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    28. Comment faire un bon contrat de cession de droits d'auteur

    28. Comment faire un bon contrat de cession de droits d'auteur



    Comment faire un bon contrat de cession de droits d’auteur ?


















    Sous ce terme juridique, où votre première réaction est certainement un “Hein, quoi, encore un contrat ?!” se cache une explication très simple : 




    Tout ce qu’une personne crée est protégé par des droits d’auteur. Pour qu’une autre personne puisse utiliser ce qui a été créé, il faut signer un contrat.




    Aka le contrat de cession de droits d’auteur. 




    Un exemple très simple : Micheline, graphiste, crée un logo pour Pierrot. Avant que Pierrot puisse utiliser légalement le logo créé par Micheline, il doit signer le contrat de cession de droits d’auteurs. 




    Alors, la question maintenant est : 




    Comment construire un contrat de cession de droits d'auteur ? 


    Quelles sont les clauses indispensables à ce contrat ? 


    Et quelles sont les erreurs à éviter pour ne pas rendre obsolète son contrat de cession ? 




    Madame La Juriste est justement là pour vous aider à travers cet article spécial propriété intellectuelle. 




    1 - Le contrat de droit d’auteur doit être clair et précis : tes droits pour la vie, tu ne céderas pas




    Alors, je ne veux pas casser l’ambiance mais un contrat de cession de droits d’auteur est un contrat, et un simple “Je te cède mes droits, ok ?” ne suffit pas. Logique, mais important de le préciser. 




    Tout comme un simple accord verbal n’est pas suffisant aux yeux de la loi. 




    Pour un contrat solide et efficace, il faut 5 éléments in-dis-pen-sa-bles (en plus des autres mentions obligatoires) : 





    Les coordonnées des deux parties ; 


    Les œuvres sur lesquelles l’auteur cède ses droits au diffuseur ; 


    La durée d’exploitation ; 


    L’étendue des droits cédés ; 


    Les conditions de diffusion et d’exploitation ;


    Le montant de la rémunération. 



    Alors, si c’était si simple et qu’il suffisait de suivre ces 5 éléments… ça ne serait pas du droit.


    Parce qu’évidemment, quelques subtilités sont à connaître, et beaucoup font des erreurs. 


    Comme par exemple, la cession des droits d’auteur à vie. 


    Quand vous cédez vos droits pour “l’éternité”, la clause devient nulle et invalide (ici je mettrai “et annule votre contrat” pour éviter la répétition de invalide) votre contrat. Le problème, c’est que souvent ces erreurs partent d’une bonne intention mais… rendent le contrat totalement invalide. La technicité de la propriété intellectuelle l’interdit.


    Ce serait quand même ballot de débarquer avec un contrat de cession de droits d’auteur trop badass, fier de vous, prêt à faire signer à votre client… Et qu’en fait, ce contrat est l’équivalent d’un bout de papier toilette. 


    Alors quelle est la durée minimale de cession des droits d’auteur


    Je vous recommanderais au minimum de partir sur 5 ans, et au maximum, 10 ans. Plus loin, ce n’est pas intéressant pour le créateur. 


    2 - Le contrat de droit d’auteur doit être délimité : tes droits à céder, tu choisiras 




    Quand vous rédigerez votre contrat de droits d’auteur, gardez une chose en tête : Vous ne pouvez pas céder TOUS vos droits, notamment vos droits moraux. Je vous invite à lire cet article sur les bases de la propriété intellectuelle pour en savoir plus. 




    Vous ne pouvez pas céder :




    1 ) Votre droit de divulgation


    2) Votre droit de paternité 


    3) Et votre droit au respect de l’intégrité de l'œuvre. 




    “Hein ?” 




    En gros : 





    Seul l’auteur décide si son œuvre peut être rendue publique ou non. Et aussi, seul lui décide quand et comment il veut que son œuvre soit divulguée pour la première fois. 


    L’auteur a le droit d’apposer son nom sur l'œuvre. Et ouais ! 


    Même s’il a cédé ses droits, l’auteur peut décider à tout moment de modifier son œuvre ou de cesser les droits de diffusion quand il veut et sans se justifier. 



    En revanche, vous pouvez céder vos droits patrimoniaux, c’est-à-dire, le droit de l’exploitation sur l'œuvre. C’est à vous de définir l’étendue des droits que vous cédez.




    Par exemple, si vous êtes graphiste, et que vous réalisez la charte graphique d’une entreprise, c’est vous qui décidez de :





    Les œuvres que vous cédez au diffuseur : logo, templates, visuels…


    La modification autorisée ou interdite de l’œuvre


    Les moyens de communication et les supports autorisés pour utiliser l'œuvre (publicités, télévision, panneaux publicitaires, etc..) 


    L’étendue géographique de l’utilisation de l’œuvre 



    Quand vous rédigerez votre contrat de cession de droits d’auteurs, pensez à n’oublier aucune clause, mais surtout, pensez à bien mettre les BONNES clauses.




    Beaucoup d’erreurs partent d’une bonne intention, mais finissent par rendre le contrat complètement inutile. 




    3 - Payer ou ne pas payer : la rémunération lors de la cession des droits d’auteurs 




    Une des clauses indispensables au contrat de cession des droits d’auteur est la partie sur la rémunération. 




    Pour déterminer le montant, il suffit de se demander : Quelles seront les recettes faites par la vente ou l'exploitation de mon œuvre ? 




    Pour les artistes-auteurs, je vous conseille de vous tourner vers l’URSSAF. 




    Pour les autres, vous devez étudier l’impact que va avoir votre œuvre artistique. Vous êtes libre de fixer le taux de rémunération, mais celui-ci doit rester juste et équitable. 




    Si vous souhaitez céder vos droits d’auteur à titre gratuit, vous pouvez le faire. Mais dans ce cas, la loi dispose que vous devez être en “claire conscience”. Logique en apparence, mais cela peut vite tourner au vinaigre de céder ses droits d’auteur gratuitement. 




    Pourquoi ? 




    On peut vite l’avoir de travers si on ne se rend pas compte du succès potentiel de son œuvre. Mais si notre œuvre prend de l’ampleur et apporte un succès économique que l’on n’avait pas prévu pour la personne à qui l’on a cédé nos droits d’auteur… On pourrait vite le regretter.




    Alors, je vous recommande vraiment de prendre le temps de réfléchir à une rémunération aussi juste pour vous que la personne à qui vous cédez vos droits d’auteur. 




    4 - Votre contrat de droits d’auteur prêt à être utilisé 




    Vous avez deux options :




    1ère option : Rédiger par vous-même votre contrat de cession de droits d’auteur 




    Attention à ne pas oublier les clauses indispensables et à bien faire attention à ne pas intégrer de clauses qui pourraient rendre votre contrat nul ou invalide. Sinon, vous vous exposez à des risques pour votre sécurité. 




    2ème option :  Faire le choix d’opter pour un contrat de cession de droits d’auteurs dans mon bar à modèles 




    Le principe est simple : Vous vous rendez ici sur mon site, et vous aurez accès à votre  modèle de contrat de cession de droits d’auteur prêt à être utilisé. 




    Il vous suffira simplement de remplir les trous, et vous pourrez ensuite l’utiliser directement dans votre activité. Que vous soyez graphiste, musicien, rédacteur ou tout simplement créateur d'œuvre, ce contrat vous aidera à protéger vos droits et celui de vos clients. 




    Quand vous achetez un document dans mon bar à modèles, vous êtes assuré d’avoir un suivi client de qualité : Je réponds à vos questions, vos doutes et je vous fais un retour si besoin pour faciliter votre prise en main. 




    Rédigé par Florine LeGros, copywriter.


    https://www.florinelegros.com/ 

    26. Les étapes à ne pas louper pour déposer sa marque

    26. Les étapes à ne pas louper pour déposer sa marque

    Les étapes pour déposer sa marque quand on est entrepreneur 




    Comme je vous le disais plus haut, vous avez deux choix pour faire votre dépôt de marque : le faire vous-même ou faire appel à un mandataire. Partons du principe que vous souhaitez le faire vous-même. 




    1ère étape : Faire une recherche sur la bibliothèque de l’INPI




    Avant même de faire un dépôt auprès de l’INPI, vous devez rechercher si une autre entreprise n’a pas déjà déposé la marque, le nom, la formation, etc. On parle de recherche d’antériorité.




    Le principe est simple. Vous vous rendez sur ce site en faisant deux types de recherche : 





    La recherche à l’identique : le but est de chercher si des marques ont la même orthographe, le même slogan ou logo  


    La recherche par similarité : le but est de chercher si des marques ont une orthographe différente mais une même représentation, ou si les deux termes sont trop rapprochés. C’est la recherche qui est la plus complexe et qui prend le plus de temps. Par exemple : j’appelle une marque Kokka-Cölla pour une boisson gazeuse, alors que « Coca-Cola » est déjà déposé. 



    L’étape de recherche est complexe car l’INPI ne vérifie pas si cette marque existe déjà ou non. Alors prenez le temps de bien faire vos recherches pour ne pas vous retrouver avec une lettre d’avocat dans la boîte aux lettres ! 






    2ème étape : Choisir sa classification




    Il existe plus d’une trentaine de classes différentes. Qu’est-ce qu’une classe ? C’est la partie dans laquelle vos droits de propriété seront appliqués. Par exemple, vous souhaitez protéger le nom de votre formation qui est “Chocolat Ascension”. 




    Si vous choisissez la classification “Formation”, personne d’autre ne pourra appeler sa formation de cette façon. En revanche, si un chocolatier veut appeler sa nouvelle gamme de chocolats avec cette dénomination, il est libre de le faire car vous n’avez pas choisi la classe “Alimentaire”. 




    Il est donc primordial de choisir les classes où vous voulez garder l’exclusivité. 




    3ème étape : Le dépôt auprès de l’INPI




    Dernière étape, et non des moindres ! Parce que c’est ici que vous allez devoir sortir la carte bleue. Toutes les démarches se font sur le site de l’INPI sur leur formulaire en ligne. Le dépôt de marque commence à 180€, et comptez 40€ supplémentaires à chaque classe ajoutée. 




    Une fois votre demande faite, un avis est publié sur BOPI (Bulletin Officiel de la Propriété Industrielle). Votre dossier est traité en 6 semaines. C'est à ce moment-là que les autres entreprises peuvent faire opposition à votre dépôt de marque. 




    Montrez-vous patient et ne négligez surtout pas l’étape de la recherche et le bon choix des classes ! 




    Pourquoi la propriété intellectuelle est-elle sous-estimée par les entrepreneurs ? 




    Je pense qu’il y a deux raisons au fait que peu d’entrepreneurs du web se soucient du dépôt de marque. 




    La 1ère, c’est que ça paraît être quelque chose de long et compliqué. Comme le droit en lui-même de manière générale. On compte parmi ses priorités de créer son site internet, travailler son image de marque, publier sur les réseaux sociaux mais personne ne pense à protéger son travail. 




    La 2ème, c’est le manque de communication sur le sujet. Peu de personnes se rendent compte qu’à tout moment, un concurrent ou un client peut voler leur travail sans être dans l’illégalité. Tant qu’un dépôt n’a pas été fait dans l’INPI, toute personne peut piquer vos idées comme avoir le même logo que vous ou nommer sa formation de la même façon. 




    Alors, maintenant que vous en savez plus sur la propriété industrielle, il est temps de faire les démarches pour protéger votre entreprise, votre cerveau et vous-même !  


    www.madamelajuriste.fr


    25. La propriété intellectuelle pour les nuls !

    25. La propriété intellectuelle pour les nuls !

    Propriété intellectuelle… 2 mots, 23 lettres. Pourtant, vous n’y comprenez pas grand-chose à ce que ça veut dire. 




    “Est-ce que ça me concerne en tant que micro-entrepreneur la protection industrielle ?”




    “Est-ce que je dois faire des démarches pour protéger mes idées et mon entreprise ou est-ce que ce que je crée est automatiquement protégé par la loi ?”




    Que de questions et pas de réponse ! Ou du moins, vous vous n’êtes jamais vraiment préoccupé de ça parce qu’après tout, tout ce qui est lié au droit est chiant et compliqué, et qu’est-ce que vous pouvez en avoir bien à faire de la propriété intellectuelle ! 




    Bonne nouvelle : Je suis justement là pour vous expliquer en détail ce que c’est de manière simple et rapide, et vous faire comprendre que OUI, vous en tant que solopreneur ou gérant d’une société, vous avez besoin de connaître les bases de la propriété intellectuelle pour protéger votre travail et votre cerveau. 




    Allez, c’est parti pour la mission vulgarisation ! 




    Déjà, c’est quoi la propriété intellectuelle ? 




    La propriété intellectuelle désigne toutes les inventions et les œuvres de l’esprit. La définition chiante ajoute que la propriété intellectuelle confère un droit moral à l’auteur d’une œuvre, ce qui est un droit inaliénable sans limitation de durée. 




    Pour faire simple, tout ce qui sort de ton cerveau est à toi pour toujours. Mais il y a une petite subtilité à cette douce protection intellectuelle : une idée ne peut pas être protégée. 




    Mais l’application d’une idée peut l’être. Il y a 4 solutions pour protéger l’application d’une idée : 





    Le brevet 


    Le dépôt de dessin et modèle


    Le droit d’auteur


    Et le dépôt de marque



    Par exemple, si vous êtes graphiste et que vous souhaitez protéger vos créations, on parlera de droits d’auteur. Mais si vous êtes plutôt créateur de nouvelles technologies, c’est le brevet qui protégera votre travail. 




    Comment protéger sa marque auprès de l’INPI ? 




    Voilà ce qui vous concerne particulièrement si vous êtes coach, formateur ou freelance et que avez choisi d’être représenté par un nom spécifique. 




    Une autre subtilité est à rajouter : ne confondez pas la marque avec le nom commercial. Quand vous créez votre microentreprise sur l’URSSAF, c’est le nom commercial que vous choisissez et il n’y a aucun droit de propriété là-dessus. 




    Un dépôt de marque, c’est un logo, un slogan, un élément sonore… c’est tout ce qui vous rend différent. 




    Si vous souhaitez vous professionnaliser, mais surtout et avant tout, protéger votre entreprise des concurrents qui pourraient avoir les mêmes idées que vous, il est important de procéder à un dépôt de marque. 




    Imaginez juste un instant si vous lancez une entreprise, et que quelqu’un décide de lancer la même activité avec le même slogan, même logo, etc… Ça craint, non ? 




    Alors voilà pourquoi la première étape que vous devez faire auprès de l’INPI est de déposer votre marque. Pour ça, vous devez en identifier les signes distinctifs comme un logo, un slogan, un nom. Et bonne nouvelle : en protégeant votre marque, vous bénéficiez du monopole pour 10 ans avec un investissement qui commence à partir de 140 euros. 




    Pour déposer votre marque, vous pouvez le faire vous-même directement sur le site de l’INPI ou faire appel à un mandataire professionnel qui se chargera de toutes les démarches pour vous. C’est vous qui choisissez, mais si vous êtes auto entrepreneur, le choix le plus simple sera de le faire seul.




    Formation en ligne : protéger ses créations




    Si vous vendez de la formation en ligne, vous pouvez également faire un dépôt auprès de l’INPI. Si vous ne le faites pas, à tout moment, un concurrent peut appeler son produit digital de la même façon, mais aussi un client qui aurait suivi la formation et qui voudrait lancer la même chose que vous. 




    Imaginez juste un instant si vous lancez votre produit sans faire le dépôt de marque à l’INPI. Vous communiquez dessus sur vos réseaux sociaux, vous faites de la publicité et là… Un concurrent passe devant vous et dépose le nom. Vous voilà bien dans le caca juridique ! 


    www.madamelajuriste.fr

    #17: Créateur de logiciel dans l'entreprise: à qui appartiennent les droits ?

    #17: Créateur de logiciel dans l'entreprise: à qui appartiennent les droits ?

    Lorsqu'un logiciel est créé dans une entreprise, à qui appartiennent les droits d'auteur?


    Le logiciel est considéré comme une œuvre de l'esprit, protégé par le droit d'auteur à condition qu'il soit original.


    Le régime du droit d'auteur applicable au logiciel est spécifique. En ce qu'il existe des exceptions aux principes posés par le code de la propriété intellectuelle. Comme le principe selon lequel les droits d'auteur sont attribués au créateur personne physique.


    Si le logiciel est créé par un salarié, stagiaire, doctorant exerçant des missions au sein et avec les moyens de l'entreprise, les droits patrimoniaux sont automatiquement dévolus à l'employeur. 


    Si le logiciel est créé par un associé ou un gérant d'une entreprise, ce dernier demeure titulaire de ses droits ou co-titulaire des droits, s'il s'agit d'une œuvre de collaboration. L'entreprise peut être titulaire des droits dans le cadre d'un contrat de cession de droits d'auteur.

    #16 : Glitch Art et le droit d'auteur

    #16 : Glitch Art et le droit d'auteur

    "L'art Glitch est l'esthétisation d'erreurs numériques ou analogiques telles que des artesfacts et autres bugs ou bien en altérant le code ou les données numériques ou bien en manipulant physiquement des dispositifs électroniques", selonNick Briz, artiste.


    La démarche artistique d'un créateur relevant du courant Glitch Art est de reprendre une œuvre déjà existante, photo, vidéo, jeux vidéo, à partir d'un dysfonctionnement de cette œuvre, il va en faire une œuvre nouvelle.


    Ces œuvres transformatives correspondent juridiquement aux œuvres composites, à savoir une œuvre nouvelle à laquelle est incorporée une œuvre préexistante sans la collaboration de l'auteur de cette dernière (Code de la propriété intellectuelle).


    Cependant, "l'œuvre composite est la propriété de l'auteur qui l'a réalisée, sous réserve des droits de l'auteur de l'œuvre préexistante". (art. L. 113-4 du Code de la PI).

    Ep 4 Marie Vermeulin - interpréter une oeuvre musicale : comment exprimer sa personnalité artistique sans dénaturer l'oeuvre originale ?

    Ep 4 Marie Vermeulin - interpréter une oeuvre musicale : comment exprimer sa personnalité artistique sans dénaturer l'oeuvre originale ?

    Interpréter une composition musicale originale : comment se distinguer par sa propre interprétation, tout en respectant l’œuvre première ? Focus sur cette problématique dans le secteur de la musique classique. 


    Pour ce 4ème épisode, j'ai le plaisir d'interviewer Marie Vermeulin, pianiste artiste interprète. 


    Titulaire de nombreuses distinctions, Marie s’est produite dans de nombreuses grandes salles françaises telles que la Philharmonie de Paris, l’Opéra Bastille, le Petit Palais ou le château de Chambord ainsi qu’à l’étranger. 


    Ensemble, nous avons discuté de sa vision de sa profession, de son rapport avec l’œuvre originale lors de son interprétation, du plagiat en matière musicale et de ses relations avec les autres interprétations réalisées de musiques classiques.

    ❓Comment travailler une œuvre et la respecter, tout en la jouant selon sa propre sensibilité et technicité ? 


    ❓Comment ne pas se laisser influencer par les autres interprétations réalisées de cette œuvre ?


    ❓Comment se distinguer des autres artistes-interprètes ? 


    Bonne écoute ! 


    Merci à Jean-François Viguié pour la musique originale (http://www.jfviguie.com/). 


    Pour tout connaître de l'actualité de Marie Vermeulin : https://www.marievermeulin.com/


    N'hésitez  pas à suivre l'actualité de Copie Conforme sur Instagram: @claraviguie.avocate et/ou à me contacter par mail ou sur LinkeldIn. 


    Si Copie Conforme vous inspire, je vous invite à me laisser un commentaire et des étoiles sur Itunes, Apple Podcast ou toute autre plateforme  d'écoute. Cette aide sera précieuse pour faire grandir ce projet.  

    Lutter contre le plagiat de son concept

    Lutter contre le plagiat de son concept

    Dans ce troisième épisode, nous accueillons Clémentine, fondatrice de PEONIES, premier café-fleurs à Paris.



    A son lancement, PEONIES a eu un succès fou, à tel point que plusieurs personnes décident de reprendre l'identité visuelle de sa boutique ou même son logo...


    Comment réagir face au plagiat quand on est entrepreneur et qu'on a mis ses tripes dans la création d'un concept innovant ? 


    Dans cet épisode, Clémentine nous livre sans fard son expérience et les solutions qu'elle a trouvées pour lutter contre la copie : garder son unicité, toujours, et innover pour sortir du lot 🎙

    #14 : La liberté de création et le Street Art ?

    #14 : La liberté de création et le Street Art ?

    L'art urbain, qui est passé de "l'illégal au Bankable" était, au départ, l'expression d'une "revendication de liberté et d'une révolte contre le système marchand et politique".


    Au départ, la réponse du droit n'a été que d'ordre pénal. Puis, l'évolution que connaît l'art urbain, invite à apprécier toutes ses implications et à tenir ainsi compte du caractère complexe de son statut juridique.


    Il y a lieu de s'interroger sur les difficultés liées à la qualification de l'intervention de l'artiste- œuvre d'art éphémère ou non? Un droit d'auteur limité ? Quid du droit pour le propriétaire du support matériel?

    #5 - L’importance de l’identité visuelle pour mon entreprise ?

    #5 - L’importance de l’identité visuelle pour mon entreprise ?

    Florence MEKDERIAN, experte en identité visuelle, Fondatrice du “Studio MAGE”. Depuis 2000, elle travaille dans le graphisme, notamment chez des grands groupes comme Publicis ou le groupe M6. Elle s'est rapidement mise à son compte et a aujourd’hui plus de 20 ans d’expérience dans l’identité visuelle et le graphisme. 

    Avez-vous une identité visuelle impactante pour votre entreprise ? Représente-t-elle bien votre affaire et vos valeurs ?

    L’identité visuelle permet de conforter une image de marque, elle représente votre entreprise et vous permet d’avoir une image plus professionnelle, de marquer l’esprit de vos clients.

    Florence, vous présente l’importance d’avoir une identité visuelle professionnelle, ce qu’elle doit exprimer, quand faut-il la changer ou la modifier, ainsi que les codes à respecter.

    Par où commencer et à quel type de prestataires faire appel ? Comment peut-on l’améliorer ? A quoi sert le droit d’auteur ?

    Les réponses à ces questions sont dans cet épisode 😉

    Bonne écoute et maintenant “Place à l’Expert” !


    📝Les 5 points à retenir :

    • L’identité visuelle doit coller à l’entreprise, à votre secteur, à votre clientèle, vos valeurs…
    • La durée de vie d’un logo est de 10 à 15 ans.
    • Il est préférable de faire appel à des prestataires pour avoir une identité visuelle de qualité.
    • Toutes images sont soumises au droit d’auteur. Utilisez seulement les images dont vous possédez les droits ou des images libres de droit.
    • Pour posséder les droits d’un visuel, il faut que le créatif vous fournisse un contrat de cession de droit d’auteur.

    Liens de l'invité : magebox.fr  / https://www.linkedin.com/in/florence-mekderian-83b60145 

    Trouver un nom de marque : un parcours semé d'embûches 📢

    Trouver un nom de marque : un parcours semé d'embûches  📢

    🎙Le casse tête de la recherche du nom de marque🎙


    Chercher LA marque de son entreprise, c'est souvent un plaisir... Mais la trouver  n'est pas si simple! 


    Pour ce deuxième épisode d'A pied'oeuvre, nous recueillons le témoignage de Sophie, créatrice de Point de rosée, une très belle marque de vêtements de nuit destinés aux femmes 🌌. 


    Mais Point de rosée n'était pas du tout son premier choix 😲


    Apprendre que sa première idée de nom, à laquelle elle était très attachée, n'était pas disponible a été une grande déception 💔


    Elle a du repartir de zéro, avec ce sentiment de trouver fade tous les autres  noms 😓


    La recherche d'un nom de marque pour l'activité Sophie a été un parcours semé d'embuches ⛰️


    Plusieurs années après, elle a appris à apprécier sa marque et nous livre son expérience sans fard 🌈


    #13 : Le droit d'auteur des architectes

    #13 : Le droit d'auteur des architectes

    Le Code de la propriété intellectuelle considère commes œuvres de l'esprit, les œuvres d'architecture, les plans, les croquis et ouvrages plastiques relatifs à l'architecture.

    Pour être protégée par le droit d'auteur, l'œuvre architecturale doit être originale, à savoir qu'elle doit porter l'empreinte de la personnalité de son auteur.

    Dès lors qu'elle est originale, l'architecte a dres droits patrimoniaux en vertu desquels il est seul habilité à autoriser la fabrication et l'exploitation de son œuvre et de l'image de cette dernière. 

    En vertu de son droit moral, l'architecte dispose d'un droit au respect de son œuvre et d'un droit de paternité. 

    Néanmoins, l'œuvre d'un architecte auteur peut être modifiée, au grand dam de son droit moral, à conditions que les modifications soient indispensables au but recherché.


    #6 - Projets Sillex : l'édition autrement, avec Nicolas Marti

    #6 - Projets Sillex : l'édition autrement, avec Nicolas Marti

    Dans cet épisode, nous accueillons à nouveau un confrère éditeur, Nicolas Marti qui nous parle de Projets Sillex.

    Projet Sillex est une maison d’édition novatrice doublée d’une plateforme de financement participatif uniquement dédiée à la littérature de l’imaginaire.

    Privilégiant le circuit court et une sélection poussée d’auteurs, Projets Sillex explore d’autres moyens d’éditer et de produire les livres. Alors que le monde de l’édition va se trouver bientôt dans l’obligation de se transformer, les idées du Projets Sillex pourraient bien être avant-gardistes.  

    Pour en savoir sur Projets Sillex : 

    https://www.projets-sillex.com/

    Comprendre le droit d'auteur (avec Patrice Lazareff)

    Comprendre le droit d'auteur (avec Patrice Lazareff)
    Les musiciens maîtrisent rarement les aspects juridiques liés à leur pratique. Pourtant, il est essentiel de connaître ses droits et de protéger son oeuvre. Que ce soit pour contrôler l’usage qui est fait de leur travail ou pour s’assurer une rémunération, les créateurs peuvent faire appel à la loi. Pour remédier au manque d’information et guider les passionnés de musique, Salman et KronoMuzik ont décidé de consacrer ce nouvel épisode du podcast au droit d’auteur. Pour l'occasion, ils sont accompagnés par Patrice Lazareff.

    #7: Transmettre une oeuvre protégée au Tribunal : absence de contrefaçon

    #7: Transmettre une oeuvre protégée au Tribunal : absence de contrefaçon

    Ce 7e épisode est consacré à un arrêt rendu par la Cour de justice de l'Union européenne le 28 octobre 2020, dans lequel la Cour devait se prononcer sur la question de savoir si la transmission par voie électronique d'une oeuvre protégée à un Tribunal pouvait être considéré comme un acte de contrefaçon.

    Dans le cadre d'un litige commercial entre deux personnes gérant un site internet, pour sa défense, le défendeur transmet à la juridiction, en tant qu'élément de preuve, une photographie tirée du site internet du demandeur.

    Le demandeur riposte en accusant le défendeur de contrefaçon de droit d'auteur, en ce qu'il est titulaire du droit d'auteur sur cette photographie.

    La Cour conclut à l'absence de contrefaçon, en raison de l'absence de communication au public. 

    Dreams : Le rêve d’être créateur ouvert à tous mais pas pour n'importe qui !

    Dreams : Le rêve d’être créateur ouvert à tous mais pas pour n'importe qui !

    Découvrez dans ce nouvel épisode, notre avis sur le nouveau jeu de Media Molecule et Sony, Dreams. 

    Disponible depuis le 14 février exclusivement sur PS4, Dreams vous donne la possibilité de créer votre propre jeu vidéo et de jouer aux créations de la communauté. 

    Voici d'ailleurs une sélection des jeux à tester sur Dreams : 


    Des jeux d'aventure, aux RPG en passant par les FPS, nous allons revenir également sur le sujet du droit d'auteur. Grande question dont la réponse n'est pas (pour l'instant) si limpide que ça chez Media Molecule.


    Crédit Musiques :  

    - OST Dreams

    Les DRM sont-ils l'oeuvre de Satan ?

    Les DRM sont-ils l'oeuvre de Satan ?

    Vaste question pour ce nouvel épisode des Webosaures : les DRM sont-ils l'oeuvre des vilains ?

    Et on commence déjà par expliquer ce qu'est un DRM et quelles sont les différentes formes qu'il peut prendre. Nous creusons aussi nos mémoires (qui a dit défaillantes ?) pour nous souvenir de ceux que nous avons rencontrés dans nos vies.

    Enfin nous nous posons des questions concernant l'éthique, le droit juridique et l'aspect technique de ces DRM. Et vous quel est votre avis ? Pour ou contre ? Dites-nous tout.

    Episode 13: Il faut sauver le soldat Internet

    Du droit d'auteur à ses alternatives

    Du droit d'auteur à ses alternatives

    Ce mercredi 24 novembre à 19h (rediffusion le 1er décembre à 9h), dans le cadre du festival Radio Activities, nous nous éloignons de l'informatique pour nous intéresser au droit d'auteurs, aux sociétés qui prétendent le gérer et à la position des artistes et des diffuseurs — dont les radios associatives font parties. Nous exposons la situation et projetons la mise sur place d'une coopérative de droit d'auteurs pour les petits artistes, alternative aux sociétés existantes.

    Avec les interventions de Carmélo de l'ACSR (Atelier de Création Sonore et Radiophonique) et de Pierre et Lydia de Radio Panik.

    Playlist

    • Martin Fierro, par CalmaNiño
    • Funka Naia Irun de Gipuzkoa, par butumbaba
    • Orgie clandestine, par Grre

    Retrouvez-les sur Dogmazic, Jamendo ou Boxson.

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