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    insouciance

    Explore "insouciance" with insightful episodes like ""Retrouver notre insouciance du début de saison" : les féminines du CAB reçoivent Perpignan dimanche", "« Comment être un dirigeant atypique et non-conformiste ? » avec Thierry Pick ancien laveur de carreaux et Fondateur de Clinitex", "E3 Bernard" and "#25. Benoît Peschier: Cultiver l'insouciance" from podcasts like ""France Bleu Limousin Sport", "Si on me l'avait dit", "Néophim, raconte-nous une histoire !" and "Gamberge"" and more!

    Episodes (4)

    "Retrouver notre insouciance du début de saison" : les féminines du CAB reçoivent Perpignan dimanche

    "Retrouver notre insouciance du début de saison" : les féminines du CAB reçoivent Perpignan dimanche
    durée : 00:03:20 - "Retrouver notre insouciance du début de saison" : les féminines du CAB sont à l'aube d'un gros match face à Perpignan dimanche - La semaine dernière, les filles du CA Brive ont connu un revers 12 à 7 contre les Coyotes de Bords-de-Marne, en région parisienne. Un revers à oublier très vite, car dimanche, elles reçoivent l'USAP, concurrente directe pour une place en qualification des phases finales.

    « Comment être un dirigeant atypique et non-conformiste ? » avec Thierry Pick ancien laveur de carreaux et Fondateur de Clinitex

    « Comment être un dirigeant atypique et non-conformiste ? » avec Thierry Pick ancien laveur de carreaux et Fondateur de Clinitex

    « Si on me l’avait dit », le podcast des millenials et de la génération Z met en avant tous les quinze jours un dirigeant, un leader, un expert dans son domaine. A travers leur parcours, chacune de ses personnalités inspirantes vous livre sa stratégie de réussite, pour que vous, étudiant ou jeune créateur d'entreprise, ayez les clés pour performer et devenir l’entrepreneur de votre vie.

    Thierry Pick fait partie de ces entrepreneurs atypiques : de par son parcours – il débute en tant que laveur de vitres, puis crée Clinitex, son entreprise de nettoyage qui emploie aujourd’hui 4000 collaborateurs – mais aussi de par son style de management. Chez Clinitex, pas de DRH, pas de DAF : Thierry Pick est persuadé que la réussite de l’entreprise passe par le bien-être et la liberté de ses salariés, qu’il a placés au cœur de sa stratégie. Si Thierry Pick, élève en échec scolaire, a retenu une chose de ses innombrables changements d’école, c’est bien que la culture du résultat et la dévalorisation sont les ennemis de l’épanouissement. Armé de la considération de ses parents, et d’une certaine insouciance dont il a fait une force, il a su trouver sa voie et faire du management par les appétences sa marque de fabrique.   

    Dans cet épisode, Thierry nous montrera qu’accorder une grande liberté à ses collaborateurs est la meilleure façon de les laisser exprimer leurs talents et leurs envies au sein de l’entreprise. Il nous expliquera pourquoi l’autorité est en réalité une forme de faiblesse, et n’est pas la meilleure solution pour obtenir ce que l’on veut. Il nous montrera comment la confiance en soi mène à l’alignement et à la réussite, même quand on a un profil atypique ou non-conformiste. Thierry répondra entre autres aux questions suivantes :

    • Comment s’en sortir malgré l’échec scolaire ?
    • Comment quitter un environnement toxique pour s’épanouir ?
    • Pourquoi miser sur la confiance est bénéfique pour tout le monde ?
    • Comment manager par les appétences ?
    • Comment cultiver le bien-être et les énergies vibratoires au travail ?

    Cet épisode vous montrera qu’il est possible de manager en sortant des sentiers battus et en mettant le bien-être et l’alignement au cœur de la stratégie d’entreprise. J’espère que ces échanges vous montreront qu’il est possible de manager différemment, en ouvrant à chacun des espaces de liberté !

    Les temps forts de l’épisode : 

    • 2’00 : Présentation de Thierry Pick et de l’entreprise Clinitex
    • 5’15 : De l’échec scolaire à la réussite
    • 10’05 : Comment s’en sortir quand on manque de soutien ?
    • 13’30 : Insouciance et liberté
    • 15’45 : Développer la confiance en soi
    • 24’20 : Être aligné, un point clé pour réussir
    • 30’35 : L’importance du partage des valeurs
    • 35’50 : Un leadership non conformiste
    • 41’30 : L’humain au centre de tout : le principe du Human Plan
    • 47’00 : Management et énergie vibratoire
    • 56’10 : Si on me l’avait dit : le conseil de Thierry Pick

    Cet épisode vous a plu et vous voulez découvrir d’autres personnalités inspirantes, qui vous livrent leurs conseils et leur stratégie vers le succès ? Je vous invite à vous abonner pour ne pas manquer les épisodes de la saison 2. N’hésitez pas à partager ce podcast tout autour de vous pour faire découvrir à votre entourage ces leaders et ces experts qui se livrent sans filtre, pour booster votre carrière et votre business.

    Vous souhaitez intervenir dans le podcast, en tant que dirigeant pour transmettre votre expérience ou en tant que jeune entrepreneur pour mettre en lumière votre projet ? Je vous attends avec grand plaisir sur laurence.darnault@harveston.net.

    E3 Bernard

    E3 Bernard

    Dans cet épisode, je vous parle de Bernard, un ami de la famille qui m'a appris que la plus belle façon d'honorer la vie, c'est d'accepter de la vivre à fond sans se poser trop de questions existentielles. Il illustrait parfaitement, à lui seul, l'expression "Carpe diem".  

    Mais il m'a appris tellement d'autres choses que je devais absolument vous raconter son histoire.  

    Bonne écoute et bon dimanche à tous ! 

    #25. Benoît Peschier: Cultiver l'insouciance

    #25. Benoît Peschier: Cultiver l'insouciance

    Benoît Peschier est un kayakiste Français, né en 1980. Il est le fils de Claude Peschier, ancien champion du monde de Kayak et le frère de Nicolas Peschier. En 2001. Il remporte des manches de la Coupe du Monde. En 2002, il est attendu aux Championnats du Monde, à Bourg Saint Maurice, au même endroit où avait triomphé son père. Mais Fabien Lefèvre lui prive de ce titre. En 2004, il remporte la médaille d'or aux Jeux Olympiques d'Athènes. En 2005, il termine 5ème en individuel et champion du monde par équipe. En 2006-2007, les résultats ne sont pas au rendez-vous, il décide de changer de nationalité sportive. En 2008, il est remplaçant aux Jeux Olympiques de Pékin. Depuis 2015, il est entraîneur de Denis Gargaud, Champion Olympique à Rio. 

    Dans ce deuxième épisode, il évoque le fait que l'insouciance lui paraît être une qualité mentale nécessaire pour réussir à haut niveau: "Quand je vois les meilleurs kayakistes mondiaux qui sont au départ d'une compétition, j'ai l'impression qu'ils acceptent totalement de réussir ou de perdre. Ils sont insouciants, ils ont un état d'esprit hyper jeune en fait". Pour lui cela "permet de prendre des risques qui paraissent totalement insensés quand on est au bord". Benoît évoque le fait que pendant la course, il est nécessaire de ne plus réfléchir aux conséquences. Il parle du fait que d'avoir cette insouciance est un travail "Ca m'a nécessité tellement de travail pour arriver à l'avoir au bout d'un moment" et évoque l'épuisement mental qui a suivi les Jo d'Athènes en 2004. 

    Il évoque aussi ses routines, travaillées depuis l'enfance et la gestion des émotions. Pour lui, la visualisation fait partie inhérente du travail du Kayakiste, qu'il a commencé à pratiqué dès l'âge de 12 ans car "On connaît le parcours, mais on n'a pas le droit de le pratiquer avant une compétition. Donc tout ce qu'on peut faire pour se préparer, c'est de s'imaginer en train de le pratiquer". 

    Il parle aussi de la façon "d'être libre dans un cadre rigide" et de devoir s'adapter au parcours mais de rester concentrer uniquement sur ce qu'il devait faire. Il avait en tête quelques clés qu'il validait à chaque porte. 

    On a parlé également de la manière d'aborder des Jeux Olympiques, dont il voyait cela comme une "récompense" après tant d'années d'entraînement: "Je pense que l'idée (d'être champion olympique) m'a traversé l'esprit à peu près 200 000 fois dans la journée. En fait, c'est d'accepter que l'idée est là et que c'est juste une idée dans un coin de ma tête et qu'elle ne doit pas me gêner non plus". Ces JO viendront couronner des années d'efforts.

    Enfin, nous avons parlé de l'importance du mental et de son côté mystérieux mais reste un domaine dans lequel il continue à chercher des réponses. Il réalise que la majorité de ses échecs étaient dûs "au stress, à l'anxiété, de ne pas arriver à me lâcher et être dans l'instant présent, et être insouciant".