes, moins compétents, mais plus dociles, loyaux et moins frondeurs. 

Ces têtes bien faites, quand elles n’arrivent pas à s’acclimater à l’ambiance du pays, repartent briller ailleurs, pour le plus grand bonheur des multinationales qui les utilisent pour aller occuper des postes dans des pays éloignés, quand elle ne veulent pas y envoyer des « petits blancs » pour des questions de sécurité ou de préservation contre les maladies tropicales dont le terrible paludisme... 

D’ailleurs, on n’a jamais vu un polytechnicien marocain devenir capitaine d’industrie en France ou patron de banque ou suprême honneur, être nommé à la tête du Medef. Le plafond de verre est toujours là. 

Même Rachida ou Najat, qui ne sont pas polytechniciennes mais politiciennes, n’ont eu leurs promotions politiques et ministérielles qu’en ayant été cooptées par des personnalités politiques en vue comme Simone Veil ou Ségolène Royal…

On a plus voulu faire d’elles  des « Arabes de service »,  au service d’une politique d’intégration des fameuses minorités visibles, qu’autre chose. Mais on n’a jamais vu un ou une arabe patron du sénat, de l’assemblée nationale, ministre de l’économie ou de l’intérieur. Les postes stratégiques c’est pas fait pour les arabes ou les noirs, polytechniciens ou pas. Faut pas se leurrer, il y’a une limite à tout… Zemmourisation des esprits oblige !

Au bled on possède énormément d’hyperdiplomés de partout : Harvard, Stanford, UCLA, MIT, NormaleSup, Superaero, Supelec, Centrale, Ponts et Chaussées. D’ailleurs les lauréats de cette dernière école d’ingénieurs ont trusté tous les hauts postes dans l’administration et au ministère de l’intérieur depuis 24 ans, grâce à leur mentor Ssi Mezyane Belfequih, qui, à l’avènement du « nouveau concept de l’autorité » avait saisi l’occasion en or pour inonder le principal ministère du pays de son réseau d’ingénieurs. 

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Une résidence Icam n'est pas uniquement un lieu de vie et d'hébergement pour les étudiants et étudiantes. C'est aussi là où l'on expérimente le vivre ensemble, les responsabilités partagées, l'autonomie et la construction de soi. Celles que l'on appelle les "Maisons des Icam" font partie intégrante de la pédagogie ignatienne. Une particularité que nous vous invitons à découvrir avec les témoignages de Jacques Meyniel, responsable de la Maison des Icam de Lille, et de Côme Dupont, un élève résident de 2e année. Très bonne écoute !

Un épisode réalisé avec la collaboration de Anne-Fleur Andrle.

Le Groupe des Ecoles Centrale dispose désormais d'un campus sur la Côte d'Azur. Inaugurée le 9 mars dernier dans le quartier de Nice Méridia, cette antenne de Centrale Méditerranée doit répondre aux importants besoins de formation dans la Région Sud pour les métiers de l'ingénierie. 

Le campus de Nice propose notamment un diplôme en Bac+3 (Bachelor) pour fomer des assistants ingénieurs. Le recrutement des futurs élèves se fait via parcoursup . Pour la rentrée 2023-2024, la sélection est déjà en cours. Pour les étudiants qui visent un diplôme d'ingénieur, et en cours d'obtention de leur licence ou bachelor, il faut passer par le concours universitaire des Écoles Centrale. 

En toile de fond: les enjeux liés à la transition énergétique et écologique dans "des industries et des entreprises en pleine transformation". 

Carolie Deumié, directrice de Centrale Méditerranée, répond à Nathalie Michet. 

Les Mémoires Scientifiques - ou MSI - sont une étape incontournable de la formation d'ingénieur Icam. Pour réaliser ce mémoire, les élèves travaillent sur une problématique R&D confiée par une entreprise, avec un niveau d'exigence élevé. En quoi consistent exactement ces MSI et comment se passe la collaboration entre les entreprises et l'Icam ? Pour nous éclairer, nous avons tendu le micro à Jean-Jacques Lepape, responsable du pôle Services aux Entreprises de l'Icam, site de Bretagne, et à Patrick Floren, dirigeant de la société SEMIOS, qui confie des projets à nos élèves avec enthousiasme depuis de nombreuses années.

Réalisation : Anne-Fleur Andrle x Icam

L'Icam, c'est une école d'ingénieurs internationale, et c'est aussi des écoles de production, qui accueillent chaque année des jeunes en décrochage scolaire, afin de leur proposer une formation très concrète, dans des métiers à fort potentiel de recrutement. Au sein de ces écoles, ils reprennent confiance en eux et renouent avec la réussite. Ce modèle existe depuis 20 ans à l'Icam, nous vous proposons de revenir sur ses fondamentaux, avec Jérôme Gué, qui a créé la première école de production Icam à Toulouse, et Benjamin Chabroux, qui dirige celle du site de Grand Paris Sud. Très bonne écoute !

On vous emmène dans les coulisses de la conception de nos vélos en partant à la rencontre du Kairn Design studio et du Kairn Bike Design Lab. 

Basé au pied des alpes, à Grenoble, c’est un bureau indépendant qui travaille pour de nombreuses marques de l’industrie du cycles. Ils sont d’abord designers, mais aujourd’hui également concepteurs de vélos !

Cet épisode du lunch ride est divisé en deux parties, : 

• D’abord, on part à la rencontre de Pierre Vioules et Pierre Francoz, les fondateurs du bureau qui nous parlent de design, de leur métier, de leurs sources d’influence et de l’intérêt d’être pratiquants. 
• Ensuite, dans une seconde partie, on échange avec Etienne Magalhaes et Quentin Bonaimé qui viennent renforcer l’équipe pour créer le Kairn Bike Design Lab. Ils nous parlent de l’éternel conflic entre les ingénieurs et les designers, de la manière dont ils appréhendent leur travail face à des clients variés, et ils nous ouvrent une petite porte vers l’avenir en nous parlant de futures méthodes de conception.  

Jocelyn Côté, directeur ingénierie chez Fuji Semec nous parle des postes à combler en ingénierie et nous présente l’entreprise située à Boucherville. Fuji SEMEC est un chef de file dans le domaine avec plus de 20 années d’expérience dans la conception, la fabrication et la remise à neuf de systèmes électromécaniques et sous-systèmes pour l’industrie du transport en commun.

Benoit Robineau directeur général de l’organisme IMTM nous parle de leurs services en employabilité. Nous proposons à toute personne adulte désirant de l’aide dans ses recherches d’emploi un service d’accompagnement personnalisé. Nous souhaitons également la bienvenue aux personnes ayant des antécédents judiciaires. Nos services sont majoritairement financés par Services Québec. 

Liens et ressources de l’épisode :

https://emplois.ca.indeed.com/cmp/Fuji-Semec-Inc.-1

http://imtm.ca/

https://alliancect.ca/  

Claudine Lepage, Animatrice Direction Emploi : c.lepage@alliancect.ca 

Podcast : https://www.fm1033.ca/podcast_fm1033/direction-emploi/ 

L'Institut Ucac-Icam, aujourd'hui, c'est quatre formations d"ingénieurs, et un rayon d'action qui s'est élargi avec l'arrivée du site de l'ULC-Icam de Kinshasa, en 2019. Diana Menguele, Mathieu Gobin, et Martial Adiang évoquent avec nous les nombreux projets de développement du site, depuis la formation doctorale qui se met actuellement en place, jusqu'au souhait de créer une école de production à l'image de celles qui existent en France.

Un épisode réalisé avec la collaboration d'Anne-Fleur Andrle.

Alexis Pourbaix nous livre son parcours professionnel qui l’a amené à devenir Directeur Administratif et Financier de Fugro France. Au cours de l’interview, il présente l’entreprise ainsi que ces divers enjeux futurs liés à la croissance.  

Leila Bouguerra, Directrice Administrative et Financière de Publicis Sapient nous
donne sa vision du métier de CFO au sein d’une entreprise spécialisée dans la transformation digitale. 

Quel est le point commun entre l’extraction du charbon et le déploiement de dispositifs permettant à des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer de se déplacer librement au sein d’un EHPAD ? A priori aucun. L’histoire d’aujourd’hui est pourtant la parfaite illustration que l’excellence des méthodes d’enseignement et de la recherche sont applicables à de nombreuses innovations et notamment pour nos séniors.

Attirer et retenir les profils à haute valeur ajoutée constitue sans nul doute l'un des enjeux stratégiques pour toutes les entreprises de notre ère.

Dans ce nouvel épisode du podcast "Point d'impact", nos experts Deloitte vous livrent leurs enseignements et les nouvelles pratiques à adopter pour rivaliser dans cette « guerre des talents ».


🟢  Speakers :

Samira EL MANSOURI, Senior Manager AI&Data chez Deloitte : https://www.linkedin.com/in/samira-elmansouri-12780420/

Mélanie BENALI, Directrice des Ressources Humaines chez Deloitte : https://www.linkedin.com/in/melanie-benali-deloitte/

Ahmed CHEBHI, Talent Acquisition Specialist chez Deloitte : https://www.linkedin.com/in/chebhi-ahmed/

🟢  Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à le partager et à vous abonner à notre podcast. 

Vous pouvez également nous suivre dès maintenant sur LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/deloitte 

Quelles sont les compétences sociales et sociétales demandées aux ingénieurs? Comment y former les futurs ingénieurs ? Et quelles sont les attentes de la
nouvelle génération d’ingénieurs ? 

Pour répondre à ces questions, nous recevons Laure Bertrand. Laure Bertrand est enseignante/chercheuse et directrice soft skills, développement durable et carrière au Pôle Léonard de Vinci. Ce pôle réunit une école de commerce (EMLV), une école du digital (IIM) et surtout l’école d’ingénieurs (ESILV). 

L’évolution de la société influe sur les attentes en termes de compétences [1:19] – [16:55]

Les soft skills et le développement durable font depuis quelques années partie de la formation de l’école d’ingénieurs ESILV. Selon Laure Bertrand, c’est une nécessité d’inculquer le plus tôt possible aux jeunes diplômés ces compétences sociales, humaines et relationnelles, et de modifier les cursus pour répondre aux enjeux de l’urgence climatique. La demande émane à la fois des entreprises, des étudiants, de la société civile et des écoles. Les recruteurs notamment sont en demande des soft skills car les compétences scientifiques ne suffisent plus. Afin de préparer leurs programmes sur 5 ans, les écoles doivent être constamment en éveil et avoir un regard prospectif sur l’évolution du marché du travail et des attentes de la société. Laure Bertrand constate d’ailleurs une évolution notable du côté des étudiants et étudiantes, qui souhaitent un management plus horizontal en entreprise, et qui cherchent à avoir un impact positif sur la société grâce à leur travail.

Les soft skills dans le travail des ingénieurs [16.55] – [27:38]

Laure Bertrand divise les soft skills en 2 sous-parties : les compétences intrapersonnelles (l’esprit critique, l’intelligence émotionnelle, la créativité etc.) et interpersonnelles (l’empathie, la capacité d’écoute, la coopération, l’intelligence
collective etc.). « La bonne nouvelle c’est qu’on peut se former aux soft skills », ajoute-t-elle. Elle prend alors l’exemple de l’empathie et donne des méthodes pour la travailler.

Différentes soft skills sont utiles aux ingénieurs : le développement de l’intelligence émotionnelle, la créativité, la flexibilité et l’agilité, la coopération. Dans l’école où elle travaille, les étudiants et étudiantes ont aussi des cours pour trouver leur style de leadership afin d’embarquer une équipe, avoir de l’impact sur les autres, même sans autorité hiérarchique.

Acquérir les compétences personnelles [27:38 – [42:08]

Même sans passer par une école, plusieurs méthodes existent pour progresser et améliorer ses compétences. Première étape : faire un état de lieux pour comprendre les soft skills qui existent et faire le point sur ses atouts et ses points faibles. Ensuite, il est possible de faire des formations sur les sujets qui nous intéressent ou de suivre des Moocs. Selon Laure Bertrand, les compétences soft permettent d’acquérir des aptitudes indispensables pour évoluer dans le monde professionnel, et notamment dans le contexte de la transition écologique. Parmi les compétences utiles, elle cite le développement de la pensée systémique, la capacité à coopérer dans un cadre interdisciplinaire, l’intelligence collective, la capacité au plaidoyer, le développement de l’esprit critique, la capacité à gérer et impulser le changement etc.

Elle rappelle d’ailleurs qu’agir pour la transition écologique ne se fait pas uniquement pas convictions. Certains peuvent s’y engager par pragmatisme car le monde évolue et les entreprises sont de plus en plus soumises à des restrictions et des cadres particuliers. D’où l’importance de développer ses compétences personnelles sur le sujet.

Références citées :

• CGE : conférence des grandes écoles
• Le manifeste des étudiants pour un réveil écologique
• C3D : Le collège des directeurs du développement durable
• The Shift project
• Youmatter
• Greta Thunberg
• VIA survey
• Cartes de forces éditées par Positran
• Questionnaire MBTI
• DISC
• Process communication
• Performance

Ressources pour aller plus loin :

• Rapports de The Shift project
• La conférence des grandes écoles
• Le manuel de la grande transition
• La Contagion émotionnelle de Christophe Haag

Cogitons Sciences est un podcast produit par Techniques de l’Ingénieur.  Cet épisode a été réalisé par Alexandra Vépierre, en collaboration avec Intissar El Hajj Mohamed. Le générique a été réalisé par Pierre Ginon et le visuel du podcast a été créé par Camille Van Belle.  

La Fondation Féron-Vrau fête ses 40 ans. Quarante années au service de l'Icam et de ses grands projets, rendues possibles grâce à la participation active des donateurs. Mais de quelle manière les dons contribuent-ils aux campus et à la pédagogie Icam ? Pourquoi et comment donner à la Fondation ? Jean-Yves Le Cuziat, président de la Fondation Féron-Vrau depuis juin 2021, nous apporte son éclairage sur le sujet.

Merci à Anne-Fleur Andrle pour la réalisation de cet épisode.

La Fondation Féron-Vrau fête ses 40 ans et l'Icam en Mémoire.s revient sur la relation particulière qui l'unit à l'Icam. La Fondation est membre de la gouvernance de l'école et elle possède, à ce titre, un rôle clé dans les évolutions de l'Icam, dans une relation de confiance solide et durable.

François Bouvard, président de l'Icam et Pierre-Yves Rogez, ancien président de la Fondation, évoquent ce lien spécifique et la façon dont il se traduit au quotidien.

Merci à Anne-Fleur Andrle d'avoir coopéré à la réalisation de cet épisode.