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    Explore "champion olympique" with insightful episodes like "Légendes cavalières #35 : Pierre Durand et Jappeloup ou le rêve olympique d’un cavalier français avec le meilleur cheval de son temps", "#59 - Yohann Diniz - Champion du Monde Marche à pied - Croire en ses rêves, croire en soi, se mettre en danger de façon contrôlée", "#61 – Edgar Grospiron, Champion Olympique | Booster de motivation", "#31 Jean Galfione - "Je n'ai jamais eu de certitudes dans ma carrière ; c'est pour ça que j'ai été bon."" and "La formule secrète de la performance selon un Champion Olympique devenu entrepreneur à succès | Edgar Grospiron | Déclic 117" from podcasts like ""Légendes cavalières", "Génération QANOPÉE", "Histoires d'Entreprises", "ATHLÈTES MONDIAUX" and "Le Déclic | Podcast par Alec Henry"" and more!

    Episodes (13)

    Légendes cavalières #35 : Pierre Durand et Jappeloup ou le rêve olympique d’un cavalier français avec le meilleur cheval de son temps

    Légendes cavalières #35 : Pierre Durand et Jappeloup ou le rêve olympique d’un cavalier français avec le meilleur cheval de son temps

    Sacrés champions olympique en 1988 à Séoul, Pierre Durand et Jappeloup incarnent le rêve olympique mieux qu’aucun autre couple de saut d’obstacles. Ce rêve, le cavalier girondin le portait en lui depuis toujours. Avec son charismatique petit cheval noir, si atypique qu’il a mis du temps à se laisser convaincre de le monter, il a fait de ce rêve une réalité flamboyante, quatre ans après une chute qui avait fait le tour du monde, en 1984 à Los Angeles. À travers un récit illustré de nombreuses archives sonores, Pascal Boutreau retrace le destin du cavalier et du cheval qui ont formé le couple le plus emblématique de la décennie 1980 dans le trente-cinquième épisode de Légendes cavalières, le podcast de GRANDPRIX. Dans la seconde partie, Pierre Durand se livre au cours d’un long entretien vérité.

    #59 - Yohann Diniz - Champion du Monde Marche à pied - Croire en ses rêves, croire en soi, se mettre en danger de façon contrôlée

    #59 - Yohann Diniz - Champion du Monde Marche à pied - Croire en ses rêves, croire en soi, se mettre en danger de façon contrôlée

    « Croire en ses rêves, croire en soi, se mettre en danger de façon contrôlée ! »

     

    Nous avons l'honneur de recevoir une véritable légende de l'athlétisme, un homme dont la détermination et la persévérance ont conquis le cœur des français.

     

    Il a non seulement dominé le monde de la marche athlétique, mais il a également maîtrisé l'art de la résilience et de la persévérance.

     

    Laissez-moi vous présenter Yohann Diniz, médaillé d'or aux championnats du monde, détenteur de records du monde, et bien plus encore.

     

    Au cours de cet épisode, nous allons plonger dans sa carrière, ses astuces pour la performance, sa transition après le sport de haut niveau, et bien sûr, les précieux enseignements qu'il a tirés de ses expériences.

     

    Merci infiniment Anceline et à vous, qui nous écoutez, likez et partagez ! :-)

     

    Bonne écoute !

     

     

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    Notes de l’épisode :

     

     

    Linkedin « Yohann Diniz » : https://www.linkedin.com/in/yohann-diniz-3101a7142/

     

    Facebook « Yohann Diniz » : https://www.facebook.com/yohann.diniz

     

    Instagram « Yohann Diniz » : https://www.instagram.com/yohanndiniz

     

    Contact : generation@qanopee.com

     

    Site Web « Génération QANOPEE » : https://www.qanopeegeneration.com

     

     

    #61 – Edgar Grospiron, Champion Olympique | Booster de motivation

    #61 – Edgar Grospiron, Champion Olympique | Booster de motivation

    Aujourd’hu, je reçois - en face de l’Opéra Garnier - Edgar Grospiron, champion olympique et trois fois champion du monde dans l’épreuve du ski de bosses. Si comme moi vous êtes un amoureux de la montagne et du ski et que vous avez déjà « quelques » hivers derrière vous, vous connaissez Edgar Grospiron qui nous fit tous rêver.

    Mais je n’ai pas rencontré l’ancien champion pour qu’il nous raconte ses exploits. Il l’a déjà fait tant et de tant de fois.

    Avec Edgar aujourd’hui, nous évoquons ce qu’il a appris dans la période où il dominait sa discipline. On ne devient pas numéro 1 mondial seulement par le talent inné. Il faut beaucoup de travail évidemment. Et puis il faut autre chose. C’est cet autre chose que je voulais découvrir avec Edgar devenu indépendant, indépendant comme ces 5 000 hommes et femmes qui ont rejoint la communauté BlueBirds que je dirige avec Siham Sentissi. 

    Dans cet épisode, vous découvrirez ce qui fait la performance dans la durée, pas seulement celle que l’on réalise une seule fois.

    Dans cet épisode encore, vous découvrirez ce que sont d’après Edgar les principaux piliers de la motivation au travail. Ils s’appliquent à toute entreprise.

    Et puis, si vous êtes indépendant, vous saurez comment Edgar reçoit environ entre 20 et 50 sollicitations chaque semaine pour n’en choisir que deux, trois parfois.

    En fait, vous allez apprendre plein d’autres choses en écoutant Edgar qui se définit désormais comme un « Motivational speaker ». Comprendre, il vous rebooste, et pas qu’un peu. Moi, je ne suis pas seulement ressorti gonflé à bloc de notre rencontre, j’ai pris une véritable leçon ! 


    Pour suivre Edgar sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/Edgar Grospiron 

    Découvrir la MÉTHODE MOTIVATOR® d'Edgar

    Revoir l'épreuve de bosses des Jeux d'Alberville 1992 🤩 



    Si vous aimez Histoires d'Entreprises, laissez-nous un commentaire, parlez-en autour de vous, et notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast). Cela nous aidera beaucoup.


    N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine


    Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. 


    Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard.   

    #31 Jean Galfione - "Je n'ai jamais eu de certitudes dans ma carrière ; c'est pour ça que j'ai été bon."

    #31 Jean Galfione - "Je n'ai jamais eu de certitudes dans ma carrière ; c'est pour ça que j'ai été bon."

    Cette semaine, je reçois Jean Galfione, champion olympique du saut à la perche à Atlanta en 1996 et premier Français à avoir franchi 6m. C’était en 1999 lors des mondiaux en salle de Maebashi au Japon. 


    Dans cet épisode, Jean nous parle de ses débuts difficiles à la perche, et de sa progression ensuite jusqu’au titre olympique et aux 6m, et des dernières années de sa carrière, lors desquelles il n'a pas été épargné par les blessures. Il évoque également sa relation avec Maurice Houvion, son entraîneur de toujours, et d’autres sujets que je vous laisse découvrir. 


    Désolée pour les petits problèmes de son à certains moments. 


    Bonne écoute !


    📚 Le livre de Jean Galfione "Rien n'est jamais écrit" 

    🎧 L'épisode avec Mondo Duplantis (en anglais ou doublé en français)


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    À bientôt pour un nouvel épisode !        

    La formule secrète de la performance selon un Champion Olympique devenu entrepreneur à succès | Edgar Grospiron | Déclic 117

    La formule secrète de la performance selon un Champion Olympique devenu entrepreneur à succès | Edgar Grospiron | Déclic 117

    Dans cet épisode du podcast "Le Déclic", j'ai le privilège d'accueillir Edgar Grospiron, une légende du ski acrobatique, champion olympique en 1992 et détenant un palmarès éblouissant pendant plus de 30 ans. Edgar n’est pas seulement un athlète d’exception, il est également entrepreneur, conférencier aguerri et coach certifié, avec plus de 100 conférences par an à son actif, en France comme aux États-Unis. Il est spécialisé dans le "mindset" et la capacité à pousser les entrepreneurs à passer à l’action.


    Dans ce podcast, Edgar retrace son parcours unique, depuis ses débuts dans l’équipe de France de ski à l’âge de 16 ans, alors numéro 1 au monde par nation, jusqu’à sa transition vers le monde de l’entreprise, où il a investi dans une structure de consultants spécialisée dans les stratégies de croissance pour des PME. Son objectif : revitaliser cette activité qui s'était endormie, avec la même énergie et le même sens de la compétition qu'il a mis dans son parcours de skieur.


    Edgar partage l'équation qui a fait sa réussite : Performance (P) = Compétence (C) multipliée par la Motivation (M). Selon lui, vous pouvez être extrêmement compétent, mais si votre motivation est égale à zéro, vos compétences restent inutilisées. Pour Edgar, la motivation est une énergie qu’il faut aller chercher et cultiver, et cette énergie repose sur trois piliers : le projet, le plaisir et le désir de dominer son métier.


    Dans cet épisode, Edgar insiste sur l'importance de l'alignement entre les ambitions personnelles et collectives. Il évoque la profondeur de cette relation qui a du sens et est mutuellement bénéfique. Cet alignement, selon lui, est la clé d’un épanouissement professionnel et personnel, et il explique comment cela a été pour lui une source de motivation inépuisable. Il délivre également ses perspectives sur l'art de la conférence, adaptant chaque discours à l'actualité et aux priorités de son auditoire, pour que les équipes repartent avec une énergie renouvelée et le sentiment d'avoir partagé un moment fondateur.


    Dans cet épisode, Edgar Grospiron nous fait comprendre que la performance n'est pas seulement une question de compétences, mais d'un mélange de passion, de projet et de motivation profonde. Il nous partage les secrets de sa résilience et de son évolution inspirante, et ses conseils pour les appliquer à tout parcours professionnel.


    Retrouvez Edgar Grospiron :

    https://www.linkedin.com/in/edgar-grospiron/

    https://www.grospiron.net/

    #56 - Aurélie Lamy - Entraineure cérébral et Chroniqueuse TV - Le bonheur est bien plus simple que ce que l’on pense

    #56 - Aurélie Lamy - Entraineure cérébral et Chroniqueuse TV - Le bonheur est bien plus simple que ce que l’on pense

     « Le bonheur est bien plus simple que ce que l’on pense, ne vous laissez jamais décourager par la tâche.  

    Soyez juste méthodique.  

    Il n’y a pas de recette magique.   

    Agissez un petit peu dans votre quotidien.  

    Un petit peu tous les jours.  

    Vous verrez que vous obtiendrez des résultats bien plus importants. 

    Il n’y a pas une méthode qui vous sauvera ou vous donnera le bonheur absolu.  

    C’est juste une philosophie quotidienne de petits gestes et de petits comportements simples. 

    […] 

    Soyez indulgent avec vous. 

    Tranquille. 

    Laissez-vous vivre un peu ! » 

      

    Cerebral Trainer et Cerebral Strategist, Aurélie Lamy est reconnue pour son approche originale et les résultats obtenus notamment dans le sport de haut niveau auprès de Fabien Galthié, coach de l’équipe de France de Rugby à 15. 

      

    Aurélie est aussi chroniqueuse TV et CEO de CAREFORMANCE. 

      

    Un épisode pratique pour être plus heureux, plus épanoui et plus performant ! 

      

    Merci infiniment Aurélie et à vous, qui nous écoutez, likez et partagez ! :-) 

      

    « Le bonheur est bien plus simple que ce que l’on pense, ne vous laissez jamais décourager par la tâche. » 

      

    Bonne écoute ! 

      

      

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    Notes
    de l’épisode : 

      

      

    Linkedin
    « Aurélie Lamy » : https://www.linkedin.com/in/aur%C3%A9lie-lamy/ 

      

    Instagram
    « Aurélie Lamy » : https://www.instagram.com/aurelielamy.careformance/ 

      

    Site
    web « Aurélie Lamy » : https://aurelielamy.fr/ 

      

    Contact
    : generation@qanopee.com 

      

    Site
    Web « Génération QANOPEE » : https://www.qanopeegeneration.com   

    Comment créer une marque de vêtement technique responsable ? - Vincent Defrasne (Ayaq) | FROM SCRATCH #36

    Comment créer une marque de vêtement technique responsable ? - Vincent Defrasne (Ayaq) | FROM SCRATCH #36

    Selon Keyrus, 90 % des consommateurs attendent des marques qu’elles s’engagent dans la cause environnementale 🙌

    C’est exactement dans cet esprit que Vincent Defrasne a créé Ayaq !

    Après une carrière de sportif de haut-niveau en biathlon, notamment marquée par un titre de champion Olympique (2006), il s’est naturellement tourné vers l’entrepreneuriat.

    Sa mission : créer une marque de vêtement technique outdoor et eco-responsable 👊

    Au programme :
    🤌 Positionnement marketing
    🚀 Stratégie de lancement retail
    ♻️ Recherche & développement
    📈 Répercussion de l’inflation
    👩🏽 Léa Salamé

    Et bien plus encore 🔥

    ♻️ Venez découvrir l'incroyable histoire de Vino et ce qu'il ferait s'il devait tout recommencer FROM SCRATCH !

    🕊 In memoriam
    Lors de notre échange, nous avons évoqué des personnes inspirantes.
    L'une d'elles se nomme Emmanuel Vidal, fondateur de i-Run, malheureusement décédé quelques jours après l'enregistrement de notre épisode. Nous avons une pensée émue et particulière pour les proches et les équipes d'Emmanuel.

    🏔 AYAQ⎜VINCENT DEFRASNE, CEO
    ► Contact : vincent.defrasne@ayaq.com
    ► LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/vincent-defrasne/
    ► Site web Ayaq : https://ayaq.com/
    ► Instagram Ayaq : https://www.instagram.com/ayaq_mountain/ 

    🌐 MES RESEAUX
    ► LinkedIn : https://bit.ly/ThibaultLINKEDIN
    ► Instagram : @fromscratch_podcast
    ► TikTok : @fromscratchpodcast

    💻  MON MATERIEL
    ► Appareil photo Panasonic S5 : https://amzn.to/3EZdqWC
    ► Appareil photo Canon EOS 700D : https://amzn.to/3gRVtkR
    ► Enregistreur Zoom P4 Podtrak : https://amzn.to/3WOwUFt
    ► Micro Shure SM58 : https://amzn.to/3DUtmZC
    ► Casque Beyerdynamic DT-770 PRO 80 Ohm : https://amzn.to/3fQWUPQ 

    Edgar Grospiron : le champion de la motivation !

    Edgar Grospiron : le champion de la motivation !

    Edgar Grospiron, champion olympique de ski de bosses aux Jeux d'Alberville  est l'invité Feel Good. Après avoir signé des exploits sportifs mémorables, il est devenu consultant certifié en management de la motivation. Justement aujourd'hui, il zoome sur la motivation, pas toujours simple à définir et encore plus compliqué à entretenir !


    La motivation selon Edgar Grospiron


    Pour le triple champion du monde de ski acrobatique, la motivation repose sur trois aspects essentiels. La motivation c'est d'abord l'envie de réussir quelque chose, dans sa vie personnelle ou professionnelle. C'est aussi prendre du plaisir à la réalisation, sans oublier le désir de grandir et de progresser ! Pourtant, la motivation n'est pas innée, ce n'est pas un don non plus. Elle ressemble presque à un muscle version cérébral, qu'il faut entrainer régulièrement pour en tirer tous les bénéfices !
    D'ailleurs Edgar Grospiron conseille de faire le point assez souvent sur ce qui nous motive et ce dans tous les domaines de notre vie.


    Faut-il privilégier les compétences ou la motivation ?


    Edgar Grospiron intervient auprès des leaders, des chefs d'entreprises ou encore des managers. Lors d'un processus de recrutement, le champion olympique conseille de sonder en premier lieu la motivation d'un candidat ! Comme il 'explique : "Ce n'est pas la compétence qui fait la motivation, c'est la motivation qui forge la compétence."
    Une personne peu compétente mais avec un haut niveau de motivation présente en général une grande faculté d'adaptation, avec l'envie de progresser et de grandir. Ce sont des personnes dotées de l'énergie nécessaire pour se remettre en question.


    Comment entretenir, muscler et booster sa motivation ?

    Lors de ses interventions, Edgar grospiron distille de précieux outils pour travailler sa motivation, et celle de son équipe. Il se base notamment sur le plaisir à faire ! Une clef encore méconnue car elle est très contre intuitive. En effet, dans notre société, on entend très souvent cette fameuse phrase : "Il faut souffrir pour réussir".


    Pourtant pour réussir sur la durée, la notion de plaisir est indispensable. C'est elle qui alimente en partie notre motivation, notre énergie, notre envie de performer sur le long terme. C'est pourquoi Edgar Grospiron suggère de focaliser son attention sur sa zone de génie. Nous avons tous des domaines dans lesquels nous excellons avec facilité presque. Généralement, c'est dans les domaines où nous sommes bons, que retirons le plus de satisfaction.


    En zoomant notre attention sur nos talents, nous développons des points forts notamment dans notre métier tout prenant du plaisir. Et à terme, ce plaisir se transforme en confiance.


    Plus d'infos ICI

    Son Livre #5 : Mathieu Palain _ Ne t'arrête pas de courir

    Son Livre #5 : Mathieu Palain _ Ne t'arrête pas de courir

    « Ne t’arrête pas de courir » retentit comme une injonction. Mathieu Palain nous raconte une course d’endurance aux côtés du champion olympique Toumany Coulibaly. Né la même année que le sportif, Mathieu vient également de la même cité, Vigneux-sur-Seine, mis à part qu’ils n’ont pas suivi la même trajectoire. Parce que si Toumany s’illustre sur les podiums, il enchaîne aussi les séjours en prison pour vol, une névrose qui le fait replonger à chaque fois. Mais une voix intérieure murmure à Mathieu qu’ils ont quelque chose en commun, qu’il réussira à comprendre la personnalité complexe de Toumany incarcéré au centre pénitentiaire de Réau. Mathieu et Toumany vont se rencontrer au parloir et une histoire d’amitié naîtra dans la vie et sur le papier. « Ne t‘arrête pas de courir » dresse le portrait d’un homme hors normes qui montre que la réalité dépasse la fiction, une histoire vraie récompensée par le prix des étudiants France culture - Telerama

    #25. Benoît Peschier: Cultiver l'insouciance

    #25. Benoît Peschier: Cultiver l'insouciance

    Benoît Peschier est un kayakiste Français, né en 1980. Il est le fils de Claude Peschier, ancien champion du monde de Kayak et le frère de Nicolas Peschier. En 2001. Il remporte des manches de la Coupe du Monde. En 2002, il est attendu aux Championnats du Monde, à Bourg Saint Maurice, au même endroit où avait triomphé son père. Mais Fabien Lefèvre lui prive de ce titre. En 2004, il remporte la médaille d'or aux Jeux Olympiques d'Athènes. En 2005, il termine 5ème en individuel et champion du monde par équipe. En 2006-2007, les résultats ne sont pas au rendez-vous, il décide de changer de nationalité sportive. En 2008, il est remplaçant aux Jeux Olympiques de Pékin. Depuis 2015, il est entraîneur de Denis Gargaud, Champion Olympique à Rio. 

    Dans ce deuxième épisode, il évoque le fait que l'insouciance lui paraît être une qualité mentale nécessaire pour réussir à haut niveau: "Quand je vois les meilleurs kayakistes mondiaux qui sont au départ d'une compétition, j'ai l'impression qu'ils acceptent totalement de réussir ou de perdre. Ils sont insouciants, ils ont un état d'esprit hyper jeune en fait". Pour lui cela "permet de prendre des risques qui paraissent totalement insensés quand on est au bord". Benoît évoque le fait que pendant la course, il est nécessaire de ne plus réfléchir aux conséquences. Il parle du fait que d'avoir cette insouciance est un travail "Ca m'a nécessité tellement de travail pour arriver à l'avoir au bout d'un moment" et évoque l'épuisement mental qui a suivi les Jo d'Athènes en 2004. 

    Il évoque aussi ses routines, travaillées depuis l'enfance et la gestion des émotions. Pour lui, la visualisation fait partie inhérente du travail du Kayakiste, qu'il a commencé à pratiqué dès l'âge de 12 ans car "On connaît le parcours, mais on n'a pas le droit de le pratiquer avant une compétition. Donc tout ce qu'on peut faire pour se préparer, c'est de s'imaginer en train de le pratiquer". 

    Il parle aussi de la façon "d'être libre dans un cadre rigide" et de devoir s'adapter au parcours mais de rester concentrer uniquement sur ce qu'il devait faire. Il avait en tête quelques clés qu'il validait à chaque porte. 

    On a parlé également de la manière d'aborder des Jeux Olympiques, dont il voyait cela comme une "récompense" après tant d'années d'entraînement: "Je pense que l'idée (d'être champion olympique) m'a traversé l'esprit à peu près 200 000 fois dans la journée. En fait, c'est d'accepter que l'idée est là et que c'est juste une idée dans un coin de ma tête et qu'elle ne doit pas me gêner non plus". Ces JO viendront couronner des années d'efforts.

    Enfin, nous avons parlé de l'importance du mental et de son côté mystérieux mais reste un domaine dans lequel il continue à chercher des réponses. Il réalise que la majorité de ses échecs étaient dûs "au stress, à l'anxiété, de ne pas arriver à me lâcher et être dans l'instant présent, et être insouciant".

     

     

    #24. Benoît Peschier: Apprendre à se réinventer

    #24. Benoît Peschier: Apprendre à se réinventer

     

    Benoît Peschier est un kayakiste Français, né en 1980. Il est le fils de Claude Peschier, ancien champion du monde de Kayak et le frère de Nicolas Peschier. En 2001. Il remporte des manches de la Coupe du Monde. En 2002, il est attendu aux Championnats du Monde, à Bourg Saint Maurice, au même endroit où avait triomphé son père. Mais Fabien Lefèvre lui prive de ce titre. En 2004, il remporte la médaille d'or aux Jeux Olympiques d'Athènes. En 2005, il termine 5ème en individuel et champion du monde par équipe. En 2006-2007, les résultats ne sont pas au rendez-vous, il décide de changer de nationalité sportive. En 2008, il est remplaçant aux Jeux Olympiques de Pékin. Depuis 2015, il est entraîneur de Denis Gargaud, Champion Olympique à Rio. 

     Dans ce premier épisode, Benoît parle de son parcours, dans un univers familial baigné dans l'univers du Kayak qui facilite la voie vers le haut niveau. Il découvre le plaisir du kayak, associé à la découverte de lieu et de jeux en eau vive et de la créativité qui en ressort. Il pense aux JO mais y arrive en fixant des objectifs et pensant étape par étape et en faisant également des remises en question, juste avant les JO d'Athènes où il va emporter la médaille d'or. Il évoque le ratage de 2002, aux championnats du monde où il pensait que ça "ne pouvait pas lui échapper" mais a été pris par l'enjeu. Deux saisons se suivent où il parle de "descente aux enfers" et à l'importance de l'apport de la psychologue du sport à ce moment là: "C'est quelque chose que j'avais travaillé beaucoup avec de bons résultats à la clé. Je m'étais rendu compte que j'étais performant mais que j'étais très irrégulier"

    En 2004, la différence se joue sur le travail et sur la manière de gérer mentalement l'enjeu: "Ca a été une lutte extrêmement dure pour rester dans l'instant". Des doutes arrivent: Est-il prêt? Il se sentait prêt à "assumer d'être champion". Il découvre ensuite les conséquences et la difficulté de rebondir après une grande victoire. Il se rend compte que la recette pour réussir n'est jamais garantie: "Je pensais que j'avais trouvé la recette et il s'est avéré qu'il n'y pas de recette en fait (..) Elle peut marcher qu'une seule fois et on ne peut pas la reproduire indéfiniment pour que ça remarche. On évolue. (..). En fait, il fallait tout réinventer".

    Après ces jeux Olympiques, il continue à se battre pour les sélections mais est déçu de ne pas pouvoir participer aux JO de Pékin: "Le fait de ne pas être sélectionné, ça m'a donné encore plus l'envie de continuer. Là, c'était une rage, un esprit de vengeance". Il décide de partir concourir pour la Grèce mais découvre la difficulté de changer de pays "et de petit drapeau au départ de la course". En 2012, il échoue à se qualifier, car il était "spectateur de son propre naufrage" mais il évoque aussi la satisfaction et les regrets qu'il a appris de son parcours.

     

     

     

     

    #21. Edgar Grospiron: Se concentrer sur son potentiel

    #21. Edgar Grospiron: Se concentrer sur son potentiel

    Edgar Grospiron est champion de ski bosse, né en 1969 dans le Jura. Il fait ses premiers pas à 18 mois dans le ski dans une famille baignée dans cet environnement.  A 14 ans, il décide de s’orienter vers la pratique du ski acrobatique. Sélectionné dans les équipes de France, il ambitionne d’être le meilleur de sa discipline. En 1988, aux JO de Calgary, le ski bosse est encore en démonstration, et il remporte la médaille de bronze. En 1992, il devient le premier champion olympique de sa discipline à Albertville. En 1994, il remporte la médaille de bronze aux JO de Lillehammer. Il termine sa carrière, à 26 ans, après avoir été couronné pour la troisième fois champion du monde, devant son public à La Clusaz. A présent, il est conférencier en entreprise sur la motivation.

    Dans ce deuxième épisode, Edgar parle de sa réticence à travailler le mental, "J'étais un réfractaire à tout ce qui était approche mentale", quand il était athlète mais qu’il a changé de point de vue en modifiant ses croyances:  "J’observe, je vois et je trouve que c’est évident et même assez débile de penser que le mental puisse être une qualité innée". 

    Il parle de l’apport de son entraîneur dans son état d’esprit: “Dans ma jeunesse, j’ai eu un entraîneur qui était génial, qui m’avait dit “il faut que tu penses comme un champion”. Je lui avait dit “c’est abstrait, il pense comment le champion”? Il m’a répondu “Là où toi, tu vois des problèmes, lui, il voit des opportunités, il trouve des solutions et il progresse”.

    Il parle aussi de l’apport de la visualisation dans la préparation de ses courses: "On s’entraîne, on ski la piste, on est capable de la visualiser dans notre tête. On déroule la course dans notre tête. Il y a un travail de visualisation qui se fait".

    Il explique comment il a géré les jeux olympiques, à domicile en essayant de se focaliser sur lui-même. Il a parlé des exigences qu’il se fixait et du plaisir qu’il avait à courir cette course qui allait changer sa vie "J’ai le sentiment d’avoir moins subi la pression quand je me concentrais sur mon potentiel, que je contrôle, ma capacité à le faire évoluer et puis ensuite à le délivrer".

    Il explique aussi, comment la médaille olympique l’a éloigné de ses objectifs et qu’il avait perdu cette confiance pour aborder 1994 dans les mêmes dispositions. Il parle de son échec et du fait qu’il s’est senti subir cet évènement:"Pour moi 94 a été un échec sur toute la ligne, j’ai jamais eu l’intention de les gagner. je partais en looser. Le jour de la course, je suis arrivé dépité".

    Mais il explique, également, que cet échec lui a énormément apporté pour la suite de sa carrière:"J’ai beaucoup plus appris sur moi même, sur J’ai plus appris d’un échec que d’un succès". 

    Enfin, il donne des conseils à un jeune qui aimerait suivre son parcours:"La partie de vie de l’adolescence où on découvre un sport est une partie qui est assez fantastique, fondatrice parce que ce plaisir là c’est la garantie du succès du futur. c’est le plaisir qui donne du résultat".