Logo

    les républicains

    Explore "les républicains" with insightful episodes like "Folge 2 - Macrons unbequeme Herausforderin", "Primaire LR : à droite toute ! / Loukachenko : la politique des otages / n°220 / 21 novembre 2021", "Eric Ciotti : "Je n'ai pas d'ennemi à droite !"", "🔒 À la télévision, les candidats LR jouent à perdant-perdant" and "Les droites dans tous leurs états / Afrique-France quoi de nouveau ? / n°215 / 17 octobre 2021" from podcasts like ""Franko-viel - Der Frankreich-Podcast", "Le Nouvel Esprit Public", "Livre Noir", "Articles lus" and "Le Nouvel Esprit Public"" and more!

    Episodes (32)

    Primaire LR : à droite toute ! / Loukachenko : la politique des otages / n°220 / 21 novembre 2021

    Primaire LR : à droite toute ! / Loukachenko : la politique des otages / n°220 / 21 novembre 2021

    Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.fr

    Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l’Arrière-boutique le 19 novembre 2021.

    Avec cette semaine :

    • Nicolas Baverez, essayiste et avocat.
    • Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.
    • Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Le Temps.
    • Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.


    PRIMAIRE LR : À DROITE TOUTE !


    Un peu plus de 125 000 adhérents, à jour de cotisation, vont choisir par vote électronique le prochain candidat du parti Les Républicains à la présidentielle, lors du congrès prévu le 4 décembre prochain. Deux des quatre débats télévisés prévus jusqu’au 30 novembre entre Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Michel Barnier, Éric Ciotti et Philippe Juvin se sont tenus. De l’un à l’autre, les prétendants ont durci leurs discours, notamment sur les thèmes de l’immigration et de la sécurité. Fin août, le patron des Hauts-de-France, Xavier Bertrand a alerté sur « le combat engagé par l'islamisme radical contre notre civilisation » et proposé un référendum sur l'immigration. La présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse a multiplié les propositions, comme l'instauration de quotas d'immigration ou la généralisation des comparutions immédiates pour les flagrants délits. L'ex-commissaire européen, Michel Barnier a surpris son monde en proposant l'instauration d'un « moratoire sur l'immigration » associé à « un bouclier constitutionnel » pour éviter toute condamnation par la justice européenne. Le député des Alpes-Maritimes, Éric Ciotti a plaidé pour « une priorité nationale et communautaire européenne sur l'emploi, les allocations et le logement », reprenant à son compte un concept défendu par le Front national et le Rassemblement national depuis des années et a préconisé d'ouvrir un « Guantanamo à la française » outre-mer. Seul le maire de La Garenne-Colombes dans les Hauts-de-Seine, Philippe Juvin s’est abstenu de propositions et de formules chocs, affirmant sa volonté d'être « très ferme » sans être « caricatural ».

    Tous les candidats plaident pour une souveraineté française renforcée par rapport aux règles européennes. Dès le 9 septembre, l'ancien négociateur du Brexit, Michel Barnier a défendu la nécessité de retrouver une « souveraineté juridique » en matière d'immigration « pour ne plus être soumis aux arrêts de la Cour de justice de l'UE ou de la Cour européenne des droits de l'homme ». Une critique qui a ulcéré ses anciens collègues à Bruxelles. Valérie Pécresse a contesté la primauté du droit européen sur les « identités constitutionnelles » des Etats membres de l'Union européenne, tandis que Xavier Bertrand a proposé d'introduire dans la Constitution « un mécanisme de sauvegarde des intérêts supérieurs de la France. Éric Ciotti a souhaité « modifier l'article 55 de la Constitution pour affirmer la primauté de la Constitution sur les décisions européennes ».


    ***


    LOUKACHENKO : LA POLITIQUE DES OTAGES


    Depuis le mois d’août, les Européens accusent le président biélorusse, Alexandre Loukachenko, d’alimenter la crise migratoire en délivrant des visas à des migrants et en affrétant des vols, notamment au départ de la Turquie, pour se venger des sanctions occidentales imposées en 2020 à la suite de la brutale répression d’opposants qui contestent sa réélection. Alors que la Pologne a déployé 15 000 militaires, érigé une clôture surmontée de fil de fer barbelé et approuvé la construction d’un mur à la frontière, Moscou et Minsk mènent des exercices militaires communs près de la frontière polonaise. Varsovie a refusé l’aide de Frontex, l’agence européenne de gardes-frontières et de garde-côtes. Elle a aussi interdit aux ONG et journalistes l’accès à la zone frontalière. Également membre de l'UE, la Lituanie a, comme la Pologne, décrété l'état d'urgence à sa frontière avec la Biélorussie, tandis que l’Ukraine, pays voisin de la Biélorussie, a annoncé le déploiement de 8 500 militaires supplémentaires à la frontière.

    Le Conseil de sécurité des Nations unies s’est réuni en urgence le 11 novembre. Plusieurs pays, dont les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni, ont accusé Minsk de vouloir « déstabiliser les pays voisins » et « détourner l’attention de ses propres violations croissantes des droits humains ». Le président biélorusse, soutenu par la Russie, a démenti toute instrumentalisation des migrants. La Turquie, carrefour aérien majeur entre Europe et Moyen-Orient, a annoncé le 12 novembre que les Irakiens, Syriens et Yéménites ne seraient plus autorisés à embarquer pour la Biélorussie à partir de ses aéroports « jusqu’à nouvel ordre ».

    Sur le terrain, les migrants sont pris en étau entre les forces biélorusses qui, selon Varsovie, les contraignent à avancer en tirant parfois des coups de feu en l’air, et les gardes-frontières polonais qui les refoulent sans ménagement. Entre 3 000 et 4 000 personnes sont coincées du côté biélorusse, dont des femmes et des enfants. Ils occupent des camps de fortune par des températures voisines de zéro. Depuis le début de cette crise migratoire, au moins onze migrants sont décédés, dont sept du côté polonais de la frontière, selon le quotidien polonais Gazeta Wyborcza.

    Le 15 novembre, les ministres des affaires étrangères de l'UE se sont mis d'accord sur une modification du régime actuel de sanctions, en l'élargissant aux pratiques qui consistent à « organiser ou contribuer aux activités du régime de Loukachenko qui facilitent le franchissement illégal des frontières extérieures de l'Union ». Actuellement, 166 personnes et 15 entités biélorusses, sont visées, dont Alexandre Loukachenko, son fils et conseiller à la sécurité nationale, ainsi que des membres du système judiciaire et des acteurs économiques. Le 17 novembre, le patron de Frontex a annoncé que la Pologne était en train d'organiser le rapatriement vers l'Irak de 1 700 migrants et a prévenu que l'UE doit se préparer à ce que ce genre de crise se répète « de plus en plus fréquemment ».

    Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d’analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l’actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

    🔒 À la télévision, les candidats LR jouent à perdant-perdant

    🔒 À la télévision, les candidats LR jouent à perdant-perdant

    Les cinq candidats à l’investiture LR ont débattu pendant trois heures sur LCI, lundi 8 novembre, sans qu’il n’en sorte aucune franche divergence. Tout juste une course désespérée à la fermeté sur l’immigration ou la sécurité, adoucie par la forme d’un échange souvent narcotique. Un article d’Ilyes Ramdani, publié sur Mediapart le 9 novembre 2021, lu par Arnaud Romain.

    Les droites dans tous leurs états / Afrique-France quoi de nouveau ? / n°215 / 17 octobre 2021

    Les droites dans tous leurs états / Afrique-France quoi de nouveau ? / n°215 / 17 octobre 2021

    Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l’Arrière-boutique le 15 octobre 2021.

    Avec cette semaine :

    • Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée Nationale.
    • Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l’Institut Français de Géopolitique.
    • Nicole Gnesotto, titulaire de la chaire « Union Européenne » au CNAM.
    • Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.


    LES DROITES DANS TOUS LEURS ÉTATS


    Le 9 octobre au Havre, ville dont il est redevenu maire en 2020, Edouard Philippe a lancé sa propre formation politique, baptisée « Horizons », destinée à accélérer la recomposition politique à droite. L'ancien Premier ministre a estimé que le premier défi était de « remettre de l'ordre dans nos comptes et de l'ordre dans nos rues » et que « le premier sujet à régler s'agissant des dépenses, c'est la question des retraites ». Une nouvelle offre politique qui entend « regarder devant », mais qui s'inscrit dans la logique d'une droite « Macron-compatible » pour élargir vers la droite la base électorale d'Emmanuel Macron. Horizons doit tenir son congrès fondateur d'ici à la fin de l'année.

    Après s’être opposé à toutes formes de primaire et avoir souvent laissé entendre qu'il ne participerait à aucune compétition interne, le 11 octobre, le président des Hauts-de-France, Xavier Bertrand a finalement annoncé qu'il participerait au congrès du parti Les Républicains. Le 4 décembre, il se soumettra donc aux votes des adhérents d'un parti dont il avait claqué la porte en décembre 2017. Il s’opposera alors à Valérie Pécresse, Michel Barnier, Éric Ciotti, Philippe Juvin et Denis Payre. « La droite n'est pas morte hier », s’est ému Damien Abad, chef de file des députés LR et soutien de Bertrand, au lendemain de cette annonce. « Elle ne s'est pas fracturée et fissurée en deux à un moment où nous-mêmes nous devons faire face à deux menaces extérieures, avec Éric Zemmour d'un côté et Edouard Philippe de l'autre. » Une investiture permettrait à Xavier Bertrand, en plus de la force de frappe des 80 000 militants LR revendiqués, de ne plus se soucier de la collecte des 500 signatures et de bénéficier des 8 à 10 millions d'euros mis de côté par le parti pour faire campagne. Selon une récente enquête commandée par la structure du député Les Républicains, Julien Aubert, Oser la France, Xavier Bertrand récoltait 38 % de bonnes opinions au sein des militants Les Républicains, derrière Valérie Pécresse (52 %) et Michel Barnier (58 %). En revanche, chez les électeurs, il est régulièrement donné dans les sondages légèrement devant ses concurrents, et a été pour la première fois le 11 octobre placé par l'IFOP pour Sud Radio à 16 %, ex aequo avec Marine Le Pen, soit en position d'accéder au second tour, tandis qu’Éric Zemmour redescendait à 14%.

    Devant ou derrière Marine le Pen, Eric Zemmour est, selon, un sondage Odoxa la personnalité politique qui suscite le plus de « rejet » à 59 % contre 9 % de « soutien » et 10 % de « sympathie ». Pour Pascal Perrineau, le presque candidat « est plus le reflet d'une offre politique un peu usée qu'autre chose. Sa force, c'est sa capacité à incarner le dégagisme - or la présidentielle ne devient plus que ça - dans un contexte de profonde droitisation de l'opinion publique ». Au total, les intentions de vote additionnées de Marine Le Pen, Éric Zemmour et Nicolas Dupont-Aignan arrivent aux alentours de 30 %.


    ***


    AFRIQUE-FRANCE QUOI DE NOUVEAU ?


    Le « nouveau sommet », Afrique-France s’est tenu le 8 octobre à Montpellier. Il a été le 28ème du genre, a rassemblé 3 000 participants, dont plus d'un millier de jeunes du continent africain (parmi eux près de 350 entrepreneurs) pour des rencontres et des tables rondes entre sociétés civiles africaine, française et de la diaspora, sur des sujets économiques, culturels et politiques. La nouveauté de ce sommet a reposé sur l'absence des présidents africains pour la première fois depuis 1973, date du premier du genre. Il s'agissait « d'écouter la parole de la jeunesse africaine » et de « sortir des formules et réseaux obsolètes », a indiqué l’Elysée. Parallèlement, Montpellier a été le théâtre d'un contre-sommet organisé, notamment, par les organisations militantes Attac et Survie.

    En session plénière, le Président Macron a dialogué avec des jeunes venus de douze pays africains, pas tous francophones (Afrique du Sud, Angola, Burkina Faso, Cameroun, Côte d'Ivoire, Kenya, Nigeria, Mali, Niger, République démocratique du Congo, Sénégal, Tunisie). Ce panel a été sélectionné à l'issue des dialogues menés pendant des mois à travers le continent par l'intellectuel camerounais Achille Mbembe, dialogues qui ont abouti à un rapport sur la refondation de la relation entre la France et l'Afrique. Les thèmes retenus étaient la santé, le climat, le colonialisme, l'égalité et la démocratie. L’occasion de tirer un premier bilan des initiatives lancées après l'énoncé d'une feuille de route établie par Emmanuel Macron lors de son discours, fondateur, prononcé en octobre 2017 à l'université de Ouagadougou, au Burkina Faso et d’évoquer les treize propositions du rapport. Achille Mbembe a préconisé également une reconnaissance claire de la colonisation comme crime contre l'humanité.

    Le chef de l'État a retenu plusieurs des propositions. Il a notamment annoncé la création d'un fonds d'innovation pour la démocratie. Doté de 30 millions d'euros sur trois ans, hébergé par l'Agence française de développement, ce fonds devra soutenir « les acteurs du changement » en Afrique sans que l’on sache encore comment. L'enjeu est d'orienter les investissements directement vers la société civile. Emmanuel Macron a aussi annoncé la création d'une « maison des mondes africains et des diasporas ». et la restitution au Bénin, fin octobre, des 26 œuvres du « Trésor de Béhanzin », provenant du pillage des palais d'Abomey en 1892 par l'armée coloniale.

    Antoine Glaser, coauteur du livre « Le Piège africain de Macron » remarque qu’« au moment où Emmanuel Macron met fin aux grands-messes entre l'Afrique et la France, la Chine et, tout récemment, la Russie en font. » En 2022, un « sommet Afrique-Europe » devrait se tenir « sous la présidence française de l'Union européenne », a annoncé l'Elysée. On n’en connait pas encore le format.

    Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d’analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l’actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

    🔒 LR abandonne la primaire

    🔒 LR abandonne la primaire

    Le candidat de la droite d’opposition sera désigné en congrès, début décembre prochain. Les adhérents des Républicains ont enterré samedi, à une large majorité, l’hypothèse d’une primaire ouverte qu’appelaient de leurs vœux Valérie Pécresse et Michel Barnier. Un article d’Ilyes Ramdani publié samedi 25 septembre 2021, lu par Arnaud Romain. 

    #15 - Marine BRENIER - Dans les pas de Christian Estrosi

    #15 - Marine BRENIER - Dans les pas de Christian Estrosi

    Députée LR et adjointe au maire de Nice à 34 ans, son engagement en politique est marqué par la figure d'un homme, le maire de Nice Christian Estrosi.

    • Comment faire de la politique quand ses parents s’en désintéressent ? 
    • Pourquoi selon elle la politique est un métier ? 
    • Quelles remarques a-t-elle subie en tant que jeune femme politique ? 
    • Comment fait-on la loi ?

    Éric Woerth : catholique, pragmatique, "plein de doutes et d’espérance"

    Éric Woerth : catholique, pragmatique, "plein de doutes et d’espérance"

    Éric Woerth, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, est président de la commission des finances de l’Assemblée nationale. Dans cet épisode de notre podcast, ce catholique pratiquant explique ses réserves au sujet des récentes propositions du pape François sur le revenu universel ou sur la réduction du temps de travail.


    ► Saison 2, épisode 10 – L’essentiel de l’épisode :


    Député de l’Oise et président LR de la commission des finances de l’Assemblée nationale depuis 2017, Éric Woerth, 64 ans, ne fait pas mystère de sa foi catholique, sans pour autant la porter en étendard. Cet homme de droite assure écouter la voix du pape François qui dans un nouveau livre, "Un temps pour changer", livre un plaidoyer pour le revenu universel, la proposition phare du candidat socialiste à l’élection présidentielle de 2017.


    Rejetant l’étiquette de "libéral", ce farouche partisan de la liberté individuelle appelle avec conviction à éviter les caricatures. L’ancien ministre du Budget puis du Travail durant la présidence de Nicolas Sarkozy, marquée par le slogan "travailler plus pour gagner plus", n’élude pas les différences d’approche avec le pape argentin qui "s’adresse au monde entier et pas uniquement à la France".


    Celui qui admet n’être pas un familier des encycliques témoigne aussi avec pudeur de sa foi. Catholique pratiquant, Éric Woerth fait part de ce mélange de doute et d’espérance qui le porte aussi dans les épreuves de la vie. L’ancien ministre confie aussi avec une certaine émotion sa passion de la montagne et de l’alpinisme.


    ► A lire sur le site et l'application du journal La Croix :


    ANALYSE – Le plaidoyer du pape François pour le revenu universel


    ENTRETIEN – Revenu universel : "Donner à chacun l’assurance de ne pas devenir pauvre"


    INTERVIEW VIDEO – Eric Woerth : "Il faut lever le tabou de l'indemnisation du chômage"


    ► Un podcast hebdomadaire :


    Tous les mercredis à partir du 30 septembre jusqu’au 23 décembre 2020, dans la deuxième saison du podcast Place des religions, les journalistes du quotidien La Croix invitent des personnalités de tous horizons à nous éclairer sur les relations entre la politique et les religions à partir de leur expérience sur le terrain.

    Le temps d’une conversation, elles nous dévoilent leurs convictions à la source de leur action.


    ► Parmi les autres personnalités politiques invitées :


    Marlène Schiappa, ministre déléguée en charge de la citoyenneté ; Eric Piolle, maire EELV de Grenoble ; François-Xavier Bellamy, député européen Les Républicains ; Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre de l’éducation nationale ; Bernard Cazeneuve, ex-ministre de l’intérieur, en charge des cultes ; Franck Meyer, maire évangélique de Sotteville-sous-le-Val ; Hubert Wulfranc, ex-maire de Saint-Étienne du Rouvray ; Jean-Philippe Duval, moine à l’abbaye de Solesmes et conseiller municipal…


    La deuxième saison du podcast Place des religions est à écouter sur le site et l'application du journal La Croix, et sur toutes les plateformes de podcast.


    ► A écouter également :


    Place des religions – Saison 1 : Ainsi soient-elles


    Place des religions – Saison 3 : Le choix du risque


    ► Vos contributions :


    Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.com 


    CRÉDITS :


    Responsable éditorial : Christophe de Galzain. Suivi de production : Célestine Albert-Steward. Interview : Arnaud Bevilacqua. Montage : Flavien Edenne. Mixage : Gabriel Fadavi. Création musicale : Arnaud Forest. Voix : Malo Tresca. Identité graphique : Mathieu Ughetti. Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Archive : INA - France 3 19/20 - 21 octobre 2006.


    Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Septembre 2020

    François-Xavier Bellamy : s’engager "avec sa raison" dans le combat politique

    François-Xavier Bellamy : s’engager "avec sa raison" dans le combat politique

    François-Xavier Bellamy est député européen Les Républicains, mais aussi professeur de philosophie et catholique assumé.


    Dans cet épisode du podcast Place des religions, il nous explique comment il cherche l’équilibre entre politique, foi et raison.


    ► Saison 2, épisode 2 – L’essentiel de l’épisode :


    À 34 ans, François-Xavier Bellamy a déjà une grande carrière politique derrière lui. Agrégé de philosophie, adjoint au maire de Versailles, il a été propulsé tête de liste aux Européennes des Républicains en juin 2019. 

    Très présent au Parlement de Strasbourg, il raconte une vocation politique forgée au gré des rencontres et des travaux philosophiques.


    Catholique assumé, il définit la politique comme au service du bien commun. Malheureusement, "nous manquons de cette expérience miraculeuse de la démocratie qui commence lorsque deux raisons dialoguent, nous perdons le sens de cette conversation politique".


    Tenant de la laïcité, il invite à distinguer Dieu et César, pour exercer d’abord la raison dans l’engagement citoyen, rappelant que "l’Evangile n’est pas un programme politique".


    ► A lire sur le site et l'application du journal La Croix :


    PORTRAIT – François-Xavier Bellamy, la tentation politique


    INTERVIEW – "Les messages ne doivent plus être justes, mais efficaces", regrette François-Xavier Bellamy


    TRIBUNE – François-Xavier Bellamy : "Cette crise peut nous rapprocher ou achever de nous séparer"


    ► Un podcast hebdomadaire :


    Tous les mercredis à partir du 30 septembre jusqu’au 23 décembre 2020, dans la deuxième saison du podcast Place des religions, les journalistes du quotidien La Croix invitent des personnalités de tous horizons à nous éclairer sur les relations entre la politique et les religions à partir de leur expérience sur le terrain. 

    Le temps d’une conversation, elles nous dévoilent leurs convictions à la source de leur action.


    ► Parmi les autres personnalités politiques invitées :


    Marlène Schiappa, ministre déléguée à la citoyenneté, Franck Meyer, maire évangélique de Sotteville-sous-le-Val ; Jean-Philippe Duval, moine à l’abbaye de Solesmes ; Bernard Cazeneuve, ancien ministre de l’intérieur et ministre des cultes, Hubert Wulfranc, maire de Saint-Etienne-du-Rouvray où fut assassiné le père Jacques Hamel…


    La deuxième saison du podcast Place des religions est à écouter sur le site et l'application du journal La Croix, et sur toutes les plateformes de podcast.


    ► A écouter également :


    Place des religions – Saison 1 : Ainsi soient-elles


    Place des religions – Saison 3 : Le choix du risque


    ► Vos contributions :


    Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.com 


    CRÉDITS :


    Responsable éditorial : Christophe de Galzain. Suivi de production : Célestine Albert-Steward. Interview : Christophe Henning. Prise de son et montage : Clémence Maret. Habillage sonore et mixage : Emmanuel Viau. Voix : Malo Tresca. Création musicale : Arnaud Forest. Identité graphique : Mathieu Ughetti. Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Extrait sonore : Conférence des évêques de France au Collège des Bernardins - KTO.


    Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Septembre 2020

    Damien Abad (LR): «On ne peut pas balayer d'un revers de main la candidature de Xavier Bertrand»

    Damien Abad (LR): «On ne peut pas balayer d'un revers de main la candidature de Xavier Bertrand»

     Suspendue à la décision de François Baroin, la droite cherche encore son incarnation pour la présidentielle. Pour le patron du groupe LR à l'Assemblée nationale qui était l'invité du Talk-Le Figaro vendredi, «il n'y a pas urgence». A ce titre, il rappelle qu'Emmanuel Macron en son temps, s'était déclaré tardivement candidat. Opposé à une primaire telle qu'elle a existé, il considère aussi «que la droite ne peut pas faire fi de la candidature de Xavier Bertrand». 

    Le comité des entrepreneurs

    Le comité des entrepreneurs
    Olivier Dassault, dont le nom sonne comme celui d’un capitaine d’industrie est également un parlementaire mais surtout un aviateur, photographe, compositeur de musique et un soutien indéfectible pour Crooner Radio. C’est avec le plaisir de l’artiste chroniqueur-aviateur qu’il survole l’actualité sociale, politique, artistique Française, sans se priver de laisser aller sa sensibilité et de parler vrai sur Crooner radio. Plus d'informations : www.crooner.fr
    Logo

    © 2024 Podcastworld. All rights reserved

    Stay up to date

    For any inquiries, please email us at hello@podcastworld.io