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    jean le cam

    Explore "jean le cam" with insightful episodes like "Anne Le Cam, l'humain avant tout", "#65 Jean Le Cam, une vie pour la course - 2e partie", "#65 Jean Le Cam, une vie pour la course - 1ère partie", "#59 — Naufragés des mers du sud, avec Jean Le Cam" and "Pos. Report #76 avec Thomas Ruyant, Romain Attanasio et Benjamin Ferré" from podcasts like ""Navigantes", "Into The Wind", "Into The Wind", "Les Baladeurs" and "Pos. Report"" and more!

    Episodes (13)

    Anne Le Cam, l'humain avant tout

    Anne Le Cam, l'humain avant tout

    Véritable pilier des projets de son mari Jean, Anne Le Cam n’était pourtant absolument pas prédestinée à se retrouver embarquée sur ses projets au long cours. A la fin des années 80, elle débarque à Port-la-Forêt “pour se reconstruire”, elle n’en dira pas plus. Elle travaille d’abord pour Nautisme en Finistère, “une expérience merveilleuse”, qui va lui permettre de mettre en avant sa capacité à monter des projets et son sens de l'humain.


    Dans le même temps, elle devient la compagne de Jean Le Cam, sans pour autant être une fan de voile et de course au large, confiant : “Je ne sais pas si j’ai vraiment une histoire d’amour avec la mer et les bateaux.” Ce qui ne l’empêche pas d’accompagner ce dernier dans ses aventures maritimes, tournées depuis maintenant vingt ans autour du Vendée Globe. Elle trouve aussi le temps de monter son restaurant, Le Kinawa, à quelques mètres du pôle Finistère de Port-la-Forêt, dont Jean est un pilier. ”Au départ, je devais faire des plats pour que les marins les emportent en mer, finalement, c’est devenu un restaurant. J’ai repris des études, car ça ne s’invente pas”.


    Tout en faisant tourner la boutique, Anne Le Cam vit de l’intérieur les courses et les tours du monde de son mari, l’aide dans la recherche de sponsors, le porte quand il est en mer et… soigne son cancer du sein. Ça fait beaucoup. “Je pense que nous les femmes, on a une énergie assez considérable”, explique-t-elle. Lors de la dernière campagne de Vendée Globe de Jean, elle était chef du projet, cravachant aux côtés de son marin de mari pour que le projet voie le jour. “Etre au départ était déjà une sacrée victoire”.


    Quand il est en mer, elle prend son rythme - “Je suis un peu libre, je fais ma vie” sourit-elle - mais toujours à l’affût d’un appel et présente s’il a besoin de parler. “Quand il y a eu l’accident de Kevin (Escoffier), je l’ai eu en pleurs, il pensait qu’il ne le retrouverait pas, et puis Kevin est monté à bord, ça a été les montagnes russes de l’émotion.” Ces derniers temps, même si elle n’est jamais très loin du chantier dans lequel Jean construit son nouveau bateau, Anne a décidé de prendre un peu de recul, parce  qu’elle aimerait ouvrir un nouveau chapitre en s’adonnant à un rêve de toujours : écrire. 


    Navigantes est animé par Hélène Cougoule et produit par Tip & Shaft.


    Diffusé le 24 mai 2023

    Post production :  Grégoire Levillain

    Générique : All the summer girls

    #65 Jean Le Cam, une vie pour la course - 2e partie

    #65 Jean Le Cam, une vie pour la course - 2e partie

    Faut-il vraiment présenter Jean Le Cam ? Faut-il tenter de résumer une carrière débutée en 1978... et toujours en cours, 44 ans plus tard ? Devenu une véritable rock star adulée du grand public sur le tard, le Roi Jean, qui a fini par admettre son surnom, est une légende, tout simplement.


    Quel marin peut se targuer d'avoir gagné trois fois la Solitaire, navigué sur Pen Duick VI avec Tabarly, avoir été sauvé par Vincent Riou puis sauvé Kevin Escoffier, et préparer une sixième participation consécutive au Vendée Globe ? A l'âge où le Français moyen profite de la retraite, lui envisage tranquillement d'aller virer une énième fois un cap Horn, dont il a fait son jardin, ou presque.


    De la course au large à la française, Le Cam a tout vécu - à l'exception de la Mini Transat. Après une première participation à la Solitaire du Figaro en 1978 - l'année où le regretté Mike Birch gagne la mythique première édition du Rhum -, puis une Whitbread sur Euromarché avec Tabarly, le jeune Finistérien est un pilier de la saga Jet Services, puis du circuit Formule 40, à la fin des années 1980.


    Quelques années plus tôt, il a créé CDK avec Gaétan Gouérou et Hubert Desjoyeaux, son ami d'enfance, qui a donné son nom au bateau avec lequel il a brillé lors du dernier Vendée Globe. Puis ce sont les années 1990 dédiées au Figaro, une décennie pendant laquelle il va bâtir les fondamentaux de sa légende : trois victoires dans la Solitaire, une autre dans la transat AG2R, en six saisons. Le Roi Jean règne sur le figarisme, il est temps de passer à l'Orma.


    Des trois saisons qu'il passe sur son multicoque de 60 pieds Bonduelle, Jean Le Cam dit tout simplement : "Ce sont des bateaux de fous". En basculant, en 2008 dans la classe Imoca, le Quimpérois va retrouver le plaisir et entamer une relation fusionnelle avec une course qu'il va faire sienne : le Vendée Globe. Cinq éditions où se mêlent podiums, chavirage, sauvetages, régate au couteau mais aussi répliques mythiques et fulgurances stylistiques.


    Pour son sixième tour, Le Cam part avec un projet neuf et innovant - un scow sans foils - et, changement important, un budget quasi bouclé deux ans avant le départ. Une nouveauté pour un marin qui continue, saisons après saisons, d'avoir la course dans la peau - tout simplement.


    Diffusé le 4 novembre 2022

    Générique : In Closing – Days Past

    Post-production : Grégoire Levillain

    #65 Jean Le Cam, une vie pour la course - 1ère partie

    #65 Jean Le Cam, une vie pour la course - 1ère partie

    Faut-il vraiment présenter Jean Le Cam ? Faut-il tenter de résumer une carrière débutée en 1978... et toujours en cours, 44 ans plus tard ? Devenu une véritable rock star adulée du grand public sur le tard, le Roi Jean, qui a fini par admettre son surnom, est une légende, tout simplement.


    Quel marin peut se targuer d'avoir gagné trois fois la Solitaire, navigué sur Pen Duick VI avec Tabarly, avoir été sauvé par Vincent Riou puis sauvé Kevin Escoffier, et préparer une sixième participation consécutive au Vendée Globe ? A l'âge où le Français moyen profite de la retraite, lui envisage tranquillement d'aller virer une énième fois un cap Horn, dont il a fait son jardin, ou presque.


    De la course au large à la française, Le Cam a tout vécu - à l'exception de la Mini Transat. Après une première participation à la Solitaire du Figaro en 1978 - l'année où le regretté Mike Birch gagne la mythique première édition du Rhum -, puis une Whitbread sur Euromarché avec Tabarly, le jeune Finistérien est un pilier de la saga Jet Services, puis du circuit Formule 40, à la fin des années 1980.


    Quelques années plus tôt, il a créé CDK avec Gaétan Gouérou et Hubert Desjoyeaux, son ami d'enfance, qui a donné son nom au bateau avec lequel il a brillé lors du dernier Vendée Globe. Puis ce sont les années 1990 dédiées au Figaro, une décennie pendant laquelle il va bâtir les fondamentaux de sa légende : trois victoires dans la Solitaire, une autre dans la transat AG2R, en six saisons. Le Roi Jean règne sur le figarisme, il est temps de passer à l'Orma.


    Des trois saisons qu'il passe sur son multicoque de 60 pieds Bonduelle, Jean Le Cam dit tout simplement : "Ce sont des bateaux de fous". En basculant, en 2008 dans la classe Imoca, le Quimpérois va retrouver le plaisir et entamer une relation fusionnelle avec une course qu'il va faire sienne : le Vendée Globe. Cinq éditions où se mêlent podiums, chavirage, sauvetages, régate au couteau mais aussi répliques mythiques et fulgurances stylistiques.


    Pour son sixième tour, Le Cam part avec un projet neuf et innovant - un scow sans foils - et, changement important, un budget quasi bouclé deux ans avant le départ. Une nouveauté pour un marin qui continue, saisons après saisons, d'avoir la course dans la peau - tout simplement.


    Diffusé le 28 octobre 2022

    Générique : In Closing – Days Past

    Post-production : Grégoire Levillain

    #59 — Naufragés des mers du sud, avec Jean Le Cam

    #59 — Naufragés des mers du sud, avec Jean Le Cam

    Jean Le Cam est un marin d’exception. Son palmarès, son expérience et ses exploits en solitaire lui valent d’ailleurs le surnom de “Roi Jean”. Mais le navigateur ne le sait que trop bien, la mer est capricieuse et imprévisible. Sa carrière l’aura démontré de manière implacable à deux reprises. 

    Lors du Vendée Globe de 2009, son navire chavire au large du Cap Horn faisant de lui un naufragé. 12 ans plus tard, pour la dernière édition de la compétition, c’est à son tour de recevoir les appels de détresse d’un compétiteur. Une bonne occasion de payer sa dette…

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    🎙 Un épisode réalisé par Thomas Firh en collaboration avec Nicolas Alberty, présenté par Clémence Hacquart, mis en musique par Nicolas de Ferran avec une musique additionnelle de Micheal Boga, mixé par Laurie Galligani, et monté par Chloé Wibaux en duo avec Capucine Lebot.

    🤝 La saison 5 des Baladeurs est soutenue par Columbia.



    Plus de détails sur l'épisode :

    Il y a des hommes et des femmes que la terre ferme ne contente pas. Si certains l’arpentent de long en large, les marins eux, n’y mettent les pieds que pour l’escale. Et, à peine à quai, leur regard se tourne déjà vers la mer. Vers le prochain départ, la prochaine course, les prochaines aventures…

    Jean Le Cam fait partie de cette espèce. Bien plus qu’une passion, la voile est avant tout pour lui une affaire de compétition. Son palmarès sur les courses les plus prestigieuses, son expérience et ses exploits en solitaire lui valent d’ailleurs le surnom de Roi Jean.
    À l’arrivée, il n’est pas rare de le voir danser sur le pont de son voilier, pour fêter ses victoires ou remercier l’océan de l’avoir laissé rentrer à bon port. Car le Roi Jean ne le sait que trop bien, la mer est imprévisible et capricieuse.

    Lors du Vendée Globe 2009, son navire percute un iceberg et chavire au large du Cap Horn. Réfugié dans un petit compartiment de son bateau retourné sur l’océan, il dérive en attendant les secours, plongé dans le noir. Et en mer, patience est mère de sûreté.

    Après avoir été sauvé par son concurrent Vincent Riou, Jean Le Cam a repris la mer. En 2020, lors de la dernière édition du Vendée Globe, c’est à son tour de répondre aux appels de détresse de l’un des participants aux large du Cap de Bonne Espérance. Une belle occasion de payer sa dette et de sauver un compétiteur du naufrage.

    Pos. Report #76 avec Thomas Ruyant, Romain Attanasio et Benjamin Ferré

    Pos. Report #76 avec Thomas Ruyant, Romain Attanasio et Benjamin Ferré

    Ce 76e épisode de Pos. Report est consacré à la Vendée Arctique-Les Sables d'Olonne, dont le départ sera donné dimanche 12 juin à 17h depuis le port de départ et d'arrivée du Vendée Globe. Nos invités sont trois concurrents parmi les 25 inscrits à cette course en solitaire réservée aux Imoca : Thomas Ruyant, Romain Attanasio et Benjamin Ferré.


    Nous commençons cet épisode par l'évocation de la grande parade des skippers du Vendée Globe, qui s'est déroulée vendredi dernier : un moment sympa, avec "un monde fou", comme toujours aux Sables d'Olonne, et un moyen aussi de se retrouver entre coureurs du Vendée plus d'un an après l'arrivée, Benjamin Ferré, bizuth en Imoca, l'ayant suivi depuis... son balcon !


    Place, ensuite à l'analyse de la première épreuve Imoca de la saison, la Guyader Bermudes 1000 Race : confirmation que les costauds, comme Jérémie Beyou, Thomas Ruyant - "déçu" de son abandon mais "dans le match" - et Charlie Dalin sont au rendez-vous de ce début de saison, Thomas Ruyant confiant que le skipper d'Apivia s'annonçait difficile à prendre dans les courses avec des phases de transition. Et confirmation, côté Benjamin Ferré, qui n'avait pas navigué en solo depuis sa dernière Mini Transat en 2019, qu'il prenait beaucoup de plaisir à découvrir l'Imoca, cornaqué par Jean Le Cam. Quant à Romain Attanasio, accaparé par des opérations de RP entre Angleterre et Portugal, il n'a pas couru mais a beaucoup navigué sur bateau pendant un mois.

    Nos invités évoquent ensuite le parcours très particulier de cette Vendée Arctique, avec cette route plein Nord ou presque, le tour de l'Islande, avec le Groënland à proximité. Tous s'accordent à dire que l'épreuve, longue de 3 500 milles, s'annonce plus dure que la Route du Rhum, censée être le point d'orgue de l'année - "la Vendée Artcique est le très gros morceau de la saison", selon Thomas Ruyant, Romain Attanasio rappelant que, contrairement aux habitudes, "les marins seront traversés par les systèmes météo".


    De quoi rendre prudent Benjamin Ferré - bien content de ne pas avoir de foils ! -, qui a pour objectif principal de terminer l'épreuve, de "naviguer à mon niveau" et de poursuivre son apprentissage en Imoca, ses deux aînés s'attendant à une course très physique, avec beaucoup de changements de voiles...  Thomas Ruyant, depuis qu'il a gagné la Transat Jacques Vabre, vise désormais le podium et en particulier sa plus haute marche : "On ne va pas se mentir, je veux finir, mais devant". Romain, lui, garde en tête les milles à accumuler et la nécessité de ramener le bateau de contrées particulièrement peu hospitalières en cas de soucis. Quant à Benjamin Ferré, s'il est concerné lui aussi par la course aux milles, il cherche à ne pas trop y penser, participant à toutes les courses du circuit Imoca d'ici le départ du Vendée Globe.


    Nos trois invités concluent cet échange par un point sur l'évolution de leurs projets : un bateau neuf - plan Koch-Finot/Conq - mis à l'eau début 2023 pour Thomas Ruyant ; des évolutions en cours de réflexion côté Romain Attanasio, qui continue la prise en main de l'ex Malizia ; de la fiabilisation avant toute chose et pas de foils pour l'ex SMA de Benjamin Ferré.


    Diffusé le 7 juin 2022

    Générique : Fast and wild/EdRecords

    Post-production : Julien Badoil/Studio Juno

    #124 VENDEE GLOBE - Jean Le Cam & Violette Dorange - DeVenir

    #124 VENDEE GLOBE - Jean Le Cam & Violette Dorange - DeVenir

    Dans cet épisode très exceptionnel, je vous fais découvrir un projet qui me tient particulièrement à coeur, DeVenir, porté par la talentueuse et prometteuse skippeuse professionnelle,Violette Dorange, au profit de la Fondation des Apprentis d’Auteuil.

    Violette a 20 ans et en 2024elle sera la plus jeune navigatrice de l’histoire à s’élancer au départ du Vendée Globe !

    Soutenue par l'irremplaçable Jean Le Cam, dit le Roi Jean, elle prendra la mer sur son mythique bateau (IMOCA), Hubert.

    Violette recherche des sponsors pour financer cette course au large unique au monde. Parce que je suis fan de voile et que son projet solidaire me touche, j’ai décidé de modestement l’aider en lui ouvrant le micro des Digital Doers. Peut-être que quelques décideurs de l'écosystème retail / e-commerce seront intéressés pour devenir partenaires ?

    Je vous propose donc une interview croisée entre elle et Jean pour découvrir une formidable aventure sportive, solidaire et humaine ! Je vous le garantis, vous ne serez pas déçu !

    Bonne écoute, toujours sans coupure ! 

    « Qui va payer le transbordement de Kevin Escoffier par la Marine nationale ?»

    « Qui va payer le transbordement de Kevin Escoffier par la Marine nationale ?»

    Grâce aux articles de Guillaume Loisy, les lecteurs du Figaro ont pu vivre la récupération du navigateur Kevin Escoffier par la Marine nationale. Participant malheureux du Vendée Globe, le Malouin avait été sauvé par Jean Le Cam il y a une semaine après l’avarie qui a coulé son bateau. Il vient d’être récupéré par les militaires français qui l’ont transféré avec succès sur la frégate Nivôse. 

    La Marine nationale qui se déplace pour aller chercher Escoffier réfugié à bord du monocoque de Le Cam n’a pas manqué de faire s’interroger les internautes sur le coût d’une telle mission.

    Guillaume Loisy, avec Charlotte Barrillon-Dennebouy, répond à vos questions dans ce podcast réalisé par Guillaume Cabaret.

    Lire l'article de Guillaume Loisy : https://www.lefigaro.fr/sports/vendee-globe-comment-la-marine-nationale-a-recupere-kevin-escoffier-20201206


    Pos. Report #5 avec Hubert Lemonnier et Pascal Bidégorry

    Pos. Report #5 avec Hubert Lemonnier et Pascal Bidégorry

    C'est un épisode n° 5 exceptionnel de Pos. Report que nous vous proposons ce mardi, en compagnie d'Hubert Lemonnier, adjoint à la direction de course du Vendée Globe auprès de Jacques Caraës, et de Pascal Bidégorry, qui a collaboré avec Charlie Dalin dans la préparation de ce Vendée Globe, proche de Kevin Escoffier, avec qui il a couru deux fois la Volvo Ocean Race à bord de Dongfeng Race Team.

    Enregistré 9 heures après le sauvetage de Kevin Escoffier par Jean Le Cam, cet épisode va nous ouvrir, grâce à Hubert Lemonnier, les portes de la direction de course et de vivre heure par heure cette nuit de recherche du skipper de PRB.

    En complément, le récit de Pascal Bidégorry, qui suit à terre depuis chez lui les opérations, offre une plongée rare dans les coulisses d'une incroyable opération de sauvetage.

    Générique : Fast and wild/EdRecords
    Post-production : Clovis Tisserand

    Un été avec Bilou 2/4 - Des Solitaires du Figaro au premier Vendée Globe : l'appel du large

    Un été avec Bilou 2/4 - Des Solitaires du Figaro au premier Vendée Globe : l'appel du large

    Jusqu'à la fin du mois d'août, Tip & Shaft vous propose d'embarquer avec Roland Jourdain pour un podcast en 4 épisodes au cours desquels nous allons suivre le parcours éclectique d'un marin qui, en 30 ans de carrière, aura touché à tout ou presque.

    De la Mini-Transat, dans laquelle il fait naufrage à 20 ans, jusqu'à ses trois Vendée Globe, qui le feront connaître du grand public, en passant par l'aventure des Formule 40 et des Orma, du Figaro ou des MOD70, Bilou - comme on le surnomme - sera partout pendant ces décennies où la voile de compétition progresse à pas de géant tout en se professionnalisant.

    Au fil des milles on verra aussi comment les enjeux environnementaux prendront une importance grandissante dans les préoccupations du marin quimpérois, cofondateur de Kaïros et d'Explore.

    Pour ce deuxième épisode diffusé ce vendredi, nous traversons les années 1990, au cours desquelles Bilou enchaîne les Solitaires du Figaro pour arriver à son premier Vendée Globe, terminé troisième en 2001.

    #11 - MIchel Desjoyeaux, toujours dans le match après une décennie de course - 1ère partie

    #11 - MIchel Desjoyeaux, toujours dans le match après une décennie de course - 1ère partie

    Faut-il encore présenter Michel Desjoyeaux ? C'est, tout simplement, le plus beau palmarès de la voile française en solitaire. Jugez-en plutôt ; triple vainqueur de la Solitaire du Figaro, double vainqueur du Vendée Globe, il a aussi dans sa besace la Transat anglaise, la Route du Rhum et bien d'autres podiums...


    A 54 ans, Le Professeur, comme on l'appelle, reste dans le match, comme en témoigne sa 12e place sur la Solitaire à l'été 2019. Acteur encore influent du secteur, il n'a rien perdu de son verbe, parfois acéré, toujours précis.


    En témoigne cette première partie de l'épisode fleuve qu'il a accepté de nous consacrer, revenant longuement sur sa jeunesse puis ses années de formation et enfin sa carrière en Figaro qui l'emmène aux portes de son premier Vendée Globe, qui sera évoqué dans le prochain épisode.


    Diffusé le 11 novembre 2019

    Générique : In Closing – Days Past

    Post-production : Clovis Tisserand


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    #3 - Yann Eliès, le Briochin qui a toujours son Figaro sous la main

    #3 - Yann Eliès, le Briochin qui a toujours son Figaro sous la main

    Yann Eliès appartient à un club très fermé de l'élite de la voile : celui des triples vainqueurs de la Solitaire du Figaro, auquel appartiennent également Philippe Poupon, Jean Le Cam, Michel Desjoyeaux, Jérémie Beyou.

    De son entrée en "figarisme" - il a participé à 14 éditions de la classique estivale - en passant par les deux trophées Jules Verne remportés avec Bruno Peyron sur Orange, le Briochin revisite sans langue de bois une riche carrière émaillée de deux Vendée Globe, dont l'un faillit bien se terminer tragiquement.

    A 44 ans, il rempile pour une nouvelle saison en Figaro 3, continuant à viser une nouvelle participation au Vendée Globe. Un troisième épisode d'Into The Wind où les marins continuent à s'exprimer dans la longueur, avec des paroles fortes et originales.


    Diffusé le 10 janvier 2019

    Post-production : Clovis Tisserand 

    Générique : In Closing – Days Past 

    Photo : Alexis Courcoux

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